Cet un film sur transsexuelle mais peut-être pas un film LGBT. Pour Lara, Lukas construit une ambiance animée et tolérante: les soutiens de sa famille et ses amis, les compréhensions des camarades, l’aide de professeur, et le soigne de docteur. En minimalisant consciemment le conflit social et focalisant bien sur personnage, le film concentre au parcours physique et psychique de Lara. Evidemment, c’est elle même qui elle lutte avec, c’est un débat intérieur. C’est pourquoi, au début du film, même si tous marche bien pour Lara, le rideau de sa chambre est jamais ouvert. Une autre représentation est le miroir. Lara a vis-à-vis de son corps sur les miroirs lesquels on peut voir dans le class ballet, dans le métro ( verre de fenêtre ), dans la toilette surtout dans sa chambre. Sur les réflexions, les spectacles plutôt Lara elle même peuvent observer ses changements. Parmi tous les réflexions, Lara est en cours de se chercher. La poursuite de l’harmonie des trois instances elle accompagne tout au long du film.
En fait, le sujet, comment gérer le relation entre la projection de ma nature et le souhait d’accepter par la société, n’est pas juste pour les adolescences ou les transsexuelles, mais tous le monde le connaissent bien. En ce car, nous somme empathique profondément à Lara.
On sait, cette histoire est inspiré d’un actualité en 2009, quelle belle coïncidence réelle! Une adolescence qui veut faire la réassignation sexuelle est tombée amoureux avec le ballet. En effet, la danse spécialement le ballet, est un art concerne essentiellement le domination de corps. En plus, le ballet est tout à propos de l’équilibre. Les deux ambitions de Lara se superposent à la point de contrôler son corps. Donc le cheminement physiologique incarner élégamment par son figure de ballet. Lesquels m’a impressionné bien c’est les travelling long avec caméra apporté dans le class. Le caméra est très proche de Lara si bien que on peut regarder clairement son essoufflement, sa crampe du visage, son frisson…… on sent le douleur plutôt que la beauté. Progressivement, Lara perd l’équilibre de ballet, de son corps, et aussi de son esprit.
Au fil d’intrigue, avec la diminution de la lumière naturelle et claire, Lara présente plus dans des intérieurs sombres et étroits. L’ambiance du film se transforme subitement, juste à le plan-séquence de l’automutilation. Tous les spectacles sont bien choqués.