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    chrischambers86
    chrischambers86

    13 706 abonnés 12 423 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 mars 2024
    Beaucoup trop de personnages dans ce troisième long-mètrage de Joachim Trier qui s'inspire de l'inattendue pièce d'Arthur Miller, "Death of a Salesman". Personnage pivot et finalement peu consistant, Isabelle Huppert joue dans le film...une morte que l'on voit qu'à travers le point de vue du mari (Gabriel Byrne) et de ses deux fils dont le perturbè Conrad! Nous voyons comment la perte d'un être cher empêche ces trois hommes d'avancer dans la vie! C'est le point positif de cet après "Oslo, 31 aout ?" à l'ècriture sans doute trop ambitieuse! Le moins que l'on puisse dire c'est que c'est à la fois stylisè, contemplatif et dècousu! il faut donc accepter la lenteur des images (souvent belles) et le côtè dèstructurè de la forme, la complexitè et la sensibilitè des personnages! Une fois passè ce cap, on se laisse prendre par la fulgurance de certaines scènes, le jeu des acteurs (mention au jeune Devin Druid) et la force des sentiments exprimès! Difficile de ne pas dèceler dans cette oeuvre une synthèse du travail de Trier qui explosera vraiment dans le très rèussi, "Julie (en 12 chapitres)"...
    P.  de Melun
    P. de Melun

    55 abonnés 1 125 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 mars 2024
    J’ai eu beaucoup de mal à rentrer dans ce « Back Home » avec son interminable leçon sur l’incommunicabilité entre les membres d’une même famille, après le suicide de la mère de famille. Les personnages sont peu attachants et on a du mal à s’accrocher à cette histoire aux nombreux flash-backs. La juxtaposition des horreurs de la guerre et des conflits familiaux surcharge le questionnement naturel, empêchant toute empathie réelle et les approches psychologiques ne sont pas traitées en profondeur. Le propos ne semble aller nulle part et se disperse pendant 1h50. Bref c’est un peu snob et quelque peu soporifique.
    lise h.
    lise h.

    4 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mars 2022
    Très beau film, d'une sensibilité et d'une poésie rare. Captivant dans sa mise en scène et sa gestion des points de vue. La mélancolie qui habite le film est bouleversante.
    Hotinhere
    Hotinhere

    549 abonnés 4 957 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 mars 2022
    Un drame familial sensible mais manquant d'émotions, sur l’incommunicabilité et la reconstruction d’une famille après le décès de la mère, porté par un casting convaincant. 2,75
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    687 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 janvier 2021
    Louder Than Bombs est un film d’images, un film sur les images – comprenons, les photographies que prend Isabelle –, un film sur l’image que l’on se fait de quelqu’un et que l’on substitue à la réalité. Le long métrage de Joachim Trier est obsédé par l’idée de place : ses personnages souffrent d’une position qui les met dans un entre-deux invivable et toxique, ils affrontent un quotidien plus lourd et plus bruyant que les bombes qui envoyèrent la mère à l’hôpital, comme le programme d’entrée de jeu le titre original. Jonah louvoie entre un nouveau foyer dont l’émergence dans sa vie fut aussi subite que déstabilisante et la pulvérisation de l’unité familiale initiale, Gene est écartelé entre les promesses d’un retour et les infidélités à répétition. C’est alors à Conrad que revient l’opportunité de conjurer cette malédiction par le biais de l’expression et de la littérature, son texte imprimé et déposé sur le paillasson de celle qu’il aime devenant le conservatoire d’un rapport douloureux au monde et à soi, l’occasion d’une concrétisation nocturne de ses fantasmes adolescents sous la forme évanescente d’un rêve, ce qui donne lieu à la plus belle séquence du film. En dépit de longueurs, d’une esthétisation parfois rutilante de l’image et d’un dolorisme trop appuyé, Louder Than Bombs propose une réflexion pertinente sur la notion de « chez soi », Isabelle n’étant chez elle qu’ailleurs, au travail, étrangère à une maison qui ne lui accorde aucune place, aucune nécessité ; il tire de l’incommunicabilité entre les êtres un désarroi source de vertige et de perte de repères, pouvant aller jusqu’à l’engloutissement individuel. Le choix d’un casting international insiste sur cette incompréhension qui unit des singularités, aussi opaques que mystérieuses.
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    130 abonnés 2 230 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 décembre 2020
    J'ENRAGE DE SON ABSENCE. Certaines personnes sentent la pluie, d'autres sont juste mouillées. Quand une famille détruite se réunit. Je n'arrive pas à m'extraire de cette lourdeur démonstrative.
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    75 abonnés 829 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 mai 2020
    Après un deuxième long-métrage de grande qualité, Oslo 31 août, Joachim Trier revient avec cette histoire de gestion du deuil qui dépeint, comme toujours, des personnages en rupture, à fleur de peau.
    La mise en scène est ici assez académique, sans réelle inspiration, à l'image d'un casting téléguidé qui ne fait pas de vagues. Le récit est plutôt lourd, très haché, et on n'arrive jamais vraiment à rentrer dans ce scénario ennuyant car trop hermétique. La qualité première du réalisateur norvégien, sa sensibilité, transparaît difficilement.
    Caine78
    Caine78

