Mon compte
    Vivarium
    Note moyenne
    2,6
    2772 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Vivarium ?

    339 critiques spectateurs

    5
    27 critiques
    4
    48 critiques
    3
    102 critiques
    2
    66 critiques
    1
    45 critiques
    0
    51 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Frpi79
    Frpi79

    16 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 mai 2020
    Ce film est très étrange...
    Mais il est bien. On est plongé dans une atmosphère un peu angoissante et étriquante.
    La réalisation est bonne. Il y a une légère touche d'humour spoiler: ammenée par le personnage de l'enfant/l'agent immobilier qui est tellement bizarre que cela fait rire

    Toutefois, ce n'est pas le film de l'année non plus.
    elriad
    elriad

    430 abonnés 1 858 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mai 2020
    Il y a d'abord ce lotissement cauchemardesque d'où l'on ne ressort pas. Chaque maison se ressemble et dans chaque pièce un tableau de la pièce dans laquelle on se trouve est accroché au mur. Le décor anxiogène posé, le film peut dérouler son inexorable venin dans une succession de scènes plus schizophréniques les unes que les autres, rappelant souvent l'univers de David Lynch, Il ,est difficile de ne pas angoisser face ce piège où Alice n'est pas ici coincée dans un pays des merveilles, mais bel et bien dans une toile d'araignée qui se tisse sans espoir de fuite à la manière d'une tragédie à laquelle on ne pourra pas échapper parce qu’elle est ainsi écrite. Parfois maladroit, parfois répétitif, " Vivarium " n'es reste pas moins un vrai film créatif, ambitieux et assumé comme on aimerait en voir plus souvent, loin des sentiers balisés et formatés qui ponctuent la plupart des sorties du mercredi. Un film sans issue et sans échappatoire possible autant pouyr les personnages que pour le spectateur pris à la gorge. A voir.
    pfloyd1
    pfloyd1

    128 abonnés 2 106 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 mai 2020
    Il faut souligner l'histoire déjantée qu'il a fallu trouver pour pondre ce "petit film" de science fiction car les 1h37 sont largement longue pour ce qui si passe. On pense même à un petit film expérimental sans début, histoire de se mettre dans le bain de suite et de profiter de l'absurdité délicieuse de ces décors et cet environnement rocambolesque. Alors oui, c'est long parfois car il est difficile de faire évoluer les personnages principaux dans 50m carré autour d'une maison, peu de chose bougent ou ne changent. Cependant on reste accroché jusqu'au bout pour la récompense: connaitre le pourquoi du comment, la fin est tellement attendue..et pas décevante!!
    Mehdi B
    Mehdi B

    31 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 mai 2020
    Un film à voir pendant le confinement.
    Un thriller troublant mais pas un film d'horreur.
    On se pose pas mal de questions.
    RamiValak
    RamiValak

    6 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 mai 2020
    Un message pessimiste, ça aurait pu être intéressant, mais là franchement, c'est un peu idiot et exagère bien trop l'inutilité de la vie pour être pertinent. Ce film a la volonté de ressembler à un épisode de Black Mirror, mais dans Black Mirror, l'univers présenté est toujours une simple prévision de ce qui peut arriver, et il est simple de ramener ce que l'on voit aux problématiques actuelles, et jusque où elles peuvent aller. C'est ce que la science-fiction a toujours fait, construire un univers éloigné du notre dans le but de faire ressortir les problèmes de notre monde à nous. Mais l'univers de Vivarium est assez mal pensé à ce niveau là. L'aspect banlieue aliénante où tout est semblable, oui, c'est actuel, mais je ne trouve même pas que le film aille beaucoup plus loin dans le thème du conformisme. Mais qu'ils soient seuls dans cette banlieue est déjà assez surréaliste, mais tout ce qui tourne autour de l'enfant n'a pas beaucoup de sens, n'apporte pas forcément au message, et c'est signe d'une assez mauvaise écriture selon moi. L'aspect flippant du gosse ne dit rien sur rien, ces écrans étranges qu'il regarde n'ont aucune signification, sa voix, la vitesse à laquelle il grandit, tout cela ne veut rien dire. Le passage où l'enfant (devenu adulte) s'enfuit sous le trottoir est assez attendu, dans le sens où il dit que pleins d'autres couples sont dans la même situation. Et ? La fin est dans cette pleine continuité du "Et alors ?", l'enfant a remplacé le vendeur, et s'apprête à accueillir un nouveau couple, le tout est donc un cercle sans fin, totalement vain. Et là est tout le problème, le film veut faire un parallèle avec la société actuelle, mais ce qui est présenté dans le film est complètement vain, alors que la vie, même si parfois assez vaine en effet, ne se limite pas remplacer et se faire remplacer. Le film laisse entendre que rien ne s'est passé entre le moment où le vendeur vend la maison et celui où il sa fait remplacer. C'est certes pessimiste, et ça pourrait être un parti pris, mais il n'y a rien à tirer de ce film. Et je passe toutes les incohérences de l'univers, qui n'aide pas à rendre tout cela crédible. Visuellement c'est assez correcte en revanche, le passage dans "l'autre monde" avec tous ses changements de couleur est assez simple mais joli tout de même. Le film parvient à maîtriser une seule de ses métaphores, c'est celle des emballages plastique, qui est la seule à être vraiment développer. Reste un film vain, tout comme ce qu'il présente, et même si c'est penser pour être méta, ça reste inutile.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 avril 2020
    Un film prétentieux et d’un ennui abyssal. Il n’y a rien à sauver dans ces 1h30 qui auraient pu tenir en 20 minutes. La 4ème dimension et Black Mirror ont montré qu’on peut dire beaucoup en peu de temps et ce film aurait du en prendre de la graine.
    Les effets spéciaux et les décors sont en carton, ce qui aurait pu être une idée vu le concept de l’histoire, mais ça ne prend pas.
    Le gamin est une tête à claques, ce qui aurait pu aussi être un concept, mais là non plus, ça ne prend pas.
    Tout est mou, les sons sont énervants, la musique est saoulante, les protagonistes sont passifs, les couleurs sont écoeurantes et le scénario doit tenir sur un post-it.
    Si ça se veut une critique de la société moderne, c’est raté parce que ce film en est l’exemple type: vide, prétentieux et inutile.
    Morcar
    Morcar

