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    Ex Machina
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    540 critiques spectateurs

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    Rudy66
    Rudy66

    21 abonnés 796 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 mars 2018
    Un film assez intéressant.
    Point positif: Le scénario est bien ficelé, les acteurs remplissent parfaitement leur rôle, mention spéciale à la ravissante Alicia Vikander.
    Point négatif: L'univers est quand même assez sombre et il n'y pas beaucoup de rythme, ni d'action.
    Bref, un film qui plaira à certain et déplaira à d'autres.
    Pour ma part, j'ai assez apprécié bien que je n'y ai rien trouvé d'exceptionnel. 3/5
    Apanage
    Apanage

    2 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 juin 2018
    Dans le domaine de la science-fiction, cet opus appartient au genre de l’anticipation. Dans ce sens, le film tente de donner un minimum d’explication scientifique. Alex Garland, le scénariste/réalisateur, ne ménage pas ses efforts pour répondre à la question : comment? Pour résumer, cette œuvre aborde l’Intelligence Artificielle (IA) à l’aune des techniques contemporaines. La narration est effectuée à la manière d’un thriller.
    Ce film soulève plusieurs questions, la première, c’est de savoir si Ava est une « véritable Intelligence Artificielle ». A mon sens, la réponse à cette question est tranchée. spoiler: Une des rares scènes passées semble montrer que les précédentes versions de l’IA développaient le souhait de sortir de façon autonome. Sans que ce soit programmé par Caleb, cette volonté est sans doute une conséquence inévitable de la création d’une IA. Son apparition est une preuve de sa ressemblance avec un être vivant, de son niveau de conscience et de son individualité. Il y en a une qui manifeste ce souhait de façon autodestructrice : elle se fracasse les poignets contre les murs. Le comportement de l’androïde concourt à leur attribuer un caractère humain. Aussi, durant le dénouement, elle démontre quand elle est toute seule qu’elle peut montrer des émotions spontanées : elle est ravie de sortir.
    Quel que soit la réponse à la question de l’IA, le mimétisme avec l’humain est nécessaire pour développer l’histoire. spoiler: A cet égard, la base de l’intrigue, c’est que Nathan a décidé de concevoir un test de l’IA en partant de son envie de sortir.

    Le rapport que Nathan entretient avec l’humanoïde est glauque et le fait qu’on compatisse avec l’être artificiel est une des réussites de ce long-métrage.
    L’histoire entretient le doute sur les intentions et la sincérité des protagonistes. Par exemple, il y a une ambivalence des intentions de Caleb : attirance, humanisme ou les deux ? Le film démêle progressivement les fils des manigances des personnages de façon plutôt logique. Les interrogations et les réponses se succèdent, je passe sur un scénario bien construit pour aborder un point qui m’intéresse. spoiler: Le fait sur laquelle je me focalise est la trahison infligée à Caleb par Ava. La question soulevée est celle de la capacité à créer des liens sincères de cet être artificiel. A-t-elle totalement fait semblant pour manipuler Caleb? Est-elle triste lorsqu’elle voit son « père » mourir ? Ce n’est pas évident. Dans l’hypothèse d’une capacité d’empathie, elle a peut-être utilisé cette aptitude provisoirement pour nouer des liens, dans la mesure où cela servait ses buts. Durant les séquences finales, le spectateur est placé devant une question : l’abandon de Caleb par Ava est-il correctement amené. Cette trahison peut sembler disproportionnée, inutile. De plus Ava a abandonné son homologue sans état d’âme après s’être servi d’elle. Ce qui donne l’impression d’être face à un être insensible. Et puis ensuite, on nous montre son émotivité lorsqu’elle part seule ; manifestement elle est émerveillée et heureuse de sortir. Son attitude contraste avec ses actes, elle paraît d’autant plus abominable qu’elle présente une apparence humaine. On risque de considérer que le dénouement est dérangeant, dans le sens où le film nous pousse à compatir avec l’être enfermé présenté comme une victime (la scène du déchirement du dessin), et qu’ensuite on nous montre que cet être est capable de commettre une infamie. Mais si la duplicité d’Ava est déplaisante moralement, cela ne l’empêche pas d’être plausible dans cette fiction. Une des problématiques du film touche à l’hybris de Nathan, qui produit un être qui peut échapper à son contrôle. En conséquence, il a produit un monstre (quel qu’en soit les apparences), c’est-à-dire une créature source de risque. A ce sujet, les dialogues des protagonistes font référence à Prométhée, au projet Manhattan et l’éventuel remplacement de l’humain par des êtres artificiels. Le discours suggère une catastrophe potentielle. De son côté, elle peut se considérer comme une forme d’intelligence ennemie ou concurrente de l’humanité. Les agissements d’Ava sont totalement cohérents avec le propos général du film. Dans Ex Machina, la révolte des machines se double d’un drame relationnel.

