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    Armageddon Time
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    287 critiques spectateurs

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    oldsport
    oldsport

    14 abonnés 95 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 novembre 2022
    Je sors tout juste du Max Linder(quel écran mes amis!) et j'avoue ne pas avoir été emballé par le film.On est parfois pas loin de Arnold et Willy pour le pire et Au revoir les enfants pour le mieux.A vouloir maîtriser l'émotion en permanence,Gray en oublie son propos :la naissance d'une vocation qui devrait être un torrent de sensations !Au lieu de cela on a le droit à un film d'ados initiatique peu captivant avec la jolie photo de Khondji et c'est à peu près tout...une déception !
    PLR
    PLR

    471 abonnés 1 569 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 novembre 2022
    Les critiques presse sont dithyrambiques et celles du public sont enthousiastes. Qui suis-je pour faire la moue ? Mais je sais qu’il suffit parfois de répéter quelque chose à l’envie pour persuader tout le monde que c’est vrai même si ce n’est pas le cas. Je pense donc que ce film bénéficie de faveurs empêchant les uns et les autres d’être davantage critiques. Pourquoi ? Mystère. Sur le fond, un contexte familial. Un gamin, gentil mais un peu rebelle et surtout rêveur dans son monde ou celui de demain qu'il s'imagine. N’ayant pas de soucis matériels dans sa famille (où il n’est pourtant pas né avec une cuillère d’argent dans la bouche), il coule des jours heureux dans l’apprentissage et la confrontation avec le monde extérieur. Le grand-père est toujours là pour repasser derrière la mère (sa fille) ou le père afin de fournir quelques judicieux conseils et objectifs de vie au préado et ainsi apaiser les tensions intrafamiliales. Quiconque est passé par là sait que ce n’est pas toujours facile et que chaque parent a sa part de maladresses. Le gamin a pour ami un collégien noir qui lui est socialement dans la mouise. Pauvre et noir dans l’Amérique des années 1980 c'est multiplier les obstacles dans un système sociétal et institutionnel qui ne pardonne rien et n'aide pas. Le cadre d’un bon scénario est ainsi tracé. Mais peut-être parce que le réalisateur qui raconte en fait cette période telle qu’il l’a vécue de sa place n’a pas eu une vie si extraordinaire que ça, ça manque de contenu, de ressorts. Raplapla quoi... Davantage de l’ordre du téléfilm que le grand film de cinéma annoncé et vanté.
    MSM
    MSM

    6 abonnés 101 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 novembre 2022
    Comment dire ?... Dans le désordre: C'est ennuyeux, frustrant, manichéen, cliché, mou, insipide, prétentieux, vide, bien-pensant, fastidieux, soporifique, creux... La liste est longue des adjectifs rédhibitoires qui me font regretter d'avoir vu ce film et qui, assurément, ne me laissera aucun souvenir. Si ce n'est la rage de poster cette critique négative...
    Audrey L
    Audrey L

    647 abonnés 2 593 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 novembre 2022
    Surtout, ne réfléchissez pas. Le casting nous faisait tourner la tête comme une étoile filante qui transpercerait le ciel, mais Armageddon Time, s'il ne s'écrase pas complètement, est pour notre part une déception pour un cinéaste qui d'habitude nous plaît bien. On a l'impression que James Gray a perdu de sa finesse narrative, et raconte son histoire (qui fait envie, avec ses messages de tolérance et d'enfant qui grandit) avec une mise en scène qui réfléchit à notre place, ce qui est très désagréable. On s'aperçoit vite qu'on est devant un drame gorgé d'assistance mentale : vous n'êtes pas capable de comprendre que la scène est triste ? Pas de problème : voici un gros plan totalement gratuit sur la mère qui pleure à outrance (avec notamment cette scène dans le parc où elle hoquète en gros plan - Anne Hathaway en surchauffe - pour souligner que ce qu'il se passe sur le banc est tragique, ce qu'on avait compris, mais on se questionne plutôt sur la justification de sa présence). Vous n'arrivez pas à savoir s'il faut être ouvert d'esprit ? No problem again : on vous propose le discours bienpensant et niais du papy qui explique au gamin quoi penser de la question du racisme. On aurait tellement préféré que le petit le comprenne tout seul. Autrement, l'ambiance rétro est bien rendue, Jeremy Strong est à l'aise dans son rôle de papa trop stricte, Anthony Hopkins semble fatigué (en-dehors de ce que lui demande son rôle, on s'entend), Anne Hathaway pleure à grandes eaux en plans serrés (et c'est tout), et Banks Repeta a tout de même une bonne tête (il passe bien à l'écran, il faudra juste passer la seconde sur son jeu d'acteur). Le fonds de l'intrigue est louable, avec ses messages anti-haine et anti-violence, en suivant un jeune garçon qui tente de grandir dans une famille au papa violent et au papy au seuil de la mort, et plongé dans un contexte sociétal raciste qui n'est pas facile. On était prêt à l'adorer, ce film, mais on a vite compris que Armageddon Time n'arrêterait pas de penser à notre place. Deux heures de drame pompeux et d'assistanat intellectuel.
    islander29
    islander29

