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    Adieu au Langage
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    83 critiques spectateurs

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    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    199 abonnés 394 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 novembre 2019
    Il y a de beaux fragments de textes dans ce film, mais ils ne sont pas de Godard. Godard, comme à son habitude, prend beaucoup mais donne peu. Il se répète inlassablement, il radote depuis une quinzaine d'années avec les mêmes thèmes, les mêmes tics, les mêmes tocs, les mêmes couleurs, les mêmes musiques censées vous faire trembler, les mêmes vues basses sur la politique. Cela devient très fatiguant et énervant à regarder pour qui a soif de nouveauté. On a toujours le sentiment de tout connaître du film avant même de l'avoir vu. Il n'y a plus aucune surprise dans ce cinéma parce que le langage de Godard est devenu lui même un énorme cliché qui se regarde en miroir. Le chien est magnifique, il apporte un peu de vie à ce film spectral et d'un ennui abyssal.
    karpathakis y
    karpathakis y

    24 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 octobre 2019
    Je ne suis ni critique de cinéma ni juge donc je laisserai à d'autres le soin de parler de Monsieur Godard. D'abord ceci (probablement de lui), que j'ai trouvé ici sur Allociné, je ne me rappelle plus du film, mais cela a-t-il de l'importance ?
    <>...Ça donne envie n'est ce pas ? Et puis cela de l'écrivain et scénariste Jacques Lourcelles << la seule originalité majeure et incontestable des cinéastes de la Nouvelle Vague, c'est que personne, avant eux, n'avait osé dire autant de bien de soi et autant de mal des autres.>>
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    75 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 septembre 2017
    En jeune cinéphile, j'étais curieux de découvrir le cinéma de Godard mais son dernier film "Adieu au langage" est sans doute la pire oeuvre cinématographique qu'il m'est été donné de voir. Je suis habituellement ouvert d'esprit mais "Adieu au langage" pousse vraiment le bouchon trop loin. Surement qu'au temps de la nouvelle vague, Jean-Luc Godard était un cinéaste talentueux mais son dernier film est vraiment l'oeuvre d'un papi gâteux il n'y pas d'autres explications. C'est une belle idée que de vouloir proposer des métrages qui vont à contre courant des standards de son époque, la nouvelle vague l'a d'ailleurs prouvée, mais encore faut il proposer quelque chose de constructif. Le film est mal filmé, certes volontairement, mais ça n'en demeure pas moins insupportable à suivre. L'image est moche, le son n'en rend pas bien mais bon, pour ce que les acteurs ont à dire ce n'est pas une grande perte. En parlant des acteurs, ils ont beau être amateur, ils sont incroyablement mauvais ou sont plutôt très mal dirigés. "Adieu au langage" est une oeuvre d'un cinéaste autrefois au top mais aujourd'hui ringard et hors du coup, qui tente malgré de tout de poursuivre ses films pour pseudo intellectuels. On aurait préféré comme titre "Adieu à Godard" tant je pense qu'il est temps de laisser place à des cinéastes français comme Leos Carax ou Quentin Dupieux, qui eux aussi interrogent le septième art mais le font de manière construite et intelligente.
    Acidus
    Acidus

