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    Le Daim
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    stephils
    stephils

    8 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 juin 2019
    Dieu comment peut-on faire un film aussi nul. Histoire totalement loufoque, invraisemblable, on n'est jamais pris et pour aller au bout il faut être courageux . Acteurs à la dérive décors sans aucun attrait. Voila bien longtemps que je n'avais pas vu un tel navet.
    janus72
    janus72

    48 abonnés 269 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 juin 2019
    Seulement Dix mois après une nuit au Poste, Q. Dupieux nous fait le coup du Daim : Don de la Farce. Éric Cantona est juste terrible et Haenel au diapason.
    Yes, il est totalement Génial ce type!
    Et là encore, on peut certainement bien rigoler.
    Mais fatalement, on doit aussi pouvoir regarder fréquemment sa montre dotée d'un véritable bracelet en skaï... même si l'exercice ne dure guère plus d'une heure & dix sept minutes (pas simple de faire plus long avec un scénario aussi balèze). Car oui, on risque peut-être de s'emmerder ferme, se demandant ce que l'on est venu faire dans cette galère.
    Bref un court métrage qui tourne bientôt au film fleuve et méritait sûrement 2 assistantes réalisatrices et une stagiaire qui capitalisèrent évidemment un maximum sur ce tournage ;-)
    Laurent A.
    Laurent A.

    38 abonnés 376 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 juin 2019
    Jean Dujardin campe ici un personnage énigmatique de prime abord mais dont on comprend bien vite qu'il va subir l'emprise d'un ennemi qui lui est aussi intime et attaché que ce blouson qui le fascine dès le premier essayage préalable à son achat : lui-même. Le thème n'est pas nouveau et il a déjà été abordé dans la littérature et les séries télévisées, il n'est pas nouveau car il est bien connu des psychologues : si l'habit ne fait pas le moine on sait fort bien qu'il y contribue, pour le meilleur comme pour le pire et ici c'est bien au pire que le spectateur est convié. Avec un vêtement évocateur de far-west et de sang versé on se doute que l'on va vite plonger en eaux troubles, et la part de sauvagerie et de folie pure va ressurgir avec ce personnage pour lequel on pense davantage à une prise en charge psychiatrique avant toute tentative de procès. Le rôle fait penser à un précédent interprété par Jean Dujardin - "I feel good" - dans un registre très différent bien sûr, mais je m'empresse d'ajouter que j'aimerais bien voir cet acteur dans d'autres registres parce-que Quentin Dupieux n'est pas Quentin Tarantino, et aussi parce-que ce film j'aurais préféré en lire l'histoire dans un petit recueil de nouvelles sur une trentaine (ou une cinquantaine allez) de pages plutôt que d'assister en tant que spectateur à une sauvagerie débridée et à une fin ratée : la justice se faisant violence à elle même. On est dans la France profonde comme on pourrait être dans un état reculé des États-Unis, une histoire qui refléte la misère de l'âme humaine sans échappatoire aucun, triste et pathétique. A renvoyer à la chronique des faits divers.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    175 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 juin 2019
    Fan de la folie douce de Quentin Dupieux et de son sens de l’absurde je me suis précipité sur son Daim. Comme d’habitude « un style de malade » et une belle rencontre, celle avec Jean Dujardin que le réalisateur imagine en une sorte de double maléfique dont la présence à l’écran inquiéte plus souvent qu’elle ne fait sourire. Jouer la folie sans tomber dans la caricature est la marque des grands acteurs. Et Dupieux nous fabrique un film sans fioritures, ramassé et original que lui seul dans le paysage français, peut-être même mondial, semble capable de produire. Un bon cru mais pas le meilleur pour moi, avec sa sélection cannoise j’en attendais un peu plus.
    Arnaud75016
    Arnaud75016

    7 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 juin 2019
    Écrire un commentaire le daim ne m’a pas retenu dans la salle plus d’une demi-heure. Les images sont tristes l’histoire est quotidienne le scénario inexistant; à fuir si vous cherchez à vous divertir !!!
    Chris58640
    Chris58640

