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    Shadow in the Cloud
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    134 critiques spectateurs

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    Cinévore24
    Cinévore24

    342 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 janvier 2021
    Mais que c'est lourd, dans le fond comme dans la forme.

    Et pourtant, le film possédait un certain potentiel dans ses premières minutes, rappelant un peu l'épisode "La Mascotte" (réalisé par Spielberg) de la série "Histoires Fantastiques".
    La déception n'en est que plus grande. Une série B du pauvre, discours féministe (écrit au tractopelle) inclus.
    Louise D.
    Louise D.

    4 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 mai 2021
    Terminette danse sur les ailes d'un avion lancé à mach 1, trébuche, se retient à un bras, et de l'autre rattrape un bébé au vol, puis casse la figure d'un prédator en close combat. Heureusement que nous sommes là, nous les femmes :)
    Cette drôle d'époque crypto-féministe nous désert, à un point, mais à un point... C'est navrant. On attend la fin de cette triste époque comme l'alcoolo attend la fin de sa gùeule de bois.
    RedArrow
    RedArrow

    1 663 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 janvier 2021
    Popularisée par Roald Dahl, divers cartoons et, bien sûr, le célèbre épisode "Nightmare at 20,000 Feet" de "La Quatrième Dimension", la légende du Gremlin, une petite créature vicieuse sabotant les mécanismes construits par l'Homme, notamment les avions des soldats durant la guerre, avait bizarrement échappé jusqu'ici à un retour sur le devant de la scène cinématographique (on peut néanmoins imaginer que l'idée de se frotter aux films cultes de Joe Dante utilisant le nom du monstre à d'autres fins a dû refroidir bien des ardeurs). C'est désormais chose réparée -ou sabotée du point de vue du Gremlin, huhu- avec ce "Shadow in the Cloud" bien décidé à revenir à la source du mythe !

    Pendant la Seconde Guerre Mondiale, Maude Garrett, une jeune femme pilote investie d'une mission de la plus haute importance, embarque dans un avion dont l'équipage est composé exclusivement de soldats hommes. Contrainte de voyager dans la tourelle à mitrailleuse de l'appareil, elle subit inlassablement les remarques misogynes de ses compagnons quand, soudain, elle remarque la présence d'une étrange créature cherchant à détruire l'avion...

    Un environnement exclusivement masculin dans une carcasse phallique où est apposée une gigantesque pin-up, un déchaînement de testotérone insupportable où les propos dégradants font aussi mal que les tirs ennemis... Le voyage de la pauvre Maude n'est pas de tout repos dans ce microcosme qui transformerait toute féministe bien portante en Super Saiyan (niveau 3 au moins). Alors, oui, en s'inscrivant une fois de plus dans la mouvance post-#MeToo, "Shadow in the Cloud" n'y va pas avec le dos de la cuillère dans la caricature machiste afin de la dénoncer (seuls les hommes ayant un physique de jeune premier ou une couleur de peau autre que blanche seront -vaguement- épargnés) mais le fait de la fondre dans un contexte militaire viril et, surtout, dans une proposition fantastique rétro sortant pour une fois des sentiers battus, réussit à lui donner une raison d'être un peu plus pertinente au-delà de la gratuité habituelle de ce type de discours au sein de films de genre récents.
    En ce sens, dans la première moitié du film, le parti pris de se fixer uniquement sur Maude, isolée mais prise au piège d'un flot continu de paroles humiliantes de la part des soldats, devient ici une démonstration très bien pensée d'un concentré de violence verbale masculine auquel une femme peut être confrontée au cours de sa vie. La force de caractère de Maude pour résister et tenir tête à ses assauts de machisme installe d'emblée une héroïne déterminée et attachante, à laquelle une Chloë Grace Moretz en grande forme et le choix d'une mise en scène maîtrisée en vase clos rendent incroyablement bien justice.
    Et, enfin, il y a le Gremlin, incarnation à l'écran de cette part monstrueuse des hommes qui les conduit sans le savoir à leur propre perte. La menace croissante de la violence cette fois bien physique des apparitions de la créature complète le tableau d'une relecture de la légende qui s'inscrit parfaitement dans la logique de propos du film (non, ce n'est pas un hasard si Maude maltraite souvent le bout de sa queue frétillante !).
    Bref, à mi-parcours, "Shadow in the Cloud" remplit plus qu'honnêtement son contrat et laisse augurer du meilleur pour la suite !