    21 abonnés 252 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 avril 2020
    Ok, on devine que le message est "Voilà ce qu'on fait vivre aux animaux qu'on met dans un vivarium". Mais était-ce nécessaire de traîner 1h30 pour faire passer ce message ?
    Parce que là, c'est juste long et ennuyant pour rien. Aucun intérêt.
    Florent P.
    Florent P.

    5 abonnés 1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 avril 2020
    Non mais c'est quoi ce film.
    Ni queue ni tête aucune logique, mais le ponpon c'est la fin. Du grand n'importe quoi
    Où il n'y a meme une petite explication.
    Non rien nada, le film se fini point barre.....

    N'importe qui pour réaliser des films avec ce genre de scénario

    Pas d'action, ne fait pas peur, musique d'église la plupart du temps lolllll

    Et c'est lent, lent.... très lent
    Manhattan
    Manhattan

    3 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2020
    Vivarium : " Endroits où l'on garde et on élève de petits animaux vivants en reproduisant leur habitat naturel. " On ne pouvais pas trouvé mieux comme titre.
    En effet, ce film fait l'étude du confinement social, des comportements, et de la reproduction biologique OU PAS, dans une histoire glaucque et horrifique. C'est à ne rien y comprendre et pourtant Vivarium arrive à nous éblouir, sans qu'on ne send rende compte, grâce à une mécanique bien pensée et une esthétique originale.
    L'homme creuse sa propre tombe... À méditer ou pas :)
    S5Clem
    S5Clem

    81 abonnés 435 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 juin 2020
    Tabloïd triste de la reproductibilité de l'être humain et de ses objectifs de vie conformistes et aseptisés. Tous différents et pourtant tous si semblables, rêvant à l'unisson des mêmes réussites uniformisées. Du rêve utopique au cauchemar, la frontière est mince quand on prend conscience de la prison dans laquelle la société moderne et ses chimères nous enferment. Véritablement un chef d'oeuvre, un film qui ne ressemble à aucun autre et qui nous emmène dans son voyage introspectif et métaphorique de la vie en société moderne. Rarement critique philosophique n'a été aussi pertinente sur grand écran. Rien à voir ici avec un Black Mirror, c'est même l'opposé tant tout est à comprendre soit même à l'inverse de la série qui nous mâche le travail de réflexion. Chapeau, même si il est certain qu'il n'est pas à la portée de tous d'en saisir l'essence
    ned123
    ned123

    156 abonnés 1 683 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 avril 2020
    J'ai vu un film... qui surprend par sa forme et le fond... ça commence comme un truc normal pour basculer dans un univers métaphorique de ce que peut être la vie d'une famille qui s'enfonce dans un quotidien routinier et destructeur. Du point de vue de la forme, c'est assez incroyable car cet univers en huis-clos finit par oppresser ce si beau couple qui avait tout pour lui et qui a sombré dans le quotidien, avec pavillon, voiture, enfant (manque plus que le chien... pour le vrai rêve américain)... Et quel enfant... un futur vendeur de pavillon... Le parfait monde consumériste... Et dans ce monde, pas d'évasion possible... L'univers ressemble à un tableau de Magritte ou d'Edward Hopper. Et ce tableau devient un labyrinthe et nos vies deviennent de labyrinthes, et l'on se perd dans le dédale de ses rêves... Il y a de la volonté, de l'ambition dans ce film, et le malaise s'installe... Le jeu des comédiens (Imogen Poots et Jesse Eisenberg) est excellent, et très troublant (Jonathan Aris et Eanna Hardwicke).. Une découverte.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 avril 2020
    Vivarium est un film très bien réalisé et vraiment original, se passant dans un décor particulier.
    C'est bourré d'intrigue, l'atmosphère est pesante et accompagnée d'une bande son qui colle très bien.
    J'ai été effrayé comme si je regardais un bon film d'horreur et quand à la fin du film elle est très marquante et réussie.
    Je me souviendrais longtemps de ce film!
    Gabriel F
    Gabriel F