    208 abonnés 756 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 juin 2019
    Le film de Quentin Dupieux ne dure que 1h17, ce qui est presque un record de brièveté. Cela dit, il n’a nul besoin de durer plus longtemps car, même en y mettant la meilleure volonté du monde, ce film absurde met quand même assez mal à l’aise très vite. L’absurde, le non-sens, moi je n’ai rien contre, au contraire. Ici, c’est un absurde noir, presque psychiatrique, et il faut faire un vrai effort pour accepter ce postulat pendant toute la durée du film, du coup, 1h20 c’est largement suffisant. Au-delà, pour moi, ça aurait été épuisant. Comme dans « Au Poste ! », ici, tout est hors d’âge : les décors sont hors d’âge, les costumes aussi (sans parler ce blouson, inclassable), les véhicules, les accessoires sont surannés. Si le personnage de Georges n’utilisait pas très brièvement un téléphone portable, on aurait bien du mal à situer ce film dans l’espace et dans le temps. C’est voulu, bien-sur, c’est pour donner l’écrin qu’il faut à la folie de Georges. Je dois avouer que visuellement c’est très réussi, la patte Dupieux dans ce domaine faite mouche une nouvelle fois. Dupieux filme de façon aussi décalée que son propos, il utilise le flou de façon étrange, cadre parfois bien bizarrement ses paysages et ses personnages, et ponctue son film d’une musique là encore hors d’âge. On dirait une musique (parfois à la limite du bruitage) d’un vieux polar des années 70, c’est difficile à qualifier autrement. Il utilise la musique comme une ponctuation plus que comme une illustration, moi j’aime bien ce postulat original. En bref, le style Dupieux, c’est une patte très particulière, assez inclassable, faite de vintage à tous les étages et de faux amateurisme, et dans ce genre bizarre le film a de la personnalité et du cachet. Jean Dujardin, qui est de toutes les scènes, incarne un homme en rupture de tout, à la dérive dans tous les domaines. On ne saura rien de plus sauf qu’il a été quitté par son épouse et qu’il est financièrement exsangue. Dujardin est capable de tout jouer, je l’ai dit depuis longtemps, et ici, il joue le « mystère », allié de circonstance à la « folie ». Il met très vite mal à l’aise, par ses silences inquiétants, des mini coups de colères soudains, sa violence qui affleure par moment, et surtout par le délire schizophrénique qui se saisi de lui lorsqu’il devient propriétaire du blouson. On peut essayer de le psychanalyser, envisager la possession, la maladie mentale qui survient à l’aube de la cinquantaine, révélée brutalement par une rupture affective. spoiler: Mais je crois plus en la métaphore, cet homme cherche à devenir un daim : d’abord le blouson puis les autres éléments du costume, pour finir 100% daim, se muer en cet animal insalissable et craintif, adorable et sauvage.
    A ses côtés un autre personnage incarné par Adèle Haenel, monteuse amateur, qui accompagne Georges dans son délire sans qu’on comprenne jamais si elle se laisse abuser ou si au contraire elle se joue de lui. Tous les deux sont très bien, dans un registre evidemment difficile. Mais Dujardin offre ici une nouvelle facette de son talent, et on sent qu’il s’est amusé à incarner cet homme qui passe de fou inoffensif à fou dangereux. Le scénario, évidemment, est difficilement analysable, puisque rien ici n’est crédible, logique, et que l’histoire racontée n’a aucun sens. C’est sur que « le Daim » est un film pour amateur d’absurde, qui n’ont pas peur de se retrouver devant un long métrage qui raconte l’irracontable, l’improbable, le n’importe quoi ! Le blouson en daim qui révèle la folie de Georges est plus une métaphore de sa nouvelle peau qu’une pièce de vêtement. C’est l’histoire d’un type qui plaque tout pour devenir un homme sans filtre, désinhibé de toute logique, de toute morale, qui ne vit que pour assouvir ses désirs emprunts de narcissisme. Il n’était rien, un homme banal dans une vie banale. Ce blouson « au style de malade », sorti d’une époque où le bon gout était aux abonnés absents (franchement, il est hideux !), c’est le symbole d’une autre vie, celle qui s’affranchit de tout pour vivre selon ses désirs immédiats, au jour le jour. Le personnage de Georges, dans son délire, peut-être nous l’avons tous au fond de nous, sauf qu’on ne laisse jamais s’exprimer. C’est peut-être ça le message du « Daim », s’il y en a un. La fin est brutale et inattendue, mais quand même super cohérente quand on y pense. Elle est empreinte d’une ironie très cruelle, spoiler: et la toute dernière scène laisse planer le doute sur le personnage de Denise (Adèle Haenel) et sur ce qu’il adviendra d’elle.
    J’aime bien cette fin, elle est à l’avenant de tout le film. Faut-il conseiller « Le Daim » ? Je ne sais pas en fait. Il est tellement décalé qu’il peut enthousiasmer et navrer à la fois. Mon sentiment personnel est assez ambivalent : c’est un film qui a une très forte personnalité, qui peut paraitre pertinent par certains aspects mais qui met quand même très mal à l’aise aussi. Je ne peux pas dire que je l’ai aimé ou pas, c’est plus compliqué que cela… On peut l’aimer et le détester à la fois mais ça m’étonnerait qu’il provoque une quelconque indifférence !
    tonton29
    tonton29

