Avis sur Midway

Ce film est particulièrement efficace. Sa réalisation est sans faille et les images sont à vous couper le souffle.... je m'attendais à à un hymne à la gloire des états-unis et à un manichéisme outrancier (les mauvais japonais et les bons américains) : ce n'est pas le cas . La vérité historique semble respectée à 90 % . Par ailleurs, les quelques courtes scènes intimistes ne viennent pas gâcher le rythme très soutenu .du film. Bref, je recommande.....

Six mois après avoir joyeusement bombardé la base américaine de Pearl Harbor (en laissant 2400 cadavres dans leur sillage), les Japonais avaient continué leurs emplettes dans leur conquête du Pacifique jusqu'à récupérer l'ensemble des territoires qu'ils pensaient leur revenir de droit. Emporté par la réussite de ses troupes et espérant avoir une position de force en vue d'un éventuel traité, l'amiral Yamamoto décida en 1942 d'éradiquer une bonne fois pour toutes les forces aéronavales ennemies avec quasiment toute la force de frappe dont il disposait. L'atoll de Midway devînt tristement le cœur de ces enjeux belliqueux où un assaut japonais de grande ampleur devait attirer la flotte américaine dans un piège fatal. Seulement, Yamamoto n'avait pas du tout prévu que les Américains étaient parvenus à décoder sa stratégie et que le Japon allait être ainsi entraîné dans une immense débâcle marquant un tournant décisif dans la Guerre du Pacifique...

Michael Bay avait posé sa caméra sur les événements de Pearl Harbor en 2001, c'était donc à l'autre-grand-bourrin-en-chef-mais-qu'on-aime-bien-quand-même aka Roland Emmerich d'aller mettre la sienne sur ceux en sens inverse de la bataille de Midway, quarante-trois après le film éponyme de Jack Smight et son casting cinq étoiles.
Eh oui, malgré le fait qu'il ait confronté l'humanité à des destructions massives de la main des aliens ou de Mère Nature elle-même, Emmerich ne s'était étonnamment jamais attaqué à un film de guerre stricto sensu. C'est donc désormais chose réalisée avec ce "Midway" qui peut légitimement engendrer quelques doutes après le désastre "Independence Day: Resurgence" et par le fait que la subtilité indispensable à la vérité d'un contexte historique ne fait pas vraiment partie du langage cinématographique d'Emmerich (bon, contrairement à Bay, lui va au moins s'essayer à des films plus modestes comme "Anonymous" et "Stonewall" où il n'a pas besoin de casser tout un continent)...

Heureusement, "Midway" va vite contredire ces craintes en débutant plutôt intelligemment par ce qui gouvernera l'approche d'Emmerich : l'humain en train de façonner l'Histoire à travers ses stratèges et leurs bras armées. Bien loin du spectaculaire attendu, le film débute ainsi par une simple conversation, celle de deux adversaires à distance en devenir, Yamamoto et Edwin T. Layton, l'Américain qui contrecarrera ses plans. Une logique qui s'étend ensuite quelques années plus tard avec l'attaque de Pearl Harbor en elle-même. Si, visuellement, la vision d'Emmerich de l'assaut surprise japonais s'avère bien moins impactante que celle de Bay, elle se différencie néanmoins par son point de vue appuyé sur le regard hagard des soldats pris sous le feu des bombes. Comme un symbole à la démarche d'Emmerich, l'équivalent du fameux plan-séquence mémorable de la caméra embarquée sur la chute d'un obus imaginé par Bay sera ici celui à la hauteur des yeux des soldats sur un de ces mêmes objets meurtriers chutant du ciel.
Le comparatif avec le film de Michael Bay s'arrêtera là à tous les niveaux. Point d'histoire d'amour mièvre ici (Emmerich n'oublie pas de traiter les sentiments malmenés des femmes de militaires mais les laissent en arrière-plan) ou de raccourcis historiques bizarres (le bombardement de Tokyo donnait l'impression de se dérouler quelques jours après Pearl Harbor dans l'Histoire selon Bay), "Midway" va justement s'attacher à la réalité du déroulement des événements et au contrecoup que Pearl Harbor va avoir sur les forces armées des deux camps (enfin, surtout US mais les Japonais ne seront pas oubliés). La montée en puissance du Japon dans sa soif d'expansion d'un côté, le besoin de revanche des soldats américains ainsi que la nécessité de ne pas répéter les mêmes erreurs de la part de leur commandement de l'autre, tout cela explosera évidemment dans l'énorme morceau de bravoure final à Midway où les piqués des avions US pour couler la flotte japonaise donneront le tournis (contrairement aux autres séquences du même accabit et moins abouties l'ayant précédé).
Dans l'ensemble, Roland Emmerich livre donc un film de guerre classique mais incontestablement solide, à l'image de son casting qui ne comprend pas forcément les noms les plus célèbres auprès des spectateurs (bon, on y croise tout de même Woody Harrelson ou Dennis Quaid) mais des acteurs au talent reconnu et taillé pour traduire la stature de ces héros américains malgré les stéréotypes qu'ils induisent (Patrick Wilson et Ed Krein à chaque extrémité d'une génération par exemple). Si, globalement, "Midway" ne marquera sans doute pas l'histoire du genre par son côté attendu, il permet de démontrer à nouveau le savoir-faire efficace de Roland Emmerich dans un cadre plus respectueux de la réalité que son confrère Bay. Pas indispensable mais un rappel bien mené et spectaculaire de cette phase méconnue mais cruciale de la Guerre du Pacifique.

