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    Vivarium
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    339 critiques spectateurs

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    Xavier D
    Xavier D

    59 abonnés 1 064 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 septembre 2020
    On aura beau dire, ce film met tous nos senses en éveille sur notre vie à tous et sur la routine constante de notre société également. Le huit clos absurde mais réaliste d'une vie monotone qui de la vie rêvée à la vie en enfer. Anxiogène à tous point de vue, que ce film de science fiction nous plonge. Cube est bien sûr le film qui me revient de suite. A la fin quel message à en tirer si ce n'est de préserver de ce qu'il y a de plus chère comme notre foyer qu'elle quel soit. Imogen poots qui est déjà venue dans 28 semaine plus tard et l'excellent Jesse Eisenberg. La réalisation est hypnotique et terrifiant.
    cbeaumont
    cbeaumont

    5 abonnés 196 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 septembre 2020
    Film concept intéressant et qui tient (tout juste) sur la longueur. En revanche, contrairement aux apparences il n'est pas du tout subversif... (et je pense qu'il est supposé l'être dans la tête de ses créateurs). Belle performance pour une idée très casse-gueule.
    Leonce J
    Leonce J

    3 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 septembre 2020
    Premier véritable long-métrage de Lorcan Finnegan avec un budget restreint (4M), et le moins qu’on puisse dire c’est qu’il commence sa carrière avec un film atypique très intéressant, Vivarium raconte l'histoire d'un jeune couple, interprété par les talentueux Imogen Poots et Jesse Eisenberg, qui va se tourner vers une mystérieuse agence immobilière pour trouver la maison de leurs rêves.
    Mais très vite, la recherche de cette maison de rêve se transforme en un cauchemar sans issue.
    Ce film traite plusieurs concepts intéressant, à commencer par la séquence d’ouverture remarquable qui donne déjà une idée abstraite du film et évoque l’idée du parasite représenté par les coucous qui comme certaines espèces d'oiseaux, sont obligés de pondre leurs oeufs dans le nid d'une autre espèce, incapables de construire un nid d'élever leurs petits.
    Très belle mise en scène notamment les décors du lotissement rappelant l’esthétisme de Tim Burton, les nuages qui ont tous la même forme rappelant The Truman Show, mais la principale inspiration a été le tableau de René Magritte, L’Empire des lumières selon le réalisateur irlandais.
    Le monde que L.Finnegan peint est très coloré et agréable à voir, mais derrière cette esthétique verdâtre se cache l’angoisse et un monde truqué.Décors construit part un éclair de génie de la part du réalisateur, il a fait construire trois maisons identiques puis les a entourées de fonds verts, grâce à cette technique, ils ont pu dupliquer les maison à l'infini.
    Parlons de l’histoire, j’ai beaucoup apprécié les premières 60 minutes, on nous présente un couple jeune, Gemma est maitresse et adore les enfants, Tom est jardinier dans la même école où Gemma enseigne. C’est un couple qui recherche une maison dans le but de fonder une vraie famille, après avoir rencontré un agent immobilier farfelu qui leur emmène visiter la maison, on a affaire petit à petit à un huit-clos angoissant et qui devient d’autant plus perturbant avec l’apparition du bébé.
    Le film est très intéressant dans les interactions entre les personnages bloqués dans une prison à l’air libre, des caractéristiques qui se développent que j’ai beaucoup aimé et que j’ai trouvé fascinant
    spoiler: Le bébé qui est un surhumain, capable de grandir en quelque mois, qui hurle pour qu’on lui donne à manger, le fait que Tom creuse jour et nuit qui reprend l’expression « Creuser sa tombe ») Mais les 30 dernières minutes sont fades et pas assez captivant qu’on pu être les premières 60 minutes, il ne se passe pas grand chose hormis la mort des personnages, le fait que le garçon part quelque part pour rencontrer quelqu’un et que Gemma tente de le suivre et de tuer. Au contraire j’aurais aimé un approfondissement de la brèche que le garçon ouvre pour s’échapper. Le peu qu’on voit reste néanmoins intéressant. Mais selon Jesse Eisenberg cette partie qui était très intéressant dans le scénario ne sait pas fait dans le film faute de budget
    .
    Pour un premier film, Lorcan Finnegan livre un récit brillant et glaçant, avec une idée et une mise en scène fascinant, c’est un film qui va diviser (on le remarque dans les avis des spectateurs), mais selon moi il permet d’inscrire le nom de L.Finnegan dans la lignée des nouveaux réalisateurs à suivre tout comme Ari Aster avec Hérédité, Robert Eggers avec The Witch, D.R Mitchell avec It Follows ou meme Julia Ducourneau avec Grave, ces réalisateurs qui arrivent à donner un nouveau souffle au film de genre. Ces films dont le sien sont un avant-gout de leurs potentiel.
    J’ai déjà hâte de voir son nouveau projet qui s’intitule Nocebo, qui portera sur le traitement des pays défavorisés par les grandes enseignes de textile à travers l’histoire d’une créatrice de mode.
    gnomos
    gnomos

