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    Anomalisa
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    3,2
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    98 critiques spectateurs

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    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    104 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 juillet 2016
    Nulle intention de ma part que de venir ici douter de la créativité et de l’indépendance artistique de Charlie Kaufman et de son accolyte de moment, mais force est d’admettre qu’Anomalisa, vendu comme une fable délicate sur les affres de la solitude, de l’anonymat et de l’amour laisse d’avantage un sentiment de malaise qu’autre chose. Curieux, donc, que ce film d’animation clairement adressé à l’adulte à tendance philosophe, ce pari clairement artistique qui n’aura laissé personne indifférent. Certains, bien sûr, auront crié au génie, alors que d’autres, moi-même, n’y voyons qu’un brûlot signé d’un auteur à l’orgueil à peine maquillée. Kaufman propose en effet quelque chose, ici, en tentant d’approcher une thématique sociale récurrente via les lapsus, les non-dits et une manière d’appréhender la vie qui ne satisfera pas tout le monde. Vous voilà prévenu.

    Tout, dans Anomalisa, tient du parti-pris, artistique, d’abord, puis narratif. Rien, en fait, ne découle d’une quelconque normalité, à l’image de la curieuse plastique du visage des protagonistes, des individus parfaitement modelés auxquels les créateurs ont semble-t-il voulus ajouter une sorte de masque mécanique, métaphore, sans doute, à note désintérêt perpétuel pour le monde qui nous entoure. Aussi, ces timbres de voix masculins, pour les femmes, perturbe, jusqu’à l’arrivée de Lisa, qui elle, parle comme une femme. Une anomalie, donc, un être qui inspire, pour une fois, autre chose que de l’indifférence de la part de Michael, blasé, déprimé et à la limite de la dépravation sociale. L’indifférence au centre des débats, donc, alors que la proposition d’ancré cette curieuse rencontre dans le cadre du plus impersonnel des rendez-vous professionnel semblait initialement une bonne idée. Plein de choses, donc, promises par les deux cinéastes aux commandes, mais peu de chose à l’arrivée, malheureusement.

    Des élans philosophiques, des élans émotionnels, rien que des élans, rien d’autres, en dépit d’une modélisation en Stop-Motion formidable. On ira même ici jusqu’à nous proposer une scène de sexe pour le moins explicite entre deux marionnette animées, jouissant dans l’allégresse alors que le climat tourne rapidement, les ébats commençant, au malsain. Difficile de parler de choc, rien de cela. Il s’agit simplement d’un contexte qui ne permet pas, réellement, une telle prise de risque alors que concrètement, nous sentons que le grand n’importe quoi n’est jamais très loin derrière les guêtres de notre personnage principal, un individu qui plus est jamais touchant, un comble en l’occurrence.

    Non, décidément, cet Anomalisa ne m’aura pas beaucoup plu, quand bien même la maîtrise technique et l’audace initiale de Kaufman sont à louer. Les curieux y trouveront peut-être matière à s’émerveiller, voire à philosopher sur notre condition d’être humain naviguant à l’aveugle dans la plus grande des prisons, la vie, mais peu de chance pour que beaucoup adhèrent au propos. On aime que les cinéastes prennent des risques, ce fût payant dans le cas de Kaufman avec Dans la peau de John Malkovich, mais ne poussons quand même pas mémé dans les ortilles avec des projets tels que celui-ci. 07/20
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 21 juin 2016
    Ce film est foncièrement dédié aux adultes, dans cette mouvance qui se crée peu à peu des films d’animation empruntant des sujets forts, avec notamment pour objectif de déstabiliser le spectateur, tout en l'amenant à réfléchir sur un ou divers thèmes en particulier. Anomalisa n'est pas une œuvre à « laisser à la portée des enfants »... Du tout.

    Retraçons le synopsis : Michael Stone se retrouve à Cincinnati où il doit mener une conférence, autour de son livre qui est devenu un best-seller dans le domaine des service clients, qui aurait fait gagné plus de 90% de productivité à toutes les entreprises. Pourtant ce Michael Stone souffre : il souffre de la banalité de la vie. Arrivé à l'âge difficile quinquagénaire, cet homme tourne en rond, tombant petit à petit dans un criant désespoir, avec la difficile impression que son existence ne rime plus à rien.
    Mais, dans son hôtel de Cincinnati, la veille de la conférence, il va faire une rencontre fortuite : Lisa, représentante en pâtisserie, une femme qui semble tout autant paumée dans la vie que lui, et pour laquelle il va subitement éprouver de nouveaux sentiments. Mais ces sentiments sont-ils réciproques ? Et bien plus encore, ces sentiments sont-ils... réels ?

