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    Stake Land
    Note moyenne
    3,1
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    120 critiques spectateurs

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    stefcolt
    stefcolt

    1 abonné 79 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 août 2011
    Tout juste la moyenne... Dommage, le mélange des genres et le coté non creusé du scénar laisse comme un gout amer au moment du générique de fin. Bref, à voir une seul et unique fois...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 16 juillet 2020
    Quelques idées pour ce film de vampires à petit budget mais malheureusement assez plat, banale avec des personnages pas vraiment réussis et une BO parfois agaçante.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 juin 2011
    un road movie horrifique de bonne facture tant au niveau des effets speciaux que de l'ambiance.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 31 juillet 2011
    Petite "série B" qui n'a rien d'extraordinaire ... scénario plat, deja vu, pas vraiment intéressant, grosses longueurs, peu d'action, fin merdique ...
    A réserver aux novices ... si vous êtes amateur du post apocalyptique, ca n'a que peu d'interet.
    stefrisco
    stefrisco

    1 abonné 72 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 août 2011
    dans le genre, le film est très flippant. pourtant beaucoup de films en ce moment de morts vivants, celui-ci, à l'image de la route est très prenant
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 août 2011
    mauvais, vraiment mauvais, je suis même en colère d'avoir perdu mon temps pour ce genre de daube...pfff.
    ouik
    ouik

    1 abonné 131 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 août 2011
    Série B vrai nullisime, j'ai arrêté au bout d'une heure. Tout est mauvais, scénario, dialogues, acteurs, décors et maquillages. Mais s'est quoi ce mix de zombie-vampire ?!!!!!!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 septembre 2011
    très bon film de vampire qui sort de l'ordinaire.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 janvier 2017
    Stake Land est une des meilleurs surprises de l'année 2010 dans le genre. Un film qui traite bien évidement d'une épidémie vampirique (mondiale), mais aussi de religion dans toutes ses formes, sans jamais prendre parti (les croyants contre les non-croyants, le bien contre le mal...). Les acteurs sont tous convaincants, surtout "Nick Damici" dans le rôle du gentil chasseur à l'ancienne au style "bad-guy". La réalisation est propre et les effets spéciaux sont excellents (malgré le maigre budget), l'ambiance sombre (renforcée par une musicalité violon/piano excellente) et l'environnement rural de la campagne Américaine correspondent parfaitement au long-métrage de Jim Mickel. On regrettera cependant une fin légèrement bâclée, mais surtout le manque d'informations sur le passé des personnages (même si les excellents épisodes bonus de l'édition DVD nous l'expliquent brièvement). Bref, si comme moi vous aimez les films de vampires moderne Stake Land est fait pour vous !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 août 2011
    enfin un film post apocalyptique comme je les aime, sans tabous, et qui prennent aux sentiments
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 6 septembre 2012
    Alors moi je dis, Stake Land a forcément un humour qui se ressent au niveau des calembours présent insidieusement pendant toute la durée du film et par extension dans l'essence même de l'oeuvre son titre : Stake Land, que l'on peut entendre par Steak Land. Pour un film de zombies, on commence bien, ou du moins, les croyons-nous, car il y a un leurre sur la marchandise : ce sont des vampires. Alors vampires, zombies, dans ce film, la différence est mince, je crois qu'on peut résumer ça par : "ce sont des zombies avec des dents, et qui prennent un air sadique et calculateur lorsqu'ils passent à l'attaque". Déjà, cette ressemblance entre vampires et zombies nous fait penser à la daube 30 jours de nuits. Mais la comparaison s'arrête là car on passe tout de suite a une ressemblance avec un autre film (un grand film cette fois-ci) : 28 jours plus tard, a qui est emprunté son ambiance dramatique et mélancolique. Le film tire également sur Bienvenue à Zombieland a qui il emprunte cette fois une présentation sommaire des techniques de survie (protéger la voiture, porter des équipements de football américain). Mais ce n'est pas tout, on y reconnaît également un peu de "La route", quand le sujet du cannibalisme est abordé. Nous citerons également Braveheart comme source d'inspiration pour je ne sais plus quelle réplique. Regardez les deux films et retrouvez laquelle. Les acteurs ne sont pas sans âme, c'est juste qu'ils ne sont pas assez bon, sans être mauvais ou agaçants, ils n'arrivent pas vraiment à accrocher notre attention. Très vite, nous tombons un peu dans la moquerie vis-à-vis de tout les clichés qui nous sont servis à l'écran, pourtant avec une certaine touche d'originalité et de subtilité, je dois l'admettre. Puis, il y a les trucs gros, mais du coup, comme le film en général n'est ni déplaisant, ni agaçant, grâce à ces petits coups de pompe, il tire plus sur la comédie, une comédie involontaire certes, mais toutefois sympathique et bienvenue puisque l'intention de départ de faire un bon film n'est pas parvenue à son terme. Alors, les trucs gros, attention, alerte, même dirais-je puisqu'il y a du dossier et jamais je n'aurai imaginé moi-même une chose pareille, c'est franchement surprenant et drôle. J'y vais : les zombies-vampires sont largués par avion. Par avion. Est-ce que vous vous rendez compte de l'énormité de la chose ? Donc il y a une secte du genre ku klux klan post-apocalypse qui attaque ses congénères, eux mêmes dans des villes-refuges, en jetant des avions plein de zombies. Je déconne pas, "c'est comme ça que Washington a été conquise". C'est pas mal quand même. On apprécie. Puis, le summum, c'est autre chose, niveau humour, mais du genre invisible, il faut y penser, faire la relation. D'abord, on se dit, le jeune héros s'appelle Martin. Martin ? Pourquoi Martin ? C'est un peu daté comme nom, je veux dire un peu trop classique, puis ça pète pas vraiment. Et là, il faut faire la relation avec le surnom de son mentor : Mister. Vous y êtes ? Martin Mister ! Presque Martin Mystère !!!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 14 décembre 2011
    Stakeland est un film très intéressant dans son contexte car l’histoire ici est portée avec brio par des comédiens vraiment extraordinaire. Le jeu d’acteur est ici parfait et l’univers apocalypse est très bien retranscrit, même si malheureusement la majeure partie des scènes ce déroules en campagne. Ensuite, ce film allie à la fois horreur et passion. On suit le quotidien des survivants livrés à eux même dans ce monde où règne chaos et violence, et ceux de manière assez intéressante. On accroche avec certains d’entre eux et à l’inverse de film survivant comme 28 jours plus tard, à chaque mort il y’a une petite couche d’émotion qui vient faire en sorte que la scène soit plus attractive pour le spectateur. Malheureusement, les habitués de film survival bourrin pesteront sur le manque d’action. Déjà je m’attendais pas à ce style de film, je pensais plus à un film bourrin à la land of the dead mais j’avoue avoir été agréablement surpris par ce bon petit film comme quoi. Je conseille ce film, il vaut le détour et il mérite d’être vu !
    Buddy_Noone
    Buddy_Noone

