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    Wrong
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    3,3
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    242 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 novembre 2012
    "Wrong" ne ressemble à rien de connu et ça fait du bien. Une telle liberté commence à se faire rare, surtout lorsqu'elle est doublé ici d'un total plaisir de cinéma. Certes, le film peut dérouter et il faut oublier les ficelles habituelles pour gouter à cet univers surréaliste, délicieusement anxiogène et pourtant d'une grande tendresse. Derrière les aventures tragi-comiques de cet homme en quête de son chien, le film aborde avec finesse l'oppression normative du monde moderne, où le malaise d'une civilisation s'étend à tous ses composants (le travail, la famille, le couple). Car derrière l'absurdité de la norme, c'est le vide existentielle qui est pointé ici. A l'instar d'un Bunuel ("L'ange exterminateur" n'était pas moins barré), Quantin Dupieux trace avec brio sa voie, loin des formatages de l'industrie, avec une sens aigu de la mise en scène (le film est visuellement magnifique) et une imagination débridée. Pour notre plus grand plaisir.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 novembre 2012
    Hélas un film "tendance" et branché plus calibré pour une bonne critique dans "Teckniart" que pour l'humble spectateur (à l'instar du Holy Motors de Léos Carax). Je suis passé à coté de ce film totalement.
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    91 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 avril 2013
    "Wrong" n'est pas seulement une comédie loufoque qui fait la part belle à des situations absurdes, mais il s'agit aussi d'un film très touchant transporté par des acteurs incroyablement justes dans leurs émotions et qui font réellement croire en ce monde. Plus qu'un simple prétexte pour rire, "Wrong" rappelle les liens qui lient les hommes aux animaux, et devrait ainsi être vu par tous. Encore une fois, Quentin Dupieux évite tous les écueils du genre et la vacuité d'un scénario bidon : on ressort de la salle changé et prêt à faire le bien – un peu comme après "The Tree of Life" ou n'importe quel film de Wes Anderson. Après avoir vu ça, on peut penser que le réalisateur aurait été un choix plus évident que Michel Gondry pour adapter "L'Écume des Jours", tant la douceur poétique et décalée du scénario se rapproche de celle du roman de Boris Vian.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 25 octobre 2012
    "Wrong" est un petit délice de cinéma absurde. Mieux construit que le déroutant "Rubber" (qui n'était pas moins délicieux), le film s'articule autour de Dolph (Jack Plotnick totalement désarçonné, est excellent), à la recherche de son chien. C'est aussi simple que ça. Et cela suffit.
    La force majeure du film repose donc dans son absurdité (déjà bien présente dans "Rubber"): tous les personnages ont des comportements absurdes et acceptent l'absurdité des autres personnages, c'est au départ déroutant, mais cela se révèle vraiment prenant au fur et à mesure que le film avance.
    Si le film est absurde, Dupieux ne méprise pas pour autant sa construction, cohérente dans l'illogisme de sa trajectoire et celle des personnages (William Fichtner est parfait dans le rôle du robotique maitre Chang). L'image (esthétique du Canon 5D) est également très agréable à regarder et déploie une inhabituelle palette de couleurs.
    Cela fait plaisir de voir un film construit qui cherche sans cesse à se déconstruire, et c'est peut être aussi sa limite. Car Dupieux s'interdit tout dérapage et reste dans les bornes posées par sa cohérente absurdité.
    "Wrong" (cohérence même jusque dans son titre) est au final plus un petit plaisir qu'un grand film de cinéma, mais cela vaut largement le détour.
    Source: Plog Magazine, les Critiques des Ours
    http://lescritiquesdesours.blogspot.fr/2012/09/wrong.html
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 octobre 2012
    Vraiment strange comme film,j'ai bien aimé l'atmosphère paisible de ce film.J'ai juste pas compris le pourquoi de la scène de Judor dans le trou.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 octobre 2012
    Source : Plog Magazine, les critiques des ours
    => http://lescritiquesdesours.blogspot.fr/2012/09/wrong.html

    Plog. Voilà. Plog. C'est un mot absurde n'est-ce pas ? Et bien pas autant que le savoureux Wrong de Quentin Dupieux qui remplit tout comme son aîné Rubber ses promesses. On suit pendant 1h34 un univers à la fois réaliste et absurde ; tour à tour les personnages font face à des situations qui sont pour nous tout à fait absurdes mais pour eux normales (de la pluie dans des bureaux pendant que les salariés travaillent par exemple) puis à des situations étranges qu'ils ne comprennent pas du tout. L'humour qui se dégage de cette alternance des réactions de Dolph et des autres personnages est un humour "intelligent", qui nous prend à partie, nous perd en route, nous retrouve avec plaisir. Il est difficile de critiquer ce film, ce qui est clair c'est le plaisir (coupable) que l'on prend à regarder cette aventure sous acide narrativement parlant et réaliste visuellement parlant. WTF. Exactly.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 octobre 2012
    Vraiment sympa et déjanté à la fois À voir En Version originale
    AliceL
    AliceL

