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    Lost River
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    281 critiques spectateurs

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    Francia1
    Francia1

    10 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 avril 2015
    Assurément aucun éclat.
    Un montage mollasson, des longueurs et un ennui certain.
    Absence de scénario, beaucoup de noirceur et de perversité mais avec des ficelles bien faciles.
    De jolis clichés, une jolie BO, un joli casting mais qui à l'arrivé ne font pas un film !
    N'est pas D.Lynch qui veut.
    En conclusion : à éviter et même à fuir !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 24 avril 2015
    Je préfère Ryan Gosling en tant qu'acteur ! Les paysages dans le film sont super, dommage que le scénario ne soit pas extraordinaire.. J'ai été déçu..
    Maïwenn G.
    Maïwenn G.

    2 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 avril 2015
    Bien sur c'est une caricature torturée, c'est sans doute bien abordée et salué favorablement par les pairs de Ryan Gossling mais moi j'ai envoyé de lui dire arrête de torturer et continue à être acteur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 avril 2015
    S'il est une chose particulièrement forte à propos de Lost River, c'est bien son sens de l'esthétisme en dépit de toute linéarité dans le récit. En effet, si l'on ne comprend jamais tout à fait où veut en venir Ryan Gosling (dont c'est le premier film), on ne peut s'empêcher d'être envoûté par ce flot d'images lancinantes, belles, baroques et macabres où la violence et le drame semblent envahir chaque volute de ces maisons que le réalisateur contemple longuement en train de brûler.

    Deux histoires se croisent dans une ville crépusculaire (sans doute Détroit). Celle d'un fils, qui découvre avec son amie une ville engloutie sous un lac et source d'une étrange malédiction. Et celle d'une mère dont le manque de moyen aménera à travailler pour un club étrange où une violence fictive devient un objet de spectacle grotesque.

    C'est un pays désolé que filme Ryan Gosling, une terre désertée et sombre dont les habitants ne sont plus que des fantômes ne désirant qu'une chose : s'enfuir. En celà, Lost River devient une puissante représentation visuelle de la crise économique. Mais c'est sans doute sur sa partie fictionnelle que le film fascine le plus : quel est ce club exactement ? Qui est ce banquier inquiétant qui semble en être le patron ? Bones (le fils) parviendra-t-il à se défaire de ce jeune criminel qui cisaille les lèvres de ces victimes ?

    On pourra sans doute rapprocher Lost River du style du groupe de musique Dead Man's Bones auquel appartient Ryan Gosling où sa fixation sur les fantômes et les squelettes trouve ici un écho évident. S'il possède certainement encore les tics inhérents à toute première oeuvre (bande son un peu trop présente, certaines scènes trop symboliques, styles empruntés à d'autres), on félicitera en tout cas le jeune comédien qui a su nous embarquer dans un voyage macabre et captivant au terme duquel on ne sort pas tout à fait indemne.

    Vivement le prochain !
    Septième Sens
    Septième Sens

    87 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 avril 2015
    Ce serait un euphémisme de dire que l'on attendait avec impatience la première œuvre de Ryan Gosling. A trente-quatre ans, l'interprète fascinant de Drive ou The Place Beyond the Pines fait ses premiers pas dans la réalisation en présentant Lost River, histoire flippante et décalée. Dans une ville au bord du gouffre, une famille essaye de s'en sortir alors qu'elle s'apprête à perdre sa maison.

    Ryan Gosling a du potentiel, mais il le gâche en rendant son récit incohérent et pas toujours subtil. Les personnages ne sont pas écrits avec assez de profondeur, le mélange formel donne un résultat maladroit et la narration, trop hétérogène, accuse de nombreuses lenteurs. Comme si le réalisateur s'était contenté de créer une succession de clips ultra stylisés sans véritable message derrière.

    Inutile de tergiverser, on scrute toujours le premier film avec plus d'attention que de coutume, surtout lorsqu'il s'agit de Ryan Gosling, nouvelle figure solide de la bulle hollywoodienne. Il y a du Luhrmann dans cette façon de rendre sa création baroque et tumultueuse. Il y a aussi du Lynch dans la manière d'ajouter des notes étonnamment fantastiques à son scénario. Il y a enfin du Refn, avec l'impuissance sexuelle constante de l'homme face à la femme.

