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    Le Daim
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    Stéphane A.
    Stéphane A.

    9 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juin 2019
    Un nouvel OFNI de la part de Quentin Dupieux et un nouveau rôle de déjanté pour Jean Dujardin après I feel good !
    75001tine
    75001tine

    12 abonnés 51 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 juin 2019
    Nullissime ! Jean Dujardin est de plus en plus mauvais dans le choix de ses films, depuis son Oscar.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 7 février 2020
    Quentin Dupieux, cinéaste qui n’a jusqu’ici peu fait parler de lui, était présent lors de la dernière Quinzaine des réalisateurs à Cannes, avec son dernier film, « le Daim ». A l’issue de la projection, on reste interloqué devant cette farce qui tourne au macabre, et surtout sur l’objectif de réalisateur.

    On entend la chanson de Joe Dassin en ouverture, « Et si tu n’existais pas… », on serait tenter d’ajouter, « il faudrait t’inventer ». C’est à peu près ce à quoi on pense, avec le personnage interprété par Jean Dujardin, celui de Georges, type paumé qui vient de se faire larguer par sa compagne, carte bleue bloquée, et sans avenir ?. Alors, il s’en fabrique un.

    Après avoir acheté une veste en daim fort chère, un peu courte pour lui, à un vieil homme qui lui refile en plus une caméra numérique, il s’installe à l’hôtel et dialogue avec sa veste, cette dernière lui donnant l’idée d’être le seul être humain sur cette terre à porter un blouson. Après en avoir subtilisé quelques uns aux jeunes du coin en échange de quelques billets de banque, il adopte une méthode bien plus expéditive.

    En cela, il se fait aider par une serveuse (Adèle Haenel) trouvée dans le bar du village, laquelle aussi paumée que lui, fait mine de croire à ses extravagances. D’ailleurs, tous les personnages de ce film ont l’air de vivre dans un monde parallèle : de l’employé de l’hôtel au jeune qui observe Georges de loin, en passant par le vendeur du blouson en daim ou de l’autre pensionnaire de l’hôtel.

    Alors, où veut donc en venir Quentin Dupieux ? Farce macabre ai-je dit, mais encore ? Parodie d’un monde qui part en vrille, réflexion loufoque sur la solitude, soutien à la cause animaliste, l’homme apparaissant tel un animal assoiffé de sang ? il y a sans doute un peu de tout cela. Mais en 77 minutes, la chose est envoyée. Honnêtement, on peut s’en passer !
    Aucun commentaire:
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 26 juin 2019
    Des le début , ça sent pas bon : de longues minutes à voir Jean Dujardin conduire, sortir de voiture, rentrer à nouveau, conduire. On s'ennuie. À part quelques fugaces moments vaguement drôles ou surprenants, on s'ennuie.
    Reverdy
    Reverdy

    20 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 juin 2019
    Film improbable, j'ai beaucoup ri. Les acteurs sont excellents, et Dupieux montre que c'est un grand réalisateur.
    Alice025
    Alice025

    1 661 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 juin 2019
    J'ai trouvé le nouveau film de Quentin Dupieux un peu décevant par rapport à ses précédents... Le pitch de base était pourtant attrayant et loufoque comme toutes ces histoires : un mec devient obsédé par un blouson en daim et va peu à peu faire n'importe quoi, accompagné d'une serveuse passionnée de montage vidéo. Il y a bien sûr quelques scènes assez drôles et décalées comme on les aime, mais globalement la mayonnaise ne monte pas.
    Jean Dujardin et Adèle Haenel ne forment pas vraiment un duo qui fonctionne bien, il y a un manque de connexion. De plus, je ne saurais pas vraiment trouver les mots mais il me manque quelque chose qui me plaisait dans ces autres films : pas assez barré peut être ou pas assez abouti à mon goût ? Je ne sais pas mais il ne m'a pas fait autant « voyager » que les autres.

    Http://cinephile-critique,over-blog,com
    Nico H.
    Nico H.

    16 abonnés 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juin 2019
    Le film le moins surréaliste de l'auteur, et du coup le plus derangeant, Dupieux ayant finalement du mal à convaincre avec cet humour noir moins ambivalent que d'habitude. En effet, même si son postulat de départ semble être du grand n'importe quoi à priori, on reste au final dans quelque chose de crédible, façon burn out/petage de plomb, bien loin des encartades habituelles. Original du coup, mais moins dégenté que d'habitude.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 26 juin 2019
    Hilarant et fainéant, le nouveau film de Dupieux est une sorte de possession textile dont on ne saurait tout à fait déterminer ce qui relève de la roublardise cynique ou du génie comique Le résultat est mineur, aux qualités insaisissables et aux défauts résiduels.
    AZZZO
    AZZZO

    301 abonnés 810 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juin 2019
    Quentin Dupieux n'est pas un réalisateur mainstream. C'est son identité d'artiste et c'est ainsi qu'on l'aime. En filmant l'histoire d'une veste en daim, il revient à ses premières amours et filme ce que personne ne filme. Ce n'est certes pas l'oeuvre de la décennie mais le spectateur averti peut prendre un vrai plaisir à suivre la folie de Jean Dujardin et la singulière mise-en-abîme. Quentin Dupieux s'amuse et nous aussi. Un moment décalé, comme on aime.
    Les choix de pauline
    Les choix de pauline