MIDWAY, UN FILM GRAND SPECTACLE, aux effets spéciaux réussis et très intenses. Mais si vous le regardez sans connaitre la vraie histoire, il risque d'être ennuyeux et gavant. Un petit rappel sur la guerre du Pacifique pourrait vous guider et être enrichissant. 1941, la guerre bat son plein depuis 2 ans. Les Etats-Unis reste neutres, mais en cette fin d'année, en Asie, ils imposent un blocus à l'encontre du Japon (allié de l'Allemagne), pour contraindre cette puissance à cesser son occupation de la Chine. Les Américains disposent de forces navales importantes dans la gigantesque base d'Honolulu, dans les iles Hawaï, à Pearl Harbor. L'empire Japonais prend la décision de détruire de nombreuses positions américaine dans le Pacifique, et envoie le 7/12/41 à 7h55 plus de 300 avions de combats attaquer la base de Pearl Harbor. C'est un carnage. Mais 3 porte-avions de la flotte américaine du Pacifique étaient absents ce jour là, L'USS ENTERPRISE, L'USS LEXINGTON; et L'USS SARATOGA. Les américains enterrent leurs morts, et entrent en guerre. L'USS ENTREPRISE, quelques mois plus tard fait décoller des bombardiers pour attaquer Tokyo. Mais les Japonais enregistrent des succès tels que rien ne peut les arrêter au printemps 1942. Le 7/05/42 se déroule la bataille de la mer de Corail dont l'objectif est de défendre l'Australie. Elle se solde par la perte du porte-avions LEXINGTON, et de gros dommages au porte-avions YORKTOWN. Le YORKTOWN sera réparé à la va vite, pour être dirigé vers l'atoll de Midway. Là, se trouve une base de soutien de la marine américaine, qui offre par sa position, un appui certain à la flotte américaine du Pacifique. Les Japonais ont l'intention d'y débarquer des troupes. S'ils atteignent cet objectif, ils auront vu sur les cotes Ouest de l'Amérique. Pour leur faire face, les américains ne disposent que de l'ENTERPRISE, du YORKTOWN et du HORNET, mais surtout de l'effet de surprise. Les Américains sont renseignés sur les intentions des Japonais, mais aussi que ces derniers tiennent comme info, que le YORKTOWN est indisponible. Les japonais ont donc toutes les raisons d'être confiants, ignorant que 2 flottes Américaine se croisent au nord-est de Midway. Le 3 juin, un appareil de reconnaissance repaire le convoi Japonais. Le lendemain, des bombardiers Américains décollent de l'ile de Midway pour attaquer cette flotte. Il ne faut surtout pas employer d'aviation embarquée, qui trahirait la présence des porte-avions. Cette attaque est un échec, mais elle a pour effet de convaincre les Japonais qu'il est nécessaire d'attaquer les défenses de l'ile avant de débarquer les troupes. Des bombardiers japonais décollent alors des porte-avions encadrés de chasseurs zéro. L'Amiral Nagumo, qui commande cette flotte d'assaut, ignore que les Américains ont repéré ses porte-avions déployés en retrait de la flotte d'invasion et que le HORNET et L'ENTERPRISE sont désormais à une distance qui permet à leur 150 appareils d'attaquer. Le 4 juin, vers 9 heures, la vague d'atttaque des Américains arrive au-dessus de la flotte Japonaise. C'est un désastre du coté Américain. Beaucoup d'avions ratent leur cible. La joie japonaise va etre de courte durée. A 10h25, l'escadrille de bombardiers en piqué de L'ENTERPRISE, s'étant égarée, entre à son tour dans la bataille accompagnée d'un sous-marin. Les porte-avions Japonais deviennent alors de gigantesques brasiers et coulent définitivement. A partir de juin 1942, les Japonais ne feront plus que reculer face à la puissance Américaine. De bels instants de bravoure que nous fait revivre ROLAND EMMERICH, par son long-métrage très captivant, et très mouvementé. A découvrir rapidement par tous les passionnés de films de guerre.

