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    Les Feux de la rampe
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    88 critiques spectateurs

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    yayo
    yayo

    63 abonnés 1 221 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 novembre 2011
    Un film assez laborieux pour ma part. Je me suis ennuyé assez souvent. Reste Chaplin formidable.
    Yoloyouraz
    Yoloyouraz

    34 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 avril 2008
    Assez mythique pour ce qu'elle représente, l'oeuvre de C.Chaplin n'en est pour le moins longue, pas très bien montée, parfois même étouffante. Et l'ensemble se regarde presque comme un documentaire..
    Lotorski
    Lotorski

    17 abonnés 588 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 mai 2010
    Bof, bof, je me suis pas mal ennuyé. Ca n'est pourtant pas mal foutu et il y a un certain nombre de thèmes intéressants traités en profondeur. Donc si vous aimez les drames, je vous recommande quand même "Les Feux de la rampe".
    fade_away
    fade_away

    17 abonnés 119 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 décembre 2006
    c'est un super film, quoiqu'en disent les ingrats... Ce n'est pas le charlot vagabond qui est mis en avant, ce n'est pas du cinéma muet. Et alors ? vous l'avez vu pour voir un film muet avec un vagabond, ou pour voir un bon film ?
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 610 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 mai 2021
    L'histoire d'un vaudevilliste usé et d'une danseuse suicidaire aurait pu être bonne. Mais Chaplin a tout fait de travers du mauvais jeu des acteurs et de la mise en scène et au remplissage de dialogues avec des clichés. Même le numéro avec Buster Keaton n'est pas drôle et le moment final ou Calvero a une crise cardiaque après son numéro et meurt pendant que la danseuse de ballet fait le sien est d'une mièvrerie absolue. Charlie Chaplin était vraiment dépassé à ce moment-là et ne reviendrait jamais plus à sa gloire d'antan...
    Hotinhere
    Hotinhere

    560 abonnés 4 972 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 janvier 2022
    Un film testamentaire sublime à la fois burlesque, nostalgique et bouleversant dans lequel Charlot tombe le masque. Et une rencontre mémorable avec Buster Keaton.
    kibruk
    kibruk

    147 abonnés 2 560 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 avril 2021
    "Les feux de la rampe" est un film très personnel de Chaplin, c'est évident. Calvero, le clown triste, est bien la personnification d'un Chaplin qui s'interroge sur la vieillesse, sur la fin d'une époque, sur son incapacité à continuer à faire rire, synonyme de sa propre fin artistique (trajectoire qui se confirmera avec le très moyen "Un roi à New York" et l'anecdotique "La comtesse de Hong Kong"). Avec ce film empreint de nostalgie, quasi dépressif, mais aussi porteur de merveilleux messages d'espoir, Chaplin ne cherche pas la comédie mais bien l'émotion et il y parvient souvent. Malheureusement il alourdit son œuvre avec d'interminables longueurs (particulièrement celle du ballet). C'est un peu dommage, car ce beau film plein de tendresse et d'humanité a de quoi fasciner avec une fin magnifique de drôlerie et pleine de symboles, qui réunit deux monstres sacrés d'un cinéma muet devenu alors désuet : Chaplin et Buster Keaton.
    maxime ...
    maxime ...

    245 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2021
    Les Feux de la Rampe ( Limelight dans sa langue originelle ) est le film testament de Charlie Chaplin à son Œuvre la plus connue, le dernier aurevoir à son Vagabond. On prend en pleine vue le décor et son retour, sa réussite et ses pertes, l'essentiel est pourtant ailleurs.

    Il y'a de l'espoir dans ce film, celui de ceux que l'on oublie, des inadaptés, pas de morale ni de condescendance usurpés à droite ou à gauche pourtant ici ... Chaplin n'offre au fond qu'un récital d'humilité. C'est bien dans sa composite que repose le cœur de son discours, que l'on ressent les frissons. Il est possible de tartiné cette critiques de mots en touts genres pour rendre grâce aux travail d'orfèvres du cinéaste et des siens, je garde cela pour une prochaine fois sans doutes.