    Le pitch apparaîtrait classique pour un film dramatique, mais nous côtoyons ici l’animation, un monde où tout peut être créé. Comprenez donc que cette œuvre traite de thèmes sérieux – et compliqués - (solitude, question du libre-arbitre, l'insignifiance apparente de nos vies sont au cœur du scénario), ce qui offre une expérience surprenante. Une réalisation aux thématiques peu enfantines, mais qui présente aussi des images crûes : nudité, sexe & sextoy. Tout comme un langage assez grossier par moment.

    La plus belle réussite du film se retrouve dans son aspect visuel. L'animation est de toute beauté, car elle reprend -attention, je ne suis pas expert – la technique de stop motion... et les personnages sont de vraies marionnettes, qui interagissent dans un décor « fait main ». Ce choix esthétique paraît déboussolant au premier abord, nous qui sommes habitués maintenant aux films 100% images de synthèse, mais le résultat reste magnifique. Les mouvements et les décors aseptisés donnent une impression de « réalité ».
    Autre point qui mérite des louanges : le choix du doublage. Seuls trois doubleurs ont été mobilisés pour donner voix aux personnages. L'un campe Michael, une femme double Lisa, et un dernier doubleur est là pour tous les autres personnages. Une nouvelle fois, le spectateur ne peut qu'être testabilité au début. Mais au fur et à me sure de la progression de l'intrigue, cette astreinte s'explique : nous entendons les autres comme Michael les entend, lui qui est prisonnier d'un monde conformiste et métaphorique.

    Je ne cesse de le répéter, mais Anomalisa est déstabilisant, voire même bouleversant sur certaines scènes. C'est forcément ce sentiment qui prédomine à la fin du visionnage. Mais selon moi, malheureusement, Charlie Kaufman et Duke Johnson se perdent en symboles. Ils souhaitent créer une poésie mélancolique, nauséabond, mais moi, ils m'ont souvent perdu. On dit que l'imaginaire n'a pas de limites, et ce film le montre. Pourtant, je pense qu'il faut aussi avoir se contenir parfois, et il ne suffit pas de façonner une œuvre « bizarre » pour pouvoir toucher les spectateurs : il faut composer une partition « magique ». La poésie et la réflexion en découleront naturellement. De bout en bout, Anomalisa semble trop « casse-tête », et ce n'est assurément pas un film qu'il faut voir quand on souhaite se détendre calmement sur son canapé...
    De même, nous sommes forcés à partager les jugements du personnage principal, Michael. Le point de vue est de tel façon émis que nous sommes prisonniers de la façon de penser de Michael, comme lui est prisonnier de ses illusions. Le spectateur se retrouve obligé de plonger dans l’univers dépressif du personnage : l'objectivité ne trouve pas sa place.

    Anomalisa se veut être une œuvre peu banale, mais qui traite de la banalité. Un film en apparence intelligent et fin. Cependant, chacun doit se faire son propre avis, car je suis persuadé que chacun d'entre nous réagira de façon différente après avoir vu Anomalisa. Une anomalie dans le genre du film d'animation.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 mai 2016
    Le film se révèle souvent ennuyeux. Il se réveille surtout vers la fin. Pourtant, il a quelques scènes sympa tel celle où les deux tourtereaux se livre à l'ébat sexuel et celui du petit déjeuner où les réalisateurs accentuent la solitude dans le déroulement de la scène de manière très interessante.
    Mais après tout ceci, je me suis bien un peu ennuyé. Les personnages du film ne sont pas très intéressant pendant une bonne heure du film. Même si les réalisateurs semblent vouloir montrer des choses, ils n'intriguent pas. A souligner tout de même un très bon stop-motion au niveau technique.
    Toto INF
    Toto INF

    36 abonnés 555 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juin 2016
    Pour être tout à fait honnête, après avoir vu la bande-annonce j'en attendais beaucoup, j'aurais adoré pouvoir lui mettre 5 étoles, mais la sincérité prévaut sur l'envie. Et pour être sincère c'était un bon film, mais ça s'arrête là. Le trailer me faisait miroiter un film sur l'existence, le sens de la vie, et en un certain sens l'optimisme nécessaire pour survivre, mais en fait pas du tout.

    Le propos du film au final est déjà vu et revu, seul la forme change. Le fond du film c'est du réchauffé, presque banal. Alors oui c'est touchant en un sens, et on ressent de l'empathie pour les personnages, mais ça va pas plus loin. J'en ai pas retiré une leçon foncièrement pertinente sur la vie, si ce n'est résigné. Niveau technique de réalisation du film, il y a des très très bonnes idées pour transmettre le ressenti du personnage principal, et ça c'est chouette, mais il n'y a que ça.