    53 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 septembre 2020
    Film très anxiogène, mais dont beaucoup d'éléments sont assez rapidement prévisibles. Dès l'enfance du" garçon", on devine son avenir. Il en est de même avec le trou. Si le film est une critique de notre société et de nos vies en général, soit, mais je trouve le réalisateur très prétentieux à cet égard. Ce n'est pas un crime de vouloir accéder à la propriété et de vouloir fonder une famille. Cela peut être source de bonheur, et c'est la vie; et ce n'est pas si mal. Cela n'empêche nullement l'esprit critique, la culture, l'originalité des idées de chacun, la conscience du système, etc.... Bref, je garderai en mémoire une ambiance très malsaine alimentée par l' endroit flippant où le couple est prisonnier, le gosse à tuer, et cette asepsie que l'on a l'impression de ressentir à travers l'écran. Ce n'est déjà pas si mal.
    Xavier M
    Xavier M

    4 abonnés 134 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 août 2020
    je m'attendais à un film "pas trop mal" ou "moyen"... Le film est captivant... tout est parfait. Dans la lignée de Cube et Dans les Hautes Herbes...
    A découvrir !
    Barry.L
    Barry.L

    28 abonnés 136 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 août 2020
    En l’absence de grosses ferraris, les premiers films ont proliféré ces derniers temps. Et rien n’est plus beau que de voir un réalisateur débutant prendre des risques en réalisant un film qui sort des sentiers battus. En ce sens, ‘’Vivarium’’ était appelé à diviser. C’est chose faite (moyenne spectateur sur Allociné : 2, 5 une note d’un navet !). Pourtant, c’est un film qui contient de vraies richesses, et qui n’est pas aussi mauvais que les notes laissaient présager.

    Gemma et Tom forment un couple sans enfant qui cherchent un logement. Ils rencontrent alors un agent immobilier qui leur propose de vivre dans une maison au sein d’une banlieue où tous les lotissements sont identiques. Mais aussitôt la visite commencée que l’agent a disparu. Le couple se retrouve (littéralement) prisonniers de cette banlieue. C’est alors qu’ils reçoivent un colis contenant un bébé.

