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Chillout And Relaxing
11 abonnés
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4,5
Publiée le 21 juillet 2024
Un film tout en justesse et en sobriété, narrant le récit d'une famille coréenne cherchant à vivre son rêve américain. Une œuvre autobiographique pour Lee Isaac Chung qui permet de nous émouvoir sans tomber dans le larmoyant en évoquant avec finesse le déracinement et la complexité de s'intégrer dans une société différente de la nôtre. Une photographie belle et lumineuse. Un film très réussi.
Globalement j'ai passé un assez bon moment. L'histoire est assez simple mais marche quand même. Les personnages sont intéressants malgré la grand mère que j'ai trouver juste insupportable, après elle joue juste bien son rôle. C'est intéressant de voir le père de famille déterminé à réussir pour rendre sa famille fier et la mère qui n'est pas convaincue de la réussite. Il y a des dialogues intéressants. Mais malgré ça j'ai trouver quelques moments trop long, il y a des scènes qui essaient d'être prenante et émouvante mais pour moi ça a pas trop marché. Film à voir une fois mais perso je pense pas que je vais me le refaire pour autant.
Une interrogation sur le rêve américain et la famille , portée par une mise en scène subtile, de magnifiques interprètes et une photographie de toute beauté . Chaque personnage suit son évolution propre face aux adversités multiples de la nature, de l'âge , des accidents, des maladies , des colères et des peurs , des ambitions et des espoirs et l'ensemble embrasse avec générosité et équilibre, par petites touches fines , une multitude de thèmes universels . Une très belle réussite.
Très beau film, l’histoire d’une famille Coréenne qui migre vers les États-Unis dans le but de monter une affaire agricole et qui fait face à des difficultés dans cette nouvelle vie.
Les musiques sont magnifiques, les acteurs jouent bien, la photographie est sublime, j’ai vraiment accroché.
Seul ombre au tableau peut être, le rythme en deuxième partie est un peu trop lent j’ai trouvé mais mis à part ça très beau film.
Minari c'est un de ces films qui présentent le rêve américain comme étant pas réel et les difficulté de se sentir chez soi. Donc pas vraiment original sur le papier, mais le tout est rattrapé par une bande son très bonne et qui sonne juste et un jeux d'acteurs prenant. Certains point comme l'évolution de la relation entre David et sa grand mère sont très bon. La real est la photographie sont aussi cool. Pour le reste, c'est pas mauvais mais c'est du recyclé, l'emotion n'y est pas, hormis à un moment proche de la fin. Le visionnage n'est pas désagréable mais ne vous attendez pas à être ému au larme ou à quelque chose de révolutionnaire.
Il a été déjà tout à fait surprenant de voir Steven Yeun (acteur et producteur de « Minari ») jouer cette chronique familiale dépourvue d’actions, alors même qu’on a retenu de cet acteur les péripéties dans la série zombiesque «The Walking Dead » , pendant 7 saisons. Un peu à contre-emploi, Steven Yeun est parvenu à avoir un jeu particulièrement convaincant. « Minari » est la chronique d’une famille coréenne s’installant dans l’Amérique profonde, dans le milieu des années 80. S’exténuant au travail comme employés dans une batterie de poussins, et la culture de produits agricoles coréens destinés à la diaspora, ce film nous laisse à montrer les difficultés quotidiennes d’une famille qui cherche à s’intégrer par le travail. La grande qualité de « Minari » est que l’on se laisse transporter doucement et sûrement par sa trame quasi-poétique, alors même que le film n’a quasiment pas d’intrigue. Certains pourront le reprocher, mais cette chronique ne cherche pas à avoir de propos ou de message. Le spectateur n’est qu’un simple observateur, sans parti pris particulier. Un très bon film pour ma part, qui sort des sentiers battus, par sa grâce et sa recherche d’harmonie.
Je ne comprends pas le niveau de notation de ce film peu rempli et triste. La fin est lamentable : elle semble spoiler: être une fin heureuse mais de manière totalement artificielle et rapide, sans consistance, désarticulée du film. En ces jours de féminisme, il est à noter que les toutes les femmes sont montrées comme des pénibles poids morts difficiles à gérer pour ne pas être vulgaire et utiliser un mot ressemblant à "chi...ses". Il n'y a que ce cadre naturel qui m'a fait rêver.
