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    Anomalisa
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    pierrre s.
    pierrre s.

    422 abonnés 3 298 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 avril 2024
    A la vieille d'une conférence, Mickeal vit une crise existentielle, et cherche du réconfort du côté de la gente féminine. De la noirceur et quelques bons moments, mais ça tient difficilement la longueur.
    Fabien Sorrant
    Fabien Sorrant

    40 abonnés 1 269 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mars 2024
    Un très bon film d'animation en stop motion . Une pépite de cinéma datant de 2016 réalisé par Charlie Kaufman .
    Joru
    Joru

    2 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 février 2024
    Les critiques ont crié au chef d'œuvre. Mais c'est mauvais, long, ennuyeux et surtout prétentieux. Heureusement que je l'ai vu à la télé et n'ai pas payé une place de ciné pour ça.
    L'ai regardé jusqu'au bout par "devoir" pour me faire une opinion perso.
    Comment peut-on financer un tel truc et se prendre au sérieux (lisez les critiques) pour un tel machin ?
    Nisan21
    Nisan21

    8 abonnés 138 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 décembre 2023
    Un film atypique, tant sur le fond que sur la forme. Celle-ci est plutôt réussie, laissant assez de réalisme pour se sentir face à des acteurs, des "humains", avec des personnalités à la fois névrosées et tellement parlantes.

    Le film est assez court et passe vite, je conseille le visionnage, cela pourrait parler à certains au niveau des thèmes abordés.
    Serge_la
    Serge_la

    7 abonnés 717 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juillet 2022
    Le film part sur une tangente lentement mais sûrement pour nous laisser pantois à la fin. Un traité sur les points de vues et la maladie mentale de tous les jours? Les illusions et la vérité s'affrontent.
    Hotinhere
    Hotinhere

    544 abonnés 4 938 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 janvier 2022
    Un drame existentiel en stop-motion à l'univers original et fantasque typique de Charlie Kaufman, mais l'ensemble manque d'émotion.
    Aulanius
    Aulanius

    195 abonnés 1 707 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 mars 2021
    L'idée est vraiment bonne, le message est une réflexion sur notre société actuelle, le stop-motion est vraiment bien réalisé mais ... je ne sais pas pourquoi mais j'ai pas vraiment accroché alors que c'est mon genre de film d'habitude. Il y a un truc qui me dérange mais je n'arrive pas à mettre le doigt dessus. C'est assez paradoxal car tout est là pour me plaire mais je bloque vraiment. Peut-être que l'on tourne trop en rond, peut-être que ça manque de bande originale, peut-être que je trouve presque tout trop simple ou trop plat. C'est sévère je sais mais c'est mon point de vue. Surement qu'un autre jour de ma vie, j'aurai émis une critique plus que positive mais ce ne sera pas le cas là à ce moment précis. Ça reste quand même une découverte à voir mais à ne pas mettre devant tous les yeux. 11/20.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 323 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 novembre 2020
    Que ce soit en tant que réalisateur ou scénariste, c’est un fait : je ne suis jamais resté indifférent face à un film de Charlie Kaufman.
    Parfois ce fut pour le meilleur (« Eternal Sunshine ») et parfois pour le pire (« Synecdoche New-York »), mais jamais je n’ai eu l’impression de perdre mon temps.
    Et c’est un petit peu ce qui m’ennuie avec cet « Anomalisa ».
    Pour sûr que ce film est pétri de qualités, d’intentions et de sens. Pour moi c’est indéniable.
    Mais d’un autre côté je trouve que la mécanique s’est trop vite enlisée me concernant, la faute à des choix audacieux mais pas toujours pertinents.

    Alors oui j’adore cette capacité qu’a Kaufman à générer un malaise doux ; un malaise produit avec trop de politesse et de bienveillance pour qu’on puisse chercher à s’y opposer vraiment.
    En cela ce monde de poupées est astucieux à plus d’un titre.
    Il est sans aspérité, inoffensif, presque confortable. On s’y loverait sans difficulté. C’est d’ailleurs ce que fait le héros. Quand bien même ne s’y sent-il pas à l’aise ; quand bien même en est-il prisonnier ; il ne se débat pas.
    …Il se laisse sombrer.
    Et puis ce monde de poupées a aussi ceci d’habile qu’il exprime également la nature de ce confort.
    Le confort ici est l’aboutissement d’un conformisme.
    Tout a été standardisé, contrôlé, maîtrisé. Il n’y a plus d’aspérité, au point que chaque personnage croisé parle de la même voix.
    Alors forcément, oui, quand dans tout ce cocon fade ressort soudainement une voix dissonante – dissonante parce que produite par un être cabossé – soudain l’aspérité devient jolie. Elle devient le signe de l’exploration de quelque-chose d’unique, de précieux.
    …L’exploration de quelqu’un.

