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    Parlez-moi de vous
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    331 critiques spectateurs

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    elriad
    elriad

    435 abonnés 1 860 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 mai 2012
    un joli petit film porté par la lumineuse karin viard, qui a parfois du mal à trouver son style, mais qui se voit sans déplaisir. Duvauchelle poursuit sa belle carrière et les situations sont tantôt drôles, tantôt émouvantes. Mais il manque un petit quelque chose pour faire de "parlez-moi de lui" un film totalement réussi.
    defleppard
    defleppard

    380 abonnés 3 373 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 mai 2012
    Une animatrice de radio part à la recherche de sa mère qui l'a abandonnée. Avec Karin Viard ce qui est bien c'est qu'on est jamais déçu de ses choix de scénario. Encore cette fois-ci , le film se regarde plaisamment avec une mise en scène épurée qui va à l'essentiel . Je conseille. 3 étoiles.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 20 octobre 2012
    On retrouve Karin Viard dans la peau d'une femme à 2 facettes, d'un côté la voix emblématique des ondes radio apportant son lot de conseils pour résoudre le mal-être des auditeurs , de l'autre une femme au visage totalement inconnu du grand public, seule et hantée par une jeunesse douloureuse.
    Sans surprises, Karin Viard joue à perfection cette femme contradictoire, à la fois proche des gens (ondes radio) et à la fois très distante (vie personnelle).
    Le scénario tient plutôt bien la route même s'il manque parfois de vivacité.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 16 mai 2012
    Dans le genre grosse ficelle, difficile de faire mieux!
    ndelage
    ndelage

    15 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mai 2012
    Un joli rôle pour Karin Viard, toute en émotion, une interprétation subtile de Nicolas Duvauchelle et une réalisation soignée. Certes le personnage de Karin Viard est parfois un peu stéréotypé et le scénario assez léger, mais le film n'en reste pas moins une belle réussite et un beau portrait de femme.
    BenZaccaria
    BenZaccaria

    1 abonné 18 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 mai 2012
    Petit drame psycho-familial très sympathique. Viart est excellente. On est pris par l'histoire du début à la fin.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 13 mai 2012
    Malgré une mise en scène très ingénieuse, ce film aura peiné à m'intéresser. Le sujet ne m'a pas touché. Quoiqu'il en soit, la prestation des acteurs est particulièrement bonne et les scènes cocasses se succèdent pour le plus grand plaisir du spectateur. Au final, un beau film sur l'amour, la famille et la recherche du bonheur.
    DarioFulci
    DarioFulci

    103 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 mai 2012
    Une voix qui charme les auditeurs et les pousse à se confier. Cette voix, c'est avant tout une célibataire qui a ritualisé sa vie pour ne pas s'exposer et qui cache une blessure secrète. Plus qu'une comédie, "Parlez-moi de vous" est un portrait de femme abandonnée qui cherche son identité et va trouver l'amour en parallèle. La bonne idée du scénario c'est d'avoir fait de Karin Viard une presque vieille fille misanthrope un peu dans le style de Jack Nicholson dans "Pour le pire et le meilleur". La qualité d'écriture des personnages est appréciable. Quand à l'intrigue, elle se concentre sur la quête et donne au film un ton pas si comique. Une petite réussite.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 23 avril 2012
    Une femme. Seule. Devant un micro.
    L'éclairage tamisé du studio cherche à recréer une intimité factice avec des voix sans visages.
    « Parlez-moi de vous ». La voix est chaude, elle sourit. Le sourire passe bien à l'antenne, pas le regard. Les yeux de Karin Viard sont emplis de mélancolie. Celle de l'amour immense qui se déverse en vain dans les cœurs d'à côté.
    L'héroïne s'occupe des chiens écrabouillés, des chiens abandonnés, de tous les chiens à deux pattes que la vie a maltraités, que personne n'a écoutés. Ils cherchent l'amour, une voix. Ils parlent d'eux, tout le monde les entend, tous ceux d'à côté, jamais ceux qu'il faudrait.
    « Parlez-moi de vous ». Nuit après nuit elle répète cette phrase alors qu'elle aimerait tant dire : « Ecoutez-moi. Ecoute-moi. Je t'aime. Je t'aime. Qui es-tu ? Dis-moi que tu m'aimes. »
    Raconté comme ça, c'est sûr que ça endort.
    A côté, même le bavardage insipide des clientes de la charcuterie du cimetière, à l'heure où les cercueils défilent au son de la trancheuse à jambon, sonnent avec plus de clarté, brillant d'une spiritualité joyeuse et débonnaire dont l'homme de lard profite pour leur refiler deux plaques de marbres cernées de couenne rance, mais c'est le quartier qui veut ça.
    Heureusement, en temps de crise, le pathos se vend mal, même bio. Le réalisateur le sait.
    Il change d'optique (il opte pour un Angénieux 28-76 mm à ouverture constante) et l'animatrice quitte le studio en marchant de guingois. Son dos endurci par tant de misère s'éloigne, solitaire et voûté, dans les couloirs déserts de la radio qui endort. (Avec un 24-290 mm c'eût été encore plus fort mais c'est la crise). Au bras déformé de la femme pend une bourriche pleine de lettres d'amours inachevées, de détresses incomprises et d'insultes mal torchées. Elles passeront mieux avec un Picpoul bien frais. Chez elle, la repasseuse d'âme collectionne et classe ces kleenex épistolaires tel un herbier de fleurs maudites, au fond d'un appartement trop grand, trop clair, trop propre pour accueillir vraiment ce rebut de la misère ordinaire.
    Jingle et pub : Buvez, éliminez, mouchez votre nez. Ne riez pas, elle reviendra demain. Pour l'instant, faute de mieux, elle caresse son clebs parce qu'il le vaut bien.
    Le chien, le vrai, le seul qu'elle ait vraiment trouvé, aimé, adoré, le seul dont l'amour inconditionnel soit à la hauteur de sa soif inextinguible de reconnaissance, veille, silencieux et soumis, aux portes du placard où elle s'enferme pour onaniser sans bruit sur des souvenirs qu'elle n'aura pas.
    Et oui, c'est la mode, le roquet est une star. Détenteur exclusif du cœur d'or, il est la valeur refuge d'une humanité en faillite depuis que les subprimes ont achevé de nous tondre en nous laissant à poil.
    « L'avenir de Paris est à l'Est », s'extasiait Delanoë en lorgnant sur le torse épilé de Poutine. Une fois de plus, une banlieue mal foutue viendra donc au secours des parisiens sans joie, que turlupine en vain une brise menue. Ils ignorent les plaisirs de la bière réchauffée, des chemisettes à carreaux beiges et des radios buissonnières aux accents incorrects (prononcez incorrec'). L'aventurière des ondes thérapeutiques s'y rend alors en douce faire œuvre d'enquêtrice. Suspens !
    Les âmes en miettes la gonflent : elle va s'en décharger un tombereau chez les ploucs, il n'y a pas de raison qu'elle soit seule à trinquer.
    Pierre Pinaud installe alors le classique carré Lubitschien dans une version anti-lacanienne perverse et narcissique.Le chien, le vrai, le seul qu'elle ait vraiment trouvé, aimé, adoré, le seul dont l'amour inconditionnel soit à la hauteur de sa soif inextinguible de reconnaissance, veille, silencieux et soumis, aux portes du placard où elle s'enferme pour onaniser sans bruit sur des souvenirs qu'elle n'aura pas.
    Et oui, c'est la mode, le roquet est une star. Détenteur exclusif du cœur d'or, il est la valeur refuge d'une humanité en faillite depuis que les subprimes ont achevé de nous tondre en nous laissant à poil.
    « L'avenir de Paris est à l'Est », s'extasiait Delanoë en lorgnant sur le torse épilé de Poutine. Une fois de plus, une banlieue mal foutue viendra donc au secours des parisiens sans joie, que turlupine en vain une brise menue. Ils ignorent les plaisirs de la bière réchauffée, des chemisettes à carreaux beiges et des radios buissonnières aux accents incorrects (prononcez incorrec'). L'aventurière des ondes thérapeutiques s'y rend alors en douce faire œuvre d'enquêtrice. Suspens !
    Les âmes en miettes la gonflent : elle va s'en décharger un tombereau chez les ploucs, il n'y a pas de raison qu'elle soit seule à trinquer.
    Pierre Pinaud installe alors le classique carré Lubitschien dans une version anti-lacanienne perverse et narcissique [...] Suite et autres critiques absurdes sur http://ad-absurdum.eklablog.net
    Seemleo
    Seemleo

