AlloCiné
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Votre avis sur Stake Land ?
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Plus qu'un simple film de vampire, une agréable aventure et surtout une belle leçon de vie et d'espoir. J'ai trouvé cette production exceptionnelle, les acteurs sont authentiques et attachants, les émotions présentes. Il semble peut être lent parfois mais cela fait son charme et reflète bien la situation, avec une BO profonde. On ne s'ennuie pas un instant et je dirais même qu'on est déçu que cela s'arrête. Je ne vois pas trop les points négatifs. Même si le fait de ne rien savoir sur l'origine de cette pseudo épidémie et sur l'organisation religio-vampirique peut parfois être gênant et regrettable, on s'en passe tout bonnement car au final ce n'est pas le but recherché. Seul l'émotion et le message comptent c'est pourquoi, même si c'est un mix de bons nombres de films déjà sortis, il n'en reste pas moins original et sort du lort. Je le recommande vivement....
Malgré un scénario classique et une fin un peu baclée, "Stake Land" a le mérite d'être trés bien réalisé avec des acteurs convainquants et de bonnes musiques. Le monde post-apocalyptique, trés proche d'une "Je suis une légende" ou encore d'un "Bienvenue à zombieland", est trés bien restrancrit. D'ailleurs les vampires sont plus proche d'un mort-vivant à la Danny Boyle ("28 semaines plus tard") que d'un vampire à la dracula. Une bonne surprise pour ma part.
Nicothrash
"The walking dead" au pays des vampires ! Blague à part, la comparaison est flatteuse et pour cause, on retrouve dans "Stake land" tous les ingrédients qui ont fait le succès de la série à la différence près que le budget de ce dernier est famélique. Difficile à croire vu la qualité de ce road movie horrifique dont on ne décroche pas du début à la fin, la photographie est superbe et l'ambiance post-apocalypse bénéficie d'un excellent rendu. Pour en revenir à TWD, difficile de ne pas faire le lien au niveau des personnages tant certains sont ressemblants, que ce soit niveau caractère ou physique, la différence se fait par les monstres finalement puisqu'on a ici affaire à des vampires en lieu et place des zombies, conséquence directe : ils sont bien plus rapide et n'ont pas le cerveau ravagé ... Plus d'adversité en prévision donc et pour le coup des scènes d'action maîtrisées, très bien réalisées et relativement nombreuses. Evidemment dans ces circonstances, il faut se méfier aussi bien des monstres que des humains, déviants religieux pour certains ou encore dangereux psychopathes pour d'autres, seule exception dans ce noir tableau, la relation presque père/fils entre les deux protagonistes principaux, l'un chasseur de vampires charismatique et l'autre, ado perdu initié par son mentor à la difficile existence qui l'attend. C'est particulièrement bien joué, très bien foutu, parfois touchant malgré l'aspect froid du métrage et l'ensemble s'accompagne d'une bonne bande son. Franchement une bonne surprise qui prouve que l'argent ne fait pas le talent.
Mission certes difficile, Stake Land ne réussit pas tellement à innover dans ce thème vu et revu. Le début est si longuet et poussif malgré des essais de mise en scène plutôt recherchés que l'on arrive pas réellement à rentrer dans le film. On atteint presque la caricature par l'utilisation de tous les poncifs du genre : l'ado orphelin qui se cherche et tombe sous l'aile d'un dur à cuire à l'apparence imperturbable, la bonne sœur et la femme enceinte sauvées par le fameux binôme et bien sûr les vampires tous plus coriaces les uns que les autres... Le tout dans une atmosphère assez factice donc pas très crédible. Bref, on est un peu comme les personnages, on se demande bien où on va...