    Et si sur le papier j’apprécie qu’un film sache nous faire ressentir cela – et qu’il passe par un dispositif aussi original et signifiant en termes de sensations pour le faire – d’un autre côté, je ne peux ignorer le constat suivant : « Anomalisa » m’ennuie.
    Alors forcément, sitôt je dis cela que je crois déjà entendre ce bon vieux Moizi me susurrer à l’oreille ces mots de Jean-Marie Straub : « on est responsable de son propre ennui. »
    Il n’empêche, la sensation est là. Et je pense qu’elle est là pour une raison bien simple.
    Lisa ou pas, ce film ne change pas. Il ne bouge pas.
    Les mots disent que Michael se sent soudainement revivre au contact de Lisa. Mais le problème c’est que, formellement parlant, Michael reste cette marionnette de plastique qui use de ses formules toutes faites.
    Est-il sincère ? Est-il en train de ressortir à nouveau toute sa bullshiterie verbeuse qui anesthésie tout ce monde ?
    A un moment donné, la forme ne suit pas le fond.
    Et à dire vrai, le fond pour moi peine à vraiment s’exprimer à cause de la forme.

    Car je ne vais pas vous mentir davantage, ce que j’ai perçu de cet « Anomalisa » je ne l’ai perçu qu’après coup. En le digérant.
    Quel mal à ça me diriez-vous ?
    Eh bien pour moi le mal vient déjà du fait qu’à cause de cela je n’ai pas pu profiter du film pendant son visionnage (alors qu’à mon sens avec d’autres choix formels le film pouvait gagner sans y perdre) mais à cela s’est ajouté un autre problème, c’est que toujours à cause de cela je n’ai au jour d’aujourd’hui aucune envie – ni intérêt – à le revoir.
    Car au fond mon visionnage d’ « Anomalisa » n’a pas éduqué mon regard. Ça m’a juste permis de comprendre ce qui n’allait pas.

    Ces voix toutes identiques par exemple, c’est un procédé certes très malicieux, mais le problème c’est que ce procédé, pour ma part, il m’a fallu beaucoup trop de temps pour l’identifier.
    Par exemple, pendant tout le premier tiers du film, la seule femme qu’on entend c’est Bella, l’ex de Michael.
    Le problème, c’est que lors de sa première apparition, on ne voit d’elle que sa tête de poupée, associée à une voix d’homme. Conséquence : moi j’en ai déduit que Michael sortait avec un mec aux cheveux longs qui se faisait appeler Bella.
    Et puis au bout d’un moment on finit par voir le personnage de Bella. Il a de la poitrine. A ce moment là je me suis dit qu’il devait s’agir d’un trans.
    Dans les faits, il m’a fallu un certain moment avant de me rendre compte que toutes les voix féminines étaient la même voix et, a fortiori, il m’a fallu également un certain temps avant de me rendre compte que le personnage de Lisa était le seul à être doublée par une femme.
    Et si j’ai fini par comprendre l’intention cachée derrière tout ça, c’est uniquement parce que j’ai pris la peine de regarder la fiche IMDB du film. Parce qu’en fin de compte, même le générique ne révèle pas le casting vocal, du moins pas en précisant qui doublait qui.

    Donc en gros, l’intention du film m’a été rendue accessible par une fiche IMDB, et non par le film lui-même.
    Et quand bien même cette intention m’est-elle accessible à présent que ça ne change malheureusement pas grand-chose à mon appréciation du film ; du moins mon appréciation purement sensorielle.
    Revoir « Anomalisa » (ce que j’ai fait partiellement pour les besoins de ce billet) c’est revoir un film monocorde alors qu’à un moment donné on est censés sentir une corde vibrer.
    Mais malheureusement les poupées restent des poupées.
    Le ton plat reste plat.