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 avril 2020
    Vivarium est un film à énigme d'une rare efficacité. L'ambiance est tout bonnement incroyable, notamment grâce au travail réalisé sur la lumière qui est très pointu et intelligent, amenant un filtre surréaliste très réussi et apportant une esthétique très graphique aux plans. D'un point de vue production, ce long métrage est particulièrement malin : peu de décors, quasiment tous les plans filmés en studio. Petit budget, mais grand film. Le jeu est très bon, particulièrement ce mystérieux enfant et ses voix gutturales. Vivarium est une métaphore très bien construite de ce que l'on inflige aux animaux dans nos laboratoires, mais aussi du conformisme induit par notre société contemporaine. Une claque.
    Cinememories
    Cinememories

    481 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 août 2021
    « Without Name » semblait déjà tutoyer l’étrangeté d’un environnement. Et si le festival du TIFF renforçait les désirs du réalisateur irlandais Lorcan Finnegan de penser plus grand, c’est le cas avec cette œuvre qui nous baigne dans l’enfer de la routine et bien plus encore. Toujours suivi par le scénariste Garret Shanley, ce second long-métrage explore une boucle sociale qui touche tous les couples, régis par une société capitaliste et fasciné par la surconsommation. Et c’est en tâtonnant sur l’aspect horrifique et humoristique que le film piégera le spectateur, lui qui peut se croire à l’aise et confortable dans sa demeure, qu’il entretient dans la pression sociale et dans les responsabilités familiales. En filigrane, un air d’étrangeté s’installe alors afin de convoquer plusieurs idées de mise en scène, servant parfaitement les sujets et le décor.

    Tom et Gemma, respectivement campés par les fantastiques Jesse Eisenberg et Imogen Poots, ont tout pour plaire, tout pour réussir et tout pour échouer. Rien n’est tracé d’avance pour ce couple dont la complicité va pourtant être remise en question par le prisme d’un enclos à ciel ouvert. On ne cherche pas à cacher davantage le concept de l’intrigue, on met les pieds dans le plat. La banlieue pavillonnaire reste le blason de la classe moyenne qui cherche à démarrer une nouvelle vie et ce portrait nous est conté avec un cynisme angoissant et intelligent. Le programme est rude et le plan d’action semble redondant, mais c’est justement sur cette boucle que l’on joue avec les nerfs des personnages comme ceux du spectateur. Le monopole revient à cette force invisible, comme un hôte impromptu et qui régule la folie de ses locataires afin de mieux les amadouer. Ce postulat de départ verra ses grandes lignes et métaphores se décrypter d’entrée, mais avec du recul, il est possible de s’y retrouver dans ce labyrinthe mental.

    Le jeu de rôle est une règle imposée et cela nous éclaire un peu plus sur les enjeux. L’anti-portrait des parents se dresse et c’est à nous de recoller les morceaux, afin de mesurer chaque segment du quotidien d’une famille reconstitué et dysfonctionnel dans la durée. Cette problématique finit par prendre le pas sur la performance des acteurs, à l’image de leur liberté qui s’efface petit à petit. Comment élever un enfant devient un sujet dérisoire et le ton est souvent décalé grâce à un humour qui maintient les personnages dans les enfers ? Et avec un sujet si ouvert, l’œuvre n’insiste pas plus pour rendre son concept plus contemporain. L’atmosphère de la « Quatrième Dimension » interagit avec sournoiserie pour que l’on ne perde ni l’intérêt, ni l’espoir de connaître un dénouement heureux. Cependant, le véritable bourreau derrière cette relation toxique nous rappelle ô combien nous sommes petits et formatés pour creuser notre propre tombe, quoi que l’on fasse, quoi que l’on surpasse. Tout est calculé.

    Il a largement fait parler de lui au festival du film fantastique de Gérardmer, « Vivarium » nous poursuivra sans doute encore un moment, grâce à la richesse de ses propos intemporels. Et peut-être que la morale finale nuit à l’engagement d’un public qui se fait inévitablement hypnotiser et consoler, il n’y a pas de choix à faire. Le magnétisme est enclenché et la brutalité du produit peut en laisser plus d’un sur la touche. Dans le cas contraire, la fausse publicité aura de l’impact, jusqu’à atteindre la jubilation d’une aventure vertigineuse et empreint d’une malveillance exposée à l’artificialité de l’existence.
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    191 abonnés 1 429 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 avril 2020
    Dernier film que j'ai vu avant le confinement, jolie ironie ? En tout cas, je l'ai trouvé très réussi et il fait son petit effet. Je le recommande vivement pour un moment artistique et psychologique hors norme.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top