    1 abonné 89 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 décembre 2020
    Dans un futur proche, une épidémie de vampirisme frappe le monde et surtout l'Amérique. Les médias ne cessent de recenser de par le monde les multiples carnages des suceurs de sang sans pouvoir préciser les origines de la maladie.
    C'est dans ce contexte qu'une nuit quelque-part aux Etats-Unis, Martin est témoin du massacre de sa famille par un vampire alors qu'ils s'apprêtaient justement à fuir leur domicile. Sauvé par un chasseur de goules sorti de nulle part, Martin aide ce dernier à venir à bout du monstre qui vient de décimer sa famille et assiste aux derniers instants de son père mordu par la bête avant que l'inconnu ne mette fin à son trépas. L'étranger prend ensuite Martin sous son aile et l'entraîne à combattre. Taciturne, l'homme ne répond qu'au doux nom de Mister et ne semble n'avoir aucune attache.
    Ne quittant pas son mentor, Martin le suit dans son périple pour gagner les terres du Nord vers New Eden que la rumeur dit nettoyée de tout vampire. Bientôt, ce sont une nonne, un ancien soldat et une jeune femme enceinte qui viennent se joindre à leur voyage. Mais ils se confrontent rapidement à une secte sanglante de fous de Dieu et à leur leader illuminé.

    Après le sympathique (mais pas non plus folichon) Mulberry Street, Jim Mickles et son pote l'acteur scénariste Nick Damici remettent le couvert sous l'égide de Larry Fessenden via sa boîte de prod indépendante Glass eye pix.
    Si Mulberry Street s'était fait remarquer dans quelques festivals malgré ses nombreuses lacunes scénaristiques et des hommes-rats (vous avez bien lu) un rien ridicules, force est de constater que Stake Land n'est pas le navet fauché que l'on redoutait au vu du précédent effort de Mickles.