    Le film ne répond pas à nos attentes morales mais son récit est cohérent, en conséquence, si cet opus nous dérange, c’est fait de manière justifiée. spoiler: Une des questions du long-métrage porte sur la dangerosité de l’IA et Alex Garland y répond.


    J’aborde maintenant la réalisation et les considérations technologiques. Il y a un contraste entre la sensation d’incarcération du complexe souterrain et l’immensité dépeuplée à l’extérieure. Le paradoxe ainsi présenté est superficiel car les deux caractéristiques participent d'un enfermement : l’espace de l'intrigue est clôt à l’intérieur et isolé à l’extérieure. La mise en scène est « claustrophobe », l’espace intérieur est compartimentée et les accès contrôlés. Les scènes sont majoritairement situées en intérieur, dans des pièces étroites, et pourtant, les nombreuses cloisons vitrées donne une vue plus large. Aussi, des effets de transparence sont mis en œuvre par les vitres et reflets dans le complexe. Certaines pièces ont même une baie vitrée qui donne sur l’extérieur. La base n’est que partiellement enterrée : ils sont à flanc d’une berge d’un fleuve. L’espace est étroit mais visuellement ouvert. C’est une prison aux murs transparents, un peu comme celle d’Hava, qui d’ailleurs est enfermé avec un accès au monde via le réseau. Si l’on ajoute ces spécificités avec les scènes d’observation d’autrui via les caméras, on a l’impression d’une réalisation qui tend momentanément vers le voyeurisme.
    spoiler: Lors d’un deuxième visionnage, le plan du début prend tout son sens, lorsque Caleb apprend qu’il a réussi le concours, on le voit à travers son écran.

    L’aspect voyeuriste est lié aux caractéristiques bien connues du réseau internet qui permettent une violation plus ou moins large de la vie privé (l’utilisation des cookies, piratage et vol de fichiers et photos privés, espionnage électronique et tout simplement l’affichage inconsidéré de la vie privée sur internet).