    Je ne veux appuyer ici que sur son émotion, j'en ai déjà bien assez dit.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 juillet 2013
    Chaplin profite du film pour se livrer à quelques reflexions philosophiques intéressantes sur la vie d'artiste hélas si le film dégage des émotions la réalisation s'avère assez lourde et démodée.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 mars 2014
    Dans sa médiocrité patente, la lumière jaillit un instant. Belle leçon de cinéma que de montrer que l'humanité prévaut avant tout. Que la technique et les péripéties ne sont qu'artifices face à ce qui est essentiel, le temps, l'amour et la finitude. La formidable métaphore finale ne vient que nous persuader de ce que l'on pressentait depuis peu, quelques minutes avant la fin du film où nous nous disions que finalement si mauvais ce n'était pas, elle nous révèle toute la force d'un auteur, qui s'efface devant son oeuvre, le son de sa voix s'éteignant dans la musique, l'ombre de son corps disparaissant dans la silhouette vibrante. C'est avec une maîtrise impressionnante que Charles Chaplin, n'hésitant pas d'ailleurs à se mettre lui-même dans le film, ne se joue non plus des policiers, ni des personnes trop sérieuses, mais piège ici son spectateur réaffirmant l'éternelle dualité, montrant aussi que l'un des partis peut se méprendre et décevoir l'autre. A nous alors de ne pas nous tromper, Chaplin est encore là.
    matt240490
    matt240490

    84 abonnés 1 062 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mai 2013
    Sorti en 1952, Les Feux de la Rampe permet à l'illustre Charles Chaplin de se montrer sous un jour nouveau. Fini les rôles de vagabond, il se hisse vers des prestations plus dramatiques, et dans lesquelles il pourra continuer d'exposer au monde son redoutable talent d'acteur. Cette fois-ci, il interprète un clown déchu, vieux, que tout le monde a oublié, et tente de retrouver le succès d'antan, tout en révélant au public une jeune danseuse qui ne croit pas en elle. Une très belle histoire d'amour, teintée de romance et d'émotion, titillée par quelques rires dont seul Chaplin a le secret, et qui prouve une fois de plus que le Maître, c'est Lui.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    53 abonnés 1 157 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 mars 2021
    L’histoire est connue : à Londres, en 1914, un ancien clown, dompteur de puces (Henry et Phyllis), Calvero (Charlie Chaplin), devenu alcoolique, sauve du suicide et redonne goût à la vie (« La vie n’a pas de sens, elle n’est que désir ») à une jeune ballerine dépressive, Terry (Claire BLOOM). Un mélodrame toujours aussi émouvant, un film testament car Chaplin y a mis beaucoup de choses personnelles et familiales dans la ville de son enfance ainsi que sur la vie d’artiste : début dans les rues, succès qui disparait, temps qui passe, philosophie de la vie (« Nous sommes tous des amateurs et personne ne vit assez longtemps pour ne plus l’être ». A revoir aussi pour la musique [du réalisateur comme toujours et qui obtint un Oscar en 1973, en raison de sa sortie différée, 20 ans plus tard qu’en Europe, aux Etats-Unis] et la réunion éphémère de 2 monstres sacrés du cinéma muet et mondial, Charlie Chaplin et Buster Keaton spoiler: dans une scène où le premier marche sur son violon et en sort un autre de son pantalon tandis que le second joue d’un piano totalement désaccordé.
    Sans oublier la photographie en noir et blanc [seul le dernier film de Chaplin, « La comtesse de Hong-Kong » (1967) est en couleurs] de Roland TOTHEROH et Karl STRUSS, la participation de Robert ALDRICH, poursuivant sa fonction d’assistant réalisateur, juste avant de diriger son 1er film, « Big leager » en 1953 et le 1er rôle de Claire BLOOM à 21 ans ainsi que du fils de Chaplin, Sydney (qu’il a eu avec Lita Grey), 26 ans.
    Akamaru
    Akamaru

