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    Une Histoire d'amour
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    110 critiques spectateurs

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    Muriel Pouplain
    Muriel Pouplain

    1 abonné 10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 janvier 2021
    J'ai beaucoup aimé ce film. Je le trouve fort et dérangeant.

    Sans parler de ce cas précis, entre Laeticia Casta et Benoît Poelvoorde, où il est question d'argent et de prostitution, je me demande si, dans certains cas, ce qui pousserait certaines femmes amoureuses d'un pervers, au plus profond d'elles-mêmes (peut-être à cause d'une enfance et d'un passé où se mêlaient l'extrême sévérité et l'amour) serait l'obsession inconsciente qu'elles ont, par rapport à lui, de parvenir à déclencher, sous son masque cruel, l'impossible : un tout petit peu de sentiments, même en quantité infinitésimale.

    Mais, est-ce vraiment impossible ?
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 554 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 août 2020
    Ce film pourrait presque être une publicité pour les avantages du Sado Masochisme. Le personnage masculin principal est en colère, très en colère et misanthropique. Il ne peut contenir son dégoût pour l'humanité nulle part ni avec personne. Malgré son énorme richesse et ses relations politiques c'est un petit garçon perdu dans le monde déroutant des relations adultes. La seule chose qui peut lui offrir du plaisir, du réconfort et un calme temporaire. C'est le dur amour du personnage féminin principal. Elle est plus jeune, bien faite et jolie et elle sait ce qu'il veut. Bien qu'elle ne le lui donne pas jusqu'à ce qu'il le lui demande. Malheureusement il n'y a guère plus dans le film que cela. Laetitia Casta est magnifique et Benoît Poelvoorde joue de manière convaincante l'homme d'âge moyen douloureusement en colère mais leurs motivations et leurs histoires restent inconnues. Peut-être sont-ils dans le livre sur lequel il est basé ce film et ceux qui l'ont lu peuvent remplir les blancs mais en tant que film cela vous ne laissera pas convaincu ou pire confus. Au moins deux des scènes de bondage/sexe sont bien réalisées et révèlent une certaine compréhension de ces pratiques. Et pour être honnête Laetitia Casta a l'air vraiment bien dans le latex et surtout convaincante en tant que dominatrice réticente. Cependant vous pourriez isoler ces scènes intimes et avancer rapidement dans le reste du film et vous auriez toujours plus ou moins la même compréhension de l'intrigue que si vous le regardiez en entier. Il y a alors du plaisir à avoir si vous êtes ici pour les scènes de bondage seul. Mais pas en tant que drame traité sur les relations. Le titre original est Une histoire d'amour. Mais sur l'exploration du psyché du ou des pratiquants il a remarquablement peu de choses à offrir...
    Mikawouel
    Mikawouel