    En réalité, le plus gros problème de ‘’Vivarium’’, c’est bien sa nature même. Nous ne sommes pas devant un film très fin, ni très subtile. Nous avons à faire à une fable, au contenu fortement allégorique. Plus globalement, ‘’Vivarium’’ fait partie de ces œuvres, dites ‘’à concept’’, qui repose sur une idée, en apparence assez forte pour faire un film de plus d’une heure et demie. C’est la principale critique qui lui est adressée : pour ce qu’il a à dire, le film serait trop long et aurait pu tout à fait tenir en un court-métrage. Mais justement, c’est bien le format du long-métrage qui permet au film de ne pas être réduit à son propre concept. C’est bien le format du long-métrage qui donne de la chair au film. C’est enfin bien le format du long-métrage qui permet de renforcer le propos du film, comme nous allons le voir. Que raconte le film ? La vacuité de la vie, la morne répétition des gestes du quotidien. Elever un enfant (que l’on a pas forcément voulu), travailler spoiler: jusqu’à en mourir
    … ‘’Vivarium’’ aborde l’aliénation totale à un mode de vie auquel il serait impossible de s’en défaire. Mais c’est une chose que de faire comprendre au spectateur les intentions et le but, c’en est une autre que de nous faire ressentir cette sensation de vide, d’absence de mouvement. Un court-métrage n’aurait probablement pas permis de nous faire sentir profondément (et surtout petit à petit) la non-vie de Gemma et Tom. Oui, ‘’Vivarium’’ a quelque chose d’agaçant, et même d’ennuyeux. Mais n’étais-ce pas pour le réalisateur le meilleur moyen de servir au mieux son message ? Nous faire saisir toute l’artificialité de la vie de Gemma et Tom, de leur ‘’adoption forcée’’ de l’enfant jusqu’à spoiler: leur mort
    . Un parcours où les deux jeunes gens n’auront rien accomplis, auront fait du sur place. Voilà encore un reproche possible à faire à ce film : les héros seraient spoiler: condamnés d’avance
    , regardés de haut par un réalisateur démiurge qui mépriserait ses personnages. Mais ce n’est pas vraiment le cas, si Lorcan Finnegan condamne le mode de vie, il se garde bien de déshumaniser ses protagonistes en ne les traitant pas comme des rats de laboratoire. Une nouvelle fois, le format du long-métrage se justifie pleinement dans la mesure où il permet de s’attarder encore plus longtemps sur les petits signes d’humanité de nos deux héros. C’est ce format qui nous permet de nous attacher énormément aux deux malheureux héros (avec en plus il est vrai le jeu émouvant et désespéré d’Imogen Poots et Jesse Eisenberg). Il est alors possible de penser à deux (hypothétiques) influences très éloignés l’une de l’autre. Il y a d’abord la plus évidente : ‘’The Truman Show’’ de Peter Weir. Les deux films décrivent deux mondes troublant de ressemblance, deux mondes factices où les héros y semblent enfermés à jamais. Deux univers sont présentés, tous les deux crées de toute pièce et qui s’apparentent volontairement à des décors de cinéma. Même esthétiquement, il est impossible de ne pas penser au film avec Jim Carrey. Les deux metteurs en scène font évoluer leur caméra dans des décors lisses et impersonnels, culminant avec ce ciel complètement fabriqué. Cependant, la vision du monde est plus sinistre chez Finnegan et son scénariste Garret Shanley que chez Weir et son scénariste Andrew Niccol. ‘’The Truman Show’’ montrait brillamment que l’Humain n’était pas claquemuré à jamais dans son petit confort, dans sa petite vie médiocre. Il pouvait s’en extirper et ouvrir les yeux sur le véritable monde (référence très claire au mythe de la caverne de Platon). Lorcan Finnegan bouleverse le propos. spoiler: Pour Gemma et Tom, pas de sortie possible
    . La vie est réduite à une fatale boucle, un perpétuel recommencement. L’Homme ne peut s’extraire de tous les déterminismes qui le prennent au piège. Pouvant paraître cynique cette idée est malgré tout intéressant et pas forcément fallacieuse (on visualise bien ces banlieues américaines où les habitants ne sortent pas de chez eux et sont complètement coupés du monde). spoiler: Et même si tout espoir est vain, l’accomplissement de Gemma et Tom est au moins d’avoir essayés de s’extraire de cette terrifiante réalité
    . Mais il est possible de penser à une autre éventuelle influence (plus incertaine il est vrai). ‘’Vivarium’’ par plusieurs aspects peut renvoyer au cinéma d’un certain Michelangelo Antonioni. De toute façon, le film trouve son essence dans cette catégorie de films qui s’acharne à dénoncer toute la fausseté de nos sociétés. Reste qu’Antonioni n’est pas loin, et ‘’Vivarium’’ en emprunte deux motifs. Ce qui caractérise cette réclusion, ce n’est pas seulement le vide engendré, mais aussi l’absence (ou plutôt le dysfonctionnement) de la communication. Certes, ‘’Vivarium’’ le démontre de façon plus littéral (si les films d’Antonioni décrivent la perte de communication dans nos sociétés, cela ne les empêchent pas d’être parfois extrêmement dialogués). Il n’en demeure pas moins que ‘’Vivarium’’ aborde avec rigueur la question de l’incommunicabilité qui peut se créer dans les foyers. C’est lorsque le dialogue est inaudible ou inexistant qu’une société (comme la nôtre) révèle toutes ses tares et que les couples peuvent se défaire (Antonioni en sait quelque chose avec ‘’La Nuit’’ et ‘’L’éclipse’’). Paradoxalement, l’histoire du couple dans ce film spoiler: se termine « bien » au moment de la mort de Tom : enfin, la parole est retrouvée dans une fort belle scène
    . Antonioni, il est aussi localisable dans cette notion de mystère qui émane de ‘’Vivarium’’. Chez Antonioni, il y a toujours ce moment où la réalité bascule, où l’étrange naît à l’insu de la compréhension de son héros (le meilleur exemple étant bien évidemment ‘’Blow-up’’ où le mystère reste entier à la fin du film et même s’amplifie). Nulle explication n’est donné car la perte de repère doit se maintenir. ‘’Vivarium’’, s’il révèle plusieurs points de l’intrigue, fascine aussi par ses multiples secrets restés enfouis. Secrets laissés à l’imagination du spectateur.