    714 abonnés 3 701 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 septembre 2017
    Premier film post-60's de Jean-Luc Godard qu'il m'ait été donné de voir. Je m'était jusque là cantonné à sa période faste qui a vu naître la plupart de ses classiques. Je n'aime pas le cinéma de Godard ce film de 2014, "Adieu au langage", ne va pas me réconcilier avec le cinéaste. Au bout du compte, après toutes ces années, son langage cinématographique à lui a peu changé, tout du moins sur le fonds. Son propos est toujours aussi prétentieux et pédant avec encore des relents de la "Nouvelle Vague" dont il était un des principaux représentants. Déjà que son cinéma m'ennuie profondément alors quand il s'aventure dans un délire expérimental... Car oui, "Adieu au Langage" est un film expérimental; trop expérimental pour que je puisse y adhérer. Le réalisateur pousse loin l'expèrience visuelle et sonore, tellement loin qu'il doit être le seul à comprendre ce qu'il a fait... et encore.... Il pousse tellement loin l'expérimentation que cela en devient insupportable. C'est laid, inaudible et inintelligible. De plus, ce film aurait mérité d'être plus court. Il y a bien 1h10 de trop.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 22 avril 2017
    D'une beauté plastique aussi innovante que dans Eloge de l'amour, ce poème visuel et sonore est une provocation salutaire dans un paysage cinématographique dominé par la dictature du réalisme. Le film s'ouvre d'ailleurs sur une citation "Tous ceux qui manquent d'imagination se réfugient dans la réalité" et c'est justement le sujet du film, dire adieu au langage du réel, de la dictature du langage qui conduit à la dictature de la pensée. On rappelle au début du film qu'un russe inventa en 1933 la télévision, en même temps qu'Hitler arrivait au pouvoir. Godard pense comme Pasolini quand il dit que la démocratie a accompli ce que le fascisme n'a pas eu le temps d'accomplir. Le film fait un état des lieux de la dictature démocratique des sociétés occidentales, un inventaire du progrès, depuis la télévision jusqu'à l'Iphone, laissant les hommes sur les berges du progrès de la pensée. Seul le chien, que la caméra suit comme un fil rouge a su traverser les époques et le temps sans se corrompre, peut-être parce qu'il n'a pas de langage.
    Depuis quelques années Godard a adopté une manière de filmer qui le rapproche de Bresson. Il cadre en piquée, il filme des mains, des hanches, des zones d'ombres, rarement des visages, sa caméra se cabre, se penche, s'envole mais elle n'est désormais plus à hauteur d'homme. Techniquement le film est éblouissant, Godard ayant de ce point de vue les exigences d'un Kubrick, et il l'obtient désormais avec des moyens dérisoires. Le traitement de la couleur rapproche son film des plus belles expressions de Vlaminck. Doit-on rappeler qu'il est avec Tarkovski et Lynch un des rares cinéastes qui ait libéré le cinéma des servitudes de l'art dramatique ? Un film d'un profondeur extrême qui d'un point de vue économique offre un rapport qualité sans pareil, puisqu'il contient mille films en un, comme nombre de ses dernières oeuvres d'ailleurs. Godard reste à 87 ans le cinéaste le plus libre, en contraste avec un cinéma qui ne cesse de régresser. Il disait de Nicolas Ray qu'il "était le cinéma", lui "reste le cinéma".
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 12 octobre 2016
    On en dit du mal : on passe pour un simple d'esprit qui ne comprend rien. On en dit du bien : on devient un prétentieux qui en fait n'a rien compris mais qui fait comme si. Je ne sais pas comment me situer par rapport à ce film. J'ai l'impression, tout de même, que Godard se paye notre tête. J'essaie de me convaincre du contraire, parce que c'est Godard, qu'il a réellement révolutionné le cinéma quasiment à lui tout seul entre 1959 et 1968, et qu'à l'époque il révolutionnait le cinéma mais sans oublier de raconter des histoires. Maintenant j'ai vraiment du mal avec ce fourre-tout opiacé intellectualisant à l'extrême. Je peux comprendre qu'on accroche, il y a une vraie poésie du chaos dans Adieu au Langage, et d'ailleurs, comme dans le chaos de l'Univers, la vie surgit parfois miraculeusement dans quelques plans ou séquences inspirés... C'est une oeuvre de recherche, donc comme la recherche fondamentale pure, elle n'est pas destinée au grand public mais pourrait constituer une source d'inspiration pour un cinéma plus abordable ultérieurement. C'est tout le mal que je souhaite aux dernières oeuvres de Godard, mais moi j'abandonne, comme j'ai renoncé à comprendre Derrida, Deleuze et Cie...
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 347 abonnés 4 137 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 septembre 2016
    Si la Nouvelle Vague a connue une explosion dans les années cinquante, le public a commencé a se lasser la décennie suivante. Contrairement à Truffaut qui a décidé de revenir à un certain classicisme, Jean-Luc Godard lui n’a jamais cessé de faire des pas supplémentaires vers la provocation. Son Adieu au Langage est l’apogée de sa provocation au cinéma. Le réalisateur chamboule tout en proposant une œuvre qu’on a du mal à qualifier d’histoire. Tout est déstructuré, les dialogues s’enchaînent sans logique, les plans filmés caméra à la main s’immiscent dans des vies sans intérêt pour le spectateur et les thèmes s’effleurent sans raison. Godard est dépassé, voir dégoûté par la révolution numérique du Septième Art et ne se s’y aura pas adapté. Pensons-nous volontairement. Car ce projet est une critique du cinéma actuel qui préfère montrer le sexe, la violence, le caca plutôt que la cohérence et la passion des mots. Adieu au Langage serait-il donc son Adieu au Cinéma qui ne veut plus de lui, qui ne se supportent plus mais qui s’aiment de mélancolie ?
    D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
    Kloden
    Kloden