Ben oui, y a plein d'effets spéciaux - sinon vous imaginez le budget et la pollution ? Ben oui, y a plein de clichés, mais il y a pas 36000 façons de faire la guerre. Ben oui, les dialogues sont platounets, ce sont des militaires, pas des poètes...
Pour ceux qui ne se rappellent plus exactement des faits de la guerre du Pacifique. Pour ceux qui veulent savoir en quoi consistait vraiment des attaques aériennes, remarquablement reconstituées. Pour ceux qui ne veulent pas s'ennuyer au cinéma. C'est beaucoup moins plan plan qu'un épisode des Têtes Brûlées. Le but du film est atteint, le film est donc réussi. Et en plus, il y a un clin d'oeil (!) à John Ford.

Roland Emmerich signe un film qui donne une idée claire de ce que fut la Guerre du Pacifique….Pearl Harbour a déclenché l'entrée en guerre des USA le 7 décembre 1941….. La puissance nipponne est à son apogée…..Le tigre américain se réveille et en quelques mois, cinq ou six va organiser la riposte ; MIDWAY . Il existe de bons livres sur le sujet, qui préciseront les fait du film.. ( Je crois que celui de George Blond est un des meilleurs, il m'avait passionné quand j'avais treize ans….La Guerre du Pacifique fut centrée sur l'histoire de l'Enterprise (fleuron de la flotte américaine, un porte avions)...Le film de Emmerich suit un peu cette idée en nous proposant de suivre l'histoire de plusieurs officiers ou aviateurs embarqués sur ce bateau...La guerre du Pacifique fut une guerre de porte avions...Il fallait à tout prix détruire ceux de l'ennemi….Le film a quelque chose comme une patine, qui ferait presque croire à des images d'époques, C'est un parti prix intelligent et qui permet de rendre très crédibles certaines scènes….Les scènes de Combat sont souvent magnifiques (notamment celles de la bataille de Midway en immersion ICE) et montrent la stratégie du Piqué pour les chasseurs bombardiers (les zéros japonais étaient plus performants que les chasseurs américains, qui répondaient par la bravoure bien souvent)...Le film est assez précis historiquement, et donne les dates des évènements, il eut peut être été judicieux de construire des chapitres…..C'est un film bien Loin de Pearl Harbour dans le scénario et l'esthétisme...Je me répète , celui ci est plus réaliste et plus proche techniquement des années 50, 40 donc plus fidèle à l'histoire....c'est un plus….Il y a quelques personnages principaux (avec entre autres Dennis Quais, Woody Harrelson, Aaron Eckhart, Paul Wilson que les cinéphiles reconnaitront malgré leurs grimages et leurs uniformes)….Le film techniquement est abouti, les avions, les décollages, les ponts de porte avions, montrent avec exactitude les défis de cette guerre qui fut "moderne" à plus d'un titre (il faut voir aussi les moyens de transmissions ( internet n'existait pas, mais c'était tout aussi efficace)...bref ce film nous apprend beaucoup de choses, avec un mélange de romantisme et un souci de reconstitution, qui en font une jolie réussite...Je n'ai pas senti le temps passer, c'est bon signe, et c'est ça aussi la Guerre du Pacifique….Je conseille

On pouvait s'attendre à un gros navet intersidéral comme Roland Emmerich nous avait habitué après 2012. Alors on est très loin du Dunkerque de Christopher Nolan , mais le film évite le naufrage (lol !) car au moins il colle à l'historique de la bataille et présente les événements correctement. On reste bien en dessous du film de 1976 de Jack Smight , la Bataille de Midway car la plupart des scènes d'actions sont irréalistes et veulent en mettre plein la vue, plutôt que de s'attacher à ce qui se passait en réalité. Exemple : Un SBD Dauntless en fin de piquée à 400km/h ne touche pas l'eau, sinon c'est le crash. On est donc plus dans les inepties du film 2012 sur ce sujet. En 1976 le film avait largement réutilisé les documents d'époque pour ses scènes de bataille et rendait donc l'action beaucoup plus prenante et réaliste. C'est donc une déception, en 2019 avec autant de moyen technique, Emmerich rend une copie digne d'un jeu vidéo d'arcade, ce qui est dommage pour un film historique. On peut aussi noter des erreurs de traduction dans la VF : missile pour torpille, c'est quand même un peu ballot à ce niveau. Par contre l'idée de se focaliser sur la réalité de quelques personnages marquant de la bataille est plutôt une bonne chose et rend une humanité certaine et sauve le film. Jack Smight avait été obligé d'intégrer un personnage fictif à l'époque , pour Charlton Heston. Bref on part de loin avec Emmerich et il arrive enfin à faire un film moyen après une carrière consacrée aux navets.