    Le jeune réalisateur persiste dans le domaine du fantastique et affine son style dans ce road-movie post-apocalyptique reprenant en germes le périple d'un père et son fils et leur lutte pour la survie décrite par Cormack Mc Carthy dans son roman The Road.
    Avec des moyens limités, il transcende un sujet maintes fois raconté par une réalisation soignée où il alterne avec un savoir-faire indéniable bains de sang et accalmies contemplatives. Sans jamais s'attarder sur les faciès saugrenus de ses vampires, qui tiennent ici plus du zombie véloce que du suceur de sang raffiné, le réalisateur préfère se concentrer sur le périple de ses personnages.
    Les silences en disent ici plus longs que les dialogues et le scénario de Damici sans être vraiment original, arrive à captiver et à nous préoccuper du sort de ses protagonistes. Ceux-ci font ici tous partie du cadre et aucun ne peut jamais prétendre occuper durablement le premier plan. Pas même cet homme sans nom, Mister, évoquant Josey Wales dans sa démarche et du fait qu'il traîne pas mal d'âmes en peines dans son sillage. Taciturne, mais non exempt de bonté évidente, il reste tout d'abord en marge du cadre pour ensuite prendre un peu d'ampleur, mais pas assez pour qu'on en sache plus sur son parcours et ses motivations.
    Ce genre d'anti-héros on les compte désormais par dizaines depuis l'Homme sans nom et l'Harmonica de Leone, popularisés ensuite par Mad max, le méchant personnage au grand coeur n'a plus rien de nouveau et celui-ci ne fait que rejoindre cette longue liste. A la seule différence qu'il n'est jamais magnifié, iconisé par la mise ne scène de Mickles, et ce volontairement. Il apparait juste comme le seul père de substitution qui reste à Martin, le seul qu'il ait envie de suivre. Les nombreux coups d'oeil du jeune homme à Mister et sa manière de chercher à travers son regard la fierté d'un père, témoigne de son attachement et de sa reconnaissance pour lui avoir sauvé la vie.

    La voix-off de Martin en dit juste assez pour décrire son ressenti et sa manière d'appréhender ce monde cauchemardesque.
    Stake Land est donc le récit de son initiation précoce à la vie d'adulte. Martin est tout d'abord entraîné au combat par Mister puis il devient son bras-droit. Tout au long de son périple, et ceci sans dialogue ou voix off explicative, nous comprenons par quels stades il passe, notamment quand il s'interroge sur les femmes et sur la sexualité en observant en silence une jeune femme enceinte ou en tombant sur un jeu de cartes coquin. Du fait de l'admiration qu'il porte à Mister et sans que jamais ce dernier ne lui ait témoigné le moindre signe d'affection, Martin est incapable de lui désobéir et de s'émanciper.
    C'est donc bien de perte d'innocence et de passage à la vie adulte qu'il est ici question.

    D'un point de vue formel, nous sommes bien dans une série B d'horreur. Si les vampires ne sont pas les plus flippants du genre, leurs attaques restent assez sanglantes pour emporter l'adhésion. A ces quelques scènes de pugilats et de massacres, Mickles opposent de superbes plages de respiration où sa caméra s'autorise de nombreuses envolées bucoliques soutenue par un score mélancolique du plus bel effet. Les personnages se perdent au milieu de paysages sublimes et semblent traverser les saisons tant la photographie s'imprègne de couleurs différentes pour figurer la fuite du temps.
    L'interprétation est de bonne facture, réaliste sans aucune surcharge émotionnelle superflue. Nick Damici, s'il n'est pas un grand acteur, reste assez crédible pour retranscrire la dureté de son personnage, et le reste du casting, (tous des inconnus hormis Kelly McGillis méconnaissable en nonne vieillissante) assure le taf. A peine regrettera-t-on le jeu souvent outré du bad guy, sans aucune profondeur, cantonné au stéréotype de l'illuminé incurable.

    Stake Land est donc une réussite qui, sans révolutionner le genre, se hisse malgré son statut de bande fauchée au-dessus de la flopée de films de vampires et de zombies modernes. A peine regrettera-t-on que Mickles n'ait pas travaillé plus son background et les relations entre certains de ses personnages. Mais ceci n'est en rien rédhibitoire et ne peut justifier que l'on considère le film comme une simple resucée du genre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 juin 2011
    excellent film,on a pas envie qu'il prenne fin!!malgré un budget minimaliste
    Rowrow31
    Rowrow31

    23 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 août 2011
    Un film post apocalyptique meilleur que la moyenne sans être un grand chef d'oeuvre. L'histoire de ces vampires reste assez floue on ne sait ni trop qui ils sont, ni comment ils sont la.
    On suit donc ce groupe a la recherche de leur eden dans leurs aventures mais cela manque cruellement de profondeur malgrès des décors et des maquillages/déguisements largement convaincants.
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