    A ce titre, il faut prévenir le spectateur qui n’aurait pas vu le film. ‘’Vivarium’’ n’est pas le polar classique qui contient son lot d’explications en fin de film. Le réalisateur (avec lourdeur sans doute) cherche avant tout à aller jusqu’au bout de sa métaphore quitte à ne pas expliquer tout ce qui se rattache à son univers ( spoiler: quelle est cette créature ? Que signifient les symboles présents à la TV et dans l’unique livre ?
    Beaucoup d’autres questions restent sans réponse…). De tout ça, on peut s’en prendre aux intentions, à la démonstration, à la prétention de l’auteur. Néanmoins, il y a une chose que personne ne peut enlever au metteur en scène : c’est sa confiance absolue au pouvoir du cinéma. Si les premiers films peuvent parfois être flamboyants, il arrive aussi que les premiers films soient timides, peu ambitieux ou maladroits (bref, en manque de confiance). Tout ce que n’est pas ‘’Vivarium’’. Le film affirme haut et fort la puissance de son image. ‘’Vivarium’’ est un grand film grâce à son imagerie. Elle est d’abord vecteur des intentions et du message de ses scénaristes. Contrairement à de nombreux films qui font réfléchir au travers leurs dialogues, ‘’Vivarium’’ fait avant tout réfléchir grâce à l’image. A part le monologue de Tom et 2, 3 lignes de dialogue en fin de film, ce qu’il y a à comprendre et la matière à réfléchir naissent en premier lieu des visuels et de la composition des plans. Nous sommes face à un film magnifiquement composé, inspiré comme l’ont judicieusement fait remarquer des critiques des tableaux de Magritte, dans leurs déformations d’une réalité toujours plus instable. Mais cette confiance absolue, elle est aussi chez les acteurs. Un réalisateur comme Bruno Podalydès disait que les trois choses les plus difficiles à faire quand on fait un film sont : tourner sur de l’eau, tourner avec des animaux et tourner avec des enfants. Et ‘’Vivarium’’ relève la troisième contrainte avec brio. Les jeunes acteurs (entre autres) sont extraordinaires et effectuent des performances pleines de maturité.

    ‘’Vivarium’’ est donc un film jusqu’au-boutiste, qui en a désarçonné plus d’un. Si on peut le critiquer sur bien des points, le film n’en demeure pas moins une authentique proposition de cinéma, riche en mystères. Ce n’est certes pas du cinéma qui se veut très plaisant, mais sous son apparente vacuité se cache une réelle ambition et une réflexion, le tout redonnant confiance à la puissance de l’image.
    pietro bucca
    pietro bucca

    66 abonnés 1 228 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 août 2020
    Film curieux, qui flirte beaucoup avec le coté fantastique. Le scénario est vraiment original et posséde un certain charme. Une vraie prise de risque du réalisateur. Pas mal.
    Damianous
    Damianous

    3 abonnés 496 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 août 2020
    Vivarium est un peu bizarre , ce genre de film difficile à classifier : un peu fantastique , un peu SF mais avant tout un huis clos. Bénéficiant d'une ambiance un chouia anxiogène , il a son charme et le duo des premiers rôles est plutôt convaincant. Même si on manque de réponses à la fin , on peut deviner que le réalisateur a créé une sorte de métaphore de notre société , sa routine et quelque part l'absurdité et la monotonie de la vie. En tout cas c'est mon interprétation... La fin est un peu prévisible mais cohérente; en conclusion c'est une expérience à tenter.
    Jean-daniel Loiselle
    Jean-daniel Loiselle