Inspirée de la propre vie du réalisateur, une chronique intimiste attachante mais manquant cruellement de rythme, qui traite du déracinement et d’intégration sociale entre espoirs et désillusions d’une famille coréenne dans l’Arkansas des années 80, portée par une interprétation pleine de justesse, avec notamment la grand-mère récompensée par un Oscar !
Drame social autant que chronique familiale, "Minari" est un film touchant, élégant et pudique! Une sobriété bienvenue mais bien que la simplicité de l'ensemble ne soit qu'apparente, le film se révèle un peu convenu, trop programmatique et ne surprend jamais vraiment. Gracieux mais manquant d'intensité peut-être...
Un film américano coréen primer au oscars pour sa beauté , sa justesse ,et son casting qui est excellent . Un film très beau , très touchant et émouvant sur une famille coréenne et qui montre comment les asiatique sont tous unis en terme de famille piur eux rien de plus important encore une fois. et aussi que avec des croyance et du dépassement de sois qui arrive à faire des grande chose et qui sont pour certaine excellente chose développer ici et aborder ici . Un petit garçon qui est adorable et même quand il n'est pas si adorable que cela on éprouve de l'empathie pour lui et sa famille au méthode plutôt dure . Un mode de vie qui arrive de plus en plus Amérique . Une relation plutôt belle est signer , l'oscar de la meilleur actrice pour la comédienne Sud coréenne qui interprete la grand mère et c'est totalement mériter pour elle .
résumer ; Une famille américano-coréenne déménage dans une minuscule ferme de l'Arkansas, à la poursuite de leur propre rêve américain. Le cocon familial change complètement après l'arrivée de leur grand-mère sournoise, grossière, mais incroyablement aimante.
Une chronique familiale touchante et pleine d'humanité. Les interprètes sont formidables et le film est fait de petits riens tantôt émouvants tantôt amusants. Mais il faut bien dire qu'il ne se passe pas grand chose et que c'est un peu long.
Lee Isaac Chung s’est inspiré des souvenirs de son enfance pour réaliser ce film sorti en 2020. Il retrace le parcours d’une famille d’origine sud-coréenne qui s’installe au fin fond de l’Arkansas pour réaliser son rêve américain. L’histoire aborde de nombreux thèmes comme l’enfance, les relations intergénérationnelles, la maladie, la vie mouvementée d’un couple, l’abnégation au travail. Tout semble sincère malgré l’absence de rythme et de réels enjeux. Il manque en effet une once d’émotion pour nous emporter au cœur des tourments de cette famille plutôt que de nous laisser impassible devant notre écran. Bref, une chronique languissante mais honnête.
Une jolie chronique familiale entachée d'événements douloureux. L'intégration est aussi le désir de faire mieux. On a en parallèle les deux histoires. Celle des enfants et celle des parents. Chacun doit suivre son chemin en fait.
Se faire une place au soleil, voila ce que désire avant tout cette famille d'origine sud-coréenne en s'installant dans l'Arkansas. Comptant bien cultiver la terre, le père de famille va devoir composer avec la maladie de son fils et l'arrivée de sa belle-mère assez originale. Mélange des genres, "Minari" exploite beaucoup de thèmes différents comme la maladie, l'intégration à la culture américaine, etc... Le petit garçon est adorable tant il est espiègle, se chamaillant sans cesse avec sa grand-mère. "Minari" dégage un charme indéniable grâce à sa façon de filmer la nature et de nous immerger au sein de cette famille attachante.
Que dire de Minari ? Difficile d'évaluer ce film qui nous présente une famille coréenne tentant péniblement de s'implanter dans le Midwest américain, en conjuguant leur ancienne culture avec leur nouvelle. Agréable à suivre mais immédiatement oublié, le film n'offre aucun moment de tension et garde sa monotonie frustrante indigne des films coréens ayant précédemment quitté la péninsule. Hormis le meilleur second rôle féminin, Minari a eu une récolte d'Oscar aussi peu productive que la plantation des personnages et après 2h de film, on se demande bien ce que l'on a voulu nous raconter ?