🎬 RENGER 📼
Il faut bien admettre que nous allions découvrir Stake Land (2010) a reculons, avec peu de motivation, suite à l’énorme déception rencontré avec son premier long-métrage : Mulberry Street (2006). Mais 90 minutes plus tard, la première chose qui nous vient à l’esprit, c’est de vérifier s’il s’agit réellement du même réalisateur. Après vérification, on constate avec beaucoup d’étonnement qu’il s’agit du même réalisateur, ce dernier nous bluffe vraiment car on peine clairement à comprendre comment il a pu en arriver à ce résultat aujourd’hui et nous décevoir à tel point quatre années plus tôt. Certes, le scénario en lui-même n’a pas vraiment grand chose d’original, mais il faut reconnaître que l’ambiance joue ici un très grand rôle, suivit de très près par ses acteurs (peu connus du grand public).
Jim Mickle assurant le scénario aux côtés de Nick Damici (qui interprète l’un des principaux rôles), tous deux nous plongent dans un monde post-apocalyptique où les vampires prennent le déçu par le biais de fanatiques religieux (véritable secte satanique). Le film se découpe clairement deux parties, d’un côté on suit l’apprentissage d’un adolescent qui apprend les rudiments d’autodéfense par le biais d’un chasseur de vampires qui l’a pris sous son aile (à la mort de ses parents), et dans la seconde partie, le film prend des allures de road-movie où les deux protagonistes parcours les Etats-Unis à la recherche du nouvel Eden (censé se trouver au Canada, là où l’épidémie ne se serait pas encore propagée). Sur leur route, ils feront la rencontre de divers protagonistes, aussi bien des survivants que des vampires. Le film nous fait bien évidemment penser à des œuvres telles que La Route (2009) ou encore Bienvenue à Zombieland (2009) sans le côté humoristique, on est clairement dans le registre vampirico/horrifique sans grande originalité, mais il faut reconnaître que le film nous séduit dès le début et ne relâchera jamais la pression, constamment tenu en haleine quant au sort réservé aux divers protagonistes de l’histoire.
Jim Mickle se fait pardonner après son premier film catastrophique et nous prouve bel et bien qu’il a du talent, encore faut-il qu’il sache l’exploiter.
Jim Mickle assurant le scénario aux côtés de Nick Damici (qui interprète l’un des principaux rôles), tous deux nous plongent dans un monde post-apocalyptique où les vampires prennent le déçu par le biais de fanatiques religieux (véritable secte satanique). Le film se découpe clairement deux parties, d’un côté on suit l’apprentissage d’un adolescent qui apprend les rudiments d’autodéfense par le biais d’un chasseur de vampires qui l’a pris sous son aile (à la mort de ses parents), et dans la seconde partie, le film prend des allures de road-movie où les deux protagonistes parcours les Etats-Unis à la recherche du nouvel Eden (censé se trouver au Canada, là où l’épidémie ne se serait pas encore propagée). Sur leur route, ils feront la rencontre de divers protagonistes, aussi bien des survivants que des vampires. Le film nous fait bien évidemment penser à des œuvres telles que La Route (2009) ou encore Bienvenue à Zombieland (2009) sans le côté humoristique, on est clairement dans le registre vampirico/horrifique sans grande originalité, mais il faut reconnaître que le film nous séduit dès le début et ne relâchera jamais la pression, constamment tenu en haleine quant au sort réservé aux divers protagonistes de l’histoire.
Jim Mickle se fait pardonner après son premier film catastrophique et nous prouve bel et bien qu’il a du talent, encore faut-il qu’il sache l’exploiter.
Excellent devoir! note maxi! excellent film qui ne déborde jamais de sa ligne directrice, acteur fidéleà l'histoire avec un jeu JUSTE, ni-plus, ni-moins. Et techniquement sans effets superflus, et une excellente Bande originale relevant très bien les émotions, mais surtout jamais en faire plus qu'il n'en faut ou pas du assez, comme souvent dans ce genre de film ou l'on croit qu'en mettant plus de bruit ça marche mieux, non là c'est très bien dosé et c'est de la bonne! Les vampires zombifié, sont bien représenté eux aussi, pas de super maître et des débile qui meurt d'un coup de point, ce qui rends encore plus crédible.
Juste un regret, que toute bonne chose a une fin!!!! snif!
Juste un regret, que toute bonne chose a une fin!!!! snif!
Un scénario inégal... Le réalisateur n'a pas réussi à faire un bon film malgré ses bonnes idées.
