Avis : Divergente - Page 7

J'ai beaucoup aime l'entrée dans l'intrigue, le systeme des factions, la présentation de la situation.Des acteurs neufs et plutot brillant c'est aussi très appréciable.Le grand problème de ce film est extérieur au film lui même, il est qu'on a tendance tout au long du film a faire un léger parallèle avec hinger games son prédécesseur du genre (film tiré d'une saga de bouquin pour ado) et il ne lui arrive malheureusement pas à la cheville.
Film agréable pour un dimanche soir a la cool...affaire à suivre

Plutôt bien mené ce voyage futuriste de bonne tenue qui diverti du début à la fin. Le scénario tiens la route , la mise en scène est bien ficelé et les acteurs sont crédibles. Un film de science-fiction qui fait penser par moment à Hunger Games et on ne s'ennuie pas. En tête d'affiche , Shailene Woodley assure dans le rôle d'une divergente redresseur de changement face à une société qui cherche à la contrôlée. Le duo qu'elle forme avec Theo James ( il a un air de James Franco cette acteur ) est convaincant. Le premier volet d'une trilogie SF pour adolescent(e)(s) , d'après un best-seller mondial.

Harry Potter Hunger Game avec une pointe de Twilight. Voilà ce que je pourrais en tirer de Divergente. Mais malgré tous ces stéréotypes, je reconnais que ce film est bel et bien abouti du début à la fin. On pourra dire que l'univers est original, il ne m'a pas touché pour autant. Mais l'ensemble du film parvient à atteindre son compte avec succès, et c'est une qualité que je retiens de Divergente. J'attends de voir ce que donnera sa suite.

Malgré un scénario "divergent", ce film ressemble étrangement à Hunger Gammes : une super héroïne acharnée, une société totalitaire post-Apocalyptique, une histoire d'amour improbable, une lutte contre les conventions sociales... Le film dure 2h20 mais tout s'enchaîne bien et le scénario est dynamique... Et si vous aimez ce genre d'univers, vous allez vous y retrouver! Moi je n'ai pas été déçu car je trouve que ce style de science-fiction stimule bien l'imagination... Et à la fin, tout le monde se questionne sur la "faction" à laquelle on aurait pu appartenir. Les acteurs sont bons, l'histoire d'amour pas trop cul-cul la praline et même si l'action mais un certain temps a arriver. Il y a assez de trouvailles et de moment intéressent pour qu'on ne voit pas le temps passer. Mention pour la musique qui est magistralement orchestrée au final et c'est bien le principe. Divergente par bien et donne envie de voir la suite.