    124 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 août 2016
    J'ai du mal à comprendre pourquoi Adieu au langage déroute tant. Je comprend, bien sûr, son hermétisme et la difficulté qu'il peut y avoir à se l'approprier. Ceci dit, ce qui m'étonne chez ce dernier Godard en date est la rareté de ses défenseurs, quand d'autres films aussi délicats à appréhender en trouvent pléthore et quand le public aime parfois tant céder à la sur-interprétation quand l'auteur lui a déjà laissé entrevoir du talent auparavant - ce que Godard a fait, n'est-ce-pas ? Si Adieu au langage ne m'a pas fait sauter au plafond, je le préfère pourtant par exemple à Inland Empire dans la catégorie rare des films testamentaires qui choisissent non pas de célébrer une carrière en en exhumant les plus belles réussites mais à l'approfondir encore jusqu'à en tirer une oeuvre plus instable, mystérieuse et vertigineuse que jamais. Bon, on est certes loin d'un Eyes Wide Shut, pas de doute. Mais quand même, Adieu au langage est un film précieux, qui n'est en partie vain et vide que parce qu'il se frotte et se heurte au néant et au vide de l'existence, jamais parce qu'il prend la forme élastique du film d'auteur poseur et approximatif. D'ailleurs, qualifier le film de gloubi-boulga revient à en valider l'expérience ; inutile de rappeler le titre, Godard cherche à rompre avec ses moyens de relation à l'existence, à briser la barrière d'une grammaire (filmique, mais aussi sensorielle et psychique) qu'il ne supporte plus, parce qu'elle le relie au Monde à travers un lien artificiel et souillé. Du coup, il se sert d'aphorismes à n'en plus finir, d'images qui ne sont pas autre chose, pour percer des saillies à travers le réel, tenter d'atteindre au-delà de ses barreaux un rapport plein à l'univers dont il a perdu la connaissance mais dont le goût l'aiguillonne toujours. Adieu au langage, c'est, comme chez Fernando Pessoa, l'envie de récréer un monde tout entier, l'envie de s'extraire d'un soi-même auquel on est devenu étranger. C'est la tension surhumaine qui pousse à percer notre propre néant. Artistiquement, peu d’œuvres vont aussi loin, même si tout ça est très inégal, puisque chaque plan et chaque collage découlent du souffle intime du réalisateur, dont il détient seul toutes les clés. Je ne prétend pas avoir ouvert toutes les portes, volé toutes les richesses que peut contenir ce film et qui, magie du cinéma, s'offriront à nouveau à chaque spectateur qui voudra bien les prendre. Mais il faut louer Godard pour une raison simple ; si tous les réalisateurs osaient se dévoiler comme il le fait (rien n'est plus mis à nu dans Adieu au langage que son réalisateur), chaque film serait une expérience, et les spectateurs, bien plus habitués à se perdre dans la psyché d'un autre, chériraient l'art non comme un moyen de rejoindre les autres dans un univers commun, mais un moyen de les aspirer dans le vôtre, et de toucher à l'unicité qui rend à l'autre toute sa profondeur.
    Stéphane D
    Stéphane D

    117 abonnés 2 106 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 avril 2016
    Ce bricolage n'a ni queue ni tête : sujet brouillon, images hétérogènes montées sans transition, de même sur le son avec dialogues mélangés parfois inaudible, 3D supervisée par un aveugle.. absolument rien à sauver!
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    65 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 avril 2016
    Un grand réalisateur ne manque jamais son dernier film

    iAujourd’hui, on peut distinguer de nombreuses personnes qui peuvent s’offusquer devant ce titre. C’est du Godard de toute façon, quelqu’un qui parle pour ne rien dire, il aurait dû s’abstenir de refaire un film, Godard c’est l’éternelle « Nouvelle-Vague ». Mais on peut dire et penser ce que l’on veut sur ce dernier, aux USA, s’il y a bien un réalisateur français que tout le monde connaît c’est JLG (avec Tati). Ainsi, la notoriété de ce Monsieur n’est pas à remettre en question, même si vous n’adhérez pas à son style, il fait partie des grands réalisateurs français.

    Ainsi, Adieu au Langage peut apparaître comme l’un des chefs-d’œuvre de l’année 2014, et ce pour de multiples raisons.

    La dynamique intellectuelle

    Cette œuvre est destinée tout particulièrement aux personnes qui aiment le cinéma qui fait vraiment réfléchir, où l’on ressort avec de nombreuses questions en tête. Ce qui manque cruellement dans le cinéma actuel…

    Certains pensent que Godard impose toujours sa vision des choses … Les choix très personnels du réalisateur ont souvent laissé perplexes de nombreux spectateurs, jugeant son cinéma d’un « style élitiste ».