    J'aurais tendance à dire que, bien que ces propos soient dures, la bande-annonce est meilleure que le film, qui soit dit en passant, est bien trop court au regard des problèmes qu'il souhaitait soulever.

    EDIT : en repensant à ce film, j'ai essayé d'en sortir une morale, une leçon, et au final, c'est pas si irréel, et mauvais que je ne le pensais après le premier visionnage. Ce que ressent le personnage c'est humain, et le thème de la recherche de l'amour, avec notre façon idéalisé de ce dernier, est en définitive abordée de manière intelligente. Au final, on peut tirer quelque chose de ce film, après être d'accord avec lui relève de l'expérience personnelle de chacun.
    TchoSensei97
    TchoSensei97

    39 abonnés 167 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 mai 2016
    D'une profondeur philosophique extrêmement rare ! Ce film d'animation pour adulte fera méditer chaque spectateur sur le coup de foudre, les âmes soeurs (réelles ou illusoires), et sur la spécificité de chaque individu en général. Mais la vrai performance du film, c'est de nous captiver dès le début, en nous présentant un homme banal et inintéressant, vivant une vie banale et inintéressante. Les scènes et les dialogues sont également très simples, parfaitement réalistes, et souvent très drôles, grâce aux situations gênantes dans lesquelles les personnages se trouvent. Ce film permet alors de nous détendre, tout en nous faisant réfléchir sur la psychologie du personnage principal, qui vaut vraiment le coup d'être analysée. Un film unique !
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 303 abonnés 4 080 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 avril 2016
    Soyez sidérés devant cette pépite du cinéma d’animation pour adulte. Incomparable à ce qui a déjà été produit, Anomalisa est un travail titanesque de création de marionnettes en impression 3D. La profondeur des yeux, le grain de la peau, le mouvement des corps, tout donne l’impression d’être dans un nouveau monde. Le scénario n’a pas été mis de côté non plus. Ce que vit Michael Stone est épatant d’authenticité. L’homme se pose des questions sur sa vie et idéalise une femme face aux désillusions qu’il rencontre. Les voix, originales bien-sûr, ne passeront pas non plus inaperçues. Anomalisa saura provoquer en nous des émotions rarement vu dans le genre et offre une réflexion palpitante sur l’autre.
    D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 18 mars 2016
    Drôle d'ovni cinématographique, extrêmement bien réalisé, qui pointe du doigt notre éternelle insatisfaction en matière d'amour. Ils sont arrivés à faire quelque chose de fort émotionnellement, en utilisant des marionnettes, c'est original et osé. En allant voir Anomalisa, il ne faut pas s'attendre à une sorte de comédie romantique (comme on pourrait le croire en regardant la bande-annonce), il n'y a pas beaucoup d'action, le film fait la part belle aux dialogues, à l'émotion et se déroule sur une courte période, une soirée et une nuit. Une immersion dans notre quotidien, ce film nous ressemblant finalement.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 12 mars 2016
    Tous les trucs de réalisation sont uniquement la suite logique du scénario qui a le mérite de donner une vision sincère d'un romantisme qui prend ses racines dans le ton vicié du quotidien et sa force dans le caractère laconique du moment.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 mars 2016
    Un chef d'oeuvre, ça ? C'est vraiment se moquer des gens ...

    Alors, voici en quelques lignes, ce que les critiques appellent un chef d'oeuvre, et qu'ils mettent donc à égalité avec des films tels que "Apocalypse Now", "Le Parrain", "Titanic", ou "Autant en emporte le vent", bref les vrais chefs d'oeuvre du 7ème art ...

    Un homme d'affaire, antipathique au possible, doit passer une nuit à l’hôtel. Ça semble être son quotidien, et, à voir sa tête, il en est au bord du suicide... Il s'ennui, le pauvre homme ! Il décide d’appeler une de ses ex-, qu'il a plaqué il y a 10 ans, histoire de passer du bon temps avec elle. spoiler: Réticente, elle fini par le rejoindre à l’hôtel, mais refuse de coucher ...
    Et, oui, elle et le chauffeur de taxi sont sans doute les moins abrutis, et les plus sympathiques du film ! C'est pour dire, le niveau de névrose des personnages !
    Qu'à cela ne tienne. Notre héro, ne se laisse pas démonter pour autant... spoiler: Il entends une voix féminine dans le couloir qui longe ça chambre.
    spoiler: C'est la fameuse Lisa qui a donné son titre au film. Elle est médicore, sotte, et c'est une caricature grotesque de l'américaine moyenne !
    Tant pis. Notre homme tente sa chance. "Sur un malentendu, ça peut marcher" comme disait Jean-Claude Duss, dans un autre genre de chef d'oeuvre ... Et puis, il n'est pas Apollon non plus, quoiqu'en dise la copine de Lisa. spoiler: Et ça marche ... Il couche avec elle. Le but est atteint pour ce gros porc. C'est le grand amour ...

    spoiler: Nos 2 tourtereaux d'une nuit se séparent au matin, en se disant que c'était une bien belle nuit d'amour, et retrouvent leur quotidien morose et glauque.