    Malheureusement, le long-métrage de Roseanne Liang (coécrit avec Max Landis) va se crasher en plein vol à cause de ses excès. D'une part, il y a ce twist sur le background de Maude, justifiant et creusant encore plus sa combativité mais qui, par le même biais, la réduit finalement à des enjeux extrêmement réducteurs -voire primaires- pour un personnage féminin. Tout ce que l'on avait enduré avec elle nous avait fait miroiter un personnage bien plus complexe et indépendant et le voici résumé en un clin d'oeil à des motivations certes touchantes mais terriblement basiques.
    D'autre part, quand "Shadow in the Cloud" passe à la vitesse supérieure côté action pour accompagner le danger autour de Maude et de son objectif, il devient dur de ne pas être effaré devant le grotesque de certaines péripéties qui semblent éluder une bonne partie des lois de la physique. Précisons que l'on n'a absolument rien contre quelques effets cartoonesques prêtant à sourire mais un film intelligent aurait justement utilisé la rigueur de cet environnement aérien pour les provoquer plutôt que de choisir de s'en soustraire à maintes reprises. Le résultat débouche peut-être bien sur quelques séquences amusantes grâce au pep's des tonalités 80's que Roseanne Liang cherche à insuffler derrière la caméra mais, à partir du moment, où l'on fait abstraction des dangers les plus élémentaires, il devient dur de se sentir concerné par la menace représenté par ceux plus extraordinaires, comme ce Gremlin réduit désormais à sa plus simple teneur d'adversaire monstrueux.

    Le combat final tentant de rendre ses lettres d'or à la badassitude du personnage de Chloë Grace Moretz sera tout de même à saluer mais il ressemblera surtout à l'effort désespéré d'un divertissement qui n'aura pas su être à la hauteur de ses intentions. À croire qu'un Gremlin est vraiment venu saboter ce "Shadow in the Cloud" en cours de route, il aurait pu être tellement plus...
    eldarkstone
    eldarkstone

    217 abonnés 2 073 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 avril 2021
    Une seule chose à dire : BIDON ! Un faux film de guerre en avion, teinté de Science-fiction ridicule, le tout avec des scènes a peine abusées ... vraiment pas top, je m'attendais à mieux.
    Michael R
    Michael R

    103 abonnés 1 255 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 février 2021
    Le film lorgne vers la 4eme Dimension, joue sur la claustrophobie, la peur du vide, le film de guerre, le film de monstres et bien plus. Certes, les mecs sont des cons mais sont sauvés par une Chloe Grace Moretz badass en diable. Sans compter une réalisation nerveuse, des FX soignés, une bande son façon Stranger Things et un soupçon de fun, voilà une petite série B fort recommandable.
    Seb L
    Seb L

    12 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 avril 2021
    Nul de chez nul, incohérent, déformation historique, multiples scènes d'action irréalistes, saupoudré de féminisme 2.0.
    C'est bien plus un navet qu'un nanar, car il n'est même pas drôle...
    FaRem
    FaRem

    8 623 abonnés 9 519 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 janvier 2021
    Une femme embarque dans un avion militaire avec un mystérieux colis dont la contenance est classée confidentielle. Alors que les hommes se montrent rapidement lourds à son encontre, cela va rapidement devenir le dernier des soucis de Maud lorsque l'avion est attaqué par les Japonais et par quelque chose d'encore plus surprenant pour l'époque. "Shadow in the Cloud" est un film d'action surnaturel au message notamment féministe. L'action se déroule principalement dans les airs et en huis clos, donc les événements s'enchainent vite, ce qui fait que l'on ne s'ennuie pas. De toute manière, comment s'ennuyer avec tout ce que propose la réalisatrice... Elle arrive toujours à surprendre avec des révélations ou des surprises farfelues. Ne vous attendez pas à voir un film de guerre classique, ce n'est absolument pas un film qui cherche à être réaliste. Il ne cherche pas non plus à être drôle, je ne crois pas du moins. C'est juste un film complètement débridé où absolument tout peut arriver. Et c'est ce qui le rend divertissant puisque l'on ne sait jamais à quoi s'attendre. Un rythme soutenu, des scènes d'action rocambolesques et une bande-son efficace font de ce film un divertissement sympathique à condition que l'on ne le prenne pas au sérieux.
    Melchior62
    Melchior62

    1 abonné 17 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 février 2021
    On pense regarder une bonne série B mélange de guerre et de fantastique et on se retrouve avec un pamphlet féministe aussi délicat qu'un bulldozer. Les mecs sont une caricature de beauf poussée tellement loin que ça en devient ridicule. Ensuite viennent des péripéties tellement abracadabrantes que l'on décroche complètement du film.