    3 107 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juillet 2010
    Ca n'a plus rien à voir avec les oeuvres de Charlie Chaplin tel qu'on se les imaginent,et pour cause,l'inventeur du comique burlesque a vieilli.Il a 63 ans au moment de tourner "Les Feux de la rampe" qui résonne comme un film testamentaire,vestige de la nostalgie de son époque bénie et réflexion sur les affres de la célébrité.En plus de ça,à l'époque,Chaplin est persécuté pour ses prises de position libertaire,et considéré comme un communiste aux Etats-Unis en plein maccarthysme.Des conditions psychologiques difficiles qui font de ce mélodrame,un cri du désespoir où Charlot a disparu derrière le visage enfin nu de Chaplin,dans un effet de miroir saisissant.Sa déchéance contraste avec la jeunesse fougueuse de la danseuse qu'il héberge.On ne gagne pas contre le temps...Il n'est donc plus question de rire,mais de s'interroger sur la condition d'artiste en fin de cycle.Pour marquer son point de vue,Chaplin convoque un Buster Keaton tout aussi décrépi pour un numéro de music-hall dérisoire.Le film est par contre bien trop long,et ne bénéficie pas d'un montage optimal.Et sombre un peu trop dans la mélancolie,surjouée par exemple par le personnage de Thérèse.Enfin,Chaplin sera toujours Chaplin,quoi qu'il fasse...
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    122 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 janvier 2019
    En 1952, Chaplin avait encore toujours été là. Les vieux cinéastes commençaient d'apparaître. Lui qui a si bien maîtrisé le muet, il a dû s'adapter au parlant, puis à la critique, puis à la guerre, ne sortant victorieux de ces affronts que pour mieux aborder la vieillesse. Il n'avait finalement que 63 ans dans Les Feux de la rampe, mais sentant bien venir des effets du temps qui dépasseraient bientôt l'usure de ses traits, il a fait ce film comme pour donner une dernière fois tout son génie à la fois.

    Pourtant, c'est un drame et il démarre mollement, ne laissant pas présager que Chaplin est encore bon danseur et excellent musicien (il pianise, il violonise, il compose). C'est le talent de sa plume qu'il exprime dans des sortes de saynètes lourdes d'ambiance et de sens dans un cadre dont la claustrophobie de l'exiguïté théâtrale fait passer Claire Bloom pour Anne Frank.

    C'était peut-être reposant à jouer, mais le texte a bien reposé aussi, éblouissant d'une sagesse vénérable et de citations qu'on croirait volées : "I hate the sight of blood, but it's in my veins" ; ou juste l'innocent "I'm an old sinner, nothing shocks me" qui rappelle mine de rien que Chaplin a toujours péché contre le "courant", ce qui fait de lui, qu'on le veuille ou non, un expert et un moralisateur digne et fort de toute sa légitimité.

    Le cinéma a mûri par-devers lui, et Chaplin n'est plus un maître de la technique. Il s'oppresse dans des huis clos n'ayant pour échappatoire que de très mauvais plans sur fond défilant. Et son abandon au théâtre n'est pas non plus très glorieux, entre numéros médiocres et touches malvenues d'humour de circonstances. Mais n'est-ce pas avoir fait preuve d'une lucidité sans faille que d'avoir écrit cette création d'où le caractère autobiographique n'est évident que lorsqu'il est nécessaire ?

    Quarante ans après une période du cinéma où il était un précurseur, il arrive encore à nous étonner, comme préservant exprès un semi-génie, car le reste lui échappe - en tout cas, c'est ce que dit son personnage qui lui ressemble autant que le barbier juif à Hitler dans Le Dictateur. Oui, c'est un nouvel alter ego dont il orchestre la mort dramatique, mais comme il le dit lui-même : "time is the best author, it always writes the perfect ending".

    septiemeartetdemi.com
    NomdeZeus
    NomdeZeus

    90 abonnés 1 044 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juillet 2014
    Blessé par l'accueil mitigé réservé à Monsieur Verdoux et par l'attitude de plus en plus hostile des Etats-Unis à son égard, Charlie Chaplin décide de faire le point sur sa longue carrière. Le résultat éclate au grand jour avec ce film superbe, véritable chant du cygne aux accents autobiographiques d'un réalisateur en perte de vitesse auprès de son public. L'état d'esprit de Chaplin est perceptible à chaque plan; mélange subtil de tristesse et d'espoir. La scène la plus emblématique du film étant surement celle où un Charlot fatigué monte sur scène accompagné d'une autre star déchue du muet (Buster Keaton himself) pour un ultime tour de piste aussi drôle que pathétique. Le réalisateur en profite pour livrer une belle réflexion sur la vieillesse, le rôle des artistes, le sens de la vie... Les Feux De La Rampe est une œuvre testamentaire, doublée d'un cri d'amour au monde du spectacle qui aurait pu (du?) être le point final d'une brillante carrière. Charlot est mort, vive Chaplin!
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