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LeelooGOD
21 critiques
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1,5
Publiée le 8 octobre 2012
Manque de rythme, dialogues très mauvais, jeux pas du tout crédibles, ça sonne faux. Vu l'affiche et le casting, je m'attendais à largement mieux. Bref, je suis très déçue... Next.
Un film pour les vielles . Moi les films comme ça , ok deux minutes. Mais où est l'action ? Pourquoi tant de lenteur et de gros plans ? Sérieux merci au revoir .
Après la Marie Antoinette sous la direction de Sofia Coppola c'est sous un tout autre angle que Benoît Jacquot nous dévoile sa Marie Antoinette jouée merveilleusement bien par Diane Krugeur. Un grand bravo pour ce bon moment
La popularité de "Marie-Antoinette" ne faiblit pas après de multiples biographies, un film évènement en 2006 et une expo à Paris deux ans plus tard. Benoît Jacquot choisit d'aborder cette figure sous un angle pas si différent de celui de Sofia Coppola. La précision historique est de mise pour la chronologie des évènements et la reconstitution à proprement parler des décors, costumes etc. C'est dans l'état d'esprit des personnages que la ressemblance et la plus cohérente entre les deux cinéastes. D'abord enfant gâtée, insouciante et victime, elle devient véritablement Reine aux premiers jours de la Révolution. Avec la solitude comme dommage collatéral. Alliées dangereuses ou protectrices, la Reine ne sait plus à quel sein se vouer. Et tout le petit monde aristocratique qui la côtoie s'époumone en quête de protection à l'aube de dramatiques évènements. Les personnages sont tous très bien interprétés, avec la rigueur que l'on connaît au réalisateur. Une vision intéressante et personnelle d'un monde féminin sur le déclin.
Jacquot réussit à recréer l'univers de Versailles spoiler: (et oui, les rats y vivaient en abondance) . En revanche, retranscrire nos "sujets" actuelles en transformant Marie-Antoinette en lesbienne me laisse perplexe. En même temps, S. Coppola avait elle aussi utilisé Marie-Antoinette pour dénoncer une société de consommation frivole. Décidément, la veuve Capet doit être le miroir parfait de notre société.
à ne pas comparer je sais avec le film de Sofia coppola ;je préfère celui ci malgré tout il est subtil, aucun partie pris ,juste les détails de l'histoire les plus passionnant , et de grand acteurs ont se délecte du moindre détails à travers la vie des habitants de la cour ( croustillant
Film profondément ennuyeux. La mise en scène est terne, les personnages ne sont pas attachants et l'histoire est sans intérêt. Les intrigues qui se jouent n'ont pas fait aucun écho en moi. J'avoue être partie au bout d'une demi heure, ce qui est extrêmement pour moi.
En 1789, à l’aube de la Révolution, Versailles continue de vivre dans l’insouciance et la désinvolture, loin du tumulte qui gronde à Paris. Quand la nouvelle de la prise de la Bastille arrive à la Cour, le château se vide, nobles et serviteurs s’enfuient… Mais Sidonie Laborde, jeune lectrice entièrement dévouée à la Reine, ne veut pas croire les bruits qu’elle entend. Protégée par Marie-Antoinette, rien ne peut lui arriver. Elle ignore que ce sont les trois derniers jours qu’elle vit à ses côtés.
Que dire des Adieux à la reine ? N'ayant pas vu ces derniers films je me demandais bien ce que pouvais donné ce film. J'ai été assez déçu. Malgré un bon casting, un contexte historique fidèlement retranscrit, des costumes et des décors fabuleux, on s'ennuie. Trop de longueur, le film ne va pas à l'essentiel c'est à dire la descente aux enfers de la reine, de ses sujets, du roi et bien sûr de la monarchie absolue. On suit plutôt les mœurs et coutumes de la cour pendant 1 heure 40. spoiler: Ce n'est qu'a la fin du film que la reine quitte le château de Versailles pour s'en aller voir le roi et faire face aux problèmes du peuple Dommage.
