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    Woman at War
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    velocio
    velocio

    1 300 abonnés 3 134 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juin 2018
    Il est de tradition qu’à Cannes, au mois de mai, il y ait, parmi les diverses sélections, au moins un film qui fasse quasiment l’unanimité (positive !) parmi les spectateurs, au point que quiconque s’essayant à émettre sur un de ces films un jugement défavorable soit vite regardé comme une bête curieuse. Cette année, le « film buzz » était islandais, avait pour titre "Woman at war" et pour réalisateur Benedikt Erlingsson. A 49 ans, ce dernier est tout à la fois auteur, acteur, metteur en scène de théâtre, scénariste et réalisateur. "Woman at war" est son 2ème long métrage et, présenté à la Semaine de la Critique cannoise, il s’est vu décerner le Prix SACD.
    Le thème que traite "Woman at war" est particulièrement grave : la confrontation entre l’industrialisation d’un pays et les droits de la nature. La recherche du toujours plus en matière de biens matériels et d’emplois doit-il obligatoirement l’emporter systématiquement sur la défense de l’environnement ? Ce sujet grave, Benedikt Erlingsson a choisi de le traiter de façon sérieuse mais en injectant en permanence, de façon toujours intelligente, ce qu’il faut d’humour, de décalé, de cocasse pour éviter de tomber dans le pensum politiquement correct.
    Traiter un sujet sérieux de façon humoristique est très habile. Seulement quand c’est réussi, toutefois ! C’est le cas pour "Woman at war", un film dont on peut penser et espérer qu’il bénéficiera du même bouche-à-oreille très positif dont il était l’objet à Cannes, en mai dernier : ce n’est pas tous les jours qu’on peut, à la fois, se divertir, s’instruire, se révolter et nourrir ses yeux et son esprit de magnifiques images.
    btravis1
    btravis1

    108 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 juillet 2018
    Le pourquoi de la lutte est finalement assez dérisoire ici, ce qui prend le dessus c'est le magnifique portrait de cette femme dans son combat physique mais aussi intérieur, elle doit faire face à des choix cruciaux, le tout magnifiquement filmé dans ces décors naturels islandais. L'idée d'intégrer la musique et ses musiciens à part entière dans le film est une très bonne idée et procure un véritable plus au film.
    Daniel C.
    Daniel C.

    145 abonnés 721 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 juillet 2018
    Autant le pitch ne m'attirait pas, autant je remercie la personne,qui m'a conseillé d'aller voir ce film ! On est embarqué dans ce récit épique, dont l'héroïne est une cinquantenaire désireuse d'adopter. Nous suivons avec délectation les péripéties de cette robin des bois moderne, qui armée de son arc, arpente les plaines islandaises pour mettre en échec l'industrie visant à "faire du fric" sans se soucier de l'environnement. On s'attache à elle au gré de ses aventures. Les personnages de cette histoire sont parfois truculents. Voici une perle cinématographique, dont je me réjouis de n'être pas passé à côté ! C'est un hymne à la lutte, à la possibilité et à la puissance contestatrice. Il n'y a aucune raison de croire ceux, qui nous gouvernent en prétendant que la destruction environnementale est une sage décision. Le profit ne doit plus être le gouvernail de notre civilisation si nous ne voulons pas que la planète aille à sa perte. C'est de ne pas se soumettre, qui peut être raisonnable, lorsque l'âpreté du gain est le maître mot. L'omniprésence des musiciens et des trois chanteuses donne un caractère onirique, féérique à ce conte épique. Un film à déguster avec délectation.
    tixou0
    tixou0

    697 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 juillet 2018
    Un film impossible à faire tenir dans une, voire plusieurs, case(s), ce "Woman at War".... Halla (Halldora Geirharossdotir - enfin à peu près... l'islandais, c'est pas facile.... un début de cinquantaine au naturel, rayonnant) est une activiste jusqu'au-boutiste, pleine de panache et d'opiniâtreté, luttant contre une multinationale ayant entrepris de défigurer son pays (lobby de l'industrie de l'aluminium). Une requête en adoption oubliée, qui vient d'aboutir contre toute attente, change cependant la donne, question croisade risquée.... Heureusement aussi, la prof de chant a un joker dans sa manche, quand l'enquête sur ses sabotages vertueux s'emballe, sa jumelle, Asa, prof de yoga rêvant d'une retraite en ashram, et un bon ange, son "cousin présumé", rencontré lors d'une de ses expéditions. Dans des paysages du début du monde (jamais exploités façon carte postale), l'héroïne mène une quête d'absolu, via un radicalisme méthodique et un courage d'exception..... Aventure écologique et politique, mais aussi parcours picaresque (voir ainsi le "touriste" latino-américain, en leurre récurrent), drame, humour, saga évolutive spoiler: (l'épilogue ukrainien, où mère et fille affrontent les inondations, telle une eau lustrale)....
    les genres se mêlent, chaque respiration du récit soulignée par un choeur musical... Interprétation parfaite, dramaturgie qui tient en haleine, indéniable maîtrise technique (2e "long" pour Benedikt Erlingsson)... Ce dépaysement (pour sujet universel : préserver la terre nourricière) qui vient du septentrion de l'Europe est fort réussi !
    Yves G.
    Yves G.