    53 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 août 2018
    Bien que le charisme des trois acteurs nous tiennent en haleine, le scénario plus qu'insipide nous use rapidement, particulièrement lorsque la musique n'est pas en adéquation avec la scène...
    Un beau gâchis de pellicule...
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 399 abonnés 4 438 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 novembre 2016
    Voilà un film qui semble faire l’unanimité contre lui ou presque, et je ne peux pas en vouloir pour une fois, ni à la critique presse ni à celle du public. Une histoire d’amour est aussi quelconque que son titre.
    C’est très regrettable car il y a quelques efforts de fait sur l’image notamment, sur la musique aussi, même si parfois c’est très attendu, d’autres fois un peu déconnecté de la tonalité sombre du métrage, mais jamais ce film ne dépasse l’esthétique papier glacé qu’il va maintenir tout du long, une esthétique trop facile, presque clichée, qui vient presque, sous ses airs chics, tentée de cacher la misère en-dessous ! Car oui, si l’emballage d’Une histoire d’amour est assez propret (encore faudra-t-il adhérer à l’ambiance sombre du film, mais ça c’est un choix que je respecte), avec une mise en scène assez monolithique mais pas si mauvaise non plus, en revanche il n’y a rien derrière ! Rien qu’un banal fait divers, tout du moins un fait divers traité avec la plus grande banalité. Avec un minimum de dialogues, un minimum d’émotion, un minimum d’érotisme, la réalisatrice livre un film minimaliste tout simplement ! L’histoire est d’une linéarité confondante, la durée étriquée du film rend assez compte du manque de relief de l’ensemble. C’est tellement plat dans la narration qu’on s’ennuie lourdement, et pour tout dire jamais on ne s’attache à ce duo de personnages jamais approfondi, et qui se croisent et s’entrecroisent dans une sorte de vide insondable. Une histoire d’amour avait du potentiel, soit pour faire un bon thriller, un bon film érotique, un bon drame, voire une bonne comédie, pourquoi pas, mais là la réalisatrice ôte à son intrigue toute substance, et on se retrouve à devoir admirer une sorte d’œuvre plastique où se débattent, malheureusement pour eux, de bons acteurs !
    Bon sur le papier, car dans les faits, rien que du très conventionnel ! Poelvoorde cultive ici sa filmo dramatique, tant mieux pour lui, mais il n’est rien de plus qu’un sale type souvent en colère, et il nous montre son corps d’athlète dans la tenue d’Adam la plus totale. Oui, bon, l’impression d’un acteur totalement sous-utilisée est évidente. Quant à Casta, ben je rejoins certains critiques, malgré un personnage qui aurait pu être piquant, et semble timidement se révéler vers la fin, et bien elle est utilisée de façon assez ridicule. Ok elle a un joli physique et un très beau visage, mais enfin, limiter sa prestation à un plan fesse, des moues boudeuses et quelques plans en tenues chics, c’était culotté ! D’un autre côté, il y a pire, à l’instar de ce pauvre Reda Kateb qui passe tout le film dans un fauteuil d’avion à débiter trois lignes de dialogues inutiles.
    Une histoire d’amour est un film raté, c’est certain, même si formellement il y a quelques petites choses à retenir. La réalisatrice manifestement a compris que le cinéma c’était un art de l’image, mais elle n’a pas compris qu’il fallait aussi un récit, des personnages, bref, de la matière, même un minimum, pour faire un film. 1
    willycopresto
    willycopresto

    130 abonnés 1 352 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 janvier 2016
    "Une histoire d'amour" (2013) la trois (RTBF) le 20.01.2016
    Une histoire d'amour, ça ? Je n'en ai jamais rencontré de telle, dieu merci ! Hélène Fillières et moi n'avons décidément pas les mêmes fréquentations, ni l'esprit pervers de la dame ! Voici donc sa première réalisation : sa dernière j'espère dans ce genre de partition où en plus elle a la prétention d'être au scénario et aux dialogues ! Consternant : tout est raté avec un résultat, amplement mérité : le bide sans appel avec même pas 45000 spectateurs en salles et un coefficient de rentabilité lamentable. Les producteurs vont y réfléchir à trois fois avant de lui confier un budget désormais ! Pour résumer, cette histoire débile m'a prodigieusement ennuyé et je voudrais dissuader quiconque subir cette punition i ! Poelvoorde est un caméléon : il peut jouer n'importe quoi, mais là, quel courage il lui a fallu ! Il a d'ailleurs tellement été satisfait du travail de sa primo-réalisatrice qu'il a refusé de participer à toute opération )promotionnelle de ce navet ! On ne peut mieux comme discrédit qui ne faisait que confirmer l'épouvantable tension lors du tournage ! Quant à Bohringer, il semble se demander ce qu'il est venu faire là. Ne parlons même pas de Laetitia Casta, on ne peut plus mauvaise. Le scandale n'est plus suffisant pour attirer le public ! Tant mieux.
    willycopresto
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 janvier 2016
    Un film inimaginable, inconcevable dans le paf français. Son brother US serait un riche et étonnant "Eyes Without Shut", avec plus de moyens de d'intrigue. Bien qu'il soit maladroit de vouloir créer des passerelles entre des genres et histoires si différentes. J'aime bcp ces deux films, et pour des motifs excessivement opposés, leur seul point commun pouvant être un esthétisme physiquement bien léché, un originalité indiscutable et un zeste d'érotisme, voire de mystère. Rien d'autre. Le film d'Hélène brille par sa dualité permanente. Entre quoi et quoi : c'est justement le propos même du film. Rien n'est "à plat", rien n'est classique. Et c'est justement là, le bonheur le plus extrême qui soit : il faut chercher, il faut revoir, il faut remettre ses pauvres idées d'hétéros snobinard en question, et regarder sous un autre angle pour s'autoriser à avancer dans cette intrigue. Le thème de la richesse est bien appuyé, autant que celui de sa misère auto-protectrice à se barricader, s'expatrier du grand nombre. C'est presque un huit-clos, entre personnes capables de se comprendre sans être élitiste pour autant. Ici, la critique bourgeoise n'est qu'un faux-leurre, Il y a bien sûr du SM, du mépris autant que de la passion. Il y a surtout bcp de non-dit. Et c'est charmant à écouter et décrypter le non-dit. Un film à revoir, en boucle et se permettre d'en apprécier l'extrême richesse. Mme Casta s'exprime finement avec déjà 3 organes : ses yeux, sa bouche, son cul. Avec ses seules 3 parties, elle brille plus que 90% du cinéma outre-atlantique, ce qui est déjà remarquable et largement plus expressif. Quant à Benoit P., il semble n'avoir aucune limite. Difficile de ne pas crier au chef-d'oeuvre. C'est probablement l'histoire d'amour la plus tendre, la plus violente du cinéma. Les armes sont des douceurs, les mots sont des bites à défoncer, les claques de véritables caresses, etc.. A vous de voir si vous pouvez apprécier l'ambivalence et décoder les finesses d'une brutalité intellectuelle. Une musique hors norme secoue l'ensemble du film. Un concentré d'idées et de sensualité à fleur de vice. Un labyrinthe d'érotisme et de désespoir : l'amour quoi.
    Caine78
    Caine78

