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    Le Guet-apens
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    Le Rabzz
    Le Rabzz

    23 abonnés 356 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 septembre 2024
    Bon film avec un Steve McQueen dans un rôle différent dans lequel on à l’habitude de le voir, très convaincant et efficace, film au scénario habituelle de braquage il se démarque par sa bonne mise en scène.
    Michel Gillen
    Michel Gillen

    25 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 octobre 2024
    Très bon polard, Peckinpah se joue des conventions et de la morale. Les personnages sont des caricatures où sont abordés toutes les tares donnant une image assez réaliste des USA. Le travail de Peckinpah est remarquable efficace, alternant violence sordide, humour et tendresse
    Tietie007
    Tietie007

    3 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mai 2024
    Un film où le duo McQuenn/McGraw rappelle Bonnie and Clyde. Des scènes d'action impressionnantes comme savait les faire Sam Peckinpah.
    fred c
    fred c

    2 abonnés 358 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 avril 2024
    Quentin T a beau aimer ce film, McQueen a beau être filmogénique (ce mot devrait exister), il en demeure pas moins qu'on a vu plus haletant et mieux dans le genre.
    Président Bird
    Président Bird

    4 abonnés 158 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 février 2024
    Un Peckinpah excellent mais troublé.
    Le film est produit par la société de production de Steve McQueen, qui a usé de ses prérogatives pour réécrire une partie de ses dialogues et surtout a refusé le score de Jerry Fielding au profit d’une partition plus ordinaire de Quincy Jones.
    Jerry Fielding n’a pas que des fans, mais les six scores légèrement décalés qu’il a composés pour Peckinpah entre 1966 et 1975 ont donné à ces films une coloration unique et ambigüe qui manque ici.
    Le personnage joué par McQueen, en un seul bloc de pure détermination, n’est guère typique de Peckinpah non plus.
    spoiler: De même, le happy end est forcé et peu crédible.


    Malgré ces défauts et manques majeurs, on retrouve de nombreux éléments qui font tout le sel du cinéma de Peckinpah:
    - un excellent générique de début d’une durée de 6 minutes, dans la lignée de celui de ‘The Wild Bunch’, avec un montage complexe et travaillé.
    - plus généralement le montage est excellent et typique du style diffracté de Peckinpah.
    - la violence est superbement bien filmée, absolument brutale.
    - le sadisme est présent partout, et révèle les conceptions personnelles de Peckinpah.
    spoiler: - le long calvaire traversé par Doc et Carol dans leur fuite rappelle celui que beaucoup de personnages vivent dans l'œuvre de Peckinpah.