    « Anomalisa » n’incarne pas pleinement son idée à l’écran et c’est pour moi son principal problème.
    Et je pense que ce n’est pas un hasard si j’ai bien plus adhéré aux projets de Charlie Kaufman-scénariste plutôt qu’aux projets de Charlie Kaufman-réalisateur.
    Je crois malheureusement que Charlie Kaufman n’a tout simplement pas le même sens de la mise en scène qu’un Spike Jonze ou qu’un Michel Gondry.
    Je pense qu’il a les idées, les concepts, mais pas le flow.
    Aussi, oui, « Anomalisa » est un film audacieux qui mérite le détour. Ça, c’est à n’en pas douter.
    Par contre « Anomalisa » est-il un film accompli et agréable à regarder ? De ça, par contre, malheureusement, rien n’est moins certain.
    C’est ce qui fait que d’un côté je ne regrette pas d’avoir vu « Anomalisa »…
    …Mais c’est ce qui fait aussi que, malgré tout, qu’après avoir vu « Anomalisa » je ne peux m’empêcher d’en nourrir… des regrets.
    voir un film de Charlie Kaufman...
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 046 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 novembre 2020
    En lançant le film j'ai été surpris de voir qu'il s'agissait d'un film d'animation (et d'une belle animation en stop motion), c'est dire si je ne savais rien sur le film (pas plus que sur la pièce la à l'origine du film). Et au début j'ai vraiment retrouvé ce que j'aimais dans le dernier film de Kaufman (je veux juste en finir), c'est-à-dire de longs dialogues qui suintent la dépression par tous les bords.

    On voit ce type prendre l'avion, se laisser aller à divaguer, repenser à une ex, être seul dans sa chambre d'hôtel, il y a un côté très cruel mais assez vrai dans tout ça. Ces situations puent le vécu, des choses que nous pourrions tous vivre et ça permet immédiatement de se projeter dans le personnage et de s'identifier à lui.

    Je crois que c'est le passage que j'ai préféré dans le film, celui où il ne se passe rien, où il donne un rendez-vous à son ex qui transpire le malaise. C'est vraiment terrible de voir des adultes déchirés par la vie ne pas réussir à se pardonner, à oublier les méprises du passé. C'est dur.

    Sur le reste je suis un peu plus partagé car si la romance qui suit est un peu mignonne au début, elle me semble trancher avec le pessimisme totalement dépressif du début du film et j'aimais bien ce ton là. Lorsque ça devient plus candide, moins désabusé ben j'avoue que j'ai perdu un peu mon intérêt pour le film. Sans que ça devienne mauvais, parce qu'on a une belle scène de sexe qui encore une fois est assez vraie tant les réalisateurs ont réussi à saisir le malaise d'une telle situation tout en la rendant belle.

    Mais j'avoue que la fin m'a laissé perplexe. J'ai été un peu perdu. Si j'aime bien la partie rêve, j'ai d'ailleurs été surpris que ça ne soit justement qu'un rêve... On retrouve bien vite le côté déprimant du début du film avec le héros qui voit bien que toute l’idylle qu'il croyait vivre la veille au soir et durant sa nuit agitée n'existe juste pas. Il avait juste envie de sexe. Il ne pourra pas quitter sa femme et son fils pour vivre avec cette femme, il s'est leurré.

    J'aime le tragique de la situation, mais j'ai trouvé la façon de le mettre en scène peu subtile. Disons que j'ai eu l'impression que le film nous assenait son message à coups de marteaux... Tout comme lors la scène finale qui boucle avec le début du film...

    En somme j'ai trouvé que le film aussi bien qu'il puisse être arrivait à être vraiment juste, mais à quelques moments tombait dans une sorte de lourdeur pataude qui nuit vraiment au côté simple et déprimant du film sur le fait que nos désirs ne nous rendent pas heureux...
    Look_away79
    Look_away79

    1 abonné 10 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 avril 2020
    Magnifique ! Encore une fois, vive Charlie Kaufman !
    L'un des meilleurs scénaristes... Et cette fois-ci en stop-motion
    Jay paperboy
    Jay paperboy