    6 695 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 septembre 2018
    J'avais beaucoup aimé « Oslo, 31 août » du même Joachim Trier, magnifique adaptation du « Feu Follet » de Pierre Drieu La Rochelle, j'ai presque autant aimé « Back Home », rebaptisé tel quel après les attentats du 13 novembre alors qu'il devait s'appeler « Plus fort que les bombes ». Bref, s'il est un peu moins déchirant que le précédent et peut-être un peu moins proche de nous (de moi, du moins), il reste d'une grande élégance, avec beaucoup de sensibilité et une belle sophistication n'ayant rien de gratuite. C'est un film qui nous parle de ce que nous sommes, de la famille, mais surtout de la façon dont chacun réagit après la perte d'un être cher : il n'y en a pas de bonne ou de mauvaise, juste la nôtre, certains l'exprimant plus douloureusement que les autres. Aucun jugement , mais plusieurs scènes très émouvantes au cœur d'un excellent scénario, écrit avec précision et presque entièrement consacré à ses personnages, tous très attachants et interprétés avec beaucoup de ferveur, notamment par l'excellent Devin Druid et le toujours impeccable Gabriel Byrne. Ce n'est pas forcément une œuvre sur laquelle il est facile de beaucoup écrire, mais c'est une œuvre qui se ressent, se vit, dont on sort apaisé, pour ne pas dire heureux : au vu du sujet de départ, ce n'était pourtant pas gagné. Donc pour toutes ces raisons, bravo à Trier et son équipe, confirmant qu'il est assurément l'un des cinéastes les plus brillants de sa génération. Vivement la suite.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    103 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 août 2018
    D'une finesse et d'une intelligence rares, ce film sur la famille aborde avec force les thématiques de l'adolescence, des silences coupables et des non-dits, de la difficulté de communiquer entre un parent et son enfant, des petits arrangements avec la vérité, de l'amour, de l'adultère, de l'indicible tristesse dont on peut être victime alors que tous les indicateurs extérieurs semblent être au vert. Ici, c'est la mort tragique de la mère - une photojournaliste de renommée internationale, incarnée par Isabelle Huppert - dans un accident de voiture, qui va remettre en cause l'équilibre familial, obligeant un père et ses deux fils (superbes Gabriel Byrne, Devin Druid et Jesse Eisenberg) à réinventer leur relation. Mais la force de Joachim Trier réside dans son choix de faire un film à l'image de la vie, jamais excessif ni tapageur, ainsi que dans la tendresse absolue qu'il porte à ses personnages. S'ils commettent tous des erreurs, ces derniers recèlent une grande générosité, restent dignes dans l'épreuve, et tentent de se reconstruire comme ils le peuvent, avec leurs propres moyens. Certaines séquences sont simplement bouleversantes. Puissant et profond.
    Jonathan M
    Jonathan M

