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    In the Fade
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    226 critiques spectateurs

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    Agathe R.
    Agathe R.

    13 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 janvier 2018
    Film bouleversant et d’une justesse incroyable !! Pourquoi tant de mauvaises critiques ? Parce que l'attentat vient de néonazis et que Fatih Akin est turc ??... L'interprétation de Diane Kruger est remarquable.
    Matching P.
    Matching P.

    14 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 janvier 2018
    Le titre original est « Aus dem Nichts », « de nulle part », « du néant ». Pourquoi mettre un titre anglais à un film allemand ?
    Après des enquêtes bâclées, il a fallu cinq ans à la justice allemande pour trouver les vrais coupables d’une série d’attentats perpétrés entre 2000 et 2006. La police s’obstinait à chercher dans le milieu des immigrés turcs et kurdes, privilégiait un règlement de compte tout en négligeant la piste raciste. Depuis quatre ans le procès se traîne à Munich.
    C’est dans ce contexte que Fatih Akin, metteur en scène allemand né de parents turcs, a voulu exprimer sa colère et se venger à travers ce film. Ce n’est pas un film historique parce qu’il s’éloigne des faits réels, mais en s’appuyant sur eux, il y apporte plus de profondeur. Ce n’est pas non plus un film objectif, il filme du point de vue de la femme, en fait la troisième victime de l’attentat, et entraîne avec lui le spectateur. Nous ressentons la même colère contre la justice et ses préjugés.
    Diane Kruger en ange de vengeance est parfaite ; de femme anéantie par le chagrin elle passe par la révolte pour finalement agir. S’il n’y pas de justice, alors il y aura la vengeance !
    Elle joue admirablement, on est touché par son jeu. Elle incarne parfaitement son personnage nuancé qui n’a pas eu une vie toute lisse. Avec son amie elle s’exprime dans un langage assez ordinaire (pour moi une petite révision du vocabulaire…) Elle a arrêté ses études pour se marier avec un trafiquant de drogue turc emprisonné, mais à sa sortie ils se sont stabilisés pour mener une vie normale et elle s’épanouit dans son rôle de mère.
    On peut trouver certaines scènes et personnages très clichés, comme l’image du bonheur familial ou l’avocat cynique de la défense.
    Peut-être le film a trop d’exigences : Sur fond de fait réel il utilise le genre du thriller politique pour représenter une société allemande avec ses mouvements néo-nazi et une justice avec des préjugés. Sa colère est si forte qu’il arrive à manipuler le spectateur pour l’inciter à approuver la thèse de la vengeance. Mais par moment, il frôle le mélodrame, ce qui est en partie compréhensible par son engagement personnel.
    Malgré ces quelques réserves, nous avons souffert avec une Diane Kruger exceptionnelle qui mérite son Prix d’Interprétation à Cannes ! Elle souligne l’universalité du film : « C’est terrifiant, ce film pourrait se passer n’importe où, en Amérique, en France ou ailleurs dans le monde. »
    Un film courageux qui est loin d’être parfait mais qui incite à la réflexion.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 janvier 2018
    Les acteurs sont tellement vrais qu'on croirait regarder un reportage.
    Et Diane Kruger crève l'écran....
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 24 janvier 2018
    Le film ne m'a pas plu du tout ! Outre l'histoire très prévisible celle-ci est affreusement manichéenne (les bons turcs contre les affreux nazis). Dans une Allemagne très " merkelienne" ou le melting-pot culturel devient une deuxième nature, tout le monde perd son âme. Dommage pour la très séduisante Diane Kruger, tatouée à mort dans le film, qui ne parvient pas à sauver ce film complètement délégitimé par son propos. Cette histoire désespérée et désespérante de la société allemande "post occidentale" est complètement ravagée par la culture de mort. A rajouter dans le "kit suicide" qu'on doit bien trouver en ligne maintenant sur internet... Je sauve seulement le procès devant la cours de justice allemande qui a une vraie valeur documentaire. Yves B du B
    Stephenballade
    Stephenballade