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 août 2020
    Un des meilleurs films que j'ai vue depuis très longtemps! Je crois que les mauvaise critique ne comprennent rien du film ou n'aime pas les films intelligent! Tous dans ce film est ultra réfléchi, SPOILER...En gros ils ont voulu nous montré une copie coller de notre société, On recherche le confort du maison en travaillant toute notre vie pour élevé nos enfants en rêvant de plage d'Australie...sans jamais avoir le temps d'y aller...ensuite on meurt
    Ils le montre parfaitement, quand le mari creuse le trou, il va au travail pendant que ça femme s'occupe de l'enfant... lui creuse chaque jour ça tombe en rêvant d'un monde meilleur, mais sans jamais voir ou presque ça famille.... aucune porte de sortie jusqu'à la mort.
    Bruno65
    Bruno65

    30 abonnés 805 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 août 2020
    Minimaliste dans la mise en scène et les décors,j'ai rarement vu un film à l'atmosphère aussi étrange,surréaliste.A voir tout de même et il y aura les pours et les contres!
    Yaugarap
    Yaugarap

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 août 2020
    Ce film m’a vraiment marqué. Le décor est original, son étrangeté tient à l’exagération de la banalité. Le discours qui sous-tend le film n’est pas trop appuyé. Il y a plusieurs niveaux de lecture : fable sur la situation de l’immobilier en Irlande, mais aussi sur le sort de l’humanité. Mais on peut aussi prendre ça juste comme un conte surréaliste et immoral. Il faut accepter de ne pas tout comprendre. Je ne me suis pas ennuyé, j’ai trouvé que la tension est bien maintenue pendant tout le film, avec un parfait équilibre avec le côté lancinant qui correspond au sujet. Jusqu’au bout on se demande comment ça va se terminer, et je n’ai vraiment pas été déçu par la fin.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 juillet 2020
    Un véritable film d'angoisse n'a pas besoin de montrer une seule goutte de sang et à peine un seul acte de violence.

    Pourtant, dés la première image : le poussin coucou, qui, à peine sorti de l'oeuf, ne songe qu'à une seul chose : tuer ! On comprend dés lors que ce film sera terrifiant. Il démontre l'absurdité du destin de l'humain qui ne maîtrise rien du cours de sa vie même quand il croit de bonne foi, être capable de suivre le chemin qu'il s'est tracé.

    Le couple du film est encore moins libre car ils sont deux et ils sont donc tiraillés par la volonté de chacun qui ne va pas forcément dans le sens de l'autre. L'homme ne voulait pas se rendre dans le lotissement et pourtant, il y va... Il creuse un trou dont on finira par comprendre qu'il s'agit de sa tombe et pourtant il le fait. La femme ne fait pas mieux : elle élève et nourrit cet enfant qui pourtant (elle ne se lasse pas de le répéter) n'est pas le sien.

    L'histoire est simple mais pas évidente à comprendre, les images sont belles mais banalement insoutenables, La fin est prévisible mais tout de même, surprenante. Assurément, un très bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 30 juillet 2020
    Claquer au sol au début sa commence bien tu te dit ouaah ces trop un bon film et après il arive dans un endroit ultra nul les nuage claquer les maison claquer ya tout qui est claquer mais tu attend un rebondissements mais rien juste le ptit gars qui devrait être dans les tête à claque la fin elle est nul ah aussi je mettrai une demi étoiles mais j'en mais une parce que le film ma fait bien rire parce que tout est stupide la tête à claque devient adulte et à la fin le mec il a tout plier oui je sais aucun sens parce que le film a aucun sens sa ma fait perde 1h 30 de ma vie donc à ne pas regarder sauf si ta acun sens ou ta vie à aucun sens
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 juillet 2020
    Spécial mais justement des films comme on ne voit que rarement aujourd'hui. Le spectateur ne veux pas que des réponses, des questions c'est bien aussi.
    Pour une fois on ne devine pas la fin en 5 minutes ni même 45
    nemesis_neverdies
    nemesis_neverdies

    14 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 juillet 2020
    Bonne ambiance et bonne idée de début mais avec une fin sans explications, sans buts c'est trop facile
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