Pour moi le meilleur film Français de l'année( juste devant Amour); pourquoi avoir voté pour Jacquot? Ce film me parait aussi réussi que nos plus grands labels de qualité ( de l'école de l'Opéra, à nos meilleurs artisans ..) On y découvre en les parcourant les couloirs de l'histoire on y est... De plus, grâce au génie de Jacquot , par l' l'adaptation du personnage (en rupture avec l'œuvre initiale ) une fois encore Léa Seydou est inoubliable...
Loin de la fresque historique ce film à la première personne nous dévoile les méandres de Versailles à travers les yeux de la jeune lectrice de Marie-Antoinette. Le réalisateur nous livre une galerie de portraits pour la plupart très étoffés. Cette étude des comportements humains est remarquable et on se prend vite au jeu. Les personnages sont complexes et ambigus pour la plupart et les performances des acteurs sont exceptionnelles. Un petit bémol tout de même pour Sidonie dont l’entêtement quasi masochiste à suivre cette reine despote laisse parfois perplexe et manque un peu de cohérence. Le jeu amoureux entre la reine et sa favorite est merveilleux. La tension des évènements, le chaos régnant accentué par les scènes dans les coulisses oppressants de Versailles et peuplés d'une faune hétéroclite donnent de la profondeur aux personnages. Belle réussite en tout cas, un film intelligent est plutôt novateur.
Avec Léa Seydoux:très attachante en Sidonie Laborde,Virginie Ledoyen:magnifiquement cruelle en Polignac et Diane Kruger:incroyable en Marie -Antoinette. A ne pas confondre avec le fameux Marie -Antoinette de Sofia Coppola,Les Adieux à la reine est plutôt un film avec de la mélancolie et de l'amour interdit . Touts les comédiens mériteraient une récompense !
C'est soit un autre angle que Benoit Jacquot nous présente Marie Antoinette, après la Marie Antoinette de Sofia Coppola. J'ai trouvé ce film très agréable, Léa Seydoux est ici pas mal du tout.
Chronique d'une fille de rien qui a vécu toute sa vie dans l'illusion de la lumière des grands de ce monde(un peu comme le majordome des "Vestiges du Jour").Le film,brillant et jouissif dans sa première partie,eut été parfait s'il n'avait perdu son fil vers la fin(on ne comprend pas très bien pourquoi cette fille continue à jouer ce jeu qui va être sa fin),mais réjouissons-nous que des cinéastes comme B.Jacquot,A.Resnais,les prometteurs Gérald Hustache-Mathieu et Léa Fehner,relèvent le niveau d'un cinéma français dépressif ou mou du genou.
recherche de vraisemblance, mais dans un Versailles qui manque de l'éclat extraordinaire qui fait même de nos jours sa réputation. Cela fait perdre toute crédibilité à cette histoire.
Je n'ai jamais été un inconditionnel du cinéma de Benoît Jacquot, et ces « Adieux à la reine » ne viendront pas bouleverser cette impression. Budget limité, rythme assez lent, pauses d'auteur parfois appuyées... Il serait hypocrite de dire que le résultat est passionnant. Reste que le réalisateur a des choses à dire, et qu'il les dit plutôt bien. Difficile de rester en effet insensible à la subtilité des rapports entre Marie-Antoinette et Sidonie Laborde, Jacquot ayant l'intelligence de privilégier les non-dits aux explications et aux dialogues sans fin. D'autant qu'à ce jeu, Léa Seydoux et Diane Kruger rivalisent de charme et d'élégance, apportant une ambiguïté remarquable à cette étrange tragédie. Il y a en effet quelque chose d'assez profond dans ce film qui, certes, prend probablement ses aises avec la vérité historique, mais qui a au moins le grand mérite de nous présenter le XVIIIème siècle sous un angle différent, sensuel et même parfois émouvant. Pas forcément de bouleversement donc, mais une œuvre étrange, inattendue et singulière : rarement les femmes avaient été aussi bien mises en valeur ces dernières années.