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elriad
430 abonnés
1 857 critiques
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4,0
Publiée le 16 septembre 2014
même si le film n'est pas égal, il n'en demeure pas moins qu'il dégage une vraie générosité par sa galerie de portraits féminins piquants et truculents, réserve une tonne de scènes drôlatiques et son énergie communicative finit par emporter le spectateur. Trop rarement les comédies sont bonnes et emportent mon adhésion, celle-ci, tellement pêchu, m'a enthousiasmé. Une bulle de champagne !
Film sans intérêt... très très mauvais montage, on est perdu dans l'histoire et la blagues sont tellement mal présentées qu'au final, ce n'est pas marrant du tout!!!
Quelle tristesse! la réalisatrice nous dresse un tableau de caricature de femmes, le film ne reflète pas les femmes d'aujourd'hui et encore moins comment elle vive leur sexualité, encore heureux! Le scénario est terriblement vulgaire rien que les 2 premières minutes j'ai eu des hauts le cœur. Les actrices ne sont pas convaincantes, quel dommage car certaines scènes ont quand même réussi à me tirer un sourire.Le film manque trop de finesse,de subtilité et de tendresse!
que le pouvoir doit aussi revenir aux femmes, c'est ok. mais de là à reprndre tous les clichés du parfait matcho et le transposer chez les femmes... ouaih... assez vulgaire, ce film est fait par des femmes, pour des femmes. elles vont bien rire de leurs regles, des parties de jambe en l'air.... et laisseront les hommes sur le bas coté. c'est assez dynamique, mais le jeu de certaines actrices et limité au néant (adjani, que fait elle là au final?) . mention à laetitia casta et Alice Belaïdi touchantes. un moment "sympatoche" mais qui ne casse au final pas grand chose....
Quelle catastrophe, je n'ai pas accroché du tout. Le scénario est lourd, les actrices en font des caisses, il n'y a aucune blague. Comment un tel casting a-t-il pu accepter un projet comme celui-là?
Sympathique et inoffensive compilation de sketchs portés par une pléiade d'actrices visiblement contentes de jouer sur cette partition trop inédite en France. Un peu trop long, un peu trop décousu, trop de personnages donc (forcément) certains sont sacrifiés (Testud, Adjani, Fleurot) et d'autres inutiles car redondants (Dana, Casta) On oscille entre (dans les bon moments) un Sex and the City branchouille et (dans les mauvais) une sacrée mauvaise pub pour déodorant Narta. Les segments ont parfois du mal à s'imbriquer ensemble tant le ton et le jeu des acteurs diffèrent d'une scène à l'autre (Ferrier, burlesque s'intègre mal au reste du film) Bref un sympathique foutoir qui aurait mérité d'être plus recentré d'où émergent Géraldine Nakache, Guillaume Gouix, et le tandem Paradis - Belaïdi.
Malgré une idée de départ intéressante et un casting de grande qualité, cette comédie, première réalisation de la nouvelle arrivée Audrey Dana, ne propose qu'un scénario vulgaire, indécent et manquant cruellement d'humour. Une déception...
Si la femme est "l'avenir de l'Homme" pour le poète, pour Audrey Dana, la "cinéaste", l'avenir de la Femme, c'est clairement (et quasi uniquement) le Cul ! "Sous les jupes des filles", elle y montre les menstrues, le fout.e, les flatulences, les godemichés.... Une vision grandiose, en somme. Cela se veut sans doute iconoclaste et "nouveau", ce n'est que tristement grossier. Dans le "bal des actrices" convoquées (dont l'auteur) pour entonner ces couplets "réalistes" et réducteurs, on retiendra Julie Ferrier et Marina Hands en "positif", Sylvie Testud en "neutre" et pas mal d'autres en "nul" - dont Mlle Adjani, qui frôlant la soixantaine, pense encore faire illusion côté physique (tout en ne faisant plus montre, depuis pas mal de temps, du moindre talent). Laid, stupide et franchement désespérant !