    65 abonnés 888 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 avril 2012
    Une oeuvre à l'équilibre parfait, sans temps mort, basée sur une intrigue dosée au millimètre et portée par une mise en scène humble mais ciselée. La performance de Karin Viard est époustouflante et devrait marquer sa carrière. Nicolas Duvauchelle sort du lot. A ne point rater.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 5 mars 2013
    Un bon premier film malgré quelques faiblesses dans la réalisation. Surtout porté par une immense Karin Viard, qui confirme encore qu’elle est bien une valeur sûre du cinéma français actuel.
    Caine78
    Caine78

    6 716 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 avril 2012
    Cela commence de façon très « français » : on parle, on ne raconte pas grand-chose, on se donne des airs de film intellectuel, le tout servi par une réalisation peu inventive, ne rendant pas hommage à un milieu qui personnellement m'intéresse beaucoup : celui de la radio. Heureusement, à force d'insister un peu l'oeuvre trouve un certain allant, et on finit par se sentir concerné par ce portrait de femme à la recherche de sa mère qui l'a abandonné lorsqu'elle n'était qu'un bébé. Cette quête n'a d'ailleurs rien de lourdaude, caricatural, Pierre Pinaud prenant le soin de nous offrir plusieurs sous-intrigues enrichissant considérablement le récit. Car si l'unique but de Mélina est de pouvoir dire à sa mère ce qu'elle ressent, celle-ci devra également faire face à beaucoup de rencontres inattendues, à une remise en cause de sa vie professionnelle et sentimentale, de sa vision du monde... Cela pourrait être fatigant, c'est souvent subtil et intelligent, à l'image d'une fin ouverte loin de tomber dans une béatitude mal placée. « Parlez-moi de vous » doit néanmoins presque tout à Karin Viard, magnifique de bout en bout dans ce personnage complexe, l'une des rares actrices capable aujourd'hui d'en faire trop avec un immense talent. Une grande comédienne pour un bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 mars 2012
    3 étoiles pour la qualité d'interprétation de Karin Viard parce que le scénario est léger. Il me semble qu'il y avait plus à dire et montrer sur la recherche d'une mère et la rencontre avec celle-ci. Et les personnages sont parfois un peu caricaturaux.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 mars 2012
    C'est bien, j'ai bien aimé. C'est juste, c'est frais, c'est bien joué, on apprends des choses. Rien d'extraordinaire ou d'indispensable bien sûr, mais un bon petit moment de cinéma.
    XIV
    XIV

    1 abonné 223 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 octobre 2012
    film très sympa simple et émouvant. Très bonne interprétation de Karin Viard. l ambiance radio de nuit est bien retranscrite
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