    4 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 octobre 2012
    Incontournable si vous aimez Bunuel, Becket et les films qui s'affranchissent de tous les codes. Jubilatoire !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 10 octobre 2012
    Non désolé, je ne peux pas partager l'enthousiasme d'un grand nombre ici qui ont mis des notes bien au dessus de la moyenne parfois. Je m'attendais bien sûr à un nouveau film totalement barré de la part de Quentin "Mr Oizo" Dupieux mais là honnêtement il nous sert un véritable OCNI (objet cinématographique non identifié) vraiment pas plaisant à regarder. Plutôt ouvert en matière de ciné et de genre, je n'ai pas du tout accroché à ses nouveaux personnages qui ne savent pas vraiment pourquoi ils sont dans ce monde là, ni même à son univers qui repousse cette fois les limites dimensionnelles de l'absurdité. Un potentiel sans doute revendiqué mais qui franchement donne au final un film des plus ennuyeux qui n'a ni queue ni tête. Je suis déçu en fait car j'avais vraiment apprécié Rubber à qui j'avais attribué un 4 étoiles très méritée : l'idée de départ était très bonne et Quentin Dupieux avait su l'exploiter de façon aussi drôle que poétique...la présence à l'écran de Roxanne Mesquida n'enlevant rien à l'esthétique du film. La musique collait parfaitement à un comique de situation des plus original, le tout s'articulant sur un vrai fil directeur ce qui laissait le spectateur toujours en éveil. Dans Wrong, on se perd très vite : si certains crie au génie, je crierait plutôt à la facilité même si on reconnaîtra à Mr Oizo de véritables trouvailles visuelles. Le génie pour moi c'est tout simplement d'arriver par la seule force des images, de l'intrigue, des personnages, de la musique et de la mise en scène à captiver le téléspectateur pendant 1H30, à la faire frisonner, vibrer, rire, pleurer...Rien de tout cela ici malheureusement....Un bon point quand même pour Eric Judor qui est hilarant quoiqu'il arrive...
    Cluny
    Cluny