    Alors bien sûr, pour faire "chef d'oeuvre", vous en faites un film d'animation (mauvaise animation bien sûr, ça fait "genre"). Vous mettez des masques aux personnages. Surtout pas de musique, il faut que ce soit le plus sordide et triste possible, et vous les faites tous parler avec une voix d'homme. Ça fait tout de suite intello. Et puis, vous faites croire que ce film pose des questions philosophiques et existentielles, ou qu'il porte une critique acerbe sur notre société capitaliste et individualiste : "nous sommes tous des robots !" "Quelle est notre place dans la société ?" "On subit notre vie", etc, etc ..."

    Bref, un film qui ravira les pseudo intellos, et ceux qui se gargarisent de l'être... Si vous ètes suffisamment intelligents pour ne pas faire partis de ces gens là, fuyez !!!
    Ciné2909
    Ciné2909

    68 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mars 2016
    S'il s'agit d'un film d'animation réalisé avec la technique du Stop-motion, Anomalisa est destiné à un public adulte. Cette réalisation que l'on doit au duo Charlie Kaufman / Duke Johnson a de quoi perturber dans ses premiers instants avec l'aspect robotisé des personnages et leurs voix uniformisés. Il faudra finalement attendre l'arrivée de Lisa pour mieux prendre en compte la profondeur d'un scénario qui flirte aussi bien avec l'étrange que le réalisme (sachant que dans le projet initial, il s'agissait d'une pièce de théâtre sonore). On peut donc considérer qu'il s'agit là d'un ovni, une véritable curiosité sur lequel il faudra jeter un œil.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 mars 2016
    Évidemment l'animation fait fonctionner à fond la catharsis, et du coup le film fait son effet et touche juste. Mais perso les marionnettes ça me met mal à l'aise, j'y peux rien.
    llafaye
    llafaye

    5 abonnés 170 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 février 2016
    Superbe film d'animation. Images superbes, beaucoup d'émotions, :-)une belle réflexion sur l'ennui, le poids des habitudes, la fragilité des passions. Une magnifique scène d'amour et la chanson à cappella de Cindy Loper.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 24 février 2016
    Dans Anomalisa se passent très peu de choses. Et quand rien ne se passe, tout s'élonge de trop. Le trajet dès l'aéroport à l'hôtel ne sert presque à rien, plein de dialogues vides. Non plus la scène du cauchemar, qui met en évidence ce qu'on avait déjà compris avant. Le personnage de Lisa, dont Jennifer Jason Leigh donne la voix, c'est vrai qu'il est adorable. Le problème c'est qu'il rassemble une compilation de clichés concernant une fille différente qui ne se met pas en valeur et qu'on a déjà vu mille fois. Ne parlons pas de la scène où elle se met à chanter Girls just wanna have fun, de Cindy Lauper, frisant la glycémie.

    Opportunité ratée pour que Kaufman saute à l'animation, sachant qu'on parle de quelqu'un qui domine à la perfection les déstructurations narratives. Mais c'est évident, tant qu'il y a une composition. Malgré tout, la fin sauf le film et il vaut un peu la peine que pour voir les guignols en mouvement.

    Lisez la critique en entier sur le lien
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 24 février 2016
    L'animation est superbe.
    Le scénario y a été abandonné.
    C'est une petite idée qui est allongée au maximum et cela ne prend pas, le personnage principal est juste nombriliste à souhait et l'histoire n'amène à aucun recul sur lui ou aucune évolution réelle ni en bien ni en mal.
    Ce qui aurait été un formidable court métrage est ici un frustrant long qui se perd malgré ses bonnes idées.
    Ce qui semble malin cache ici une philosophie de pachiderme brusque et lubrique.
    Dommage...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 23 février 2016
    Techniquement c'est (presque) parfait, mais on ne peut pas dire que l'histoire est d'une grande originalité. Quand on voit les "critiques" sur l'affiche on a le droit d'être un peu plus circonspect... C'est bien, ça se regarde avec plaisir. C'est déjà pas mal, non? A voir.
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