    Alex Garland intègre d’autres techniques modernes à son scénario. spoiler: En effet, l’IA de Ava est liée à l’exploitation des données collectées sur une vaste population, permise par l’utilisation massive (majoritaire) d’un moteur de recherche. Nathan tire également parti de l’espionnage des utilisateurs de Smartphone, dont les expressions faciales sont captées et associés à la voix. Il se sert de ces données pour qu’Ava mette en œuvre une reconnaissance efficace des émotions.
    Le concept de l’IA est donc examiné à travers le prisme des conceptions technologiques modernes. Ce qui donne un aspect contemporain au traitement du sujet.
    D’autre part, il y a un point qui alerte mon attention, c’est la justification ambigüe par Nathan de l’attirance potentiel d’Ava pour un homme, par une référence à l’art. J’ai eu l’impression que c’était une diversion pour cacher ses manigances. Et pourtant son discours sur l’art automatique est peut-être une clé de compréhension du fonctionnement d’Ava.
    Caleb considère que l’intelligence est avant tout un moyen de survivre. Il estime que la sexualité de cette machine est superflue et pense probablement qu’elle a pu être établie pour biaiser le test spoiler: (pour lui, la question est d’autant plus importante qu’Ava correspond à ses goûts. Son visage a été créé par Nathan selon les préférences de Caleb, qui ont été extrait de son profil internet). Ce dernier soupçonne sans doute une manipulation
    .
    Si on se demande si Nathan fait diversion avec son discours sur l’art, nous avons une première réponse fournie par une scène suivante durant laquelle Ava nous informe qu’il ne dit rien de vrai.
    Cependant, j’ai échafaudé une autre théorie : le discours de Nathan sur « l’art automatique » est une explication du mécanisme de pensée d’Ava. Son IA serait un savant mélange de contraintes programmés et d’exercice aléatoire. Cet exposé lénifiant de Nathan nous apporte peut-être une clé de compréhension de l’intelligence.
    Dans cette séquence, le réalisateur jonglerais avec l’aspect thriller et la problématique scientifique.

    En guise de conclusion, j’ai été troublé par Ava, cet être étrangement mécanique et attachant. J’ai eu l’impression de voir un remake sombre de Pinocchio. Le film utilise la crainte d’un être artificiel qui imiterait l’humain en tout point, même dans l’interaction sociale, voire même qui le dépasse sur certaine compétences relationnelles. Nous serions alors remplaçables. Le film soulève également de vastes questions que je n’ai pas traitées ici. L’histoire est complète mais le film conserve des questions en suspens : que fait Ava après avoir atteint sa liberté dans le monde humain ? Quelles sont les conséquences ? La fin est donc ouverte.___________________ Remarques hors-sujet : ____- Dans le couloir, des masques sont accrochés au mur, rangés de la figure la plus grotesque au visage le plus humain. Est-ce une représentation de l’IA qui se rapproche de l’humain ?
    ______- A part ça, j’ai compté 4 cranes au cours du film. Explication ? spoiler: un danger de mort qui plane?
    [C-Veddona]
    [C-Veddona]

    10 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 mars 2018
    Une approche plus intimiste du style et du sujet de l'IA dans l'avenir et ses dangers. C'est superbement réalisé et vraiment très réussi !
    Les acteurs sont remarquables et assurent une très bonne polyvalence, selon les besoins des scènes.

    Une grande force du film réside aussi d ans sa capacité à défaire tous les twists avenants dans les quelques minutes suivants leurs « expositions » ce qui apporte une dimension déboussolant et perturbe ce qui est quand même très rare dans un film. On se retrouve alors perpétuellement en manque de théorie quant à la finalité de l'intrigue et c'est un sentiment rare qui m'a par ailleurs beaucoup plus.