    131 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juin 2019
    Très réussi!
    De l’absurde abouti car assumé . Un film décalé et drôle ( même si ce n’est pas une comédie bout- en-train).
    Jean Dujardin est excellent car il ne sur-joue pas et reste totalement premier degré; et c’est en cela qu’il nous déconcerte , nous inquiète et nous fait rire. Adèle haenel est parfaite aussi.
    Quentin DUPIEUX excelle dans ce genre, c’est jouissif.
    A voir quand on aime les films différents.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 327 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 juillet 2019
    Et bim ! Je viens de me ramasser un nouveau film de Quentin Dupieux dans la face et voilà maintenant qu’arrive ce moment fatidique où je dois m’efforcer de poser des mots dessus. C’est jamais évident ce genre d’exercice et ça peut très vite basculer dans une forme de pathétisme, la vidéo de Durendal à ce sujet en étant une très belle illustration. Parce qu’en effet, il est quand même un peu frappé l’ami Dupieux et c’est vraiment chose difficile que d’avoir à commenter son travail. Certes, avec le temps – et parce qu’il commence à enchaîner les films – on finit par voir chez lui quelques schémas se dégager. Seulement voilà; c’est aussi parce qu'il a cette capacité à rompre avec les schémas – y compris les siens – que Quentin Dupieux parvient toujours plus ou moins à me séduire. En tout cas, pour ce « Daim », il parait assez évident que l’ami Quentin est davantage revenu à l'esprit de ses épisodes « américains ». Alors que le retour en France qu’incarnait « Au poste » avait fait dévier son cinéma vers un vaudeville plus maniéré et convenu, on sent ici qu’avec le « Daim » il entend clairement revenir aux origines. On retrouve ainsi davantage cet humour de l’image sans le verbe, ce comique construit sur le décalage. On renoue aussi avec ce jeu sur les codes du cinéma de genre et même avec cette photographie laiteuse qui faisait l’identité de ses productions californiennes. Du coup, forcément, avec ce « Daim » reviennent les problématiques des « Rubber » et autres « Wrong ». Et le problème de ces films, pour moi, ça pouvait se résumer en une question : « jusqu’où le délire peut-il tenir ? » Parce qu’aussi absurde se veut-il être, un film reste avant tout un cheminement. Et même s’il y a un vrai plaisir à voir un auteur jouer avec les codes du cinéma comme le ferait un sale gosse, le risque est de très vite tourner en rond et de lasser le spectateur (ce qui était pour moi le gros problème de « Rubber » et, en partie mais en moindre mesure, de « Wrong »). Mais dans le cas de ce « Daim », on sent quand même que Dupieux continue de mûrir son art (à moins que ce ne soit moi qui en ai mûri la vision), puisqu’ici, au-delà des contre-pieds et ruptures avec lesquels il s’amuse, le réalisateur trublion arrive à poser un fil conducteur auquel le spectateur peut se raccrocher. Pour ceux qui ont vu ce « Daim », je parle ici notamment de spoiler: la « deerification » de Georges : véritable métamorphose vestimentaire qui suit en fait la métamorphose du personnage et du film. On sait qu’une fois la mutation pleinement accomplie, on sera à un paroxysme filmique. Et c’est tout bête mais pour moi c’est le genre d’artifice dont j’ai besoin pour me mettre en phase avec la dynamique d’une œuvre. Ça me fait plaisir que l’ami Quentin se permette ce genre de concession afin d’offrir au spectateur une voie d’accès. De mon point de vue ça ne retire rien à son exigence, mais ça le fait sortir d’une volonté d’obscurantisme qu’on pourrait qualifier d’égotique et d’égoïste.
    Et puis au-delà de ça, ce « Daim » fonctionne aussi d’autant mieux sur moi qu’à ce fil conducteur s’associe un vrai propos que j’ai trouvé très intéressant d’explorer. Alors certes, à mon sens on ne retrouve pas ici la puissance et la richesse de ce chef d’œuvre (sûrement indépassable) qu’est « Réalité », mais on va clairement au-delà de films comme « Rubber » ou « Wrong » en termes de profondeur et de construction. Car ce « Daim » se veut clairement une déclaration d’amour, voire une introspection, à la démarche auteuriste dont Dupieux se réclame. Difficile d’ailleurs de ne pas voir en ce personnage incarné par Jean Dujardin une sorte de transposition du personnage qu’incarne Dupieux en dehors des plateaux de tournage. Même barbe blanchie, même décalage vestimentaire, même verbe désabusé, décalé et souvent abrupt. Georges c’est lui et son cinéma. C’est cette œuvre qu’on construit quasiment à l’arrache, guidé par une sensation pas forcément construite ni noble, et qui nous mène parfois on ne sait où. Il y a un peu de folie là-dedans, une forme de masque et de mégalomanie, beaucoup de solitude. Mais au final tout cela peut se réduire en tout et pour tout à… spoiler: un daim. C’est-à-dire un animal pas très futé qui s’agite pas mal, avec beaucoup d’insouciance, avant de mourir bêtement, sans clairvoyance sur l’existence de la menace, mais surtout sans véritable considération de la part de celui qui l’a abattu.
    Alors certes, tout cela est au fond assez méta et pas mal égocentrique, ce qui n’est pas forcément mon trip à la base, mais avec Dupieux ça passe carrément. Ça passe d’abord parce que Dupieux fait l’effort de transformer son introspection en véritable objet filmique intrigant et amusant, contrairement à d’autres qui font beaucoup moins d’efforts quand il s’agit de s’autopomper la nouille (kof kof « Amour et gloire » kof kof). C’est court. C’est dense. C’est direct. Et surtout, ce film, il transpire le cinéma de partout. Cette introduction décalée, mais en même temps sèche et brute, ça m’a tout de suite fait penser à du Tarantino. Même chose pour les moments de spoiler: slasher
    qui m’ont rappelé la crudité et l’efficacité des récentes productions scandinaves. Et que dire de ce final, totalement absurde, mais qui vient faire référence de manière totalement décalée spoiler: au « Deer Hunter » de Michael Cimino. Or, pour le coup, ce genre de décalage, c’est clairement de l’humour Canal comme moi je l’aime !
    Et au fond, c’est ça moi qui me fait aimer le cinéma de Quentien Dupieux. Au-delà de sa personne et de ses névroses qui imprègnent ses œuvres, il y a un véritable amour du cinéma qui se ressent dans chacun de ses plans, qui s’inscrit dans ses films, et qui se transmet ensuite aux spectateurs qui savent y être sensibles. Et donc moi, rien que pour ça, je ne peux qu’aimer ce mec, aimer son cinéma. Aimer « le daim »… Oui, je l’ai dit : je t’aime Quentin Dupieux. Mais bon après, tout ça ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    mat niro
    mat niro