    79 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 octobre 2012
    Je n'avais pas vu les deux premiers films de Quentin Dupieux, mais je me souviens avoir eu envie d'aller voir "Rubber", attiré par le pitch, celui d'un pneu tueur et télépathe. Je regardais hier Le Cercle, le Masque et la Plume de Canal+, où les critiques étaient divisés entre ceux qui appréciaient l'absurde et la poésie de "Wrong", et ceux qui opposaient Gondry à Dupieux, trouvant chez le premier une inventivité et un renouvellement permanent, et reprochant au second de déjà répéter au bout de trois films le mêmes trucs arty et décalés. Ce reproche m'étonne, car j'ai écouté une interview de Quentin Dupieux au moment de la sortie de "Rubber", expliquant qu'il avait détesté le tournage de "Steack", trouvant que la lourdeur de la machine classique (maquillage, mise en place des lumières, du son) bridait toute créativité du metteur en scène en étirant à l'infini les temps d'attente, qu'il en avait conclu que le cinéma de papa était mort, et qu'il lui fallait réinventer le cinéma, ce qu'il a fait dès son deuxième film, notamment en assurant le cadre lui-même et en privilégiant le plan-séquence aux sacro-saintes règles des raccords.
    Quoiqu'il en soit, n'ayant vu ni "Steack", ni "Rubber", je peux donc porter mon regard sur ce "Wrong" en tant qu'objet cinématographique en soi. Premier constat, au-delà de la dimension loufoque et surréaliste de l'histoire, il y a un véritable scénario, où la mécanique de l'absurde répond à une logique implacacble, qui fait qu'un événement qui semblait gratuit au début du film prend toute sa cohérence une heure après ; ainsi l'agacement du voisin de Dolph quand celui-ci lui parle de ses joggings, ou la longue discussion entre Dolph et la standardiste de Jesus Organic Pizza sur le pléonasme que représente la lièvre à moto de leur logo, ou encore les conséquences de la transformation d'un palmier en sapin, tous ces petits faits anodins nourrissent la suite du récit.
    "Wrong" raconte donc l'histoire d'un homme au nom de chien, Dolph, qui se trouve inconsolable de la disparition de son chien au nom d'humain, Paul. Quentin Dupieux définit son cinéma comme la contamination du réel par le bizarre, et c'est exactement l'effet que ressent le spectateur. Le radio réveil qui revient constamment comme dans "Une histoire sans fin" passe de 7 h 59 à 7 h 60, les personnages se téléphonent à quelques mètres de distance, les pompiers font la pause devant une camionnette qui brûle, il pleut à l'intérieur de l'agence de voyage, et tout cela est filmé comme si c'était naturel ; dans le dernier exemple, la gêne que ressentent les employés ne vient pas de ce déluge intempestif, mais de leur agacement devant le fait que Dolph continuent à faire semblant de travailler trois mois après avoir été viré.
    Le cinéma "réinventé" par Quentin Dupieux se caractérise par une maîtrise formelle : des choix de cadre toujours signifiants, un jeu sur la profondeur de champ pour isoler les personnages ou des détails et figurer un point de vue, une photographie surexposée qui adopte la tonalité du rêve éveillé. Il y a aussi un vrai travail des personnages par les acteurs : Jack Plotnick, vieux routier des séries TV US déjà vu dans "Rubber"qui campe son incompréhension douloureuse de bête abandonnée, Eric Judor déjà présent dans "Steack" qui joue un jardinier avec l'accent de Maurice Chevalier, ou William Fitchner, l'agent Mahone dans "Prison Break", qui incarne l'étrange Master Chang qui erre dans sa limousine, action très à la mode à Cannes avec " Cosmopolis" et " Holy Motors".
    Malgré quelques répétitions et quelques scènes qui fonctionnent moins bien que d'autres, "Wrong" réussit à maintenir constamment l'intérêt par la tension qui traverse le film de bout en bout, par la cohérence de sa construction scénaristique, et par des accents lynchiens jamais gratuits qui rendent presque logique l'absurde des situations. Isabelle Regnier dans Le Monde écrit que "Wrong" est au cinéma ce que le sample est à la musique ; peut-être, mais le DJ qu'est Quentin Dupieux alias Mr. Oizo sait depuis longtemps construire son oeuvre propre à partir de samples, et c'est bien ce qu'il réussit à faire au cinéma.
    http://www.critiquesclunysiennes.com/
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 octobre 2012
    En voilà une bonne surprise ! Après "Steak", véhicule décalé pour comiques télé en quête de reconnaissance ciné, et "Rubber", délire schizophrène et décevant (idée géniale du pneu tueur, idée pourrie du public assistant aux évènements), Quentin Dupieux nous pond avec "Wrong" une petite perle surréaliste se situant quelque part entre Buñuel et Lynch. "Wrong", c'est un petit peu "Le Charme discret de la Bourgeoisie" dans les suburds américains (comme dans le Bunuel, d'ailleurs, on passe de la réalité au rêve sans trop prévenir) ou alors "Blue Velvet" sans le personnage psychopathe de Dennis Hopper (quoique... plusieurs personnages de "Wrong", un peu poussés, pourraient très bien répondre aux critères...). Outre les nombreux gags nonsensiques (le réveil qui affiche 7h60, le bureau dans lequel il pleut sans que cela ne gêne le moins du monde les employés dans l'exécution de leur tâche...), ce qui est intéressant dans "Wrong", ce sont ces petits moments où une situation ou une conversation des plus banales se teintent soudain d'absurde. Et ce qui est encore plus intéressant, c'est la façon dont Dupieux va jusqu'au bout de ces situations absurdes en les développant de manière cohérente pour arriver à chaque fois (ou presque) à une conclusion d'une logique finalement implacable. Sans être encore totalement aboutie (quelques impasses, un rythme chancelant sur la fin...), l'écriture de Dupieux a énormément gagné en substance et en cohérence en comparaison avec "Rubber". Bon, peut-être qu'en faisant des films un poil plus courts... A côté de ça, l'amour du réalisateur pour la belle image est toujours bien visible à l'écran et la partition de son alter ego musical Mr. Oizo est au top. Et puis le casting est au diapason. Jack Plotnick, William Fichtner ou (à ma grande surprise) Eric Judor sont absolument parfaits. En les voyant enchaîner les situations burlesques avec un sérieux à la fois naturel et recherché, à la Buster Keaton, on sent de leur part une adhésion totale au projet. L'adhésion totale, ce n'est sans doute pas ce que recherche Quentin Dupieux venant des spectateurs. Attention quand même à ce que cet anticonformisme louable ne se transforme pas en marque de fabrique clonable à souhait (les pavillons de banlieue US, les flics en uniforme avec des Ray-Ban... si on pouvait éviter tout ça la prochaine fois...). Enfin, pour le film dont il est question, là, présentement, on peut le dire : "Wrong", c'est bien !
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 362 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 octobre 2012
    Ah le charme des films de Quentin Dupieux. Il n'y a pas à dire : ce mec a vraiment une patte à lui. Dès l'introduction, il y a une beauté du cadre, une maîtrise de la construction de l'espace, qui fait que je me fais ensorceler à chaque fois. En plus, s'ajoute à cela ce qui reste pour moi ce génie de l'absurde. Ça ne parait, mais je trouve que manipuler de l'absurde n'est pas aussi évident qu'on pourrait le penser. Il ne suffit pas de faire n'importe quoi, et ce "Wrong" le démontre très bien. Il y a cette capacité à tous les films de Quentin Dupieux à poser une situation immédiate, à la fois totalement normale et connue, à la fois totalement en décalage dans son traitement. Loin de faire n'importe quoi, Dupieux travaille en permanence un équilibre qui, pour ma part, ma totalement capté toute la première moitié du film... « Seulement la première moitié ? » vous demandez-vous... Eh bah oui... Un peu comme son précédent "Rubber", je trouve que le grand malheur des films de Quentin Dupieux est de ne pas tenir la distance. Dans "Rubber", c'est la répétition qui avait tué le film. Ici, c'est sa perte d'équilibre. Alors certes, c'était sûrement la volonté de Dupieux que de basculer progressivement son film dans l'absurdité la plus totale, mais au niveau de mon ressenti personnel, j'y ai perdu quelque-chose. L'air de rien, "Wrong" avait commencé son film à raccorder quelque peu toutes ses images douteuse en une espèce de pelote qui pouvait avoir sa cohérence dans la logique d'un tel univers. Malheureusement, au lieu de développer son univers, il le laisse un peu partir en roue libre, laisse de nombreuses situations dans des impasses et donne du coup une impression de gratuité dans laquelle j'ai souvent du mal à me retrouver. Alors, au final, certes encore une fois ce "Wrong", à l'image des autres films de l'artiste, me laissera un souvenir des plus positifs tant il est frais, original et maîtrisé à la fois. Cependant, une fois de plus, je rechignerais sûrement à le revoir avant longtemps, sachant qu'une fois encore, le film ne sait pas finir. L'un dans l'autre c'est donc du bon, mais encore faut-il avoir l'esprit ouvert à un tel délire...
    stillpop
    stillpop