    876 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 novembre 2022
    Du cinéma à l'ancienne, cela fait du bien à l'esprit, cela le ramène à l'essentiel....James Gray, est un pro, son film est réalisé de main de maitre, de la première minute, à la dernière. Bien sûr on pense à quelque chose d'autobiographique, l'age du gamin, onze ans en 1980, lui est ,né en 1969 ......Le film véhicule de beaux messages humanistes, que ce soit sur le racisme, l'école, l'amitié ou la famille....Le film a des beaux seconds rôles ( La mère Anne Hathaway, le grand père Anthony Hopkins, Jérémy Strong, le père)...Les dialogues ne procurent aucun ennui, pas plus que la mise en scène qui nous garde en éveil, pendant deux heures.....Ceux qui ont visité New York un jour, retrouveront avec plaisir cette ville qui ne dort jamais.....Un film attachant, émouvant, un retour dans les années 80, ça ne se refuse guère, je conseille ce petit chef d'Oeuvre de James Gray, réalisateur de talent.....
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    272 abonnés 1 646 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 novembre 2022
    La filmographie de James Gray est probablement l’une des plus surcotées qui soient, en tout cas par la critique française. Elle n’est pas indigne (Little Odessa et The Yards étaient même très bien ; les films qui ont suivi beaucoup moins). Et le cinéaste a un talent indéniable qui se confirme dans ce nouvel opus : réalisation feutrée, bonne direction d’acteurs. Il sait aussi s’entourer. Ici, Darius Khondji à la photo fait un travail superbe ; le casting (ados et adultes) est impeccable ; et l’affiche du film, c’est un détail, est très élégante. Au demeurant, la quasi-unanimité d’éloges critiques est assez déroutante. On pourrait dire que la grande maîtrise formelle jette de la poudre aux yeux. Forme très classe (mais aussi très classique), fond platounet. Certes, tout se tient dans ce scénario intimiste, dont la teneur autobiographique et la simplicité marquent une évolution dans la carrière de l’auteur. Mais il n’y a vraiment rien d’original à souligner, ni dans le tableau d’une famille juive, ni dans le roman d’apprentissage d’un ado « à problèmes ». Le minimalisme narratif de James Gray enchaîne les poncifs sans leur donner de saveurs ou de reliefs particuliers (sauf à la fin, au moment du deuil et du vol). Le discours sur les discriminations et l’injustice est une leçon de morale d’une facilité confondante. L’évocation du passage aux années Reagan et l’annonce des années Trump reste assez anecdotique. Et le tout se déroule sur un rythme monocorde, aux effets de longueurs, et d’une manière policée qui fait que, malheureusement, rien n’imprime vraiment l’esprit.
    velocio
    velocio