    383 abonnés 1 236 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 janvier 2018
    Saviez-vous que le cinéma n’a jamais été un rêve d’enfant pour Diane Kruger ? Cela va en interpeller plus d’un, et pourtant c’est la stricte vérité. En effet, du village allemand où elle a grandi, cet horizon lui paressait trop inaccessible. Mais sa vraie passion à elle était la danse. Le destin en décida autrement, le jour où une blessure au genou brisa définitivement ses ambitions. Le hasard fait que son chemin croise la route de Luc Besson puis de Guillaume Canet qui lui offre son premier grand rôle dans "Mon idole". La suite, vous la connaissez comme moi : une formidable carrière internationale. Mais jamais de prix obtenu. Du moins jusqu’à "In the fade". Par ce film, c’est le temps de la consécration pour la plus française des actrices allemandes. Et il aura fallu pour cela qu’elle retourne dans son pays d’origine pour tourner son premier film en allemand et enfin remporter le prix d’interprétation féminine au Festival de Cannes 2017. Un prix qu’on imagine fort bien pour elle comme… inattendu. Et qui lui offre une sacrée revanche sur sa vie d’artiste. Eh bien franchement, ce prix n’est pas volé, tant sa prestation est saisissante. Remarquez, "In the fade" aurait souffert si elle n’avait pas été aussi sidérante, parce que tout le film repose sur elle. Imaginez que vous perdiez d’un seul coup deux de vos proches, dont un fils (ou une fille). Essayez d’imaginer qu’ils ont été tués alors qu’ils n’auraient pas dû mourir, à cause d’une bombe artisanale placée dans une rue commerçante. Imaginez la douleur d’une mère devenue subitement orpheline de son enfant et veuve. Vous n’y arrivez pas ? Je comprends : il n’y a guère que les personnes qui ont vécu ce genre de drame qui peuvent y arriver. Car même en redoublant d’efforts pour l’imaginer jusque dans ses moindres détails, je pense que nous resterons malgré tout loin du compte. Ne vous en faites pas, c’est ce que nous propose Fatih Akin. Et il nous le propose comme une espèce de dissertation, une dissertation développée en trois chapitres encadrés par une introduction et une conclusion. L’introduction est sous le signe des temps heureux : on voit un homme se marier au sein même d’une prison. Cependant on est cueilli à froid par une image dégueulasse. Rassurez-vous : ce sont en fait des images de type amateur. Puis intervient une première ellipse. Nous retrouvons le couple dans une vie normale, dont le fruit s’est matérialisé par un enfant. C’est le début du premier chapitre, intitulé "La famille". Ce chapitre sera suivi de deux autres, titrés respectivement "La justice" et "La mer". Au cours de ces chapitres, le récit se focalise sur la descente aux enfers de Katja. C’est à partir de ce moment que Diane Kruger peut laisser exprimer son immense talent en dramaturgie, dont nous en avions déjà eu un échantillon (et quel échantillon !) à travers le premier film de Fred Cavayé, j’ai nommé "Pour elle". Grâce à son époustouflante interprétation, on ressent toute l’horreur de la scène qui la fouette comme une immense lame de fond spoiler: (olala ! ses cris, qu'ils sont déchirants !)
    , cette panique qui la submerge, cette incompréhension qui lui fait perdre tous ses repères, cette douleur qui la noie dans un engrenage de colère. Pour résumer, habitée par ce rôle, Diane Kruger semble vivre ce que vit son personnage avec une rare intensité. Et le spectateur se voit réduit à la soutenir comme il peut, à l’image de l’entourage venu l’épauler mais complètement démuni face à ce genre de choses. Alors bien sûr, ce que je dis pourrait vous faire entrevoir ce film comme une longue litanie. Et il est vrai que ça peut ne pas trop donner envie d’aller le voir. Mais il n’y a pas que ça : le spectateur va être scandalisé par certains faits. A commencer par les beaux-parents, en particulier la belle-mère, cette femme sans cœur qui ne pense qu’à son chagrin et qu’on rêve de voir se faire insulter, voire même gifler. Et puis le tribunal, où se joue le procès d’un attentat au cours duquel les avocats se livrent une bataille sans merci. Bien sûr, la cause du spectateur penche inévitablement du côté de la victime, mais il sera quand même offusqué par les pratiques de l’avocat de la défense (entre autres). Tout cela pour en arriver à une chute brutale, que le spectateur sent venir mais qu’il refuse d’envisager. Et c’est là-dessus que le film se conclue, sur une note de synthèse élaborée en plusieurs tableaux. Le générique de fin arrive, et c’est encore groggy par les multiples chocs qu’il sort de la salle. Dans tous les cas, il ne faut pas se fier à ce que disent certains journalistes, parce qu’ils n’ont rien compris. Dire que ça déborde de pathos… oui c’est vrai. Mais dans ce cas c’est utile, au risque sinon de déshumaniser le propos. Mais OSER dire que nous avons là « une éloge de la violence kamikaze »… euuuuh elle est où l’éloge ? Au contraire, et c’est là que je rejoins le propos de l’internaute cinéphile elbandito, le film dénonce ces violences gratuites que certaines idéologies imposent. Quant à la fin, finalement… ne correspond-elle pas à la psychologie du personnage principal ? spoiler: Une chose est sûre : il ne devrait pas être révélé au tribunal les recettes détaillées d’une bombe artisanale. Après tout, nous ne sommes jamais à l’abri d’une vengeance…
    mamienou59
    mamienou59