    Le film est néanmoins assez court, il y avait moyen de faire plus avec cette intrigue et ce sujet ainsi que de la détailler plus. C'est un peu dommage. La fin est par contre réussi. Un excellent film qui est par ailleurs visuellement très très réussi, pas étonnant que celui-ci est obtenue l'Oscar des Meilleurs effets visuels !
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    80 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 février 2018
    L'amateur de science-fiction que je suis a été séduis par "Ex machina", une oeuvre prenante et passionnante bien qu'imparfaite. Pour son tout premier long-métrage, Alex Garland affiche de réelles ambitions de réalisation en proposant des partis pris esthétiques forts. Le néo-cinéaste attache beaucoup d'importance au travail du cadre et profite d'une formidable direction de la photographie pour développer une atmosphère angoissante, Le film se révèle en effet être un véritable huit-clos dont l'environnement à première vue idyllique semble presque prendre vie. Le jeu sur la lumière donne ainsi à la maison une allure de labyrinthe où les différentes facettes de la personnalité de chaque personnage sont reflétées dans la multitude de miroirs dont regorge la maison. Ainsi, chacun des personnages possèdent une personnalité profonde et complexe ce qui participe grandement à rendre ce film aussi intéressant. A partir de la thématique de l'intelligence artificielle, le long-métrage lance différentes pistes toutes plus riches les unes que les autres. Ce qui est à l'origine une bonne intention finit à mon sens par poser problème car, à force d'investir autant de thématiques différentes, le film finit par ne pas aller au bout de ses idées et à sous-traiter des pistes qui semblaient prometteuses. Que ce soit en pointant le danger que représente les moteurs de recherche, en s'interrogeant sur ce qui fait de nous des être humains ou en abordant la thématique de l'intelligence artificielle par un biais assez nouveau à savoir la sexualité et l'esclavagisme, le film s'avère indiscutablement pertinent mais malheureusement, aucun de ses arcs narratifs n'est exploré jusqu'au bout ce qui a crée chez moi un sentiment de frustration. De nombreux films ont déjà traité précédemment de l'intelligence artificielle et j'ai eu finalement l'impression que le long-métrage ne faisait pas grandement avancer cette thématique malgré de bonnes intentions de départ. Cela reste un petit regret mais ça ne m'a pas empêché comme je l'ai dis d'avoir beaucoup apprécié "Ex Machina", une oeuvre de SF osée comme j'aimerai en voir plus souvent.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 février 2018
    Un chef d'oeuvre intelligent, fascinant, techniquement parfait et remarquablement interprétée. Les dialogues sont excellents, les acteurs sont excellents, la BO est dingue et le scénario est brillant. L’un des meilleurs films de SF contemporains.
    this is my movies
    this is my movies

    722 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 novembre 2018
    Après une longue collaboration avec D. Boyle, A. Garland a donc pris son indépendance,d'abord avec "Dredd" (dont il est le véritable responsable si on croit différentes sources, P. Travis ne devant sa présence au générique final que grâce à son contrat) puis véritablement avec ce film, sorte de thriller d'anticipation high tech au concept bien identifié, porté par un trio d'acteurs au top. Indéniablement, Garland est très intelligent, et il aime bien le montrer à longueur de film. Sa mise en scène est impeccable, sans aspérité, son esthétique est froide, tout en étant très travaillée, il scénarise avec soin et brouille les pistes, ne reniant pas quelques bons vieux twists. Son film se regarde donc avec un certain plaisir, surtout qu'il ne se perd pas trop en digressions, il signe un thriller bien vu, dans l'air du temps, qui nous offre quelques belles séquences, et surtout, des effets spéciaux bluffants. Belle réussite donc. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 20 janvier 2018
    Un très bon film pendant 1h20: le sujet est traité avec justesse et avec une très belle esthétique, l'ambiance qui est installée est prenante et réussie, on approche le sans faute.

    Et puis peu à peu, le film se précipite. Alors que le matériel était largement suffisant pour faire un film de 2h, les dénouement s'enchainent faisant perdre une partie de la profondeur des personnages. Le film parvient cependant à ne pas trop tomber dans les clichés et le moment le plus intense du film arrive spoiler: la mort de l'inventeur
    suivi immédiatement par le moment le plus en suspens spoiler: la transformation physique de l'IA
    . Et là, on prie pour que le film s'arrête sur ce moment de grâce, sur cette fin ouverte et quasi-parfaite qui lui tend les bras.

    Et patatra, le film se finit sur une fin des plus banales et des plus classiques spoiler: attention, les IA, comme les humains, ça peut manipuler
    aux antipodes de l'ambition initialement montrée par le film.