    130 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 juillet 2018
    L’histoire d’un deuil maternel et son impact sur les trois hommes de sa vie. Un mari laissé à l’abandon, qui reprend pied en faisant de son mieux avec le cadet encore à la maison. Ce dernier privilégiant l’isolement et le mutisme. Un grand frère déjà loin, qui confond ses sentiments. Beaucoup moins tranchant que son précédent long - Oslo, 31 août - il est quand même juste de noter que Joachim Trier essai de transmettre à l’écran la manière avec laquelle l’humain affronte la fatalité des événements. Comment après le fracas, la vie n’est plus tout à fait la même.
    Nyns
    Nyns

    215 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 juillet 2018
    Style élégant malgré un ensemble trop poussif pour être apprécier de façon total. Joachim Trier propose de regrouper plusieurs thématiques sociales masculines autour d'un personnage féminin fort, celui de la mère, morte accidentellement spoiler: ou pas accidentellement, d'ailleurs
    . Le père, déprimé, dérouté, perdu, essaye tant bien que mal de redonner vie à sa famille meurtrie. On le plus jeune frère dans une évidente crise existentielle, en pleine construction de soi quand on est un peu détruit c'est plus compliqué. Et le plus âgé qui essaye de donner un sens à sa jeune paternité qui le déstabilise et l'interroge. Une mère c'est pourtant le ciment, même quand elle semble inexistante, le peu qu'elle a existé, elle a marqué... Plusieurs scènes se trouvent être joliment tournées et apportent beaucoup de sympathie autour de ce jeune réalisateur. Comme la même scène vu par le père puis vu par le fils. On pourrait se lasser d'un énième film sur le deuil, mais Back Home (encore un titre anglophone pour en remplacer un autre, beaucoup plus parlant), va bien au delà et ne tombe pas dans les facilités même si on ne peut pas passer à côté de certains clichés. Les prestations sont très bonnes, le casting se complète globalement assez naturellement. C'est presque trop parfait dans sa présentation finalement. Le résultat est que l'exercice devient un peu étouffant, et je pense, trop peu marquant malgré de beaux efforts. Il faut que je regarde son premier film qui semble plus détonnant à première vue.
    Fabien S.
    Fabien S.

    544 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juillet 2018
    Un très beau film de Joachim Trier. Isabelle Huppert, Jesse Eisenberg , Gabriel Byrne incarnent de très beaux rôles dramatiques.
    Romain C.
    Romain C.

    80 abonnés 867 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juillet 2018
    Back Home est un film dramatique ,fort et poignant qui est difficile à expliquer ,pas à cause de l'histoire en elle-même mais par le scénario et la façon originale dont l'histoire est raconté rends le film plus compliqué et aussi plus intéressant .
    Un casting de très haut niveau est présent où la plus grande star de ce film est Isabelle Huppert .
    J'ai beaucoup de mal à en parler alors regardez le .
    rogerwaters
    rogerwaters

    141 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juin 2018
    Après le bijou qu’était Oslo, 31 août, il était difficile pour Joachim Trier de faire aussi bien, voire mieux. De fait, Back Home a souffert de la comparaison à sa sortie et c’est plutôt dommage car si le métrage est bien évidemment inférieur, il n’en contient pas moins des trésors de sensibilité qui en font une œuvre attachante. On aime notamment cette étude d’une cellule familiale atomisée par l’absence soudaine d’une mère de famille qui était pourtant déjà absentéiste de par sa profession. On apprécie la sensibilité avec laquelle l’auteur traite du deuil, mais aussi du sentiment éprouvé par cette femme qui ne se sent à sa place nulle part, y compris dans son foyer. Tout ceci est filmé avec une douceur incroyable, ce qui n’empêche nullement les tourments intérieurs de s’exprimer. Certes, le montage n’est pas exempt de maladresses, mais il parvient tout de même à maintenir l’intérêt du spectateur jusqu’au bout. Tout ceci est soutenu par des acteurs formidables. Une petite musique ravissante qui chante le mal de vivre avec une douceur infinie.
    mx13
    mx13

    242 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 avril 2018
    C’est sympathique, c’est un film un peu mou mais pas déplaisant, qui fuse de temps à autres. Un film cannois un peu plus populaire. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 3/5
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