    1 321 abonnés 3 153 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 novembre 2022
    Il faudra qu'un jour je revoie "Little Odessa" pour, peut-être, arriver à comprendre pourquoi j'avais aimé ce film et, pourquoi, depuis, les films de James Gray me sont tous, à part "The immigrant", plus ou moins insupportables. Dans "Armageddon time", titre emprunté à la chanson "Armagideon Time" de Willie Williams sortie en 1979 et presque immédiatement reprise par The Clash dans la version qu'on entend dans le film, James Gray se replonge peu ou prou dans sa jeunesse new-yorkaise en racontant de façon très paresseuse l'amitié entre Paul, un adolescent, rejeton d'une famille juive et de condition relativement aisée (mais beaucoup moins que ce que prétend Paul) et Johnny, un copain rencontré dans un collège public, un adolescent noir issu d'une famille très pauvre. James Gray essaye vainement de nous tenir en haleine à coup de grossiers tours de passe-passe scénaristiques et essaye également, mais de façon très maladroite et sans aucune finesse, de nous raconter ce qu'a été et ce qu'est toujours le racisme aux Etats-Unis, racisme anti-juif à une époque, anti-noir à toutes les époques. Dans une distribution qui, globalement, ne relève pas le niveau du film, seul.e.s Anthony Hopkins, dans le rôle du grand-père de Paul, et Anne Hathaway dans celui de sa mère arrivent à tirer leur épingle du jeu. A titre anecdotique; le film nous fait rencontrer le père et une des soeurs de Donald Trump, tous deux impliqués dans le fonctionnement du collège privé dans lequel les parents de Paul décident à un moment de mettre leur fils.
    pessiglione n.
    pessiglione n.

    4 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 novembre 2022
    une perte de temps indéniable, je ne pense pas etre une mega cinéphile mais tout de meme, quelles critiques dithyrambiques de la presse pour un film aussi désuet. Hopkins fatigué, 2 ado hyper mal élevés, bon un on comprend, il vit seul, mais le petit rejeton de 12ans qui vole ses parents et répond avec affront, il lui manque qq claques, et ses parents dans le film sont patients avrc lui (sauf la scène tres brutale)...bon next
    OSC4R _
    OSC4R _

    76 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 novembre 2022
    C’est beau mais c’est chiant.

    Déjà le petit là j’ai tellement envie de lui mettre des baffes, il est insupportable.

    À partir de là, c’est compliqué.

    Oui c’est bien réalisé, la photo est sympa et les acteurs jouent bien (les enfants pas trop d’ailleurs) mais ça m’ennuie profondément. Heureusement la fin relève un peu le niveau mais ça suffit pas.

    Et quand même, une fois de plus, James Gray est un maître pour faire de son film une ambiance, c’est ce qui le sauve.
    On pourra encore lui reprocher d’avoir la même ambiance pour chaque film, mais au moins c’est sincère.
    traversay1
    traversay1

    3 645 abonnés 4 878 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 novembre 2022
    D'une simplicité qui confine souvent à l'épure, Armageddon Time restera sans doute dans l’œuvre de James Gray comme le film à voir en premier pour comprendre d'où il vient et comment le futur cinéaste a acquis les valeurs qui ont influencé son existence d'homme et d'artiste. Très truffaldien, par son côté buissonnier, dans le schéma classique de la prise de conscience d'un enfant sur le monde qui l'entoure, ce film d'apprentissage, sans esbroufe et sans fioritures, qui émerveille par sa fluidité narrative, trace également un portrait éloquent d'une Amérique prête à se jeter dans les bras de Reagan (avec l'ombre de Trump déjà en surimpression) sur fond de racisme et d'antisémitisme plus que latents. Cette chronique familiale dit aussi l'importance de la transmission, d'autant plus chez ceux qui ont connu l'intolérance la plus ignoble, à travers les pogroms et la Shoah. Le plus beau, dans Armageddon Time, est sans aucun doute la compréhension instinctive et affective entre l'innocence d'un enfant et la sagesse d'un grand-père. En moins de deux heures, James Gray, dans cette autobiographie partielle, montre de manière maîtrisée et brillante, que le cinéma n'a pas besoin d'effets spéciaux ni de dramaturgie excessive pour captiver. La justesse avec laquelle il raconte l'éveil aux réalités de la vie et de la société et les sentiments qui en découlent suffisent, quand on a le talent du réalisateur, pour vouloir l'accompagner avec plaisir et admiration jusqu’aux racines de sa vocation d'enlumineur.
    El_galu31
    El_galu31

