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Un visiteur
3,0
Publiée le 22 septembre 2011
Sympathique série B qui plaira à coups sûrs aux amateurs du genre. Si le thème a déja été vu mille fois, la réalisation est suffisament inspirée pour nous tenir en haleine jusqu'au bout.
Tres intéressant et tres "vivant" comme film, pas besoin de 100 millions de dollars pour faire passer des émotions. Il a un coté The road dans la facon dont est traité la survie.
Stake Land est une série B direct-to-dvd dont la recette du film est du déjà vu car vous prenez un shaker vous y balancez les films de romero ,un peu de 28 jours plus tard ,un gros soupçon de La route et de Bienvenue à Zombieland ,un peu de Doomsday et 2 ou 3 autres films post-apocalyptique ,vous secouez est vous avez Stake Land. Apres ne vous attendez pas un film gros budget car le scénario est plat et monotone, de grosses longueurs, peu d'action, fin attendu ... le coté positif c est les effets spéciaux qui sont pas mauvais. Dommage car le réalisateur avait de bonnes idées mais dés le départ du film on sent que le budget est serré car pour combler les minutes du films on a droit à des paysages désolés ou de longues traversés en voitures avec des acteurs qui se demandent surement ou va le film et nous avec..
Si vous avez aimé le livre La Route vous apprécierai ce petit film fort sympathique. Remplacez seulement l'hiver nucléaire par des vampires. Un film de très bonne facture. Les créatures comme leurs attaques sont très réussis. Indispensable aux amateurs de film de genre et à découvrir pour les autres.
C'est assurément un bon film, largement du niveau du Vampires de Carpenter, agrémenté d'un peu de sauce philosophique "à la Romero". Toutefois, il manque quelque chose. En gros... tout le monde se prend trop au sérieux. Pour un film à petit budget, le manque d'auto-dérision peut être rébarbatif. D'abord les décors: le choix de sites en ruine est certes pas cher, mais manque d'inspiration - la rouille, les gravats et les empilements de divers objets abandonnés n'ont rien à voir avec les événements du film. Les puristes pourraient rétorquer qu'ils choisissent des lieux abandonnés parce que s'il n'y a pas de gens, il n'y a pas de vampires, mais il n'empêche que ça manque d'inspiration. Avec trois bouts de ficelle, un nounours, une photo et deux traces de confiture de groseille on peut créer un décor qui raconte sa propre histoire, cela est tout aussi important pour un film d'horreur, surtout à petit budget. Ensuite une grande partie du film est laissée, peut-être inconsciemment, sur les épaules de l'acteur principal, Nick Damici, qui a certes une gueule - ressemble pas mal à Charles Bronson - et a l'air d'être ce type de personnes qui vivent dans leur propre monde et qui présentent un magnétisme certain dans la réalité, mais ce genre de choses ne transparait pas à l'ecran, donc certaines scènes tombent à plat. Comme cette Nemesis de Mister, le vampire intelligent, qui est un artifice exagéré, même s'il est dans la continuité du film. Bref je mets quand même quatre étoiles, parce dans l'ensemble j'ai aimé le film, la fin est relativement recherchée aussi (un garçon et une fille, l'Eden toussa...)
Alors au début j'étais pas bien convaincu...j'ai du faire un effort...encore un autre film de fin du monde survival ou "vampirien"...c'est un peu l'overdose ces temps ci... Et puis peu à peu on se prend au jeux...ça glisse tranquille...pas de moment qui nous font regretter ce visionnage...un film de genre un peu plus haut que la moyenne...le réalisateur à du talent et il devrait s'essayer à un sujet un peu plus original la prochaine fois... le film est assez déprimant quand même...l'espoir fait vivre ceux qui s'accroche...ils ne savent pas si ils marchent courent ou roulent vers une utopie, une realité ou un mirage...Ce New Eden qui se trouve quelque part vers le Nord...vers le Canada...
Ce qui m'a fait décoché un sourire un peu ironique c'est que le film se passe comme par hasard durant l'hiver américain ou en tout cas entre novembre et mars...c'est forcément plus glauque et mortel...si la nature est morte le reste doit l'être aussi forcément... si le film se serait déroulé au milieux des paquerettes et des champs de Colza en fleur ça aurait été trop paradoxale je suppose... Film plutôt réussi même si la scène ou le mystérieux salaud de la fin du film est assez prévisible et c'est carrément comique (pas sur que c' était le but)... Et puis la chute de zombies sur les villes non contaminées...ça c'était une profane de bonne idée...
Film pas mal le concept de zombie appliqué au vampire mais film un peu long par moment. Et j'ai remarqué que la frontière était très mince car les vampire resemble à des zombie il y a même un moment dans le film ils les appelent zombie après je ne sais pas si cette erreur est faite dans la version VO
Un bon petit film qui se laisse regarder et qu'on oublie, le genre Woody allen : ça commence au milieu d'une histoire et ca se finit au milieu d'une autre histoire... Sympa quand même.