    La vision du monde pessimiste mais énergique de Peckinpah est donc parfaitement transmise dans ce film de commande malgré les concessions majeures à visée commerciale qu’il a dû faire au producteur/acteur principal.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 208 abonnés 4 193 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 février 2024
    L’écrivain Jim Thompson spécialiste du roman noir peu reconnu de son vivant ne pouvait pas rêver mieux que de se voir adapter au cinéma par Sam Peckinpah qui dès ses débuts à la télévision avait jeté son dévolu sur « The Getaway » (1958) dans l’espoir de pouvoir un jour le porter à l’écran. C’est David Foster un temps agent de Steve McQueen, Shirley MacLaine et Peter Sellers qui finit par acheter les droits. Il soumet immédiatement à Steve McQueen en plein tournage de « Le Mans » le projet d’un film. L’acteur est intéressé alors que Foster pense déjà à Peter Bogdanovich très en vogue depuis « La dernière séance » pour la réalisation. McQueen décide de s’impliquer dans la production via la société First Artists qu’il vient de créer avec Paul Newman, Barbara Streisand et Sidney Poitier. Peu satisfait du script concocté par Jim Thompson lui-même qui a sensiblement modifié la fin du roman, il fait appel sur les conseils de Bogdanovich au jeune Walter Hill, futur réalisateur, qui se charge d’adoucir quelque peu la tonalité générale du roman, notamment le cynisme du couple de brigands qu’il serait bienvenu de teinter d’un brin de romantisme pour marcher dans les pas du couple formé par Warren Beatty et Faye Dunaway dans « Bonnie & Clyde » (1967) d’Arthur Penn qui fait désormais référence dans le genre. Peter Bogdanovich qui doit par ailleurs réaliser « On s’fait la valise docteur ?» est éjecté du projet. McQueen pense alors à Sam Peckinpah avec lequel il vient de tourner « Junior Bonner » qui malgré son insuccès au box-office a convaincu l’acteur de ses qualités. Il reste à trouver l’actrice qui sera Carel McCoy, l’alter-ego féminin de Cater McCoy dit « Doc » (Steve McQueen). Peckinpah pense à Stella Stevens qu’il a déjà dirigée mais aussi à Angie Dickinson ou Dyan Cannon. David Foster de son côté suggère Ali MacGraw qui vient de faire pleurer l’Amérique entière aux côtés de Ryan O’Neal dans « Love Story » d’Arthur Hiller. On connaît la suite qui verra Steve McQueen tombe fou amoureux de la belle Ali. S’ensuit une idylle romantique et passionnée qui va enflammer le plateau mais aussi imprimer de la tension sur l’écran. Une idylle adultérine dont les rumeurs dans les tabloïds seront utiles à la publicité du film avant sa diffusion. Le film sera en effet un énorme succès, le plus gros de la carrière de Peckinpah qui permettra en sus à celle de Steve McQueen de s’extraire du faux plat traversé après les bides du « Mans » et de « Reivers » (Mark Rydell en 1969). Pourtant la critique de l’époque n’a pas épargné « Le Guet-Apens » lui reprochant une intrigue un peu artificielle et sans réel ressort dramatique pour finalement aboutir à pas grand-chose, enfermant l’habituellement très rugueux Peckinpah dans une mise en scène trop lisse et quelque peu mécanique. Le temps a joué son œuvre qui a vu le film nettement réévalué, notamment par la prestation habitée de Steve McQueen, l’alchimie du couple formé avec une Ali McGraw pas si hors sol qu’on l’a écrit à l’époque, l’incongruité malsaine et perverse du couple d’opportunité formé par Al Lettieri et Sally Struthers ou encore quelques scènes remarquables portant la patte du réalisateur spoiler: (le générique comme toujours somptueusement annonciateur chez Peckinpah, la poursuite dans les train et la fusillade finale) compensant d’autres moins réussies ou hors de propos (le casse très loin de la maestria de celui de « La horde sauvage », la baignade dans un parc surexploitée et la conclusion en happy end)
    . Malgré tous les problèmes rencontrés sur le tournage par Peckinpah que le plus souvent il provoquait lui-même, on peut dire que le résultat final relève du miracle. Enfin on ne pourra qu’être d’accord avec l’initiative de McQueen d’imposer Quincy Jones en lieu et place de Jerry Fielding, compositeur habituel de Peckinpah qui ne se gênera pas de faire savoir publiquement son mécontentement. Décidément, une vraie « tête de lard » que ce Peckinpah. Certes mais du lard de premier choix cela va sans dire.
    Totoloinloin
    Totoloinloin

    9 abonnés 314 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 janvier 2024
    Film n'ayant pas bien vieilli. Certaines scènes sont mauvaises, de par les acteurs et répliques. Il est aussi un peu longuet. Pourtant il ne manque pas d'action et de rythme mais il y a des coups du sort discutables, une iniquité entre jeu d'acteur...
    Steve est plutôt bon mais ça ne fait pas tout.
    CinemAddictO
    CinemAddictO

    12 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 juillet 2023
    une masterclass! C'est à la fois un film de braquage, un super" actionner", un film d'amour avec une touche de roadmovie! Avec le charisme de Steve McQueen c'est un pur régal !
    Starwealther
    Starwealther

    79 abonnés 1 233 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 janvier 2023
    Sam Peckinpah continue la réalisation de films très violents avec « The Getaway », l’histoire d’un braquage qui tourne mal, d’une cavale à la Bonnie ans Clyde d’un couple formé du grand Steve McQueen et de sa dulcinée Ali McGraw (les deux seront d’ailleurs en couple dans la vie après leur rencontre lors ce tournage). Tout est classe dans ce Peckinpah: les paysages désertiques, la Bo seventies de Quincy Jones, le fusil à pompe ravageur de Mac Avoy, la violence très marquée, les courses poursuites et autres gunfights très bien faits. Ce couple tentent d’échapper à un monde hostile coûte que coûte, dans cette tentative de survie fort haletante. Du bon cinéma et un plaisir de voir à l’écran l’immense Steve McQueen.
    DanDan
    DanDan