    84 abonnés 1 444 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 octobre 2012
    L'histoire du wrong man dans la wrong situation au wrong moment... non, bien sûr de la part de M. Oizo, c'est plus subtil que ça.

    Quel plaisir de voir des films différents, bien sûr, c'est peut-être facile, peut-être réservé aux aficionados, mais quelle importance quand on ressort le sourire aux lèvres vu qu'on était le public visé ?

    Le début est un peu raide, mais dès la scène du logo de la pizza, on sait que ce sera aussi réussi que “Rubber”. C'est filmé d'une manière étrange, toujours au reflex numérique et aux optiques ultra lumineuses, mais avec un traitement colorimétrique blanchâtre qui fait également son originalité.

    Ensuite, les situations s'accélèrent dans l'absurde, et Eric Judor n'est étonnament pas le moins déméritant.
    Beaucoup de thèmes spécifiquement américains sont traités du bout de la lorgnette d'un frenchie, mais tellement noyés sous les aberrations scénaristiques que l'on ne peut rien conclure, ce qui est sans doute le but.

    Moins spectaculaire que “Rubber”, plus ambitieux et sympathique.

    Attention, à force de commettre des ovnis, on va finir par apprendre que M. Oizo est un alien...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 7 octobre 2012
    Dès le début nous sommes plongés dans cet univers totalement décalé et surréaliste où la vie d'un homme se trouve bouleversé après avoir perdu son chien. L'humour ici, est difficile à accepter mais une fois la chose faite, ça n'est qu'absurdité et rire jusqu'à la fin. Et puis, on est vraiment attaché au protagoniste du début à la fin, et c'est incroyable la façon dont on peut percevoir ses sentiments. Une pure merveille de comédie !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 6 octobre 2012
    « Un seul être vous manque et tout est dépeuplé »

    Réduire Wrong à un collage de saynètes surréalistes serait mal jauger le talent de Quentin Dupieux réalisateur qui, s’il cultive un certain goût pour l’aléatoire, le décalé, l’improbable et le n’importe quoi, parvient à imposer un univers singulier dans le paysage cinématographique Français depuis sa première réalisation ( "Nonfilm" en 2001 ). Et si faire abstraction de tout raisonnement intellectuel parait être la meilleure solution pour appréhender son travail, son nouveau bébé déroge (quelque peu) à cette règle : Tout le non-sens invoqué dans Wrong n’entache en rien la crédibilité et la cohérence d’un film par ailleurs très soigné visuellement. La nuance est subtile mais a toute son importance...

    Ma critique complète sur :
    www.generationcinema.over-blog.fr
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