    23 abonnés 294 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 juin 2019
    Si vous connaissez l'univers de Quentin Dupieux, vous serez content de voir son nouveau film. Si vous êtes novice, la rencontre sera possiblement perturbante avec son style minimaliste mais qui sonde au plus profond de l'âme. Une quête? Une folie ordinaire? Une solitude? Des solitudes? Un envoûtement? Une vie moderne déshumanisée? Une volonté d'être unique, l'élu? Un mensonge à soi, aux autres? On peut se poser beaucoup d'autres questions. Alors, à part quelques incongruités scénaristiques (mais que fait la Police?) on se laisse embarquer dans ce film mélangeant les styles (fantastique, slasher, surréaliste, non-sense . . . ) Jean Dujardin et Adèle Haenel forme un couple étrange qui danse au final au même rythme, celui du film dans le film qui convoque l'absurde à la réalité la plus crue. Alors, qu'est-ce que la Normalité? Sommes-nous tous fous en harmonie?
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 7 juillet 2019
    Je n'ai rien aimé dans ce film.
    mise en scène et réalisation indigente, je suis sûrement passé à côté me diront les "grands critiques avertis".......
    Alexandre Cacheux
    Alexandre Cacheux

    57 abonnés 539 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 juin 2019
    Un des films les plus hallucinants depuis "Mon oncle d'Amérique" d'Alain Resnais en ...1980 !
    Une expérience cinématographique unique et stupéfiante à l'âge des blockbusters et des suites sans fin.
    Chapeau aux producteurs d'avoir mis de l'argent dans cette histoire ou ce délire. Et profond respect à Jean Dujardin d'avoir accepté d'endosser ce rôle aux antipodes de tous les autres.
    Que dire sinon: j'ai pas vraiment aimé, j'ai pas vraiment détesté et je laisse à chacun prendre son risque !
    pgioan
    pgioan

    30 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 juin 2019
    Jubilatoire ! Dès le début , on sent qu'on va nous emporter vers l'absurde maitrisé , et on s'y plonge sans retenue....Dujardin est décidemment un acteur absolument excellent ! Et la fin conclut parfaitement l'entreprise !!!!
    Scénario Catastrophe
    Scénario Catastrophe

