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    Every Thing Will Be Fine
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    89 critiques spectateurs

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    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 577 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 décembre 2020
    Le titre ne correspond pas à ce film trop déprimant qui raconte l'histoire d'un type qui a fait faire de la luge à deux enfants sur la route devant sa voiture tuant inconsciemment l'un d'eux et laissant un accident qui n'était pas de sa faute détruire sa vie. Il aurait dû sauver 15 ans de misère et devenir très amical avec un canon de fusil. James Franco est de plus en plus mauvais en tant qu'acteur et bien sûr parce qu'il est beau et blanc à Hollywood cela n'a pas d'importance car il continue à obtenir des rôles au cinéma dans lesquels il joue le personnage principal accompagné d'acteurs et d'actrices comme la Gainsbourg qui qui nous épargne son anatomie dans ce film que d'innocents spectateurs comme moi n'ont pas d'autre choix que de souffrir. Regarder Every Thing Will Be Fine c'était comme assister à une très longue pause publicitaire...
    Audace26
    Audace26

    7 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 avril 2020
    Drame intimiste enneigé qui souffre d'une improbable bande son horropilante à la longue... Mais en même temps, Wenders nous livre une fresque imparfaite sur la cruauté du destin et les affres de la rédemption qui paraît finalement assez indigeste... Alors pourquoi pas ?
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    690 abonnés 3 012 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 avril 2020
    Wim Wenders aborde la 3D comme un support plastique apte à explorer la spatialité de l’humain, à travailler la profondeur de champ de la douleur, du remords et de la création, si bien qu’en faisant sienne une technique aujourd’hui massivement employée à des fins commerciales – elle est l’apanage du blockbuster –, il met en relief l’écriture, part du blanc de la page comme étendue encore intacte et recouverte de neige pour y imprimer des traces de vie, des corps qui s’agitent et qui gravent malgré eux dans le blanc de l’espace une mémoire qui, une fois l’hiver passé, reste vivace. Porté par la sublime partition d’Alexandre Desplat, le long métrage devient le conservatoire d’un mystère opaque qui ne se résout jamais : lorsque Tomas réemprunte le chemin de l’accident – littéralement, « ce qui arrive » –, de façon mentale ou physique, des nuées orangées s’emparent de lui, le plaçant devant le spectacle d’un crépuscule auquel nous, spectateurs, n’avons pas accès ; crépuscule de la création, naissance de l’inspiration, tentation impossible d’une famille recomposée qui tire de son impossibilité sa puissance créatrice. Le film se construit sur une architecture complexe faite de lignes horizontales et de barres verticales qui séparent les personnages, organisent l’espace intime, structurent les relations entre les protagonistes : l’écrivain est constamment à l’écart, coupé des siens par un mur, un pilier, une baie vitrée ; il regarde en arrière, à l’image du rétroviseur ou de la vitre dans laquelle se réfléchit l’image de Christopher, adolescent devenu personnage de fiction et qui amène le long métrage à basculer du côté du romanesque le plus paranoïaque. Ann ne comprend pas, dit qu’il est difficile à vivre : pourquoi ne pas réagir ? extérioriser ses émotions ? ses mains ne tremblent pas… C’est que Tomas navigue entre deux rives qui le raccordent chacune à un domicile particulier : le domicile conjugal, lieu défini par la stérilité et l’ennui ; le domicile meurtri de Kate et la fascination morbide qu’il déclenche dans l’esprit du romancier, un intérieur sans cloison véritable qui lui donne accès aux concrétisations physiques – la douleur éprouvée par la mère et le fils – et matérielles – le dessin réalisé par Christopher – du drame à l’origine de son inspiration. Ou comment la création convertit la douleur en source vive d’inspiration. Résurrection. Wim Wenders conçoit la 3D comme un moyen de faire surgir la profondeur de ce qui est absent, à l’image de la maison enfouie sous la neige dont le trajet pour y parvenir et ramener l’enfant en état de choc paraît interminable, trajet qui s’effectue pourtant en quelques secondes dans le sens inverse. Les lieux communs se chargent d’une valeur symbolique forte à mesure que s’y engouffre une histoire ; et cet adage qui revient sans cesse et qui donne son titre au film, cet « Every Thing Will Be Fine » qui ne vaut guère mieux que les « quoi » répétés à tout bout de champ par les jeunes, et dont se moque Mina, apparaît telle la promesse à chaque mot renouvelée d’un happy end, le dénouement « nul » par excellence (selon Mina une fois encore) des œuvres littéraires grand public mais qui pourtant resplendit quand s’enlacent un fils et son père de substitution, réunis par l’accident, c’est-à-dire par la vie. Une œuvre lumineuse, bouleversante, immense.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    276 abonnés 2 881 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 avril 2020
    J'étais passé totalement à côté de ce film de Wenders à l'époque de sa sortie. Ayant rattrapé ce retard, je ne peux pas dire que j'avais raté un incontournable de ce grand réalisateur: on retrouve toujours cette façon très stylisée de composer son image, ici autour des réactions à un événement traumatisant qui bouleverse plusieurs vies. Mais quelque part, ce soin maniaque en vient à occulter les avancées de l'histoire, la rendant par moments totalement abstraite. Wenders s'appuie sur un casting de choix, mais opte pour une telle sobriété dans le jeu et la narration qu'il faut attendre longtemps pour voir se dessiner, à coups d'ellipses temporelles, une intrigue réelle entre les personnages. Clairement, c'est un exercice plastique de très belle facture, mais auquel il manque cette grâce impalpable d'un Paris-Texas.
    Jacques 42
    Jacques 42