Une "suite" du film Pearl Harbor particulièrement bien réussie. On en a pour notre argent (surtout en salle ICE) avec de magnifiques et prenantes scènes de combats aériens. Tous les acteurs jouent parfaitement bien leur rôles de soldats intrépides et courageux. Le réalisateur Roland Emmerich développe bien la stratégie japonaise ainsi que la contre-attaque des services de renseignements américains. Voici un film à classer parmi les classiques sur la Seconde Guerre Mondiale.

Revoici Roland Emmerich à la réalisation après les mémorables "Stargate, la porte des étoiles", "Independance Day", "Godzilla", "The Patriot", "Le Jour d'après", "2012", "Independance Day: Resurgence" : que du spectaculaire réussi !
1942 : Le Japon a réveillé un géant avec cette terrible attaque sur Pearl Harbor, le combat du Pacifique s'engage alors autour des îles Midway...
Ce film de guerre est un ton en dessous du brillantissime "Pearl Harbor" de Michael Bay (2001), mais je dois reconnaître que les 2h19 passent très vite et de façon ébouriffante !
Le spectateur est totalement immergé dans cette reconstitution historique charnière de la deuxième guerre mondiale.
Un bon divertissement militaire rempli de testostérone américano-nippone.
Site www.cinemadourg.free.fr

Ça faisait un bon moment qu’on n’avait pas vu de vrai film de guerre au cinéma, surtout un film de bataille naval et aérienne. On peut dire que si on voulait du spectacle, on a été servi ! Ce film est un condensé d’action, d’affrontement effréné, c’est franchement intense ! Le scénario par contre se résume à quelques courtes scènes, quelques échanges entre les batailles, puis une date pour les resituer chronologiquement. Ça manque en fait d’une vraie histoire, (dommage pour un film historique !), plus d’échange entre les protagonistes, des intrigues à l’échelle humaine plus poussées et pas que sur la guerre. Les batailles, aussi impressionnantes soient-elles, sont un peu répétitives au final. Ça semble aussi un peu trop exagéré, très « star wars », la crédibilité en pâtit. Bref, à vouloir trop en faire, parfois on en fait trop ! Midway reste cependant un film très grand spectacle, visuellement bluffant, mais manquant un peu d’âme.

Je rentre tout juste du cinéma.
Pour replacer le contexte : je suis passionné par l’Histoire de la Seconde Guerre Mondiale et j’ai quasiment vu tous les films sur cette période.
Le premier quart du film est longué, la description de l’attaque de Pearl Harbor est succincte MAIS ses tenants et aboutissants extrêmement bien peints et juste : ils appuient sur les éléments clés : sur ce qui aurait put où dut se produire si les stratèges avaient été écoutés et non les idéologues.
Ensuite, ils peignent bien les conséquences de telles ou telles stratégies qui ont été mises en places. L’Humain est au cœur du film exactement comme dans le film la Ligne rouge où les séries Band of Brothers mais aussi la barbarie qui façonne les Hommes exactement comme le film et les séries pré-citées.
Les scènes d’attaque des portes avions sont effroyables de réalisme et cela met vraiment bien en lumière l’insuffisance technologique et technique des américains.
Ce que j’ai également apprécié dans ce film c’est qu’il y est rendu hommage à tous les seconds couteaux ( décodeurs, mécaniciens, sous mariniers, artilleurs, radio...) pour leur participation à l’effort de guerre et sans qui rien n’aurait été possible.
Si j’ai un reproche à faire c’est pour une scène après qu’un porte-avions japonais ait été bombardé : dans la réalité ce navire a été touché par des bombes mais il aurait put être sauvé, ce qui l’a détruit c’est une erreur d’un contremaître qui mis le système de ventilation en marche et qui provoqua la propagation des vapeurs d’essence et fit s’embraser le navire ; dans le film c’est dit exactement le contraire et ce sont les bombes qui ont détruit le navire.
Pour conclure, c’est un film exceptionnel qui rend un bel hommage aux divers combattants; selon moi le film aurait mérité largement de durer 40-60min de plus pour détailler plus les batailles. Ce film se hisse au et fort dans les grands films réalistes de guerre au même titre que Band of Brothers, les heures sombres, la Bataille des Ardennes, la Ligne rouge, ou bien Dunkerque.
J’oubliais les acteurs sont grandiloquents notamment celui qui interprète Nimitz ( vu dans Hunger Games).
Un film que je recommande au plus haut point