    Ok ça va on a compris : les mecs sont tous des gros cons et seule une femme peut les sauver et venir à bout d'une créature infernale. C'est dommage car traité avec talent (chose que la réalisatrice ne possède absolument pas) ça aurait pu donner une belle histoire.

    Si c'est à cela qu'il faut s'attendre pour les prochaines sorties ciné, ça fait peur.
    lucky_luke95
    lucky_luke95

    11 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 avril 2021
    J'adore la bande son qui sonne année 80. De l'action, un huit clos et du suspense. Une bonne surprise. A regarder sans se prendre la tête
    axeu
    axeu

    21 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 janvier 2021
    Difficile d'évaluer ce film, je ne savais pas si je devais rire ou pleurer.
    Commence par un huis clos sur les 3/4 du film, assez long et lourd ( spoiler: l'équipage lourdingue qu'on entend exclusivement dans la radio pendant 45min
    ), puis un dernier 1/4 qui vire au gros WTF, on ne sait pas si on est dans le 1er ou le 2nd degré, on est entre 2 et ça fait Plouf.
    Aucune émotion, aucun attachement aux personnages, la fameuse "ombre", spoiler: le monstre
    , paraît au 1er abord angoissante mais n'est finalement pas très utile au scénario et prête à rire.
    La musique est aussi assez mal utilisée, j'ai eu du mal à venir à bout de ces 1h20.
    Spider cineman
    Spider cineman

    152 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 avril 2021
    Original... même si on finit par comprendre la menace et que les combats dans l avion semblent sans fin ... pourquoi pas ? Original également dans sa fin, ça distrait et c est déjà bien. Bonne surprise
    Naughty Doc
    Naughty Doc

    909 abonnés 432 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 janvier 2021
    Shadow in the Cloud démarre bien, et est intéressant dans ses 20 premières minutes

    Sur un scénario de Max Landis (Chronicle, Bright), on est évidemment dans un mélange des genres qui fait très plaisir : en pleine WW2, une femme est à bord d'un avion entièrement constitué d'hommes. Bientôt une attaque aérienne japonaise viendra mettre le dawa, en plus d'une entité maléfique surnaturelle.


    Bref,l'ambiance se pose,on est sur du mini-budget mais la réalisation se veut carrée, mettant en scène la trop rare Chloe Moretz (depuis Kick-Ass et Hugo) en femme badass et déterminée (mais aussi faillible). En plus, d'entrée de jeu le mystère infuse via cette boîte qu'elle transporte, sa mission inconnue du spectateur et des autres membres de l'avion (qui il faut le dire, sont tous des gros beaufs à peu de choses près).


    Bref un canevas qui sent bon l'exploitation 80's, surtout que la toute première partie en huis-clos renvoie au superbe Cauchemar à 20 000 pieds de Twilight Zone, avec cette forme simiesque dont la silhouette menaçante se détache à l'extérieur de la carlingue.


    Puis patatra


    on verse vers le Z fauché, aux situations et réactions des persos toutes plus improbables les unes que les autres. Passée le teasing de la créature, on se retrouve face à un babouin Cloverfieldesque aux CGI douteux et au design ultra lambda. Le film n'arrive pas vraiment à maitriser ses variations de ton, la réalisation se veut moins maitrisée quand on veut aller vers le spectaculaire, et in fine les 2 versants du film (réalistico-fantastique) s'avèrent déceptifs.


    Heureusement le film est rythmé tout au long de ses 1h20, Chloe Moretz est bien dans son rôle, et quelques petites idées nous réveille.


    Pas de quoi sauter au plafond, et je conseille largement le film Overlord sorti en 2018 qui lui assurait bien dans le même genre !


    bref, c'est pô terrible terrible tout ça
    Jonathan P
    Jonathan P

    67 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mai 2021
    Prendre son pied durant un vol c'est possible, la preuve avec Shadow in the Cloud. Premier film de Roseanne Liang, avec une Chloë Grace Moretz badass. Efficace, drôle et court un vrai petit kiff baby.
    Cinememories
    Cinememories

    481 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 avril 2021
    Un sujet d’origine souvent esquivé à l’assaut dans une œuvre qui ne boude pas son caractère fun et décomplexé. Roseanne Liang conduit un bombardier B-17 de la Seconde Guerre mondiale vers le zénith de sa tourmente. Et quand bien même il serait difficile d’estimer ce qu’il reste du scénariste Max Landis, écarté du projet, ce sera essentiellement son enveloppe qui sera à l’étude. C’est un aller simple vers une destination inconnue, mais pas sans un plan de vol élaboré. Le Gremlin est à l’honneur des légendes aéronautiques, mais il est rare d’en savourer ses vertus, dès lors qu’un Joe Dante en a invité plus d’un à participer à l’esprit de Noël. La créature qui a auparavant séduit les Looney Toons et qui a fait un bout de chemin dans Métal Hurlant, aussi bien dans les comics que dans le film d’animation, tout en inspirant d’autres cinéaste comme Luc Besson, manque d’être caractérisée au premier degré, lui laissant ainsi du répit avant de se retrouver dans un film de monstre dont il sera la vedette. Ce ne sera pas aujourd’hui qu’il gagnera la lumière du jour, ou du moins pas assez longtemps pour entrer dans le panthéon des menaces isolées dans un huis-clos.