    1 abonné 37 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 janvier 2018
    Un thriller bien mené du début à la fin on ne s'attend pas du tout à partager toutes les douleurs de cette mère et épouse après la perte de son enfant et de son mari ,dans ce rôle Diane Kruger maîtrise les émotions ,les regards ,la dureté de tous les événements que cette femme vit autant tous les jours et surtout au tribunal DUR ne rien ressentir pour un fait basé sur du réel qui nous donne des frissons et nous fait penser à tous les attentats de ces dernières années .
    Fatih Akin a bien choisi sa distribution et sa réalisation est pleine de sensations tristes et fortes
    Wilma P
    Wilma P

    11 abonnés 268 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 janvier 2018
    Je ne conteste pas l’interprétation de Diane Kruger mais la faiblesse du scénario qui est un peu trop manichéen donc un peu déçue
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 24 janvier 2018
    Film poignant très bien fait. Je ne comprend pas bien les critiques de la presse spécialisée. Sont ils du coté des accusés? Evidemment le verdict du tribunal est surprenant, mais sinon il n'y aurait pas de film. Ce qui me trouble le plus c'est que camping car ne soit pas de niveau.
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    51 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 janvier 2018
    Vu et avis le 20180123

    Bien fait crédible et intéressant

    J'ai entendu des critiques très mauvaises, en voyant la première scène du film - le mariage, j'ai été atterré et j ai cru que j allais passer un très mauvais moment. Caméra à l épaule complètement ratée. Prétention artistiques, de mise en scène désastreuse, cela m a mis en très mauvaise disposition. L image est floue, même lorsqu'elle arrête de bouger pour zoomer sur la mariée, la caméra continue à bouger inutilement. C'est prétentieux, inefficace et contre productif.

    De ce fait, il faut un certain temps ensuite pour oublier ce début. Au fond ça va assez vite, le film est suffisamment prenant pour passer outre.
    Koalahama
    Koalahama