    1 456 abonnés 3 486 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juillet 2018
    Halla, la cinquantaine, est une battante, une femme solitaire qui mène une double vie. Elle est musicienne et cheffe de chœur. Mais elle consacre son temps libre à mener des opérations clandestines pour la protection de l'environnement et contre l'implantation en Islande d'une usine de production d'aluminium.
    L'adoption d'une jeune orpheline ukrainienne place Halla face à un dilemme : ses nouveaux devoirs de mère lui permettront-ils de poursuivre son combat ?

    J'avoue avoir eu quelques hésitations face au pitch de "Woman at War". Je le trouvais trop simpliste voire rétrograde : une femme obligée de sacrifier sa vocation à sa maternité. Heureusement "Woman at War" n'est pas une comédie tire-larmes sur les joies de l'adoption mais un thriller écologique remarquablement rythmé.

    On ne quitte pas d'une semelle son héroïne, Halldora Geirhardsdottir, qui réussit même à se dédoubler puisqu'elle interprète aussi le rôle de la sœur jumelle de Halla, Asa, dont l'utilité au scénario s'éclairera à la fin du film. L'énergie de ce Robin des bois des temps modernes - Halla porte le prénom d'un bandit de grand chemin qui défia l'autorité étatique au XVIIème siècle - est communicative. On admire sa force physique et son intelligence quand elle réussit à échapper à ses poursuivants en courant dans la lande islandaise, en se jetant dans les flots glacés d'un torrent ou en se cachant sous la dépouille d'une brebis. Personnage d'autant plus admirable quand on sait dans quel mépris le cinéma tient les femmes de cinquante ans - quatre fois moins présentes au cinéma qu'elles ne le sont dans la société française selon une récente enquête de l'AAFA.

    Mais l'énergie terrienne de son héroïne et la beauté impressionnante des paysages ne sont pas les seuls atouts de ce conte moderne. Une loufoquerie inattendue et surréaliste le traverse, incarnée par ce cycliste sud-américain qui croise le chemin de Halla aux moments les plus inattendus et par une fanfare (un piano, des percussions et un soubassophone) accompagnant un trio de choristes ukrainiennes.
    Bernard D.
    Bernard D.

    111 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juillet 2018
    Dans la forêt de Sherwood, Robin des bois utilisait son arc pour rendre aux pauvres l’argent des riches. En Islande – Halla (Halldora Geirhardsdottir) – utilise son arc pour couper l’alimentation d’une usine qui produit de l’aluminium. Halla –un nom bien connu des Islandais car c’est un des derniers bandits qui a réussi à se cacher plus de 20 ans dans les Hautes Terres au XVIIème siècle et qui est à toujours à l’origine d’histoires populaires– est une écologiste convaincue voulant lutter contre le réchauffement climatique et la mondialisation pour préserver sa chère terre islandaise sans la défigurer et en respectant les « droits de la nature ». Le dernier « forfait » de Halla exaspère le gouvernement qui affirme sa volonté d’agrandir cette usine afin de pouvoir passer des marchés avec la Chine… et de mettre aux trousses des auteurs de ces « actes d’extrémistes, de terroristes dignes d’Al Qu’Aïda … » sa police mais aussi des enquêteurs de la CIA et des Israéliens, moult hélicoptères et drones … Halla qui vient d’apprendre qu’elle va pouvoir adopter une petite fille de 4 ans Ukrainienne, hésite un court instant, mais « la femme des montagnes » se fera aidée par un « présumé » cousin et par sa sœur, Asa, qui bien qu’ignorant tout des activités de sa sœur ira jusqu’à donner de sa personne !
    La photo est splendide et on revoit avec grand plaisir les magnifiques paysages de l’Islande. La bande son est particulièrement intéressante avec un trio masculin formé par un pianiste/accordéoniste, un percussionniste et un soubassophoniste d’une part, et 3 chanteuses ukrainiennes d’autre part. Ces musiciens qui apparaissent à l’image symbolisent le côté « déterminé/volontaire/agressif » d’Halla et de l’autre sa « tendresse » vis-à-vis de cette petite fille attendue.
    Le film est rondement mené avec des épisodes de type thriller et des moments dramatiques sans oublier la connotation écologique voire politique contre l’industrialisation outrancière, les capitaux chinois … et la dernière image du film qui n’est pas sans évoquer le problème des migrants dans l’eau.
    Le cinéma Islandais se porte très bien avec « Béliers » de Grímur Hákonarson en 2015 et « L’effet aquatique » de Solveig Anspach en 2106.
    dominique P.
    dominique P.