Une dystopie pour adolescentes inspirée du phénomène "Hunger Games", loin de la mièvrerie de la franchise "Twilight", qui fera l’unanimité chez son public cible. Il lui sera néanmoins plus difficile de convaincre les amateurs exigeants d’anticipation et de science-fiction. Dans ce film, l’héroïne Tris vit dans un monde post-apocalyptique où la société est divisée en cinq clans (Audacieux, Érudits, Altruistes, Sincères, Fraternels). À 16 ans, elle doit choisir son appartenance pour le reste de sa vie. Cas rarissime, son test d’aptitude n’est pas concluant : elle est Divergente. Les Divergents sont des individus rares n’appartenant à aucun clan et sont traqués par le gouvernement. Dissimulant son secret, Tris intègre l’univers brutal des Audacieux dont l’entraînement est basé sur la maîtrise de nos peurs les plus intimes. Il n’échappera à personne que "Divergente" est devenue une nouvelle référence dans le domaine de la franchise littéraire pour adolescentes. Là où la plupart des adaptations se heurtent à l’indifférence du public ("Les âmes vagabondes", "The Mortal Instruments"), "Divergente" a dépassé aisément les 100 millions de dollars au box-office américain. Le distributeur n’a d’ailleurs pas attendu les chiffres du box-office pour lancer la suite, conforté par les premiers échos, des préventes solides et l’assiduité des fans qui ont apporté massivement leur soutien au projet depuis le début du tournage. Il est vrai que "Divergente" surpasse la plupart de ses concurrents avec des ambitions de récit et de retranscription d’un univers futuriste autrement plus séduisantes que ce qu’on a pu voir récemment dans le genre, "Hunger Games" mis à l’écart. Toutefois peut-on vraiment mettre les deux films adaptés de l’œuvre de Suzanne Colins à l’écart tant "Divergente" se rapproche de l’univers de "Hunger Games" ? L’initiation adolescente dans les deux cas se situe dans un futur où le totalitarisme prend la forme d’une manipulation des masses divisées en tributs dans "Hunger Games" et en factions dans "Divergente". En l’occurrence celles des Audacieux, des Erudits, des Sincères et des Fraternels dans ce dernier. L’héroïne, qui ne s’appelle pas ici Katniss mais Tris, doit à 16 ans faire le choix de son clan qu’elle embrassera pour la vie, en fonction de ses qualités intrinsèques. Malheureusement pour elle, elle se découvre être un élément subversif pour le pouvoir en place, puisqu’elle fédère des qualités propres à chacun des clans… Une suspicion de rébellion accompagne ces "divergents" dont il faut se débarrasser par tous les moyens, alors que l’éradication de l’une des factions couve au cœur d’une cité abritée d’un extérieur post-apocalyptique potentiellement monstrueux, par de gigantesques remparts. L’histoire est réellement séduisante, malgré les résonances aux autres sagas du genre ("Les âmes vagabondes" n’était pas très éloignée de ce schéma initiatique porté par le refus d’une personnalité féminine de se soumettre aux normes extra-terrestres) et l’on comprend aisément l’engouement de la jeunesse pour ce type de récit empreint d’une puissance d’incarnation alors que l’héroïne refuse de suivre sa famille et les valeurs d’altruisme de son sang pour rejoindre le rang des Audacieux. Elle choisit des casse-cous qui se délectent du danger et font subir aux nouvelles recrues des tests d’intégration et autres bizutages qui risquent de briser les vocations, forçant ceux qui ratent les examens d’entrée à devenir des sans-factions, des parias errant en marge d’une société hiérarchisée qui ne pardonne pas l’échec. En effet, le transfert d’un clan à l’autre est interdit, comme pour signifier à l’adolescent l’impossibilité de revenir en arrière une fois ses premiers choix de jeune adulte réalisés. Cette société aseptisée et compartimentée est représentée en son sommet par la beauté froide de Kate Winslet. L’héroïne de "Titanic" resplendit en Machiavel convaincu de la nécessité des génocides pour mieux régner. Classe et élégance la positionnent dix rangs plus haut que l’héroïne qui manque cruellement de charisme à l’écran. La faute en incombe moins au personnage créé par Veronica Roth qu’au casting de l’actrice Shailene Woodley, choix assez peu heureux, alors qu’on la voit, pour près de la moitié du film, revêtue d’un sac à patate en guise de fringues. Il s’agit en fait de la tenue unique peu glamour des Altruistes qui se porte de mère en fille, et qui ne va vraiment pas à Ashley Judd non plus, peu crédible dans son rôle de mère modèle qui, elle aussi, a sa part de secrets. La jeune comédienne n’est pas un choix crédible aux côtés du bellâtre musclé Théo James, plus à l’aise dans son rôle, mais moins en amoureux transi d’une héroïne dont la moue dissimule mal les tentatives d’approfondissement psychologique voulues par les auteurs du scénario. Autrement dit, "Divergente" qui commence très bien souffre parfois des tics de certaines productions adolescentes. Outre le jeu inégal de certains acteurs, on peut aussi signaler la présence d’une musique omniprésente destinée principalement à vendre du single sur Itunes, notamment le répertoire d’Ellie Goulding, la chanteuse britannique trouve effectivement en la bande-son du film l’expédient parfait pour s’imposer comme méga star en Amérique après avoir déjà étoffé la bande-son de "Hunger Games : l'embrasement" quelques mois auparavant. On n’oubliera pas la déficience de certains effets spéciaux et la présence de quelques scènes assez indigentes (l’ascension peu crédible d’une grande roue par les deux tourtereaux lors d’un jeu de simulation) pour séduire un public essentiellement adolescent. Tout cela ne fait pas de "Divergente" un mauvais jalon du genre, loin de là, mais on se situe forcément en retrait du solide "Hunger Games : l’embrasement" où la violence n’était jamais sourde et où Jennifer Lawrence crevait vraiment l’écran. "Divergente" se pose donc en divertissement vertueux qui contentera largement son public cible sans chercher à exploiter le sillon d’une science-fiction d’anticipation au-delà des canons du produit jeune, qui éconduira à raison les adultes, mais cela reste un bon divertissement et un bon film de science-fiction

Divergente est un nouveau film adapté de la littérature Young Adult. Un de plus. On retrouve en effet beaucoup de choses que l'on a déjà pu voir dans des franchises comme Hunger Games ou The Mortal Instruments : les tatouages, les factions, les rebellions contre le système, les entraînements militaires ... Que du réchauffé.
Néanmoins, cela fonctionne puisque l'on n'a pas trop de mal à tenir les 2h20 que dure le film. Cette durée exceptionnellement longue pour un film de ce genre n'est en effet pas un handicap dans ce cas. Surprenant.

