L'idée de l'histoire des Mondes de Ralph est assez spéciale en réalité, l'éternel " méchant " de son jeux d'arcade, du nom de Ralph justement, cherche à changer afin devenir un gentil. Ainsi ( du moins le pense t-il ) ces conditions de vie changerait radicalement, son mode de vie serait le même que celui de Félix Fix Jr, son confrère de jeu, et véritable gentil. Suites à un concours de circonstances, Ralph se doit de trouver une médaille ( pourtant attribuées aux gentils ) afin de mériter ce renouveau. Le film zig zag entre les références ( Sonic, Metal Gear, Star Wars, Street Fighter, ou bien encore God of War si je ne m'abuse ), les mondes de Pacman ou Mario ( Par l'intermédiaire de Bowser ) pour enfin déboucher sur l'univers puant le sucre de Sugar Rush. Ralph, qui il faut le rappeler est un anti-héros car il désobéi aux règles, fait la connaissance de la petite Vanellope. Et c'est typiquement ce qui m'énerve dans ce film : On tire beaucoup trop sur l'aspect " Mignon comme tout " avec sa petite voix, toute craquante, sa petite taille, et tout ce qui s'ensuit. On ne pourra jamais s'énerver sur elle, c'est un bouclier inbrisable. Déjà que l'on avait déjà adopter cette technique dans Moi, Moche et Méchant avec la petite à la Licorne, alors là, choisir cette solution devient lourd. Heureusement qu'une rupture se présente entre le gros mentor et la petite puce qui casse les bonbons ( qui est d'ailleurs bien triste ) Ah au fait ! J'adore le personnage du sergent Calhoun. Bref, on reste dans le cadre familial, avec la notion de courage et de différence, et puis tout se conclut de la plus belle des manières, avec le petit twist d'avant fin qui m'a bien bluffé. Un film travaillé, beau à voir, plaisant pour tout le monde.