    834 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 juillet 2018
    Ce film islandais est d'une grande originalité, d'une grande force sociale et déroutant.
    Je salue le message de ce film.
    Il y a des moments amusants également dans cette histoire (avec le touriste à vélo) et des moments d'entraide (avec le prétendu cousin et la soeur jumelle) et aussi des moments émouvants (concernant la petite fille adoptée).
    Cependant, une chose que je n'ai pas bien aimé : ce sont les interludes musicaux et chantés qui reviennent souvent et qui sont agaçants à la longue, même si je reconnais qu'ils ont leur utilité.
    Jean-Richard R.
    Jean-Richard R.

    11 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 juin 2018
    Le traitement de ce film : paysages passant de la démesure aux détail d'une mousse ou de bruyère, scénario, jeu d'acteurs, inclusion des exécutants de la musique dans les scènes (ils ne font pas que jouer de leurs instruments, ils sont partie narrative de l'histoire), nous offre un rendu qui participe à la fois de l'onirique et du réalisme. Ce film réussit le prodige d'être à la fois touchant, captivant, irritant et drôle.
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    79 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juillet 2018
    Je sais, autour de moi beaucoup semblent enthousiastes, moi aussi j'ai trouvé beaucoup de charme et de plaisir, à la bande son; particulièrement, aux 3 musiciens style "fanfare" croisés sept ou huit fois, lors des déplacements.
    Puis, lorsqu'il est question de l'adoption, ce sont les chanteuses ukrainiennes qui s'y collent.
    Tout cela est du plus bel effet et nous séduit....
    Les paysages islandais sont superbement filmés...
    Cette belle femme militante écologiste qui voit l'idéal de son engagement remis en cause par l'arrivée possible,
    d'une petite fille dans sa vie
    Alors, qu'est ce qui cloche ?

    Une recherche "d'effets" trop nombreux m'ont fait prendre mes distances, avec le coeur de l'histoire...
    et mon attention captée par trop "d'ornements" .
    Jorik V
    Jorik V

    1 268 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 juillet 2018
    C’est certainement l’œuvre venue des antipodes qui sera le feel-good movie, le petit film dépaysant de l’été. « Woman at War » a été acclamé à Cannes, peut-être de manière un peu trop ostentatoire car le film n’est pas non plus un chef-d’œuvre et il ne déborde pas toujours de bonne humeur et de joie, mais c’est un long-métrage plaisant et parfaitement original qui fait du bien. Rien que le prologue nous indique que l’on va assister à quelque chose de tout sauf consensuel. On y voit Halla, le personnage principal, brandir un arc et saboter les lignes électriques traversant les hautes terres islandaises avant qu’un orchestre traditionnel prenne place dans l’action pour mettre en musique le générique. Iconoclaste et étonnant. Néanmoins, ces inserts musicaux illustrant en musique les émotions du personnage principal deviennent lassants sur tout un film.

    Ce qu’on adore le plus ici, c’est le personnage principal, truculent et admirable. Les convictions qu’elle porte (et dont le film se fait donc le parangon) sont à saluer. Un propos écologique fort et contestataire qui ne légitime pas l’éco-terrorisme mais s’appuie dessus pour dénoncer le capitalisme sans bornes et la destruction de la nature. Et bien sûr, le fait que le film se déroule dans un pays à la cinématographie de plus en plus importante, l’Islande, est tout aussi passionnant que le sujet du film et donne un aspect dépaysant au film pour nous, français. Après les excellents « Béliers » et « Heartstone », « Woman at War » est une nouvelle preuve de la vitalité de ce cinéma des antipodes. Et la beauté fascinante de ce petit pays est parfaitement rendue ici. Une immersion tout aussi bien dans les contrées sauvages et glacées inhabitées dans la seconde partie que dans les coutumes locales et citadines des islandais dans la première. Cela fait beaucoup dans la singularité de cette œuvre en forme de bulle de fraîcheur au fond pourtant très sérieux et nécessaire.