    87 abonnés 272 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 janvier 2023
    Le Guet-apens ou "the getaway" est un film intéressant on pense au début bien à Bonnie & Clyde...mais on va ailleurs que ce dernier..l'Alchimie entre Steve McQueen et Ali MacGraw est très apparente sur l'écran..elle a d'ailleurs quitter son mari Robert Evans (célèbre président de Paramount et producteur du Godfather et Lovestory) pour Steve McQueen pendant le tournage de ce film..
    Al Lettieri est excellent en complice gangster qui se retourne contre son boss et McQueen qui essaie de doubler tout le monde..on voit ou Michael Mann s'est inspirer pour son "Heat"..Ben Johnson dit Jack Benyon est aussi le méchant pourri à souhait..l'action va vite et on ne s'ennuie pas pour un film sorti le 20 Septembre 1972 plus de 50 ans...Quentin Tarantino en parle dans son dernièr livre "cinéma spéculation" en le citant comme une référence dans le genre.. À voir donc..
    Xavier D
    Xavier D

    64 abonnés 1 073 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 juin 2022
    Dans le genre, je préfère Bonnie and Clyde, même si Steve Mcqueen est toujours aussi solide avec la belle Ali McGraw, on dirait un film d'action aventure de serie z, dans le plus style des années 70, le grand Sam Peckinpah, m'avait habitué à mieux. On retrouve, Al Lettieri du Parrain, jouant le mafieu Sollozzo et qui joue encore les truants. Quelques scènes agréables, mais bon. Je n'ait pas frissonner pour autant.
    Bruno TEF
    Bruno TEF

    6 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 avril 2022
    guet-apens est un film de 1972 qui réunit Steve McQueen et Ali McGraw, sa femme dans le film, mais aussi dans la vie (pour meilleur, mais aussi pour le pire parait-il).
    Le scenario de base est l'histoire de Doc McCoy, braqueur de génie, qui purge 10 ans de prison dans un pénitencier du Texas. Sa demande de liberté anticipée étant rejetée et vivant très mal sa détention et les conditions abrutissantes de la vie carcérale, le Doc demande à sa femme de contacter un banquier véreux pour l'aider à obtenir sa libération en l'échange d'un marché : organiser le braquage d'une banque pour le compte de ce dernier.
    Finalement libéré, McCoy organise le coup, mais Benyon, le banquier, lui impose des coéquipiers, dont l'un deux se révélera un tueur sans pitié.
    Le braquage se passe mal, un des membres du commando abat le gardien de la banque, mais néanmoins McCoy parvient à s'emparer du butin et à prendre la fuite. Un de ses équipiers se débarrasse de son comparse et tente d'assassiner McCoy à son tour. Cependant, ce dernier est plus rapide et le laisse pour mort, il s'enfuit avec sa femme et le butin pour retrouver Benyon, procéder au partage et remplir ainsi sa part du marché.
    L'entrevue avec Benyon tourne rapidement au drame quand McCoy se rend compte que sa femme l'a trahi et que le banquier cherche à l'éliminer. Au dernier moment la femme de McCoy se ravise et abat le banquier.
    Le couple s'enfuit alors au travers du Texas pour regagner le Mexique, traqué d'une part par les comparses de Benyon et par le tueur laissé pour mort par McCoy, bien décidé à prendre sa revanche et s'emparer du butin et par la police d'autre part, qui recherche les auteurs du hold-up.
    Guet-apens est un film qui tient à la fois du polar, du road movie et du western moderne. C'est un film d'action nerveux où la violence est omniprésente. Certaines fusillades sont dignes des plus grands westerns, comme celle de la fusillade avec les policiers texans ou la scène finale dans l'hôtel.
    La relation entre McCoy et sa femme tout au long de l'intrigue intéressante. McCoy est violent avec elle et lui reproche son infidélité, refusant d'admettre que c'est lui-même qui l'a placée entre les griffes du banquier et qu'elle n'a accepté cette relation avec lui que pour sauver McCoy de la prison. De même, elle finit par assassiner Benyon de sang froid pour prouver son amour et sa fidélité à McCoy. Il faudra de nombreuses épreuves pour rapprocher les deux amants.
    Tout au long de leur folle cavale, le couple s'enfonce dans une situation de plus en plus inextricable. Traqués de toutes parts, leurs têtes mises à prix, ils sont conduits aux pires extrémités pour ne pas être reconnus durant leur fuite éperdue sur les routes texanes.
    Finalement après une fusillade mémorable dans un hôtel proche de la frontière mexicaine, le couple se débarrassera de ses poursuivants et finira par passer la frontière, fuyant encore et toujours la police, pour débuter une nouvelle vie avec le butin du hold-up.
    Guet-apens, cinquante ans après sa réalisation, reste une œuvre marquante, intense, violente et complaisante vis-à-vis de cette violence. Si le décor est indubitablement celui des années 70, le film reste très moderne et son rythme ne faiblit pour ainsi dire jamais. C'est un film incontournable qu'il faut voir au moins une fois. C'est probablement un des meilleurs rôles de Steve McQueen ... peut-être aussi un des rôles qui reflète le mieux la vraie personnalité de cet acteur disparu trop tôt.
    Pour résumer, guet-apens est une belle mécanique bien huilée qui ne devrait laisser personne indifférent. Il me parait difficile, sinon impossible, de faire mieux. 50 ans après ce film a gardé toute sa puissance et restera probablement inégalé pendant encore quelques décennies.
    Hotinhere
    Hotinhere

