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    Armageddon Time
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    3,7
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    287 critiques spectateurs

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    dahbou
    dahbou

    181 abonnés 2 186 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 octobre 2023
    James livre un très beau drame familial qui reste son film le plus personnel en faisait penser á un Little Odessa sans les gangsters. Peut être que les piques á Trump et á son establishment ne s’imposaient pas mais cela reste sincère et incroyablement bien joué.
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    166 abonnés 686 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 novembre 2022
    Sûrement le film le plus personnel de James Gray. Loin des gangs new-yorkais, "Armageddon Time" met en scène un adolescent d'une famille new-yorkaise dans les années 80 qui est incompris dans son envie de devenir artiste. La mise en scène est réussie, les acteurs sont bons mais l'histoire n'est pas assez prenante pour nous embarquer dans la rébellion du jeune homme. Nous comprenons les tenants et les aboutissants, peut-être parfois un peu trop téléphonés ce qui nous aide pas à nous lancer dans une recherche profonde de la psychologie du personnage. James Gray arrive quand même à nous émerveiller avec des séquences très réussies dont il a le secret mais complètement sur tout le film. Attendons le prochain.
    Fabien D
    Fabien D

    170 abonnés 1 106 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 novembre 2022
    Armageddon time est assurément un beau film magnifiquement mis en scène par James Gray qui livre un mélodrame sobre et émouvant dépourvu de pathos et parfaitement interprété notamment par un remarquable Anthony Hopkins. Les thèmes de la transmission, du racisme, de l'enfance sont traités avec sensibilité et quelques scènes du film sont à la fois très douces et très fortes. Pourtant il manque quelque chose choses Armageddon time pour être une réussite majeure de son auteur. Le scénario demeure un peu convenu, voire programmatique dans sa dernière partie qui aboutit à une conclusion certes aride mais attendue. On aurait pu espérer une analyse plus percutante d'une Amérique raciste et conservatrice mais Gray reste préfère filmer un beau roman familial. Ca reste du cinéma de qualité mais on aurait pu espérer encore plus.
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    109 abonnés 2 183 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 juin 2023
    DE LA LUNE A LA TERRE. C'était le temps de James Gray. C'était son temps qui sonne la fin? Les cartes sont rabattues. Partition lourde, appuyée et boursoufflée. Le sens des choses se dérobe sous ses pieds fragiles. Bruce Willis n'a pas aimé.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    113 abonnés 1 581 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 décembre 2022
    « Armageddon time » me fait plus penser à la fameuse chanson de « The clash » qu’à la phrase prononcée par Ronald Reagan président qui a inspiré son auteur. Mais punk, le dernier film de James Gray ne l’est pas, il est très classique, soigné et même appliqué ; propre et sans bavure. A l’instar de Paul Thomas Anderson dernièrement avec « Licorice Pizza », Gray avait en tête depuis longtemps un film auto biographique sur son adolescence dans le Queens. Il voulait montrer, au travers de son histoire dans une famille juive, le point de bascule de l’Amérique. Un acteur, très à droite, devenait Président des E.U. et allait ouvrir la voie à certains de ceux qui suivront dont l’avant dernier, Donald Trump. Et le jeune James Gray est bien placé, car dans le Queens, il vivra l’ascension des Trump de près puisqu’il intégrera l’école privée qu’ils fondèrent dans le quartier. L’illusion du rêve américain et le racisme systématique de son pays est bien retranscrit au travers de cette histoire familiale et des choix effectués cette dernière pour assurer le meilleur avenir aux enfants dont James. Et cette thématique fait écho à ce que l’on vit chez actuellement en France avec une éducation à deux niveaux et des populations se côtoyant de moins en moins à l’école. Macron disant « Je n’oublie pas d’où je viens », alors qu’il a fait toute sa scolarité dans des établissements privés sélects ; on est proche des thématiques abordées par le film. Tout ce message sur la tolérance et le progrès social infuse tout au long du film et se termine par un moment émouvant ; le moment où le jeune James Gray perd définitivement tout innocence. Entre le constat amère d’une société hypocrite et la perte de son grand père, être cher à son cœur, cette fin est pleine de sens et touchante.
    Cependant dans sa première partie, on se concentre beaucoup sur les histoires de famille. On est en territoire connu, balisé ; le propos est lisse et n’offre guère d’intérêt. On aurait aimé alors comprendre la vocation pour le domaine artistique de James Gray, mais ce thème ne reste que très superficiel et un prétexte à dépeindre le cadre familial du jeune James.
    C’est vraiment lorsque les thématiques deviennent plus universelles que le film prend son envol et prend tout son poids. Très personnel, mais bien loin d’être le James Gray le plus accompli.
    TOUT-UN-CINEMA.BLOGSPOT.COM
    mazou31
    mazou31