    92 abonnés 340 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 novembre 2022
    Pour faire une sieste un lundi soir devant le film au bout de 30 minutes c'est l'idéal
    mais quel ennui Il ne se passe strictement rien au moins c'est clair
    Damien Vabre
    Damien Vabre

    164 abonnés 454 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 novembre 2022
    James Gray renoue avec sa veine familiale new-yorkaise et signe son plus beau film depuis Two Lovers (2008). L’action se déroule en 1980 et raconte l’histoire de Paul (Banks Repeta) un jeune garçon doué pour le dessin, assez malheureux au sein d’une famille juive en manque d’argent, de réussite sociale et marquée par la persécution des juifs. L’enfant souffre de la pression parentale avec une mère aimante mais dépassée jouée magnifiquement par Anne Hathaway et un père parfois violent interprété avec talent par Jeremy Strong. L'ambiance dans le Queens est froide et ennuyeuse. Son plus grand réconfort est de discuter avec son grand-père tendre joué par Anthony Hopkins prodigieux comme très souvent même si ce dernier accentue son angoisse face à l’antisémitisme, les échanges entre eux sont touchants.

    Pour se rebeller face à cet environnement étriqué, Paul fasciné par un tableau de Kandinsky lors d'une visite scolaire au Guggenheim dessine beaucoup et se lie d’amitié avec Johnny (Jaylin Webb) un garçon sympathique avec lui mais agressif envers l’autorité de leur prof (Andrew Polk). Avec eux, le film prend alors des airs de 400 coups new-yorkais sur l’insouciance de l’enfance, les tentations interdites et la perte de l’innocence. Le discours critique sur la vanité du rêve américain passe également par l’élection de Ronald Reagan à la Maison Blanche et l’influence arrogante de la famille Trump à New York. Le racisme refoulé ou assumé envers les Afro-Américains est bien décrit, il imprègne toute la société américaine.

    Les qualités esthétiques du film sont renversantes, la réalisation est d’une élégance et d’une délicatesse rares, la photo automnale et nostalgique de Darius Khondji superbe et l’utilisation de la musique fine. La gestion du rythme est très habile, ni lent ni rapide, les presque deux heures du long-métrage ne souffrent d'aucune longueur. Devenu célèbre avec des polars, James Gray relance avec talent sa filmographie après quelques films assez décevants dans les années 2010, le cinéaste new-yorkais montre que son cinéma s’éclaire plus que jamais dans des histoires intimistes et sensibles. Armageddon Time est un film magnifique.
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    382 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 juillet 2022
    Ce film qui est en fait un biopic de la jeunesse du réalisateur, est bien réalisé avec une bonne interprétation d’Anne HATHAWAY et Antony HOPKINS toujours aussi impérial. Il fait penser un peu au film « BELFAST » de Kenneth BRANAGH. Le film retrace bien dans sa réalisation l’ambiance des années 80 à New York. Il souffre cependant un peu de rythme dans son déroulé.

    Bernard CORIC
    Hélène D.
    Hélène D.

    31 abonnés 85 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 novembre 2022
    Ce film est d’un ennui! C’est apparemment inspiré de sa jeunesse mais il n’y s’y passe rien. On suit deux gamins mal polis, sans respect pour rien,qui se croient plus malins que les adultes qui essayent de les maintenir dans le droit chemin. Seul le casting sauve ce film.
    kieran_h3ld
    kieran_h3ld

    31 abonnés 680 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 novembre 2022
    Un magnifique film, le plus personnelle de James Gray, le plus simple aussi dans la forme de récit, exit les milieux mafieux, le film d'aventure ou la SF, et c'est parfait. Car c'est l'un des films les plus majeurs de son cinéaste, c'est brillant, émouvant, avec cette caméra à hauteur d'enfant. Il y a plein de destiné, des relations, des personnages forts, des questionnement sociaux... Le tout magnifiquement filmé, avec une belle photo, et brillamment interprété. Bref l'un des meilleurs films de l'année, qui confirme le statut de James Gray parmi mes cinéastes favoris
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