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    Les Feux de la rampe
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    chrischambers86
    chrischambers86

    13 699 abonnés 12 420 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 avril 2019
    Le monde entier est une scène dont la rue est le plus beau dècor! Bien que son dada soit le cinèma comique, tous les films de Charlie Chaplin ne sont que des histoires d'amour extraordinaires, dont la sensibilitè dèpasse toutes les limites du sentimentalisme lorsqu'il se penche sur des caractères de femmes èmouvantes comme la danseuse Terry dans "Limelight" que joue merveilleusement Claire Bloom, pourtant prête à tout pour faire le bonheur de Charlot en aggravant sans le vouloir sa solitude. "Limelight" peut être considèrè comme la plus pathètique manifestation de la dèmesure de son auteur et sans doute l'un des plus beaux mèlodrames du cinèma! C'est en 1952 que Charlot rèalise son dernier film amèricain avec le lègendaire Buster Keaton dans la distribution! Histoire magnifique et vieux clown (inoubliable Charlot) songeant à ses succès passès, celle d'un acteur comique tombè dans l'alcoolisme qui recueille une jeune danseuse paralysèe après une tentative de suicide; il lui redonne confiance et parvient à lui faire surmonter sa maladie au point qu'elle devient une grande star; au cours d'un gala organisè en son honneur, il accepte de remonter sur les planches et obtient un succès exceptionnel; toutefois, il prend soudain conscience ce qu'il empêche la danseuse d'aimer comme elle le dèsirerait un jeune musicien [...] On ne dèvoilera pas le final qui est trop triste (le temps est un grand auteur, c’est lui qui ècrit les meilleure fins). Chaplin effectue dans "Limelight" une rentrèe bouleversante! Ce film constitue en quelque sorte un condensè de toute l'histoire du cinèma dramatique, dèsormais difficile à dèpasser! A la fois classique et moderne, èmouvante jusqu'aux larmes et pourtant rigoureusement distancièe, simple et complexe comme la pensèe elle-même, cette oeuvre est l'une des plus graves et des plus dèsespèrèes que le cinèma ait su nous proposer! Très belle musique de Chaplin qui fut rècompensèe par un Oscar bien des annèes plus tard, l'une des plus cèlèbres compositions musicales de cet artiste gènial et èternel dans nos coeurs...
    Marceau G.
    Marceau G.

    387 abonnés 365 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 décembre 2013
    "Les feux de la rampe" est l'un des meilleurs films de Charles Chaplin mais est pourtant un film oublié et sous-estimé... Charles Chaplin est grandiose en Calvero, un magicien, qui, autrefois connaissait un immense succès et qui, en vieillissant, est devenu moins bon et moins drôle (pour les spectateurs en tout cas) et a abandonné son métier et son talent... En rencontrant une jeune ballerine qui a perdu toute joie de vivre et qui tente de mettre fin à ses jours, en la réconciliant avec la vie, Calvero reprend lui-même espoir et... La fin est bouleversante... À voir car c'est un chef d'oeuvre, car c'est l'un des derniers films du maître et pour le (petit) rôle de Buster Keaton...
    Caine78
    Caine78

    6 693 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 août 2007
    Le problème avec Chaplin, c'est que son oeuvre est tellement éblouissante qu'on ne sait quel film mettre devant l'autre. Les Feux de la rampe ne déroge pas à la règle. Car c'est un exemple d'émotions, de simplicité et d'intelligence comme on en voit rarissimement au cinéma. Porté par des dialogues absolument ébluisants de bout en bout, et un rapport bouleversant entre les personages, Chaplin réussit une oeuvre somptueuse, magique, renforcé par des scènes de spectacle magique, et une interprétation inoubliabl, Chaplin étant aussi sensible et génial acteur que réalisteur. Bref, une oeuvre testament, unique, qui nous laisse un souvenir inoublaible, bouleversant. La magie du cinéma à l'état pur.
    Julien D
    Julien D