    Mais où est alors vraiment l'auteur Gosling ? Ici et là, entre deux idées, comme celle-ci : sa caméra, souvent très basse, contemple ses protagonistes à hauteur d'homme ou en contreplongée. Malgré sa perdition dans cet espace menaçant, il peut toujours être maître de son destin. Alors malgré le pessimisme ambiant de Lost River, le cinéaste en herbe serait-il un utopiste rêveur ?
    antony Z.
    antony Z.

    74 abonnés 1 066 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 avril 2015
    Aucun sens! Film à l'ambiance glauque et sans réel intérêt. On peut toutefois relever la qualité de réalisation d'autant que c'était une première pour Ryan Gosling.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 avril 2015
    Aussi dérangeant et noir que les films dans lesquels il a joué (drive, only god forgives), Ryan gosling réalise un film intéressant qui met en scène des personnes étranges et malsaines .
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 avril 2015
    Ryan Gosling ferait mieux de rester devant la caméra. Ce film est juste nul. L'histoire n'a aucun sens les acteurs sont mou. Très déçu.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 20 avril 2015
    Ni thriller ni fantastique contrairement à ce qui est annoncé. une belle image mais on voit l'envie de faire du lynch sans jamais y arriver. l'histoire ne démarre jamais, du gore gratuit ... à oublier, malheureusement
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 20 avril 2015
    C'est sûr, Gosling prouve qu'il maîtrise le sujet visuel. La photo est magnifique. Mais... que raconte donc ce Lost River ? On se pose encore la question en sortant de la sale, un peu hagard.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 avril 2015
    Ryan Gosling n’est plus à présenter. Acteur talentueux ayant joué pour certains des meilleurs réalisateurs contemporains, il a su faire son nid au sein du cinéma d’auteur comme des films grand public. Fort de ses expériences aux côtés de Derek Cianfrance ou Nicolas Winding Rfn et inspiré par les films de David Lynch, Stanley Kubrick et Brian De Palma, il passe derrière la caméra pour Lost River.

    Une chose est sure, Lost River est une œuvre unique qui déroutera les moins avertis. Loin de l’image lisse du cinéma hollywoodien, cette première réalisation met en scène un conte cauchemardesque dont l’esthétique est à mi-chemin entre le sublime et l’horrifique.
    Tourné au sein de Détroit, la ville fictive Lost River s’étiole dans sa fragilité, laissée à l’abandon par ses habitants dont la crise a coupé court à toute activité. Sublimée par une photographie à l’esthétique parfaite (Benoit Debie à la barre), l’atmosphère onirique porte les personnages jusqu’aux profondeurs les plus sombres.

    L’histoire tourne autour d’une mère célibataire, démunie face à ses problèmes financiers et de son fils aîné menacé par un voyou psychopathe. Deux personnages forts pour deux environnements différents d’une même ville. Interprétée par une Christina Hendricks sublime, tant par son jeu que par sa beauté, elle incarne la pureté désespérée, et plonge de plus en plus dans l’univers macabre et malsain de ce cabaret morbide aux sous-sols aseptisés et dérangeants.
    En parallèle, Bones (interprété par Ian De Caestecker) cherche à fuir la réalité avec sa voisine Rat (Saoirse Ronan), s’inventant une malédiction causée par le lac et tente d’échapper au personnage de Bully (parfaitement interprété par Matt Smith), psychopathe dérangé dont la présence plane telle une menace omniprésente déambulant dans les méandres urbains et broussailleux de cette ville décadente.