    82 abonnés 1 264 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 mars 2024
    Encore un grand film de James Gray, sûrement son plus personnel mais aussi le plus abouti. De ses souvenirs d’enfance, il extrait un drame intimiste, un éclairage lucide des tares systémiques américaines, dont un racisme incrusté, et une émouvante exploration du passage de l’adolescence à la vie adulte. Tout cela est brillant, simple et puissant, parfois bouleversant dans son réalisme sans esbrouffe, et servi par de magnifiques acteurs. Les deux adolescents sont impressionnants de présence et de justesse, Hopkins confirme son statut de géant du cinéma et les autres sont grandioses, petits rôles inclus. On peut aussi admirer la photographie, chaque décor étant un tableau. Un très beau film qui aurait eu sa place à Cannes comme son lointain parent, Les Quatre cents coups de Truffaut.
    Claude DL
    Claude DL

    78 abonnés 1 599 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 novembre 2023
    Film autobiographique de James Gray. De ce fait on adhère moyennement à cette histoire familiale, même si le talent du réalisateur est toujours présent. J’ai bien aimé ces piques sur le racisme aux USA qui, malheureusement, ne s’éteindra pas de sitôt.
    brunocinoche
    brunocinoche

    69 abonnés 1 076 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 mars 2023
    il y a bien longtemps que je n'avais attribué 5 étoiles, mais quelle intelligence , quelle émotion, quelle justesse de ton se dégagent de ce film. ce dernier film de James gray peut paraître, à tort , différent de ses œuvres passées. on y retrouve pourtant le poids de la tradition et de la famille. la mise en scène certes classique ne peut faire oublier un scénario remarquable et une interprétation prestigieuse, aussi bien des enfants que des acteurs peu connus et que des stars Hollywoodiennes au top de leur forme.
    Citrouilleman
    Citrouilleman

    61 abonnés 586 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 novembre 2022
    Un film lent, dépouillé,.brillamment interprété et très bien réalisé. Du cinéma à l'ancienne. Un film à voir.
    Starwealther
    Starwealther

    50 abonnés 1 161 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 décembre 2023
    James Gray décide de réaliser un film personnel sur sa jeunesse dans le Queens des années 80. L'ambiance est teintée de racisme et de l'élection effrayante de Ronald Reagan. Paul Graff (double de jeunesse de James Gray), élève turbulent, fuit la visite du musée Guggenheim préférant se balader dans les rues New Yorkaise avec son ami noir et découvrir la musique de Sugarhill Gang. Mais il préfère aussi privilégier les moments avec son compatissant grand père (Anthony Hopkins) plutôt que de réviser ses cours. Armageddon time est un joli film sans grande ambition mais intéressant pour connaître l'enfance du réalisateur.
    ATON2512
    ATON2512

    53 abonnés 1 109 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 novembre 2022
    De James Gray (2022).
    Un grand et beau film non sur l'insoussiance, mais sur ll'aprentissage de la vie avec sa prise de conscience douloureuse de la réalité de ce qu'est le monde . L'enfance si bien filmée avec justesse, finesse et même nostalgie où normalement l'insoussiance rime avec l'éveil à la vie . Et pourtant, en pleine découverte du monde qu'il entoure , l'enfant va découvrir d'autres réalités celles des adultes et d'un monde que l'enfant ne perçoit à peine et ne comprends pas. Un film sur l'apprentissage de la vie réelle. Comme l'envers d'un décor paisible et bucolique. Avec force, calme et justesse, James Gray filme les premiers émois, la camaraderie et les jeux d'enfants avec une certaine nostalgie voire mélancolie. Jusqu'à la conclusion implacable de l'injustice et du racisme qui hantent le monde dans lequel l'enfant demain deviendra adulte. La grandeur et la force du film est subrepticement de passer à l'insouciance à l'ageadulte avec tout ce que cela implique. On le voit , on le perçoit dan le regard de l'enfant ! Un film admirable d'une grande force .
    Très bien interprété par notamment Anne Hathaway, Jeremy Strong, et le jeune et prometteur Banks Repeta.
    Nicolas S
    Nicolas S