    1 196 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 août 2012
    Le premier chef d'oeuvre de la comédie parlante est signé par l'un des géants de la comédie muette, Charlie Chaplin. L'autre maitre du burlesque muet, Buster Keaton, participant à la scène finale, qui aurait révé d'un tel casting? A travers son personnage d'ancienne star du music-hall voulant, à la fois, faire son retour sur la scène et y pousser sa jeune voisine danseuse, Charlot fait à la fois sa déclaration d'amour à l'art et ses adieux à son public bien aimé. Culte.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 mars 2016
    Quand Chaplin se met au drame, ça lui réussit très bien. Après Monsieur Verdoux, Les feux de la rampe le confirme. Plus de comique, Chaplin joue ici le rôle sérieux d'un ancien clown has been qui redevient lui-même en aidant une jeune fille qui a tenté de se suicider. Le personnage principal est bien sûr un avatar de Chaplin lui-même, sur le déclin après une carrière qui a fait rire le monde entier, et il est de ce fait grandement attachant, tout comme la jeune fille, Terry, avec qui il noue une relation émouvante. Le film est entrecoupé de passages de spectacle (ballets, numéros comiques) tous très beaux, dont le duo Chaplin/Keaton (malheureusement trop sous-exploité, j'aurais personnellement voulu voir ce duo de génies comiques réuni plus longtemps à l'écran, et surtout j'aurais voulu que Keaton ait un plus grand rôle) est l'apothéose. La fin est également sublime.
    Un beau film de Chaplin, plein de nostalgie et de poésie.
    Benjamin A
    Benjamin A

    710 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 mars 2014
    Célèbre pour le numéro de Chaplin et Keaton, "Les Feux de le Rampe" s'avère une très grande réussite. C'est aussi une sorte de testament et un adieux pour le personnage de Charlot, dont les similitudes avec Calvero sont grande. Chaplin nous raconte l'histoire de Calvero, un vieux chanteur de music-hall réfugié dans la boisson et loin de ses succès passés, qui va vouloir redonner gout à la vie à une jeune danseuse qui a perdu l'usage de ses jambes (mais une paralysie de nature psychologique). C'est un très beau film qu'il nous livre, à la fois mélancolique, triste et nostalgique, dont l'écriture est fabuleuse, que ce soit le scénario, les dialogues ou les personnages. On sent une pointe d'autobiographie chez Chaplin, du moins certaines de ses propres expériences, il livre un regard plutôt triste sur la vie, mais à l'image de ses dialogues avec la jeune danseuse c'est aussi une ode à la vie, mais qui n'est pas toujours rose... Il montre aussi la difficulté de vieillir dans les milieux artistiques... et il fait tout ça de manière souvent simple mais humaine et émouvante. Il oscille parfois avec certaines comique, et c'est toujours bien fait, son interprétation est excellente, tout comme les autres rôles. Il nous montre toute l'étendue de son talent avec ce film bouleversant avec des pointes de gaietés. Bien que sorti en 1952, le film reçu un oscar mineur (Chaplin n'a jamais été récompensé par cette compétition, comme d'autre très grand nom du 7ème art), celui de la musique, en 1973, car victime du Maccarthysme, il dut s'exiler en Europe juste avant sa sortie, le film n'est sorti aux États-Unis que vingt ans plus tard (et après on nous parle du pays de la liberté). Une très grande œuvre, simple, humaine et pourtant d'une très grande richesse émotionnelle.
    Rictus1260
    Rictus1260

    36 abonnés 137 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 janvier 2016
    Encore un chef d'oeuvre de Charles Chaplin. Le temps a passé sur ce film sans effet. C'est presque un film autobiographique qui a été réalisé par Chaplin juste avant son expulsion des états-unis. C'est le déclin d'un artiste immense que ce monde ne reconnait plus. L'Amérique a renié un de ses plus grands génies pour de sombres raisons politiques voire des raisons qui craignent la lumière du jour. ça ne lui a pas tellement réussi, quand on voit la pauvreté des films qui sortent ces derniers temps. Les état-unis manquent clairement de génies du cinéma, particulièrement de ceux qui dérangent...
    Le film est pourtant un succès inégalé dans le reste du monde. Une amitié bouleversante entre une jeune danseuse paralysée qui veut en finir avec ses jours et un clown vieillissant qui n'amuse plus personne. Lui va lui redonner le goût à la vie au point qu'elle va guérir et devenir une danseuse étoile. Elle va lui témoigner sa reconnaissance en l'aidant à retrouver son talent perdu et sa dignité.
    Comme dans tous les Chaplin, on rit et on pleure, mais dans ce film, c'est vraiment l'émotion qui l'emporte.
    dougray
    dougray