    Bref, un film qui aurait pu être très bon et qui se fini sur une frustration qui fait se poser des questions sur l'intention du réalisateur spoiler: le coup de l'IA qui se retrouve seule dans le monde des humains, c'est pour préparer une suite ou quoi ?
    Elianor84
    Elianor84

    4 abonnés 466 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 janvier 2018
    Un film bien amené sur l'évolution des technologies et de l'intelligence artificielle ! Même si les acteurs sont moyens, la réalisation est très bien ! Et une fin des plus surprenante !
    kal-el 02
    kal-el 02

    119 abonnés 843 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 janvier 2018
    Ex Machina est un bon film de science-fiction doublé d’un tout aussi bon thriller psychologique. L’histoire est une revisite moderne du mythe de Frankenstein, malgré les engrenages high-tech et la fibre optique, tout ceci ressemble fortement à la même histoire, où la création échappe à son concepteur. Les décors sont très plaisants tout comme la luminosité qui accompagne le métrage. La distribution est judicieuse alicia vikander pour son tout premier grand rôle je pense et oscar isaacs toujours aussi talentueux. et la mise en scène est vraiment séduisante. L’ensemble dégageant un divertissement très agréable et captivant.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 janvier 2018
    Du mauvais cinéma, un synopsis qui paraissait bien mais finalement ennuyant et inintéressant.
    Ce film sera un non pour ma part.
    Robrex
    Robrex

    25 abonnés 940 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mai 2018
    Un bon film, original, intéressant, créatif et touchant sur les bords. Après, pour moi, je dis pas que c'est un film vraiment extraordinaire, mais je reconnais quand même qu'il a énormément de qualités. Le scénario est assez peu commun et c'est plutôt mieux comme ça, ça nous plonge dans une histoire intéressante, dans un tout nouveau concept d'intelligence artificielle en nous montrant des choses vraiment fascinantes. Les effets spéciaux sont bons, les acteurs jouent correctement, surtout Oscar Isaacs qui est très bon. Alicia Vikander en tant qu'androïde est aussi plutôt agréable à regarder. Vraiment, au niveau des acteurs il y a aucun problème. A la limite, ce que je pourrais reprocher au film, c'est le rythme qui a tendance à se montrer poussif, y'a des moments où je me suis dit que c'était un peu long pour rien, mais on s'ennuie pas forcément devant, parce que le film rebondit vraiment bien. Je vais pas spoiler, mais la fin du film te scotche quand même au fauteuil. Vraiment, "Ex Machina" est intéressant pour tout son aspect créatif, mais c'est vraiment dommage que le rythme du film vienne un peu gâcher, mais ça nuit pas entièrement le film qui sait très bien satisfaire le public. Donc voilà, "Ex Machina" est un bon film, un bon divertissement, un film de science-fiction original, mais avec un rythme assez lent. Mais malgré cela, ça vaut le coup d'être regardé et c'est pour ça que je le conseille, surtout aux fans de ce type de film.
    Corentin L.
    Corentin L.

    1 abonné 24 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 décembre 2017
    Un film très spécial qui sait néanmoins conquérir son public. Les moments de silences omniprésents de ce long métrage révèlent une atmosphère angoissante.
    Julien B.
    Julien B.

    5 abonnés 257 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 décembre 2017
    Un thriller en mode SF très épuré mais souffrant parfois de longueurs. Malgré tout, l'intrigue est superbe, les acteurs formidables et les paysages sont à couper le souffle. Mauvaise note cependant pour le volume sonore.
    Eastwood73
    Eastwood73

    5 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 décembre 2017
    En voilà une pépite cinématographique. Je m'attendais à rien de spécial et quelle claque !
    Un esthétisme bleuffant, acteurs au niveau, dialogues intelligents et une espèce d'envoûtement
    omniprésent. Une belle réussite.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    111 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 décembre 2017
    Œuvre de science-fiction épurée et superbement mise en scène – décors, lumière, cadrage sont époustouflants – Ex machina parvient à renouveler la thématique de l'intelligence artificielle avec élégance et finesse, sans pour autant opérer de révolution scénaristique. Le trio d'acteurs principaux, Domhnall Gleeson, Oscar Isaac et Alicia Vikander fonctionne parfaitement. Une vraie réussite et un plaisir de chaque plan.
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