    6 703 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 septembre 2015
    Je ne le nie pas : cela a beau ne pas toujours être fait avec subtilité, j'ai pris un certain plaisir « visuel » à regarder « Une histoire d'amour », l'esthétique ultra-stylisée pour laquelle a opté Hélène Fillières ayant quelque chose de fort, tout comme certaines notes de la bande-originale signée Etienne Daho. Seulement voilà : l'œuvre montre très rapidement ses limites, la forme s'avérant rapidement un vrai cache-misère pour combler un propos illisible, souvent incohérent et surtout dénué de toute psychologie. Alors autant je peux comprendre ce dernier point dans la mesure où la passion n'a rien à voir avec la logique et est parfois impossible à expliquer, mais encore aurait-il fallu nous donner un contexte, un cadre, ne serait-ce que quelques pistes : là nous sommes souvent dans la gratuité, la complaisance de montrer certaines scènes « hot » (pas très réussies, d'ailleurs) sans jamais chercher à aller plus loin, à mieux comprendre ce duo « maudit », à le rendre plus intéressant, voire émouvant. Heureusement, Benoît Poelvoorde livre une prestation très correcte, tandis que Laetitia Casta apparaît comme un choix plutôt judicieux pour incarner une femme déchirée entre amour et raison. Insuffisant toutefois pour nous sortir de notre indifférence polie, même le choix de la narration éparpillée s'avérant en définitive plus maladroite qu'autre chose. Un coup d'épée dans l'eau.
    ferdinand75
    ferdinand75