Mais même si cela fonctionne, il faut avouer que l'actrice principale n'a aucun charisme. Cela n'aide donc pas à entrer dans cet univers. Quant à son personnage, on passe son temps à crier "Mais bouche le trou !" ou "Mais non, tu pouvais faire ça !".
En fait, si vous cherchez de bons acteurs, il faudra vous tourner vers les rôles secondaires : Jai Courtney en supérieur et prof très exigeant dégage, lui, un certain charisme tandis que Miles Teller reprend son rôle de connard souriant qu'il avait endossé pour "21 & Over". Quant à Theo James qui incarne Quatre, je sens qu'il aurait pu faire mieux même si ce n'est pas une performance horrible non plus.

Niveau visuel, on a droit à de très beaux décors qui laissent rêver à de belles exploitations dans les prochaines adaptations des romans. Quant aux combats, on distingue bien ce qui s'y passe et cela me convient. Cette dernière remarque vous surprend ? Regardez le premier Hunger Games et vous ne verrez que du flou pendant les combats.
Quelques idées sont aussi plutôt bien exploitées comme ces épreuves faisant appel à des simulations sur les peurs les plus profondes des Audacieux. Bonne idée, j'attends de voir comment cela va évoluer dans les prochains films.
Cependant, le point noir de ce film, c'est le choix des musiques qui ne conviennent pas du tout à l'ambiance de cet univers ou à ce que l'on voit à l'écran. Certes, ce sont de jolies chansons mais il ne faut pas non plus se sentir obliger de les mettre à tout prix dans le film. Cela me déçoit d'ailleurs de la part de Hans Zimmer qui est pourtant l'un des plus grands artistes vivants. Parfois, des musiques plus simples et plus discrètes auraient mieux convenues je pense.

Voilà ce que l'on pouvait dire sur "Divergente", un film Young Adult qui ne marquera pas forcément mon esprit même s'il n'est pas désagréable et même s'il a fait un joli score en France.

Surfant sur le succès de l’adaptation d’Hunger Games au cinéma, Divergent(e) est tiré du roman homonyme de Veronica Roth, qui nous propose une énième version dystopique supposément destinée aux (grands) adolescents (mais n’ayant pas lu les livres, je ne m’avancerai pas plus en conjectures potentiellement malvenues). Pas ma tasse de thé à priori donc, mais la curiosité l’a finalement emporté, qui sait après tout si l’on ne tenait pas là un divertissement acceptable, d’autant que Neil Burger (L’Illusionniste, Limitless) était à la réalisation. Roulement de tambours, le naufrage n’a finalement pas lieu, et bien que pas aussi efficace que Hunger Games premier du nom, l’ensemble n’est pas aussi cucul la praline que l’on pouvait le craindre. En tout cas, les première félicitations vont au visuel et la production de Burger, qui sans faire dans l’original se fend d’une mise en scène propre et maitrisée ; décors et costumes vont donc de pair, et l’immersion n’en est que plus aisée au sein de ce Chicago repensé. Sans omettre une BO remplissant son office, on peut donc dire que dans la forme Divergent est réussi, quoique pas transcendant notamment en terme d’action mais sans temps mort, dynamique et peu à peu prenant. On en vient donc à aborder le fond même de ce film de science-fiction, qui mêle comme bien d’autres divers genres (romance quand tu nous tiens…), et c’est ici que le bât blesse dans une moindre mesure ; on peut d’abord en dire que le background est sympathique, tandis que l’intrigue ne fait pas de miracle en ne nous proposant rien de bien neuf, si ce n’est ce fameux univers dystopique basé sur les cinq clans. L’idée de les avoir partagés en fonction de différents aspects humains est en elle-même pas mal pensé, mais quelque peu capillotractée, sans pour autant nous empêcher d’accepter le monde de Beatrice sans rechigner. Par ailleurs, le rythme efficace contrebalance alors un fil directeur truffé de péripéties convenues, à la limite du prévisible et ce à bien des plans ; on songe notamment à la relation Tris/Quatre, cousue de fil blanc mais heureusement pas aussi niaise que présumée. Pour le reste les personnages sont globalement attachants, et correctement interprétés qui plus est, à commencer par Shailene Woodley, Theo James et dans une moindre mesure l’antipathique (réussi) Jai Courtney. Enfin deux gros regrets à formuler : premièrement l’idiotie de certaines scènes, avec en tête de file la mort d’un personnage secondaire se sacrifiant plus que bêtement (ce qui rend le tout ridicule), et deuxièmement l’inévitable happy-end, alors que j’eu espéré un rebondissement tragique conférant au long-métrage une plus-value non négligeable (avec la mort de Tris ou Quatre, à un moment clé). Bref, si les fans du livre y ont probablement trouvé leur compte, Neil Burger fournit aux autres un divertissement plutôt convaincant, parfois maladroit quant à son déroulement mais réussi dans la forme tandis que l’on apprécie les prestations d’acteurs. A voir.