    Envoutant et terrifiant, Lost River est un conte horrifique qui, malgré un début laborieux, marque les débuts réussis de Ryan Gosling à la réalisation. Un casting sans faute pour un film fort et unique.
    Fabio Secchi
    Fabio Secchi

    14 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 avril 2015
    J'ai vu le film depuis une semaine et je n'arrive pas à trouver quelques choses de remarquable à sauver. On voit bien l'intention du realisateur à tourner un film d'auteur, mais rien de tel. L'histoire n'a pas de vrai debut et encore moins de fin. Musique et photographie à laisser tomber. Les acteurs ne sont pas mal, mais chaque rôle reste superficiel, on ne sait rien de personne, on ne connait rien de l'histoire sauf un village submergé par un barrage... et alors?
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 20 avril 2015
    Je me suis ennuyé, je n'ai pas compris grand chose à ce film, au final ce n'est pas la rivière qui était perdue c'était certains spectateurs.
    Si vous aimez les films simples n'allez pas voir ce film !
    Sinon l'affiche est très jolie.
    Christoblog
    Christoblog

    835 abonnés 1 684 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 avril 2015
    S'il y a bien un film que je m'attendais à ne pas aimer, c'est bien celui-ci. Les références à Lynch et Refn étaient un peu lourdes à porter, et le réalisateur, Ryan Gosling, vraiment trop beau gosse pour être intelligent. Je m'attendais donc à sortir la sulfateuse à sarcasmes pour dégommer une oeuvre que je j'avais déjà prévu de qualifier de pompeuse et de maniérée, sans l'avoir vu, bien sûr.

    Mais la mauvaise foi, parfois, n'est pas récompensée. Lost river est en effet réussi en tout point.

    D'abord, le décor fantasmagorique d'une ville abandonnée d'après la crise est absolument fabuleux (il s'agit en grande partie de Detroit). Les décors constituent un des atouts indiscutables du film.

    Dans ce contexte désolé et post-apocalyptique, campons les personnages. Une femme seule (incroyable Christina Hendricks, la secrétaire rousse à l'abondante poitrine de Mad men) élève seule deux garçons. Le plus grand des deux est amoureux de la fille d'en face, dont la mère a arrêté de parler quand son mari est mort. Il y a aussi dans ce monde bizarre et en même temps très familier, un méchant qui découpe les lèvres de ses ennemis aux ciseaux (pas joli, joli, le résultat), un cabaret macabre dans lequel le (faux ?) sang coule à flot, et une ville engloutie.

    Présenté comme cela, on pourrait imaginer que le film est un pensum lourdingue : il est au contraire une chronique intimiste dans laquelle chaque personnage trouve exactement le bon ton, la bonne posture.

    La mise en scène est imaginative (presque trop, on sent parfois que Gosling s'enflamme - au propre comme au figuré), les seconds rôles impeccables (Reda Kateb, Paul Mendehlson et son incroyable danse).

    Le film est une fête pour l'imagination, les péripéties s'enchaînant avec souplesse dans une ambiance délicate, très bien servie par un montage au cordeau et une photographie superbe de Benoit Debie, le directeur photo le plus en vue du moment (Refn, Noé, Korine...).

    Un très beau premier film, qui consacre sans conteste un futur grand talent.
    the_fan_of_inception
    the_fan_of_inception

    26 abonnés 582 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 avril 2015
    Attention, bien qu'il ne se soit pas appuyé sur une politique de commercialisation forcée, le nouveau premier film de Ryan Gosling est attendu par tout un pan du public féminin qui espère y entre apercevoir le beau blondinet. Mais il n'en n'est rien: déjà premièrement il restera derrière la caméra et n'a de toute façon obtenu le succès avec des rôles profondément ancrés dans le mutisme. Il n'est donc pas étonnant que son premier film en soit aussi empreint. Situant son histoire dans une petite bourgade des Etats-Unis post-crise des subprimes; Lost River a la faucheuse tendance d'être aussi captivant qu'ennuyant. Il fait partie de ces nombreux films sur lesquels on ne pourrait donner un véritable avis constructif tant le film qui nous est présenté ne filme que du vide. Bien évidemment, les références de l'acteur sont bien visibles à l'écran (les envolées lyriques de Terence Malik, la petite ville débauchée de Derek Ciafrance, l'ambiance de David Lynch, les éclairages et la lenteur d'un Nicolas Winding Refn) mais ne servent qu'à illustrer une toile et non pas à lui donner une véritable consistance. Des lors, on ne suit plus que d'un yeux le produit visuellement intéressant (merci Benoit Debie) mais scénaristiquement pauvre pour un essai de mise en scène qui aurait voulu plaire à toute une intelligentsia festivalière mais dont il n'avait pas prévu le retour de bâton pour le moins inattendu.
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