    238 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 janvier 2017
    Après l’accueil mitigé reçu par son pourtant très réussi "Monsieur Verdoux", Charlie Chaplin n’a pas décidé, pour autant, de faire machine arrière en faisant, à nouveau, appel aux services de son personnage star Charlot… bien au contraire ! En effet, avec "Les Feux de la rampe", il contraint le public à faire le deuil définitif du personnage à travers cette histoire de vieux clown sur le retour qui fait furieusement écho à sa propre carrière. Il s’agit, sans doute, du film le plus personnel de Chaplin qui livre, comme jamais, ses états d’âmes, sa nostalgie d’une époque (le cinéma muet) qu’il sait révolue, ses doutes sur sa capacité à faire encore rire et, plus généralement, son point de vue sur le monde du spectacle contemporain, qu’il désapprouve. Il ne fait, d’ailleurs, guère de mystère sur ses intentions en interprétant le rôle de Calvero, clown vieillissant qui connut, autrefois, la gloire avec son costume de vagabond ("tramp comedian" en VO) et ses numéros à base de mime ! Difficile d’être plus explicite de la part d’un artiste dont l’étoile commençait à sérieusement faiblir (l’évolution du cinéma, les affaires de mœurs, les accusations de communisme…) mais qui a toujours voulu partager ses opinions sur grand écran. C’est, d’ailleurs, une des critiques qu’on peut formuler à l’encontre du film qui a une tendance à prendre ce que dit son héros pour argent comptant, sans mise en perspective, sans réelle remise en question et, surtout, sans vraiment prendre en compte l’évolution naturelle des goûts du public. Le personnage de Calvero apparaît, ainsi, un peu trop comme le détenteur d’une vérité (ou d’une sagesse) qui échappent aux autres personnages (trop jeunes ou trop cupides pour comprendre, c’est selon). Il assène, ainsi, son point de vue à coup de longues tirades (un peu trop artificielles par moment) et de scènes où il se garde toujours le meilleur rôle. Cette manie de refuser de partager vraiment l’affiche ou, tout simplement, de passer la main m’a empêché d’être en empathie avec le personnage spoiler: (voir la scène finale de la mort de l’artiste qui confirme le problème d’ego de Chaplin)
    . A ce titre, l’apparition de Buster Keaton, l’autre géant du cinéma muet, qui est resté comme l’une des séquences fortes du film, est traitée de façon à bien montrer la hiérarchie entre les deux acteurs (au moins aux yeux de Chaplin)… ce qui fait perdre beaucoup d’intensité à leurs scènes communes. Il n’en demeure pas moins que la réunion (certes courte) des deux stars du muet, ainsi que le propos du film (aussi orienté soit-il) est une belle démonstration des ravages du temps qui passe pour les idoles d’hier. C’est sans doute pour cela que "Les Feux de la rampe" est resté dans les mémoires des cinéphiles, malgré ses défauts formels. En effet, le ton désabusé du film ne suffit pas à expliquer les carences de la mise en scène, qui se montre des plus inégale dans son rythme et des plus répétitive dans sa structure. "Les Feux de la rampe" cultive une impression constante de déjà-vu en raison de scènes et de dialogues qui se répètent à intervalles réguliers spoiler: (les crises psychosomatiques de la danseuse qui croit perdre l’usage de ses jambes, les rêves du vieux clown, les projets de mariage de l’improbable couple…)
    . Pire, Chaplin étire un grand nombre de séquences au-delà du raisonnable, le point d’orgue restant spoiler: son premier rêve (où il se remémore un numéro d’antan)
    … et qui parait ne jamais finir ! Et, un malheur n’arrivant jamais seul, cette impression de lenteur (pour ne pas dire de langueur) est renforcée par la durée du film, à savoir 137 minutes qu’on sent vraiment passer ! Chaplin prouve, ainsi, que, lorsqu’il se prive de son pouvoir comique, il dénature l’essence de son œuvre, qui doit tout au fragile équilibre entre rire et émotion qu’il a très souvent su trouver. Est-ce son propos qui a condamné le film à être moins efficace que ses prédécesseurs ? Sans doute mais, une fois encore, Chaplin aurait peut-être, dès lors, dû se montrer plus vigilant sur la mise en scène… Heureusement, le casting est une vraie réussite puisque, autour de Chaplin qui, bien qu’il confirme ses difficultés à se défaire des tics de jeu de Charlot, parvient à nous émouvoir dans sa détresse de clown effectuant son dernier tour de piste, on retrouve une Claire Bloom convaincante en danseuse dépressive qui va reprendre goût à la vie, un étonnant Sidney Chaplin (le fils de) en musicien amoureux, Marjorie Bennett en amusante logeuse ou encore l’affable Nigel Bruce en producteur. Autre point positif, la musique du film qui est une vraie réussite, comme toujours chez la star. Il n’en demeure pas moins que "Les Feux de la Rampe" est sans doute le film de Chaplin, devant et derrière la caméra, que j’ai le moins aimé…
    Eselce
    Eselce