    578 abonnés 5 024 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 janvier 2022
    Un thriller violent et palpitant, du grand Sam Peckinpah, mené par le duo magistral McQueen/MacGraw, qui sont tombés amoureux sur le tournage. Mythique.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 768 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 avril 2021
    Steve McQueen est le plus grand méchant de son temps (à part Clint Eastwood). Alors qu'y a-t-il de mal à encourager le méchant. Le Guet-apens semble presque sans faille avec ses poursuites en voiture excellemment exécutées, ses fusillades excitantes et pleines de suspense et ses séquences émotionnelles fascinantes. McGraw et McQueen font de ce film une expérience qui en vaut la peine. Bien qu'il s'agisse d'un film violent surtout pour l'année de sa sortie il a ses moments de soulagement comique et même de sérénité qui rendent ce film digne des yeux a toute personne morale. Sans vouloir dévoiler l'intrigue du film imaginez une sorte Bonnie et Clyde avec l'une des meilleure expérience d'action et d'aventure qui soit...
    Dynastar21
    Dynastar21

    36 abonnés 438 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 avril 2021
    Le "Guet-apens" de Sam Peckinpah est une adaptation du romancier Américain Jim Thompson. N'ayant pas lu le livre, je ne pourrai le comparer avec le film. Néanmoins, du point de vue cinématographique, c'est une réussite qui fait partie de mes favoris du réalisateur. Ce road-movie violent et quelque peu désabusé est le décor d'une romance entre le personnage principal interprété par l'inimitable Steve McQueen alias "Doc", marié à "Carol", jouée par la belle Ali McGraw. Cette romance tumultueuse, débute avec la sortie de prison de son mari après que celui-ci ait mandaté sa femme, qui l'attend dans la vie civile, d'aller rencontrer un mafieux notoire pour proposer sa force de travail en contrepartie d'un coup de pouce pour sortir de prison. Une fois dehors, le spectateur se demande si Carol a dû fauter pour sa libération. Ce doute insidieusement mis dans l'esprit, on suit les pérégrinations des deux héros en se demandant jusqu’où une femme peut-elle aller par amour ? Sûrement loin, d'après Peckinpah. Le film suit son cours à travers le Texas dans cette folle épopée (je ne peux m'empêcher de penser à « Bonnie and Clyde »), ce road-movie à deux (à noter qu'ils se mettent ensemble à l'issue du tournage) où la relation oscille entre moments de bonheur et désillusions. L'autre relation du long-métrage entre, le truand aux trousses de Doc - interprété par le charismatique Al Lettieri et son visage patibulaire - (après le braquage raté) et une blonde un peu perdue, sous les yeux de son mari prisonnier, se révèle l'antithèse de la relation de nos deux héros et est d'une violence psychologique et morale à toute épreuve.
    Pas encore débarrassés de leurs poursuivants, nos deux héros finissent dans une décharge au milieu des déchets et cela sonne comme une image de la renaissance de leur idylle après être tombé au plus bas. Cette même violence a son penchant "physique" lors des fusillades très réalistes toujours accompagnées de ralentis, chers à Peckinpah, et notamment dans la scène de fin de l'hôtel. Mais cette violence n'est pas gratuite, elle a un but : c'est mettre en lumière la violence dans le couple : sexualité, violence conjugale, tromperie, machisme et on peut voir d'autres facettes encore. La fin étonnante ne se termine pas mal et c'est une manière de relativiser le ton très désabusé que l'on retrouve dans de nombreux autres films du metteur en scène : il a réussi ici à réaliser un grand film d'action sentimental engagé.
    Pour conclure, je dirai qu'il s'inscrit dans la plus pure tradition des polars / « action movie » américains des « seventies », musclé et brut. Un vrai régal.
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