Vraiment accrochè avec ce film ca change des histoires de vampires ou il y a trop souvent de scénes d'action ou de massacre de vampires sans trop peu d'histoire dans le fond !!
A ne pas confondre avec le reste des films à thème vampirique: il aurait tout aussi bien pu s'agir de zombies, d'un virus, ou tout autre chamboulement apocalyptique. L'essentiel du film n'est pas là: sang, suspense, peur, bref un produit horrifique brut. Il est au contraire à voir sous son côté humain: l'humain est plus dangereux que les "vampires" eux-mêmes, la religion est une menace d'intolérance pour la société, la fuite des protagonistes semble un cheminement cruel et sans fin, dans l'espoir de trouver un "Eden", qui semble utopique. Presque un mix entre "The road" et "30 jours de nuit"; Bref, je trouve ce film absolument génial...les acteurs jouent froidement et de manière crédible, on s'y attache, et quand ça bouge...ça bouge bien! Je crois que le DVD sera bientôt dans ma videothèque!
Aujourd’hui je vous parle d’un film de 2011, qui semble être passé inaperçu (non sorti dans les salles en France), malgré de nombreuses nominations et un prix. Pour être franche, je suis tombée dessus par hasard. Je venais de regarder le quatrième volet de la saga Twilight (c’est mon côté girly), et souhaitais avoir un avant-goût de la suite. En faisant mes recherches sur YouTube, je suis finalement tombée sur une bande-annonce. Sauf qu’en fait elle concernait un autre film, également avec des vampires mais beaucoup moins sympathiques : Stake Land.
Les États-Unis ne sont plus qu’un chaos depuis qu’une terrible épidémie s’y est propagée. Et pas des moindre, puisqu’il s’agit de vampirisme. C’est dans cet enfer sur terre que Martin, un adolescent, rencontre un chasseur de ces monstres aux dents pointues. Aidé de celui-ci et des rencontres qui jalonnent son périple, il se dirige vers un légendaire havre de paix : New Eden. Encore faudra-t-il pouvoir échapper aux buveurs de sang et aux fanatiques religieux…
Jim Mickle signe un road movie pots-apocalyptique surprenant qui prouve que le mythe du vampire a encore à offrir, sans pour autant négliger le développement des personnages. Mention spéciale pour le duo formé par Nick Damici et Connor Paolo, tous deux peu connus. Entre la violence de Vampires (John Carpenter, 1997) et l’ambiance mélancolique de The Road (2009), Stake Land est un western horrifique intimiste dans lequel on plonge sans retenue.
Il n’y a finalement pas grand chose à dire de ce Stakte Land, qui ressemble à une petite série B lambda jouissant de l’avis favorable d’internautes (citant d’autres dystopies du genre La route ou 28 jours + tard, allant même jusqu’à évoquer Carpenter, Romero ou même Near Dark de Bigelow). Le film de Jim Mickle s’avère en réalité, et on s’en doute, bien inférieure à toutes ces références (surtout les dernières) et incapable de créer la moindre tension dramatique, la voix off du jeune narrateur sur fond de violon n’arrangeant rien. Or, il y avait pourtant de bonnes idées : des espèces vampiriques plus ou moins féroces, un groupe de survivants fanatisés, quelques bons effets spéciaux de maquillage, Kelly McGillis qui vieillit plutôt bien... Mais il suffit d’avoir vu un seul épisode de la série The Walking Dead pour trouver que l’humble projet Stake Land manque cruellement de chair et de sens.
C'est un film qui on pourrait dire est quasiment passé inaperçus que ce soit dans les sites spécialisé ou même aux yeux des gens. Mais pourtant je dois dire que quand je l'es lancé je n’attendez pas grand choses de celui-ci du moins comme les bons trois quart des films que je décide de regarder sont bien basé sur des coups de tête qu'autres choses et bien la je dois dire j'ai était agréablement surpris. Le film est basé selon moi en deux étapes. La première on commence a comprendre la vie du jeune homme et comment il à plus en arriver là. La seconde est l'humanité entre les survivants et la façons de vivre entres ceux ci. Et je dois dire que je ne me suis pas ennuyer. Après je trouve que le film est sacrément bouleversant il y a des scènes qui ne sont pas tellement dure a regardé mais à s'imaginer. Le réalisateur à vraiment voulu mettre l'accent sur le fait que personnes n'est à l'abris et que même les gens qu'ont croiraient le moins peuvent y passé. Enfin un on film à voir pour ceux qui aiment le survival et les délires a la zombie-vampire. Mais pour les puristes du dent pointus et l'hémoglobine qui gicle sans raison passé votre chemin ce film ne vous conviendra surement pas !