    549 abonnés 3 869 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 septembre 2015
    Un film intéressant, très personnel. Il ne faut pas s’attendre à une reconstitution linéaire de l’affaire Stern, dont le film est librement inspiré. Il s’agit plus d’un exercice de style, d’une interprétation libre, comme un morceau de free jazz. Il n’y a pas vraiment de chronologie dans le récit mais plutôt des flash, des séquences qui s ‘enchaînent. On n’essaie pas du tout de comprendre ou de rentrer dans la psychologie des personnages. Les séquences sont bien filmées esthétisantes à souhait, comme des pages de magazines féminins de haut de gamme. C’est beau, c’est très bien éclairé (bravo au chef opérateur) .Poelvoorde et Casta sont deux personnages un peu perdus. Le thème de l’argent , du rapport de force est récurrent . Poelvoorde est abject avec les gens, sur-puissant, un peu mégalo paranoïaque. Casta est faible, dans le besoin, et utilise le sexe SM comme un moyen de s’affirmer. Dans les séquences SM elle prend possession du sur-homme, les rôles se retournent. Mais ce n’est qu’illusion ; le banquier lui promet 1 million de dollars, mais c’est comme un leurre, un fantasme, ils savent tous deux que cette promesse n’ira pas au bout. Ils sont quelque part aussi instable, aussi « fou » l’un que l’autre. Leur dérive est suicidaire, une sorte de descente aux enfers. Pour elle cette illusion de « parvenir » , de s’en sortir est dangereuse, comme un poison qui va l’envenimer petit à petit, et l’amener au pire, comme un coup de poker , un banco mortel. Le film par ces touches « impressionnistes », indirectes arrive bien à nous faire passer cette sensation. Il comporte tous les éléments nécessaires, filmés devant nous, comme un puzzle. Les deux acteurs principaux sont excellents, tout en sobriété, avec une retenue qui donne la profondeur nécessaire au film. La scène finale SM est sublime. Casta qui talque Poelvoorde, comme un rituel antique de passage dans l’autre monde. On a l’impression d’une préparation égyptienne pour une momie. Poelvoorde se laisse faire, il sait qu’il n’a que ce qu’il mérite, il est enfermé dans son latex comme dans un sarcophage. A noter aussi l’intéressant et mystérieuse apparition de Philippe Nahon, l’acteur fétiche de Gaspar Noè, excellent, qui symbolise un peu les « affaires » opaques du banquier, , un monde qui échappe à l’escort-girl, on n’en saura pas plus, mais cela existait. A noter aussi la formidable bande son de Etienne Dao, qui n’est pourtant un de mes chanteurs favoris, mais qui sait trouver là l’ambiance exacte, le juste son pour accompagner ce récit trouble, par une mélodie envoutante, et lancinante. Superbe. Un beau film, un bel exercice de style, qui démontre pour ce premier film un vrai talent, la personnalité forte de Hélène Fillières, sur un sujet très difficile à traiter.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 septembre 2015
    Les deux personnages jouent merveilleusement bien surtout Benoit Poelvoorde, mais le film est trop glaciale, l'histoire sans intérêt et la fin est trop prévisible heureusement que le film n'est pas long
    film à éviter 0.5/5
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 avril 2015
    Benoit t'es aller faire quoi dans cette galère!! Que dire si ce n'est qu'il n'y a ici aucun film, aucun personnage, aucune histoire. Anecdote. "Une histoire d'amour", titre mensonger puisqu'il n'y a absolument aucune trace d'amour dans ce film français et ne servira pas, hélas, en ces temps de remise en question par l'opinion, à le défendre.
    VOSTTL
    VOSTTL

    96 abonnés 1 937 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 août 2014
    Je ne vais pas m’attarder sur cette histoire d’amour qui finit mal ! L’histoire de ces personnages est très superficielle. On ne sait rien d’eux, le pourquoi d’une telle relation. Je ne parle pas du personnage insignifiant de l’avion Reda Kateb ! L’environnement est très épurée, froid, antipathique. Antipathique comme les personnages. Je me moque complètement de leur histoire. Si tant est, il y en avait une ! Toutefois, je tiens à saluer la prestation de Benoît Poelvoorde mis à nu dans les deux sens du terme. Dommage que ce don de soi ne soit pas au service d’ « une histoire d’amour » plus maîtrisée, plus profonde avec plus de ressorts dramatique.
    conrad7893
    conrad7893

    300 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 juillet 2014
    un film noir très sombre, glacial, à l' ambiance malsaine .Les aparts sont froids sans âme.
    une histoire d'amour teintée de domination, de manipulation, d'humiliation
    je m'y suis ennuyé fortement
    BRAVO pour l'interprétation de POELVOORDE qui est dans un rôle à contre emploi à 100.000 km de ce qu'il fait d'habitude. Il nous montre une autre facette de son grand talent.
    Sinon dommage que le rôle de BORHINGER soit si insignifiant. CASTA fait partie maintenant du paysage cinématographique. On admire encore sa beauté
    Roub E.
    Roub E.

    952 abonnés 4 994 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 juillet 2014
    Fortement inspiré de la mort du richissime homme d affaire Édouard Stern cette "histoire d amour" pouvait multiplier les sujet: domination, sadomasochisme, dégoût de soi, mépris, l argent et la manière qu il a d influer sur les actes et les comportements ... Malheureusement les personnages du film manquent de consistance et se retrouvent vite à ne plus avoir rien à dire ( mon plaisir de revoir Richard Borhinger à l écran a été gâché par le fait qu il n a que trois ou quatre phrases de dialogue). Du coup le film donne vraiment l impression de rester à surface de tout. Si le film n allait pas forcément donner une explication rationnelle au comportement de ses du êtres il aurait pu essayer un peu plus.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 juin 2014
    huit-clos très lourd avec une magnifique bande son de Daho
    ocelot
    ocelot

    24 abonnés 927 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 juin 2014
    Bon premier film d'une jeune réalisatrice. Avec un excellent Poelvoord ! A voir !
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