    6 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 mars 2020
    Ce film me touche , ce film m'émeut ! Une petite pépite à découvrir absolument si ce n'est pas le cas .
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    677 abonnés 2 984 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juin 2019
    On comprend rapidement la pertinence de la démarche entamée par Kaufman et son équipe : s’emparer de la stop-motion pour la dévitaliser de ses chimères traditionnellement soufflées en lui et, en lieu et place, restituer une âme vagabonde qui tente de survivre dans la médiocrité du monde contemporain, ce monde des êtres seuls. Une voix dissone, et cette voix est celle de Lisa, renommée Anomalisa, retour de l’amour-passion pour un temps triomphant avant que la routine ne s’installe à nouveau. Anomalisa désigne la déesse céleste, elle est l’espoir qui fait vivre notre célébrité, figure kafkaïenne qui se perd dans un dédale de portes puis se retrouve dans les couloirs et les pièces d’un hôtel de haut standing, dont les fenêtres donnent pourtant sur un homme se masturbant face à son écran. Contre ce sentiment d’abandon qui harcèle chaque protagoniste s’unit un couple pour une nuit réuni dans l’intimité naturelle et incertaine de leur première fois, rapport qui vaut, à lui seul, le visionnage de ce film intrigant et visionnaire, en dépit d’être passionnant. Car il manque à Anomalisa une véritable audace rythmique et tonale qui lui aurait permis de dépasser son postulat somme toute sommaire, voire complaisant. De ce vertige mis en scène avec talent, nous n’en ressentons que des bribes que l’on saura vite être pures rêveries. Reste une œuvre radicale et troublante qui atteste le mal-être ambiant d’une façon ô combien raisonnée.
    RealPrime
    RealPrime

    80 abonnés 1 730 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 juin 2019
    Vu il y à 1 an quasi jour pour jour au Pathé d'Annecy dans le cadre du festival d'animation, je n'étais pas plus convaincu par ce dernier jusqu'à ce que je découvre le distributeur/société de production (Paramount). Étant donner ma belle admiration pour cette immense boîte, j'en ai été de suite convaincu. Suite à une présentation globale de film par ses 2 réalisateur/producteur, une visibilité des photos du tournage faisant voir des instant hallucinants spoiler: (tel Wallas et Gromit ou Shaun le mouton, de l'image par image mais pas de patte à modeler pour celui-ci, mais de petites figurines simples et tenues par des dizaines de câbles et tubes métallique. A moitié gênant de découvrir le tournage de la scène sexuelle franchement bien montrer. Encore ça allait, puisqu'il ne s'agissait pas de vrais humains, étant donner le festival en question, qui n’a pas l'objectif de choquer).
    L'histoire elle-même fut simple ou presque à suivre puisque projeté en V.O., loin d'être mon truc favori. Mais bon, festival mondial, on peut faire un effort. Finalement pas si gênant que çà. Une qualité visuelle en effet bluffante ou l'on distinguait parfaitement les traits des personnages, des mouvement canon et un "faut jeu" épatant. spoiler: Après il est vrai qu'il ne s'agit pas d'un Disney ou autre Dreamworks, donc conte de fée ou aventure, c'est raté. Bien plus un animé pour adulte, ou social et petite crise existentielle sont de mise. Un personnage principal tourmenté par sa future grosse conférence pro et pas sa rencontre improvisé et inattendue avec une femme dans son hôtel.
    Moments de petites gêne et scènes comique bien huilées, c'est ce que j'ai retenu de ce dernier. spoiler: Puis la seconde partie centrée sur cet étrange directeur d'hôtel dont je n'ai strictement pas compris les intentions, ou ça se trouve il n'en était rien. Des scènes un peu paranormal qui deviennent hors-sujet avec le contexte lui-même du film. Preuve que ce homme était bien tourmenté par tous et rien.
    Un film d'adultes qu'il ne faut pas réellement faire voir aux enfants puisqu'à présent, l'animation à réellement réussie à dérivée son œuvre pour tous les âges. Et puis soyons franc, du moins moi je le serais, l'animation pour adulte sont finalement des scénarios que l'on connait par cœur mais pour les films réels (actualité sociale et internationale, quotidien plus ou moins banals de Monsieur/Madame tous le monde, dénonciation politique et/ou documentaire...) Bref, le monde de l'animation s'est très bien détournée vers de nouveaux genres sans pour autant poursuivre à attirer toutes génération. Certains sont fait pour, d'autre pas du tous. Je garderais en tous cas un souvenir de qualité visuelle et en bonus, un petit échange verbal avec un journaliste américain du Comic Con de Sans Diego. Pas mal j'ai envie de dire.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    84 abonnés 1 740 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 novembre 2018
    L'idée de départ me paraissait ultra séduisante (un mélo en marionnettes ) avec en plus aux commandes le très inspiré Charlie Kaufman. Hélas, le film est terne, plat et au final ne raconte pas grand chose... Et l'apport de marionnettes bien qu' original ne sert absolument pas le film. Donc bof bof...
    gerald_w-a
    gerald_w-a

    10 abonnés 252 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 novembre 2017
    Incroyable film d'animation, avec le sens du détail, des dialogues bien pensés, et aussi quelques étrangetés, mais qui en font un objet cinématographique unique.
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