    40 abonnés 515 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juillet 2023
    Alors que son titre semble promettre une apocalypse d'ampleur, Armageddon Time déjoue les attentes en racontant en fait un drame intime, celui du jeune Paul Graff, 11 ans, alter ego du cinéaste dont le monde s'effondre en effet. Grâce à son amitié avec Johnny, jeune garçon noir d'un quartier pauvre voisin, et grâce à son grand-père, un enseignant à la retraite qu'il vénère, Paul prend en effet conscience du racisme qui gangrène la société américaine et de son privilège de jeune garçon blanc - privilège toutefois à nuancer du fait de ses origines juives - dont il va apprendre malgré lui à profiter. Le tout est peut-être amené de façon un peu trop évidente et didactique, mais les personnages sont suffisamment attachants pour que cela fasse mouche. L'émotion est en effet au rendez-vous. Cependant, la réussite de Gray, c'est surtout de réussir à tisser, à partir de sa destinée individuelle, une histoire collective des États-Unis qui trouve les origines du Trumpisme et du courant réactionnaire à l'œuvre dans la société américaine dans le néo-conservatisme de Reagan. La thèse n'est peut-être pas entièrement recevable, mais elle a le mérite d'être bien exposée.
    Pierre C
    Pierre C

    38 abonnés 199 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 janvier 2023
    Loin des films d’aventures et du milieu de la mafia, le nouveau James Gray retourne à ses origines new-yorkaise en signant un film intimiste racontant une partie de sa jeunesse. Pour le réalisateur c’est surement l’un de ses films les plus abouti tant il se révèle personnel et nous permet de comprendre d’où vient l’inspiration future du réalisateur.
    Mais malheureusement je suis quand même déçu par le film car celui-ci est loin d’être emballant, il possède néanmoins une ambiance qui tient en haleine mais semble avoir du mal à aller au bout de ses idées, malgré un casting 5 étoiles, Anne Hataway et Anthony Hopkins sont (encore une fois) au top, avec des prestations exceptionnelles. On regrette que celle de Jessica Chastain ne soit pas plus approfondi.
    gooneur
    gooneur

    42 abonnés 840 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 décembre 2022
    C'est plutôt joliment réalisé avec une photo assez classieuse, mais le propos est par ailleurs franchement lisse et banal. Un Gray mineur.
    Benevaaucine
    Benevaaucine

    23 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 février 2023
    ames Gray nous livre ici un film intimiste où il relate son enfance dans les années 80, à New York.

    La mise en scène est épurée, presque sombre. En fait, James Gray explique qu’il a volontairement éloigné ses acteurs de la lumière principale pour retrouver l’ambiance de ces années 80 dans le Queens. Autre fait intéressant, le réalisateur s’est attaché à reproduire à l’identique les lieux de son enfance, notamment sa chambre, où prône un poster de Mohamed Ali.

    Ce film, très personnel donc, est l’histoire d’une amitié entre un jeune garçon, Paul, issue d’une famille aisée d'ouvriers et d’un jeune garçon noir, Johny, sans foyer véritable avec qui ils font les quatre cent coups, jusqu’à ce que les parents de Paul décident de le changer d’école pour lui offrir un cadre plus propice à l’ascension sociale.
    Porté par des acteurs excellents, avec la musique de The Clash en fil rouge, le film nous montre l’incompréhension de l’enfance face aux décisions des adultes et à un racisme ambiant. Sans aucun manichéisme, et c’est là une des marques du génie de James Gray, il nous montre également la difficulté de trouver sa place pour cet enfant qui a la tête dans les étoiles, qui rêve de devenir un artiste et qui est tiraillé entre ses désirs, ceux de ses parents qui souhaitent un parcours beaucoup plus conventionnel pour leur fils afin qu’il obtienne une place légitime dans la société américaine (place qu’ils ont eux-mêmes si difficilement acquis), le discours d’un grand père qu’il admire éperdument, un ami rejeté, une école qui pousse à l’excellence des élèves triés sur le volet…
    Tout cela nous est raconté du point de vue de l’enfance, avec cette émotion particulière où le drame laisse rapidement la place aux jeux et à l’imagination, où cette insouciance et cette innocence touchent en plein cœur.

    Mon Instagram : @benevaaucine
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