    La réalisatrice Néo-zélandaise a fait le choix de comprimer son récit dans une tourelle boule, qui ne protégera pas pour autant son héroïne des archétypes sexistes, qui tire à balle réelle sans le savoir. Et c’est bien là qu’elle toute la noblesse d’un projet qui assume à fond son délire et sa forme hybride. La réalisatrice ne souhaite pas camper sur un cap linéaire et aux côtés de sa comédienne Chloë Grace Moretz, elle réussit à révéler au mieux le monstre qui en cachait un autre. C’est essentiellement sur ce genre de métamorphose dans la structure narrative qui atteindra la sensibilité d’un spectateur, que l’on isole dans le huis-clos, techniquement juste et qui expose bien des mœurs d’aujourd’hui comme d’hier. Maude Garrett est ainsi embarquée dans une mission qui regarde tout un groupe, où plusieurs degrés de misogynie s’affichent à bord. Mais ce sera sa crédibilité, en tant qu’aviatrice et femme hystérique, qui posera tout l’enjeu d’une première partie diaboliquement rigoureuse, avant de laisser la musique électro reprendre ses droits.

    La paranoïa suit son court depuis l’œil ventral de l’appareil et de l’autre côté de la radio d’équipage. Et quand bien même le contenu de sa cargaison peut nous laisser sur le côté, son aspect série B ou série Z ne doit pas être davantage rabaissé. Il existe une générosité évidente dans l’approche rétro et souvent kitch d’un deuxième acte qui se défait brusquement de son atmosphère anxiogène, sans concessions. Le plaisir est d’autant plus régressif qu’il est jouissif, dès lors où les mythes et la réalité se confondent. Des chasseurs japonais à l’affût, un parasite dans les tuyaux et une fable bourrine de la féminité contemporaine, sont des facteurs à apprécier pour le décalage qu’on nous propose, sous peine d’être radicalement éjectés de l’aventure en plein vol. Oui, les défauts se superposent allègrement, mais le point de vue de la narratrice fascine. Est-ce grâce à l’audace ou à cette période qui nous aura trop longtemps laissé confiner dans un cockpit de solitude ? L’épique se fait tout de même rare et râle parfois au sujet d’une cohérence qu’il atteint dans la douleur. Ici, pas besoin de s’en soucier et c’est la tête dans les loopings que l’on se surprend d’avoir finalement accepté cette excursion.

    Le retour du cauchemar à 20 000 pieds de « La Quatrième Dimension » fleurit pour une expérience rock’n’roll et « Shadow In The Cloud » promet tout le divertissement nécessaire pour justifier sa fougue. À aucun moment, il ne ressent le besoin de réclamer une médaille à l’arrivée, car il a déjà tout gagné en se plaçant à mi-parcours d’une Ellen Ripley revancharde et un Schwarzenegger qui castagne son Predator. Liang connaît également ses limites, que l’on peut lire distinctement dans les motivations d’une Maude, qui supplante la suprématie masculine par la sienne. Ce point noir en fait la déroute du personnage irréaliste, mais à regarder la scène d’ouverture cartoonesque, on ne pouvait que basculer dans un too much, vulgairement bien rythmé.
    Pirogue
    Pirogue

    4 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 avril 2021
    Je suis surpris du rejet de ce film (enfin, pas par tous, et surtout pas partout ... )
    À croire que le formatage du produit cinéma a fait bien des victimes, et que les sorties de route bienfaitrices telles que ce film font grincer beaucoup de dents (mal) refaites.
    J'ai pris mon pied à la vision de ce film, un plaisir pas coupable du tout.
    Fun et jusqu'au-boutiste.
    Bien construit, bien mené, parfois complètement barré ( spoiler: comme le retour miraculeux de l'héroïne dans l'avion après sa chute
    ).
    Les lois de la physique sont peut-être chamboulées, mais comme la réalisatrice, je m'en fous.
    Oui, c'est un bon film qui offre sans échouer ce qu'il propose.
    Les meilleurs films de tous les temps
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