    3 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 avril 2020
    Lent, on s'ennuie sans comprendre quels sont les messages. On se perd très vite, c'est dommage.
    Les images sont belles, la musique prenante, c'est à peu près tout.
    SociN
    SociN

    11 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 juin 2019
    Un film un peu fourre-tout où Wenders mêle du mélo, du thriller, de la succès story, du drame... On peine à voir où le film va. Et on reste sur un gout d'inachevé.
    gizmo129
    gizmo129

    96 abonnés 1 520 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 juin 2017
    A moins que vous ayez du temps à perdre, je vous déconseille de visionner ce Every thing will be fine... Hormis la scène de l'accident très bouleversante car inattendue et percutante, le reste du film est d'un calme absolu et donc d'un ennui mortel... Plusieurs fois au cours du film, le réalisateur délivre de fausses pistes qui auraient pu, si elles avaient été suivies alimenter le film d'un peu de piquant, las, le film de démarrera jamais. Pire, le film se conclut par un happy end impensable dans ce genre de malencontreuse aventure !
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    289 abonnés 3 120 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 janvier 2017
    Mazette que ce film est soporifique !!! Et c'est bien dommage car le sujet est prenant et intéressant mais le rendu est trop pénible je trouve !!! Les acteurs sont mous, la musique vous endort et il ne se passe pas grand chose au final !! 1h50 de bâillements...une préparation au sommeil efficace en fin de compte !!
    spring53728
    spring53728

    24 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 août 2016
    Le film ne décolle jamais vraiment malgré un casting en or.
    On pourrait féliciter le réalisateur de maintenir le spectateur en haleine par sa mise en scène lente, laissant planer le doute en permanence.
    Mais au final ce n'est même pas un atout. On regarde sa montre, les acteurs ne nous touchent pas, on décroche, on pense soudain à la machine de blanc qu'il ne faudra pas oublier de mettre en marche.
    vincent L.
    vincent L.

    240 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juin 2016
    Un bon Wim Wenders
    Bon d'accord je suis fan de James Franco et toujours un grand admirateur de Charlotte Gainsbourg. Mais bon contrairement à bon nombre de critiques, j'ai trouvé l'histoire intéressante jamais ennuyeuse et la mélancolie des personnages m'a touché.
    Pour moi un agréable moment de cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 20 mai 2016
    Un film lent et mou, pas prenant une seule seconde. On s'ennuie de A à Z. Les acteurs chuchotent tout le long, et la performance de James Franco est particulièrement insipide et insignifiante. Ca devient presque énervant de le voir déambuler ou marmonner, avec son air inexistant et son regard vide de chien battu. Vraiment une contre-performance, pourtant j'aimais cet acteur...
    Daniel Schettino
    Daniel Schettino

    25 abonnés 241 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 mai 2016
    C'est un écrin... vide; On peut saluer la très belle photographie du film par Benoît Debie. De superbes images qui captent des couleurs délicates. Mais cela ne suffit pas à donner au film du souffle. Certes ces paysages avec des personnages tourmentés, nous font penser par moment à Tarkovski ou Nuri Bilge Ceylan, mais cela ne reste qu'une impression. James Franco semble être un objet qu'on déplace. Il n'arrive pas à donner vie à son personnage enserré dans les codes rigides de Wenders. De même pour Rachel McAdams et Marie-Josée Croze qui ne servent à rien, tant elles n'ont aucune marge de manœuvre. Elles ne peuvent pas jouer. Seulement correspondre à un modèle engoncé voulu par Wenders. Le cinéaste aurait donné leur rôle à des débutantes, on aurait rien vu de plus. Même les gestes des acteurs semblent robotisés, peu naturels. Wenders ne saisit plus l'air du temps. Il aurait pu demander à James Franco de collaborer au scénario, pour apporter de la fraicheur, de la dérision. Mais Wenders se prend trop sérieux.
    moket
    moket

    529 abonnés 4 334 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 avril 2016
    Le type de mélo qui pourrait passer l'après-midi sur M6, avec plus de moyens, de bons acteurs (même si James Franco, que j'aime beaucoup habituellement, semble sur le point de s'endormir d'un moment à l'autre) et bien filmé. Si la forme est très soignée, le fond est en revanche assez vide et à force de brasser de l'air, on s'ennuie.
    Roub E.
    Roub E.

    958 abonnés 4 997 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 avril 2016
    C est joli, mais C est creux, terriblement creux. Wim Wenders est apparement convaincu que pour faire un beau film il suffit d avoir un beau cadre et de belles images. C est loin d être le cas, car si d un point de vue esthétique le film est en effet plutôt réussi, on s ennuie sévère et surtout il semble ne rien raconter ou plutôt si il débite une serie de banalité, sur la création artistique, la vie perturbé des artistes et les drames qui marquent au fer rouge des individus qui ne peuvent jamais vraiment guérir. Joli mais terriblement banal.
    kevinsolstice
    kevinsolstice

    58 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mars 2016
    Un drôle de film à vrai dire : farouchement indépendant, pour ne pas dire "intello", mais aux qualités purement formelles.. Dommage tant le début et l'histoire semblait prometteur et changeait de ce que l'on voit habituellement.
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