Film vraiment moyen. Son point fort, c'est son visuel : les effets spéciaux, les scènes de guerre, autant aériennes que sur la mer... Mais c'est son seul atout. Dans ce genre de film, on croirait que la guerre est un jeujeu, les personnages sont prévisibles, l'acteur qui incarne Dick Best est tellement antipathique, on a juste envie de lui mettre des claques. Et les dialogues sont d'une nullité, du genre « allez on va tous les dégommer ! » en tirant une dernière taffe et en jetant sa clope... Bref c'est surjoué, sans émotion et trop patriotique. Les effets spéciaux ne relèvent pas le niveau, on a vu largement mieux en film de guerre.
http://cinephile-critique.over-blog.com

Oui oui oui et re-oui les américains vont gagner!!! Alors évitons les critiques habituelles sur les gentils américains qui vont détruire les méchant car qu' on le veuille ou non c est factuel et l histoire à belle et bien été écrite dans ce sens et tant qu' Hemett Brown ne prendra pas sa DeLorean pour le changer et bien ça restera comme ça!
Ce qui nous intéresse c est la prouesse visuelle du film....et la c est une franche réussite! J adore les warbird de la ww2 et la c est franchement bien fait, les scènes d explosions sont fabuleuses, les dégâts et l action au combat de très haut niveau.
Point de vue casting c est lèché et sans accrocs...
C est tout aussi intéressant à regarder qu' à comprendre.
A noter une bande son parfois délicieusement oppressante et parfaitement callé.
Bref pour amateur du genre ( dont je suis ) le film est top....pour les autres c est un bon film également.

vu en 4dx : incroyables scènes d'actions a couper le souffle
un grand film de Emmerich qui retranscrit cette bataille

Excellent film. Je viens de sortir de la séance et je trouve personnellement que c’est l’un des meilleurs films narrant une bataille de guerre de la seconde guerre mondiale. Et les plans sont superbes et les batailles sont très bien réalisé, et on ne tombe pas non plus dans le film inintéressant de guerre ou il y a juste Que des séquences bombardements explosion des grands cliché américain. Ça reste quand même dans ce style là mais c’est très bien réalisé. Je suis ravi du film et je le conseille vivement d’ailleurs petit plus, je l’ai vu en 4DX et je vous conseille vraiment de faire comme moi, car l’expérience est unique

C’est un bon film pour ceux qui aiment le genre. Synopsis : la bataille des îles Midway dans le Pacifique entre Japon et USA en 1942. C’est le plat principal. Vu surtout du côté américain ; et vu un peu (c'est méritoire) du côté japonais. Mais on appréciera d’abord les entrées, en l’occurrence une réunion feutrée et signifiante en 1937 entre américains et japonais ; et surtout l’attaque de Pearl Harbor en 1941, qui est le meilleur moment du film, montrant sur les visages, bien et vite, la cruauté et l’horreur d’un monde imbécile. Ensuite le film nous enfonce dans le fauteuil, soit en raison des scènes de guerre, époustouflantes, soit parce qu’on s’endort ––faute de suspense (forcément c’est un chapitre d’histoire-géo dont on connaît la fin), faute d’acteurs auxquels s’attacher, ou simplement faute de bien comprendre tout ce qui se passe (les détails tactiques sont trop compliqués, et on se demande d’ailleurs la part de l’invention dans le film ––y compris les gesticulations de John Ford). On peut regretter peut-être que le rôle des crackers de code ne soit pas plus montré, puisque la victoire des américains reposait quand même dessus, avant de reposer sur ses casse-cou dans les airs. Le rappeur et acteur principal Ed Skrein (qu’on vient de voir dans Maléfique 2) est celui qui délivre sans sourciller le message fort du film : à un jeune soldat qui a perdu confiance en lui-même et qui a peur, il le rattrape au vol en lui disant « peu importe qu’on ait confiance en soi ou non, il faut se dire que c’est le destin ». Le message. A.G.