    Justement dans ce film, le réalisateur présente les choses à sa manière, mais sans forcément tout remettre en question, l’objectif étant de modifier notre perception des diverses mutations structurelles de notre société. C’est un film très humain, où l’on a l’impression de repartir de zéro, sans toute cette superficialité ambiante. On redécouvre les rites de notre vie sociétale à son commencement, l’homme en contact avec la nature par exemple. Finalement, Godard nous explique la façon dont il a vu évoluer les choses tout au long de sa carrière de réalisateur.

    Ensuite, ce film est 100% « made in JLG », la façon de s’exprimer, de communiquer, de transformer des dialogues simples en des paroles compliquées, cette manière d’articuler. Les français sont connus pour être des poètes, la langue française appréciée comme étant riche… JLG représente ainsi de la meilleure manière toutes ses caractéristiques, tout en restant fidèle à son style. Cela fait du bien de voir des dialogues travaillés aujourd’hui, qui cherchent à faire « philosopher » le spectateur.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 9 novembre 2015
    C'est un gros trip qui mélange tout ce qui ne va pas ensemble. Je n'ai rien trouvé d'esthétique, ni rien de touchant. J'ai du mal à saisir l'intérêt même du film qui est bancal, le scénario ne tient pas debout. Je ne comprends pas le comportement des personnages. Le côté "documentaire" n'a également aucun sens. Une musique inexistante. Bref du Jean-Luc Godard, sûrement un film qui ne peut être compris que par de gros intellos, au vue de sa nomination au festival de Cannes...
     Kurosawa
    Kurosawa

    576 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 juillet 2015
    Le nouveau film de Jean-Luc Godard ne ressemble à rien de connu, il se visionne comme une expérience visuelle et sonore unique en son genre. Mais au risque de pousser l'originalité à un point aussi extrême, certains spectateurs hébétés resteront sur le bas-côté: je fais partie de cette catégorie. Que le film ne donne rien à penser, je peux l'accepter; mais qu'il ne donne rien à ressentir, c'est tout de même très problématique. La laideur des images combinée à un montage des plus chaotiques et la multitude d'associations (d'idées, d'images, de sons) poussives et barbantes rendent ce moment de cinéma assez pénible à suivre. "Adieu au langage" est donc une véritable purge, une caricature de film expérimental où tous ses clichés sont réunis et même parodiés sur la base du cinéma godardien (que je n'aime pas beaucoup). Un demi-point pour la présence du chien, incroyablement charismatique.
    OCollus
    OCollus

    67 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 juin 2015
    Le seul reproche à ce film est que conceptuellement parlant, pour un film qui s’appelle « adieu au langage » il reste très bavard, normal c’est un Godard ! Un film déconcertant où l’esthétisme visuel et sonore ne répond pas du tout au standards habituels du cinéma et c’est surement en cela que le titre du film prend tout son sens et pourra en déranger plus d’un. De belles images colorées, surexposées ou des écrans noir, rythmé par une bande son déstructurée sont souvent sublimes, en tout cas, c’est risqué ! Nous retrouvons des citations d’écrivains ainsi que les éternels réflexions politiques connues du cinéaste dans une ambiance tantôt aussi dérangeante que poétique. A voir comme une peinture pendant 1 heure 10 pétantes !
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    684 abonnés 2 745 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 juin 2015
    Un film terriblement prétentieux, optant pour des métaphores a n'en plus finir. Le spectateur s'ennuie et se trouve perdu face à la sénilité d'un réalisateur dépassé qui compense par des effets scenaristiques qui tiennent plus de la connivence que de l'absurdité propre à un Gilliam ou un Lynch.
    vinetodelveccio
    vinetodelveccio

    67 abonnés 802 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 juin 2015
    Un film élitiste qui fonctionne en vase clos mais qui fait montre de quelques idées intéressantes.Godard réalise ici une sorte de bouillie informe truffée de référence philosophiques et littéraires qui laisseront de marbre la populace (c'est à dire 99,5% des spectateurs dont moi). Nous sommes ici en plein foutage de gueule, et ce n'est parce que le génie perdu tient la caméra qu'il faut nécessairement crier au génie. Reste malgré tout un certain humour, et parfois un détachement qui donnent le sourire et nous font dire que les critiques qui y voient du sens sont vraiment des allumés.
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