on dirait un film amateur, tourné dans le désert... l'idée de base est bien, mais on sombre dans la SF bidon impossible et à l'eau de rose.... le tout sans rythme... vraiment pas terrible
Excellent film, qui ne traite pas uniquement du rapport de l'Humain à la machine, mais aussi de ce qui fait vraiment l'Homme. De plus le jeu des acteurs est bon, ce qui ne gâche rien !
L'esprit humain fusionnant avec le tout-informatique : du pain béni pour la SF mais que TRANSCENDENCE peine pourtant à mordre. Première réalisation et premier scénario original, le film, primitif, prône une sur-simplification épurée, quitte à atteindre l'incohérence, pour assumer à cent pour cent le code source de son existence : l'émotion humaine. Dans l'ambiguïté d'un contexte survolé et pourtant substance prétentieuse, l'intensité du thriller est floutée, incomplète. Mais le cheminement se révèle finalement touchant dans sa direction vers le drame humain, la romance inévitablement tragique dans le milieu humain qui ne trouve une apogée mystique que dans sa chute. Formellement maîtrisé mais handicapé par les failles narratives de son ambition candide, TRANSCENDENCE est d'une efficacité simpliste, solide derrière sa naïveté, le grand potentiel SF transcendé par la petite échelle humaine.
Un film plein de sens et dans l'air du temps. Questionnement sur le rapport homme/technologie qui dérangera surement plus un. Pour un public qui aime la réflexion plus poussée que conso/boulot/dodo.
S'appuyant sur les évolutions actuelles de la technologie, TRANSCENDANCE nous montre une possible issue évidemment complexe et possiblement destructive, cinéma oblige. Malheureusement, on reste trop éloigné des personnages car l'émotion est quasi absente ! Ça reste froid comme le programme informatique qui sert de base. Le scénario n'est pas mauvais en soi mais l'impression de déjà vu prédomine : un air de TERMINATOR, un peu de IRON MAN 3 aussi ou autres. Pas mauvais donc mais oubliables facilement !
nous faisant gràce des effets ostentatoires rivalisant dans ce genre de film et qui finissent par peser voir rendre ridicules certaines histoires, ce film s'économise et livre une vision sombre et troublante, à la limite du conte, d'un futur où l'Homme serait tellement connecté à la machine qu'il en perdrait ses repères. Beau visuellement, bien interprété, j'ai vraiment beaucoup aimé alors que je ne suis généralement pas client de ce genre. Transcendé, il faut le dire...
Rien que la première phrase du film est ridicule et non-fondée :"internet a été créé pour connecter les gens", du grand n'importe-quoi. Le film est lent, intéressant sans être crédible mais tout de même captivant. Cette histoire n'a rien de réaliste et y croire tiendrait de la folie, malgré tout ça se laisse regarder. La fin est sympa et répond à la question que l'on se pose tout le long du film. Bref, à regarder une fois, vite vu vite oublié.
Pour un film produit par Nolan, réalisé par son DP et avec Johnny Depp au casting, autant dire que même en ayant vu les critiques négatives, je m’attendais à mieux. je me suis demandée si je devais en étaler la longue liste des incohérences (entre erreurs de scénario, dilemmes finaux sans queue ni tête, et fautes de logique élémentaires au niveau des principes mêmes posés par le film).
Bien naze, scénario bien étrange auquel je n'ai absolument pas accroché. Mais pourquoi Depp est venu se perdre dans cette daube. A peine vu déjà oublié.
Voilà un pitch attirant alors que "dans la vraie vie des vrais gens" nous sommes à l’aube d’une ère robotique prêts à nous remplacer au pied levé. Nous découvrons le Professeur Craster et sa femme, en pleine promotion de leurs travaux et en recherche de financement. L’intelligence artificielle sera notre salut, afin de guérir les maladies mais aussi la planète. Ce n’est pas ce que pensent certains activistes, pour qui le téléphone c’est déjà le mal et qui ne voient pas d’un bon œil l’arrivée d’un ordinateur non pas assistant de l’Homme mais supplantant celui-ci. [...] Il manque un petit "je ne sais quoi" pour que le film soit réellement captivant. J’avoue avoir passé la première partie du film à essayer de ne pas m’endormir. Toujours est-il que l’on comprend bien l’enjeu et que les activistes, qui passent au départ pour des illuminés, sont dans le vrai. Mais qu’est-ce qui sous-tend, encore une fois, la volonté du Professeur Caster, désormais entité numérique consciente d’elle-même? Et bien une histoire vieille comme le monde: l’amour. Car oui, si Craster veut changer le monde, c’est par amour pour sa femme, dont c’était le rêve de Bisoun… depuis toujours. Pour cela, il aura besoin de puissance, de connaissance et d’une armée et c’est ce qu’il va tenter de faire. Ses anciens acolytes et amis, Max Waters (Paul Bettany) et Joseph Tagger (Morgan Freeman) vont alors s’unir aux activistes pour arrêter ce qui semble bien annoncer la fin de l’humanité. Aidés par le gouvernement (enfin le FBI quoi), ils devront trouver LA solution pour détruire le système qui pourtant contrôle tout et peut tout savoir à tout moment. [...] En résumé, Transcendance est un bon film du genre mais il est clair qu’on aurait pu attendre plus de ce film, surtout vu le casting (m’enfin ça n’est pas comme si Johnny Deep faisait de bons films, il n’y a qu’à le voir dans The Tourist).