Des films comme celui-ci, on en voit plus que rarement ce qui le rend que plus précieux. Un scénario, qui ne photographie, des acteurs, une ambiance totalement innovante. Une sorte de quatrième dimension au goût du jour aux multiples références au delà des conventions hollywoodiennes. Subversif, innovant , choquant, palpitant, étonnant ! Vous en voulez encore ? Regardez le une deuxième fois !
Bon scénario, plutôt bien interprété, Vivarium n'est pas sans rappeler la cinquième dimension. Le film sort un peu des sentiers battus pour nous mener vers une certaine réflexion .
Bon ! A la fin du film j'ai failli céder à la frustration de ma soif d'explication non étanché ou encore à une certaine déception ! Mais avec du recul j'ai pu faire une seconde lecture de ce film ! En effet son but n'est pas de nous relater l'enfer d'un couple prit dans un labyrinthe sans issue , mais plutôt de réaliser une réflexion profonde et maîtrisée sur nos bulles personnelles dans lesquelles on s'enferme jour après jour par confort et sur le caractère avilissant de nos habitudes ! Pour cela ça vaut au moins un 3
Le film part d'un concept clair et très vite installé, le tout porté par de supers acteurs ce qui permet de rentrer tout de suite dans l'ambiance. Malheureusement, après les questionnements viens l'ennuie sur quelques scènes. Dommage aussi qui la fin soit assez déceptive.
J'ai beaucoup aimé le film qui décrit parfaitement notre vie si monotone et stupide mais répond à des questions existentielles. Le film peut sembler long. Mais ça reste supportable. J'ai adoré l'entêtement du gars...sans dévoiler quoi que ce soit. Un bon film pas loin du concept de LA PLATEFORME
Un film qui débute très bien puis s'enlise dans une parabole de la vie d'un jeune couple après l'arrivée d'un enfant, et sur le sens même de la parenté. Malheureusement, la réflexion seule, ce n'est pas très intéressant, et il ne se passe pas grand-chose alors que la tension sous-jacente reste elle un peu trop diffuse, à l'exception de quelques scènes bien réussies. Reste une formidable impression de malaise qui reste longtemps après la fin de la projection.
" vivarium" présenté l'an dernier au festival de Cannes est un thriller fantastique intriguant. En effet l'histoire retrace la lente descente aux enfers d'un couple enfermé dans une mystérieuse maison, le rythme est assez lent il ne passe pas grand chose cependant l'atmosphère devient suffocante au fil du temps avec un final glaçant, le réalisateur dénonçant notre société de plus en plus deshumaniser et impersonnelle.
Franchement bof. Bon faut dire qu'au départ j'aime Jesse eisenberg, il n a aucun charisme à mon goût, creux et surf toujours sur le même registre. Ensuite effectivement on attend des réponses jusqu'à la fin et puis rien. Alors en général j'aime bien les fins où nous devons réfléchir , laisser infuser le film, mais la pfff trop de possibilités d'interprétation possible . Bof bof bof
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0,5
Publiée le 19 mai 2020
Vivarium commence par des images étranges des premiers cycles de vie d'un coucou. Le film semble mettre en place les profils de personnage de Poots et Eisenberg. Les 30 à 45 premières minutes semblent contenir une intrigue intéressante. Après cela tout tombe à plat. Le développement des personnages s'envole par la fenêtre et le film prend un cycle répétitif déprimant, jusqu'à ce qu'il se termine sans aucune explication réelle. Il n'y a pas de point culminant majeur dans le film. Il n'y a pas de fin heureuse. Si vous vous endormez et que vous vous réveillez 30 minutes plus tard, vous serez de retour là où vous avez commencé car rien n'aura changé. Pas d'intrigue, pas d'histoire, pas de dialogues rédempteurs. Une perte de temps totale qui ne vous laisse aucun sentiment. Les métaphores étaient superficielles, prétentieuses et le rythme du film était terrible. Et il n'y avait pas aucun rebondissement. Vous pouviez voir beaucoup de choses venir à un kilomètre. J'aurais voulu ne jamais avoir vu ça et n'avoir pas perdu mon temps...
Nous sommes beaucoup habitué aux «happy ending» pour pouvoir donner plus de deux étoiles à ce film.
Il est vrai qu'il est très bien joué et qu'il n'y a absolument rien à dire contre la présentation du produit, cependant, le message est trop lourd comparativement à ce à quoi nous pourrions s'attendre.
Propulsé dans un décor magrittien pour une vénéneuse métaphore de nos vies standardisées, le spectateur est vite happé par un phénomène d'identification malaisant qui scotche au canapé. Terriblement intrigant, "Vivarium" joue son atout psychologique à fond jusqu'à en devenir flippant! On peut se passer de la double lecture malaisante pour se limiter au thriller fantastico-psychologique original et tordu qu'il est mais ce serait se priver de la petite musique lancinante qui trotte dans la tête bien après la fin du film.
Une vraie critique sur ce qui peut être la vision de "la vie de rêve" pour beaucoup de gens et sur le revers de la médaille de ce qu'il faut donner pour l'obtenir, a savoir une vie entière de soumission. Une maison basique a 1000 autres semblables, avec une vie basique calme ou rien n'arrive, un quotidien familial redondant. Ce qui pour certain peut représenter la sécurité se montre là sous une forme absolument glauque étouffante et létale. Une réflexion sur la charge maternelle qui ne passe pas inaperçue bien peu peu développée. La finalité peut laisser quelque peu sur sa faim, mais en même temps elle colle parfaitement au propos selon lequel tout n'est qu'un éternel recommencement et met en lumière le fait que pour un petit nombre d'être éveillés des centaines "dorment" encore et vont inconsciemment droit dans l'engrenage de façon volontaire et parfois enjouée. Nous ne sommes que des produits consommables et consommsé par un système qui nous contrôle et nous dépasse, auquel nous ne comprenons rien ou en tout cas pas les grandes lignes.