    30 abonnés 156 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 septembre 2019
    À la base, ce qui est bien avec Quentin Dupieux, c'est qu'il n'a aucune limite et tout peut arriver. Ici, son manque de limites rend le scénario moyennement intéressant, et rien d'extraordinaire ne se passe. Le réalisateur se sent créatif sans se rendre compte que ce sont les contraintes qui rendent créatifs. Comment peut-on spoiler: tuer autant de personnages
    sans que cela ne pose problème à qui que se soit ? D'accord, on est en plein absurde, on se fiche de la crédibilité, mais ça rend l'histoire complètement plate. Si le réalisateur ne partait pas du principe spoiler: qu'autant de crimes n'ouvrent pas automatiquement une enquête policière, qui mènerait très vite à l'identification du suspect,
    il aurait sûrement trouvé des moyens beaucoup plus ingénieux pour que son personnage spoiler: puisse se procurer des vestes. Tuer, c'est un peu simplet. Le pire, c'est que le film se termine avec la même simplicité: un garçon muet à été casé tout au long du film pour créer une fin.
    Je sais que mon analyse.est quelque peu terre à terre, mais je ne pense pas non plus que ce film comporte grand chose à nous dire, malgré les apparences. Le film se contemple, le réalisateur regarde quelqu'un qui filme, tout comme Georges se regarde, avec son daim, qu'il veut revêtir de façon compulsive. Les plans ne sont par ailleurs pas spécialement agréables. La caméra n'est jamais posée, et se balade derrière des meubles, il y' a tout le temps des jeux de flous et des plans qui vibrent. À tel point qu'on a presque l'impression que le film est réalisé dans les même conditions que celui du personnage. Personnages qui par ailleurs, ne sont pas forcément bien incarnés, par deux supers acteurs -trice pourtant. Les rôles ne semblent pas super assumés, encore une fois, il y a beaucoup trop de liberté, assez peu de radicalité. Bref, j'ai eu le sentiment d'être dupée par un réalisateur qui se sent génial, mais qui m'a surtout fortement ennuyé. Il y a un sévère manque de travail sur un scénario qui partait pourtant d'une bonne idée, et c'est à peine drôle.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    631 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juin 2019
    On ne peut pas dire que je sois un grand fan de l'absurdité des films de Quentin Dupieux. Mais là, avec "Le Daim", quelque chose de plus menaçant se profile derrière son humour. On est habitué avec lui au non-sens, à l'incongruité de ses personnages, à l'incohérence de ses sujets. Ces éléments se retrouvent dans "Le Daim", mais accompagnés d'un facteur réaliste qui ne condamne pas son récit à une lecture purement rigolote.
    Ici, on suit un homme qui décide de tout abandonner pour s'isoler en montagne où il tombe éperdument amoureux de sa veste en daim. Drame, comédie noire, thriller, horreur, on sait jamais sur quel pied danser mais une chose est sûre, Dupieux n'a jamais aussi bien filmer la folie. J'ai adoré l'atmosphère poisseuse et dépressive qui émane de la mise en scène. Les plans sont brefs et efficaces, le développement ne perd pas de temps sur des fausses pistes (1h17 de film).
    On rigole beaucoup et de tout jusqu'à un point de non-retour où l'absurde franchit la limite du fait-divers. C'est là qu'on se dit que Dupieux frappe fort car il cerne une réalité effrayante par le biais d'un personnage banalement atypique ! Le scénario, en apparence simpliste, est en fait peaufiné en détail, surtout dans l'évolution de la folie de Georges, son personnage principal. On s'aperçoit que ce Georges, ça pourrait être n'importe qui d'entre nous. Le film est barré mais l'interprétation de Jean Dujardin le rend entièrement plausible et accessible. En effet, il ne va pas incarner la folie "à l'américaine" mais le plus normalement possible, en le rendant très terrien et concret. On y perçoit alors toute une densité complexe qui questionne sur son passé et les raisons de cet état. Adèle Haenel, que je ne peux pas voir en peinture d'habitude, se fond très bien dans le décor montagnard.
    Ce Daim est une très bonne surprise, sur plein d'aspects, très prometteur car vecteur de sens tout en préservant ce qui fait sa singularité et sa force.
    Puss D
    Puss D

    16 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 juin 2019
    Pas mal le film de Quentin Dupieux mais quand on a des immenses acteurs comme dujardin (excellent ds le film tt aussi absurde I feel good) ou l'excellente Adèle Haenel (fabuleuse ds le film tout aussi absurde Liberté), on peut certainement mieux faire.. .J'ai préfèré personnellement et de loin le film "au poste" bourré d'humour et si absurde qu'on rit de tout coeur.. mais le Daim reste un film qd même interessant à voir rempli de poésie et très inventif..
    PACA_
    PACA_

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 juin 2019
    Pas d'intrigue, pas de suspense, pas d'humour, pas d'émotion... Bref, à mon sens, un faux pas... Ou.. Petit être, suis je passée complètement à côté..
    tupper
    tupper

    132 abonnés 1 377 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juin 2019
    L’absurdité du pitch n’a d’égale que le génie de la réalisation de Quentin Dupieux. Quant à Jean Dujardin dont on se demande ce qu’il est venu faire dans cette galère, on réalise ou l’on se rappelle à quel point c’est un excellent acteur, capable d’incarner et de donner de l’épaisseur à n’importe quoi. Adèle Haenel livre aussi une prestation excellente tout en simplicité et naturel. Et finalement ce film au pitch absurde ne se contente pas d’être drôle, il est aussi inquiétant et émouvant.
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