    7 abonnés 198 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 mars 2018
    Chef d’œuvre. Diane Kruger tient son rôle à merveille et les trois parties de ce film sont très prenantes. A voir !
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    72 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 janvier 2018
    En raison du sujet du film, j'avais beaucoup de craintes sur "In the fade". Aborder au cinéma un sujet aussi complexe, actuel et fort qu'est le terrorisme me paraissait presque mission impossible et pourtant, Fatih Akin s'en est à mon sens vraiment bien tiré. Divisé en trois parties, le long-métrage est brillamment mis en scène et propose un message, certes discutable, mais indiscutablement osé et plus complexe que l'on pourrait le croire. La première partie pose les bases du récit et offre des séquences assez immersives chargées en émotion. Bien que le cinéaste ne prenne parfois pas assez de recul sur les actes de la principale protagoniste, il pose des enjeux moraux clés passionnants qui permettront au long-métrage d'évoluer. Ainsi, la deuxième partie est à mon sens la plus réussie tant elle frôle la perfection. Les scènes de procès sont superbement mises en scène, installent une véritable tension dramatique et permettent au film de prend une ampleur morale inattendue. Au delà d'aborder, comme l'on pourrait s'y attendre la question de deuil, Fatih Akin interroge les mécanismes judiciaires et les fondements même de la société allemande. Les différents dilemmes moraux qui jalonnent le long-métrage sont représentés au sein de cette partie dans toute leur complexité et sans qu'aucun raccourci ne soit fait. C'est je pense la troisième partie qui a posé problème à la presse française, en particulier sa fin osée. Je ne pensais pas que le film finirait ainsi mais je comprend tout à fait le choix du cinéaste qui, contrairement à ce que j'ai pu lire, ne renonce absolument à ses convictions humanistes et ne fait encore moins un éloge des kamikazes. J'ai perçu cette fin comme une critique directe du système judiciaire allemand, présenté comme le principal fautif du destin tragique de la personnage principale. En effet (attention spoiler), c'est lui qui, par le biais du procès, spoiler: redonne d'abord vie à Katja qui renonce au suicide, avant que son incapacité à rendre la justice ne pousse Katja à se faire sauter, entraînant les terroristes dans sa mort. Le film ne justifie pas l'acte de Katja, il cherche à montrer comment inefficacité du système en place a conduis sa principale protagoniste au suicide
    . C'est une fin à laquelle on peut ne pas adhérer mais qui reste porteuse d'un message fort et indéniablement très impactant. A l'image de la superbe performance de Diane Kruger, je trouve ce film très réussi et vraiment important par son sujet qu'il traite de manière très courageuse.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 janvier 2018
    Diane Kruger porte ce drame intense et puissant du début à la fin sans jamais trop en faire ni pas assez. In the Fade est une réussite, qui souffre uniquement d’un léger bémol simplement technique : la réalisation n’est pas extraordinaire, certains mouvements de caméras sont brusques et agressifs. Probablement une volonté du réalisateur mais qui rend un aspect désagréable à l’écran. Néanmoins, le reste est maîtrisé d’une main de fer : le scénario, bien qu’assez simple, est rythmé grâce à sa structuration en trois chapitres. Le film, bien que dénué d’action, est poignant et fascinant, et très dur à voir. Certaines scènes sont difficiles, violentes, crues, aussi bien au niveau des enjeux que des dialogues. Un film allemand impressionnant et touchant, perturbant et marquant, qui mène à un dénouement un poil prévisible mais très efficace et inévitable.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 23 janvier 2018
    J'ai du respect pour Fatih Akin qui est un grand cinéaste et qui a fait de très beaux films. "In the Fade" a un bon point de départ je trouve, prendre l'angle du néo-nazisme est un autre point de vue que le cinéaste assume. Et il y a une vraie inquiétude nationaliste dans certains pays de l'Europe actuelle. Personne ne remettra en cause la performance de Diane Kruger qui incarne bien son perso, il y a de beaux passages sur sa gestion du deuil.
    Mon malaise vient plus du scénario et de la psychologie du personnage en fait. Plus je repense au film et plus je me dit que le traitement du procès me gène. Les éléments de la partie adverse seraient à la limite des circonstances atténuantes pour leur peine. Mais là c'est trop faible: un agenda falsifié et une clef sous une pierre pour faire douter les juges. Alors qu'en face, l'héroine a vu la fille avec le vélo, que tous les éléments sont retrouvés dans le garage..... Il y a la drogue certes. Mais là aussi c'est pas suffisant. L'avocat le dit lui même d'ailleurs, que devant l'accumulation des preuves, le test est infamant et il ne changera rien aux preuves.... Moi je trouve que les choses ne sont pas assez bien amenées pour qu'on puisse y croire. Et la réaction des juges est tellement aberrante que ça ne passe pas. Un verdict comme ça dans l'Allemagne aujourd'hui, je pense que ça ferait un buzz médiatique européen perso.... J'ai donc un souci de crédibilité, c'est comme si on avait essayé de me faire gober une pilule sans me la faire avaler. Ca passe mal...

    La deuxième chose qui me trouble c'est la crédibilité psychologique du personnage dans la dernière partie. Le perso manque cruellement d'intelligence et de bon sens... Elle débarque dans la gueule du loup comme ça pour vérifier l'agenda de l'hôtel du néo-nazi ? Et bien évidemment qu'elle manque de se faire tuer et prend la fuite ! ... Puis elle se met sur google et fabrique une bombe, comme si elle venait d'avoir cette idée à l'instant... Avant d'avoir son dilemme pour se faire exploser avec au final... J'ai un peu de mal en y repensant. Ses réactions me gênent, son caractère de femme qui veut se venger n'a pas les réactions adéquates. Et ça m'a fait comme au procès, c'est pas traité en profondeur pour qu'on arrive à bien s'identifer. Je parle bien sûr pour moi, c'est un film que j'aurais envie d'aimer mais j'arrive pas à me détacher de ces malaises.
    Voilà. Dans le genre femme bien caractérisée qui veut réagir, je vous conseille moi aussi "les panneaux de la vengeance" où les perso sont bien mieux creusé.
    Padami N.
    Padami N.

    60 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 janvier 2018
    la prestation de D.Krugger dans la douleur et la recherche de l oublié est excellente .le contexte politique et social est vite traité .la police pense turc déjà emprisonné donc il s'agit d'un règlement de compte..puis dès que les nazis sont inculpés on a droit un procès qui fait monter la haine et donc à une fin vengeresse prévisible facile.Dommage à la fin j'avais l'impression de voir un revenge movie américain de série b
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 janvier 2018
    Très prenant; on se met vraiment à la place du personnage principal et par là même, on comprend ses émotions, ses réactions, ses actions ...
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