"Sous les jupes des filles" : des pantalons ! L'accomplissement du "Deuxième sexe" (féminin) passe en 2014 par l'adoption des pires caractéristiques du "Premier sexe" (masculin), éventuellement même avec surenchère, selon Audrey Dana, s'essayant à la réalisation en format "long" : du sexe, du sexe, du sexe, et bien trash ( de l'ambition professionnelle, en format XXL). Un seul bémol : l'amitié entre filles (pour l'aspect ""choral"). AD met en montre toute une galerie d'actrices, au soutien de son propos. Ne sait pas quoi en faire (ou si peu !), en perd certaines en route... Jouer sur les codes, c'est bien. Enfiler les clichés (la "nympho", la "bobo", l'"hystéro", la "boulot/boulot", la frigide, etc - manque cependant l'"alcoolo"), en croyant sans doute réussir à les démonter et les dénoncer, mais en patinant dans la semoule, c'est... pathétique. Tout ce petit monde au féminin grenouille lamentablement, au gré de saynètes pauvres (et en dramaturgie, et en "dialogues"). Seules Julie Ferrier spoiler: (en conductrice de bus à tics) et Marina Hands spoiler: (en cocue magnifique) font ( a minima) quelque chose du lamentable brouet qu'on leur donne à "servir". Parmi les plus nulles : Isabelle Adjani, totale "has been" figée sous une quadruple couche de Leichner, et l'inconsistante "soeur de", Mlle Nakache. Presque 1.350.000 entrées salles ? spoiler: "Liberté, féminité, médiocrité"...
je dis bien car il y a une belle représentation des actrices françaises du moment, mais le tout est un peu fouillis, ça se regarde, j'ai bien aimé en vdo, c'est tranquille et sans prise de tête.
Immonde, affligeant, d'une vulgarité inouï : règles, queues, sont déjà au générique et le reste c'est pets, tampax, poils du cul, baise. Des portraits de femmes, si on peut appeler ça portrait, débilement caricaturaux, aucune histoire mais aucune. Mais qu'est ce que c'est????
Audrey Dana nous présente sa vision des femmes et c’est totalement has-been, voir sexiste. Heureusement le casting est bon et les comédiennes s’amusent, Marina Hands en femme jalouse et hystérique, nous fait un vrai show.
Les dialogues sont mauvais et les situations caricaturales. Le sexe, les fringues et un peu de romance à l’eau de rose, c’est un peu juste pour résumer l’univers des filles.
Le ton se veut impertinent mais flirte souvent avec la vulgarité. Finalement les mecs sont pas mal, Pascal Elbé et Guillaume Gouix font dans la sobriété et ça fait du bien.
Le bouquet final, façon Demy, ne fait que confirmer notre impression, c’est un navet !
Un beau casting pour un mauvais film. Des personnages sans fonds à mille lieues de la réalité. Les femmes passent souvent pour des idiotes, des hystériques, des nymphos... J'ai beau chercher dans mon entourage, aucune personne ne ressemble à un des personnages. Sexe sexe sexe et parfois un autre problème qui est vite oublié. Scénario porté disparu.
Hormis quelques rares scènes amusantes, ce film est d'un ennui prodigieux. Seules Vanessa Paradis et Alice Taglioni s'en tirent honorablement et donnent un peu de peps à cette suite de sketches qui se voudraient gentiment grivois, mais sont en fait d'une vulgarité dont on se passerait sans problèmes. Creux, vain, et vaniteux.
Le titre du film m’a automatiquement fait penser à deux choses. La première, au refrain de la chanson d’Alain Souchon: rétines et pupilles, les garçons ont les yeux qui brillent, pour un jeu de dupes voir sous les jupes des filles. Et ça m’a rappelé aussi les tartes dans la gueule, que, nous les mecs, on se prenait quand on essayait de trousser le jupon d’une gonzesse. Plus sérieusement, que peut-on dire au sujet de « Sous les jupes des filles »? Tout simplement que ce n’est pas un film. C’est un objet qui s’apparente plus à un défilé de gonzesses qu’à un film. Il n’y a qu’à voir la pléiade d’interprètes féminines: Isabelle Adjani, Sylvie Testud, Géraldine Nakache, Laeticia Casta, Audrey Dana, et d’autres encore… Mais sur le plan cinématographique pur, on a absolument rien à se mettre sous la dent. Toutes ces actrices sont là pour nous faire tour à tour leur petit numéro. Mais à part ça, que dalle. Il n’y a pas d’histoire, pas de but à atteindre, pas de fil conducteur. Les dialogues, parlons en. Les trois quarts du temps, ils se résument à un florilège de terme à caractère sexuels, ce qui n'amène pas grand chose voire rien du tout. Mais, y a quand même un peu de positif. Soyons pas vaches nom de dieu. Il faut reconnaître que l’on s’ennuie pas, que c’est divertissant. Et surtout, on peut mater. On s’ennuie pas d’accord, y a de jolies nanas d’accord, mais ça ne suffit pas. On ne peut pas construire un film uniquement sur ça. En résumé, « Sous les jupes des filles », ça se regarde, c’est sympa une fois, mais rien qu’une fois. La définition de l’objet jetable après utilisation.