    352 abonnés 1 815 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 juillet 2019
    Adoubé par les critiques, le dernier film de Quentin Dupieux m'a déçu comme je l'avais été pour le précédent "Au poste". Déjà, le format du film est trop court comme souvent avec le réalisateur (1h17), et Jean Dujardin, malgré quelques répliques bien senties, semble bridé dans son rôle. Et pourtant, j'adore cet humour décalé et tout ce côté absurde mais là, la facilité l'emporte. C'est dommage car Jean Dujardin dirigé par les "Grolandais" dans "I feel good" avait su trouver un rôle à contre emploi, plein d'autodérision Génialissime ou nullissime, la frontière est mince pour le spectateur.
    pierre b
    pierre b

    3 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 juin 2019
    Très mauvais film ! Un scénario minimaliste ou l’on s’ennuie beaucoup.
    Jean Dujardin compose un personnage matérialiste et égocentrique pas très inspiré.
    Jean-claude G.
    Jean-claude G.

    14 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 juin 2019
    Aurait fait un bon court-metrage .
    40 mn a attendre qu'il se passe quelque chose et c"est déjà fini . Il est loin le temps où Dujardin se la pétait après the artist...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 25 juin 2019
    Comment résumer un film de Quentin Dupieux? Je pense que c'est impossible, le bonhomme arrive vraiment à imposé son style loufoque et déjanté, qu'on le reconnait immédiatement à chacun de ces films. Je ne vais donc pas vous expliquer ce qu'est le Daim mis à pat redire le synopsis "Georges et son manteau 100% Daim ont un projet" et après avoir lu ça et ayant pris connaissance que Georges et joué par Jean Dujardin on ne peut qu'avoir envie de voir ce film pour peu qu'on connait un peu les travaux de M.Dupieux.
    Aprés nous avoir plongé dans une ambiance plus tournée comédie avec son film "Au poste", Quentin Dupieux nous plonge dans une sorte de slasher/comédie/drame avec "Le daim", et ça marche du Tonnerre, notamment grâce a la prestance de Jean Dujardin dans le rôle de Georges, car on ne vas pas se voiler la face, ce dernier porte le film de lui-même avec Adéle Haenel.
    Le daim est un bon film de Dupieux mais il ne s'adresse pas à tout les publics et c'est ce qui fait son charme, il faut savoir entrer dans son univers et dans ce qu'il raconte, car c'est tellement singulier que c'est compréhensible que certaines personnes trouvent ça "à chier" ou "sans aucun sens". D'ailleurs c'est la principale qualité du Film son côté "particulier" et "loufoque" suivre georges accomplir son projet est un vrai road trip mental qui nous pousse de réflexions en réflexions.
    La force de ce film réside donc dans le personnage de Georges et sa relation avec la "monteuse", on veut comprendre son délire et du coup on le suit pour ça, la conclusion est bonne mais arrive un peu comme "un cheveu sur la soupe". Ce n'est pas le meilleure Dupieux mais il reste tout de même un bon film singulier que vous ne trouverez pas identique à un autre et en plus c'est français!

    Je vous conseille de voir son film juste pour ce qu'il est est car c'est une sorte d'OVNI cinématographique et surtout n'oubliez pas d'aller au cinéma !
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