    1 389 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 février 2016
    Personnellement, je trouve qu'il n'y a pas grand chose à voir. Les numéros de Chaplin sont vraiment mauvais. Le reste n'est que dialogues entre l'artiste et la danseuse qui se lamentent et se remontent le moral à tour de rôle. Le film est triste et montre la lutte des deux artistes pour vivre de leur talent de danseuse et de comique. Un scénario louable qui malheureusement se montre ennuyeux. Il comprend des longueurs et peu de surprise. Le duo est magnifique mais les acteurs secondaires ne semblent pas dans le coup. Le film ne vaut d'être vu que si vous appréciez Charles Chaplin. Sans sa notoriété, il serait tout simplement mauvais.
    AMCHI
    AMCHI

    5 794 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 septembre 2010
    Le nom de Charles Chaplin évoque surtout le personnage de Charlot, le muet et le comique mais c'est aussi des films tels que Les Feux de la rampe ; magnifique film sur les vieux jours d'un artiste fini qui va grâce à une jeune fille retrouver du goût à la vie. Chaplin signe aussi la belle musique de ce film qui comporte une bonne dose d'émotion, de belles séquences du monde du spectacle et de l'humour notamment le duo de Chaplin avec Buster Keaton. Du très beau cinéma.
    Ryce753
    Ryce753

    21 abonnés 431 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 juillet 2013
    Un très beau film du maître Chaplin. L’histoire est assez fantaisiste et on a droit à de belles réflexions philosophiques sur la vie. Le déroulement des situations et les dialogues sont riches, inspirés et bien interprétés de la part des acteurs. Chaplin est toujours très expressif et passe du rire aux larmes pour notre plus grand plaisir. Le thème musical du film est beau et mélancolique, ce qui renforce le côté un peu dramatique du métrage sans oublier la scène de l’accordage du piano entre lui et Buster Keaton qui est juste mythique et vaut vraiment la peine d’être vue, impossible de ne pas rire. Un classique à voir et revoir.
    Louis Morel
    Louis Morel

    46 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 septembre 2012
    Drôle et émouvant, seul Chaplin pouvait en faire un mixe aussi parfait !
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    750 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2009
    Produit au début des années 50, les Feux de la rampe, qui est un des derniers films réalisé par Charles Chaplin, est vraiment passionnant à visionner.
    Le film qui a pour thème la réflexion sur l'art et la vieillesse est très émouvante, en grande partie grâce aux deux comédiens principaux que sont Charles Chaplin ( qui donne une de ses meilleurs interprétation ) et Claire Bloom ( adorable dans le rôle de la jeune ballerine ) .
    Il s'agit d'une oeuvre attachante, remplies d'émotions et nombre de séquences restent gravées dans les mémoires, notamment celle du sketch final sans paroles que joue Chaplin avec un autre comédien légendaire qu'est Buster Keaton.
    Une très belle réussite qui possède une mise en scène toujours très inspirée et par une photographie qui n'a pas prit une seul ride.
    Bcar
    Bcar

    12 abonnés 117 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 février 2011
    Moins de burlesque que dans les autres réalisation de Chaplin, il n'empêchent que les Feux de la rampe est un superbe film tout en tendresse et en légèreté. Chaplin réussit (encore et toujours) à trouvé les images et les mots (ce qui est plus rare chez lui) pour toucher le spectateur au plus profond. Et que dire de ce fameux duo avec Buster Keaton... deux des plus grands réalisateurs muet réunit pour dire adieux à ce temps révolut, avec en plus un dernier hommage à Charlot. Il ne reste plus qu'a apprécier ce superbe spectacle de 2h15.
    Gonnard
    Gonnard

    241 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 janvier 2013
    Chaplin nous fait souffler le chaud et le froid avec "Les feux de la rampe". Le chaud, c'est bien évidemment l'émotion. S'appuyant sur le thème du succès et de ses déboires, au sens propre comme au sens figuré, Chaplin dresse le portrait réaliste d'un artiste à la recherche de sa gloire passée. L'atmosphère musicale ponctue magnifiquement ce qui semble être, à bien des égards, une autobiographie. Le froid en revanche, ce sont d'abord les trop longs passages remémorant les heures de gloire de l'artiste. Etait-il besoin de passer par là pour faire ressentir au spectateur la solitude du comique face à son non-succès ? Ce sont aussi les moult mièvreries débitées par les deux protagonistes principaux, en particulier Claire Bloom qui fait figure de pré-adolescente jouant encore avec ses poupées. Les longues tirades sur le sens de la vie n'apportent pas grande chose si ce n'est de l'ennui. On retiendra donc surtout la place essentielle du film dans la relance de la carrière de Chaplin, la présence de ses enfants et surtout le duo final avec Buster Keaton, autre artiste sur le retour.
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