AMCHI
Une petite déception ce Stake Land, j'espérais une sympathique série B décomplexée mais on est loin du plaisir par exemple que l'on ressent à mater Doomsday ; le réalisateur prend son affaire parfois trop au sérieux sans donner le sentiment de maîtriser la chose, les sortes d'envolées dramatiques de Stake Land n'ont rien de convaincant. Par tout est à jeter dans Stake Land d'ailleurs ce film d'horreur n'est pas sans rappeler le style de Romero mais il y a un problème Stake Land ne nous effraie jamais. Dommage car l'univers crée par Jim Mickle avait un véritable potentiel horrifique.
defleppard
Une série B de 3eme zone.................................................................
Une bonne petite série b qui arrive avec très peu de moyens à créer une atmosphère angoissante au possible avec notamment une très belle photographie.
se film et une vrai perle découvert par hasard j'ai de la chance sai juste un film énorme les acteur sont génial l'histoire classique mai efficace la réalisation parfaite un film a découvrir d'urgence
Film sympa, quelques son qui décrédibilise le film, les créatures aillant des son de monture et animaux du jeu World of Warcraft, autrement le film est un peut lent et la fin bâclé.
Malgré tous c'est plutôt bien tournée et les acteurs tiennent leur rôle.
Malgré tous c'est plutôt bien tournée et les acteurs tiennent leur rôle.
Ce Stake Land est définitivement une belle surprise. Jim Mickle semble se bonifier et ce, pour notre plus grand plaisir. Changement de caméra (ici une Red One) pour une une image délicieuse. Dès le premier plan, on ressent, à bon escient, une recherche d'esthétisme que Mickle sait rendre attrayant par sa façon de dézoomer (excellent boulot du directeur de la photographie Ryan Samul). Le métrage tente de revitaliser les films de vampire (comme Morse ou Thirst) et y arrive. La narration en voix off apporte son lot d'explications ( le flashback du passé de Martin, la décrépitude de la nation...) et l'alternance de scènes intimistes et d'action permettent un vrai travail de fond. Stake Land n'est pas original, néanmoins c'est un film qui refuse de verser et dans un sentimentalisme forcené et dans de l'action non-stop. L'habile mélange consent à densifier une oeuvre somme toute réaliste, sans pédanterie et avec une grande force. On notera en outre de bons maquillages, du lynchage plaisant et en règle de ces Nosferatu, une ambiance très concrète...
Le monde décrit est froid, austère mais susceptible d'abriter un espoir que la figure de Martin semble personnifier. Son mentor, père par procuration, l'entraîne et le forme. Martin doit devenir indépendant, devenir un adulte malgré la dureté du monde où il vit. La psychologie est donc fournie, c'est un élément sinon fondamental du moins important si bien que les protagonistes jouissent d'un travail d'écriture appliqué. Quelques inconséquences factuelles, un rythme trop souvent dominé, n'enlèvent rien à ce petit bijou. 4,5/5
Le monde décrit est froid, austère mais susceptible d'abriter un espoir que la figure de Martin semble personnifier. Son mentor, père par procuration, l'entraîne et le forme. Martin doit devenir indépendant, devenir un adulte malgré la dureté du monde où il vit. La psychologie est donc fournie, c'est un élément sinon fondamental du moins important si bien que les protagonistes jouissent d'un travail d'écriture appliqué. Quelques inconséquences factuelles, un rythme trop souvent dominé, n'enlèvent rien à ce petit bijou. 4,5/5
Très bien! Ce film part d'une manière plutôt classique du genre, mais plus le film avance et plus on rentre dedans! Le personnage de Mister joué par Damici est tout bonnement énorme! Un très bon film qui mériterait plus d'exposition.
Une belle surprise que ce petit film de zombies/vampires. Point de grandes bastons, ici le danger est prétexte à l'étude des survivants. Pas de scène artificielles, pas de chichis, juste une poignée de bons acteurs, une musique envoutante et une bonne réalisation. A déconseiller aux amateurs de film d'actions.
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