    Cependant, la première partie patine un peu par moments, partagé entre le sujet principal et le dilemme de l’héroïne entre se battre pour ses valeurs ou privilégier la possibilité de devenir mère, choses incompatibles ici avec ses activités terroristes. Mais ensuite, le suspense devient étonnamment prenant et « Woman at War » se mue réellement en thriller haletant, devenant de plus en plus abouti visuellement et rigoureux dans l’exécution de son propos. On en vient à rêver alors à ce que le metteur en scène Benedikt Erlingsson aurait fait d’un tel sujet dégraissé de ses vertus comiques et bienveillantes, seulement concentré sur le survival politique. Mais on se contente de ce que l’on nous offre et c’est déjà très bien comme ça. Un tour de passe-passe malin (mais facile) du scénario que l’on voit venir à des kilomètres conclut d’ailleurs le film en beauté. En somme, une découverte qui fait du bien dont les quelques scories et déceptions ne viennent pas entamer le plaisir de la vision.

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    AZZZO
    AZZZO

    301 abonnés 810 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 juillet 2018
    Un film surprenant, un petit bonbon à la menthe, un cinéma venu du nord, vif et rafraîchissant, racontant avec musique et poésie le combat d'une femme engagée. Une sorte d'"Erin Brockovich" revisité par Emir Kusturica et Lars von Trier. En Islande, en ce moment, il y a un foot qui clappe et un ciné qui claque ! A voir !
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 juillet 2018
    C’est une femme en guerre. En guerre contre l’administration afin de faire aboutir son projet d’adoption. En guerre surtout contre l’industrie qui empoisonne la sublime Islande avec ses bords marins immenses, ses montagnes cendrées et ses rivières tantôt glacées, tantôt fumantes de chaleur. L’Islande, chose rare sur des écrans français, est le cadre somptueux de ce film qui fait la démonstration d’une grammaire cinématographique totalement nouvelle. « Women at war » est un film inclassable qui hésite entre la comédie, l’ironie, la critique sociale et le policier haletant.

    En tout état de cause, cette Hella n’a pas froid aux yeux. Elle gravit les montagnes, à l’affût de portiques électriques qu’elle piège. S’ensuit une course poursuite entre elle et les policiers. Un combat entre la nature sauvage et la technologie des hommes de loi. « Woman at war » est à lui tout seul un film politique. Derrière ce personnage féminin se cache une réflexion de profonde actualité sur la notion d’attentat. Le film pose en effet la question de la légitimité de l’acte terroriste, là où des entreprises se livrent sans nuance à l’empoisonnement de la planète et la manipulation capitalistique des clients, friands de chaussures à bas coûts. L’actrice, Halldora Geirhardsdottir (à la prononciation impossible) incarne à la fois notre combattante contre le lobby capitaliste et sa propre sœur, en recherche de paix et de méditation. L’interprétation est tout juste incroyable, la comédienne passant d’un personnage à l’autre avec une facilité déconcertante.

    Il ne faut pas oublier la présence des musiciens. Ils sont partie prenante en permanence de ce récit où la musique devient elle-même un personnage de cinéma. Certes, l’interprétation est irréprochable. Les partitions sont surtout d’une incroyable originalité. On se surprend à battre la mesure pendant le déroulement du film. Les voix ukrainiennes se mélangent aux tonalités profondes du trio de musiciens, à l’instar de cette œuvre hybride qui fuit le consensus et la monotonie. « Women at war » est sans doute l’évènement cinématographique majeur de cet été.
    Cinephille
    Cinephille

    155 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 juillet 2018
    Je ne loupe jamais un film islandais car ils ne sont pas si fréquents et ont toujours un humour particulier. Celui-ci ne fait pas exception avec une belle trouvaille de mise en scène dans ces musiciens et chanteuses intégrées aux plans, ce rôle de femme forte inventive est courageuse. Là où le film ne me convainc pas tout à fait c'est dans une longueur excessive de certaines scènes notamment la dernière cavale et dans le coté fable trop appuyé.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 27 juin 2018
    Une très belle surprise venue d'Islande avec un sujet passionnant et d'actualité, un scénario très intelligent, une mise en scène brillante et une actrice remarquable....
    Bref....vous l'aurez compris...c'est un grand coup de coeur !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 juin 2018
    Un film de combat, un portrait de femme, nécessaire et sincère. Merci pour ce moment d'enthousiasme, de joie et d'émotions... Comme quoi le cinéma n'est pas mort, condamné par le déferlement de stupidités américaines aussi puériles que moisies. Vive Benedikt Erligsson et vive le grand écran !
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