Les adolescents sont le public ciblé par ce film et cela se ressent énormément.
La partie "science-fiction" est bien réussie mais elle est gâchée par la direction que le film. On ne voit que des jeunes, perturbés par les cours et leur orientation. Le conflit entre les différents groupes est à peine expliqué et la "divergence" de l’héroïne est peu exploitée.

voilà un film que j'ai beaucoup hésité a regarder , l'histoire est pas mal mais elle ne ma pas tellement entrainée sa manque un peu de piquant , la fin nous laisse imaginer une suite donc ce premier épisode n'est qu'une mise en bouche , l'histoire devrait donc évoluer dans le prochain film , j'espère , normal pour un premier film , j'ai pas trouvé d'attachement particuliers aux personnages notamment lorsque les parents décèdent brutalement enfin j'attend le prochain film qui j'espère sera plus captivant que son précédent !

3 ans après la sortie du 1er volet, je n’avais vu aucun des films de la série « Divergente ». J’ai donc décidé de corriger cette lacune. C’est finalement une histoire sympa, quoi que très ciblée « ado ». Par contre, le film est bien trop long, comme si on ne pouvait plus réaliser des films de moins de 2 heures de nos jours.

Un film sympathique avec un thème assez intéressant. Le film reste cependant assez classique et la trame de l’histoire est visible depuis le début. La fin sort un peu du contexte du film (ou pousse plus loin avec passage à l’acte de guerre) et au final, la première partie du film est plus intéressante. On sent également qu’on est partit pour une saga dans une ambiance entre Hunger games, Twilight et Harry Potter. En bref un film bien sympa avec un peu d’action qui était à la hauteur de mes attentes mais qui ne me surprend pas pour autant. On attend le 2…

Sans avoir lu le livre, je suis allé voir Divergente alors que j'avais horriblement repoussé avec un dégoût des plus démonstratifs, la bande-annonce.

Il faut dire que personnellement j'ai été surpris. A l'instar d'un Twilight franchement gnangnan et ringard, Divergente s'inscrit dans la lignée des Hungers Games et de la sympathie créée par cette franchise.
Divergente est un bon film de science-fiction avec son petit lot d'actions et d'effets spéciaux même si c'est avant tout une histoire de romance, une romance à l'eau de rose qui peut paraître pénible sur les bords.
Il faut l'avouer que l'aspect philosophique avec cette réflexion sur ces classes sociales (Audacieux, altruistes, érudits, sincères, fraternels...) est plutôt bien trouvé. Le film en lui-même est assez bien rythmé et les scènes de combats assez efficaces.

Les acteurs restent avant tout le point d'orgue du film. Si la jeune Shailene Woodey est très satisfaisante dans son rôle, on redécouvre une Kate Winslet dans un rôle à l'opposé de ce qu'elle nous a déjà montré, mais au moins ça ajoute de la force à sa grande carrière.

Pour faire bref, ça reste une adaptation réussie d'un livre pour ados (Mais loin derrière la vague Hunger Games) et même si on peut reprocher au film certaines longueurs, il reste potable dans l'ensemble.

Pas assez Hunger Games et trop Twilight ce nouveau film s'en sort tout de même bien.
Une histoire inspiré d'un livre qui est tout de même assez innovante sur un monde dystopique. Des acteurs de bonne qualité, une musique excellente, des plans assez parfaits que de compliment pour le nouveau film des studios producteurs de Twilight et Hunger Games. Mention spéciale à Kate Winslet qui excelle dans l'interprétation de son personnage et aussi à l'esthétique du film qui est très bonne. Un film à voir pour se divertir

Premier long-métrage d'une trilogie s'annonçant intéressante du point de vue scénaristique, et du point de vue de la mise en scène.
Néanmoins, même si elle n'est que la succession de plusieurs histoires young adult, Divergente arrive à se détacher par sa maturité.

Pas mal pour un film d'ado. Les acteurs sont corrects. L'univers est bien construit. Mieux que hunger games 2