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    THX 1138
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    213 critiques spectateurs

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    Darkniamor
    Darkniamor

    5 abonnés 491 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 septembre 2024
    1er film de G. Lucas en 1971 pour le moins expérimental. Chaque détail est minutieusement bien monté et l’ensemble amène une œuvre glaçante.
    Adrien J.
    Adrien J.

    109 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mai 2024
    Une expérience unique en son genre car assez expérimentale et novatrice pour l’époque ! Alors c’est loin d’être parfait vu que l’intrigue est plutôt mal gérée je trouve, puis les thématiques sont assez survolées, mais l’ambiance est particulièrement prenante. Une sorte de rêve étrange à l’esthétique glaciale.
    Cinememories
    Cinememories

    487 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mai 2024
    "George Lucas a longtemps été un référent de la pop culture et de la science-fiction. Retour sur un petit bijou du Nouvel Hollywood, dont le cinéaste californien fait partie des pionniers. Et quoi de mieux que de revenir sur son tout premier long-métrage, qui contient notamment les prémices de sa célèbre saga d’une autre galaxie. THX 1138 est une dystopie qui chasse le peu d’humanité qui reste dans une société où les désirs et la liberté sont régulés, voire prohibés."

    "Rien n’est organique au sein de l’usine où les protagonistes travaillent. Ils font partie d’une chaîne de production, même lorsqu’on les associe en binômes. Cependant, la cohabitation de THX 1138 (Robert Duvall) avec LUH 3717 (Maggie McOmie) n’a rien à voir avec la représentation d’un couple où chaque élément devrait compléter l’autre. Cette vie à deux est uniquement nécessaire et déterminante afin de maintenir le contrôle de l’un sur l’autre, que rien ne déborde encore une fois. Il est donc essentiel de maintenir l’illusion en créant des habitudes néfastes au cadre de vie artificiel des habitants. La nourriture sans saveur, les médicaments aux composés suspicieux, les hologrammes de divertissement, qui prônent d’ailleurs la violence, constituent également des preuves qui renforcent le sentiment carcéral. Mais ces derniers ont pourtant succombé à la tentation, des sortes d’Adam et Ève qui ont bravé l’interdit sexuel de leur monde, avec une sanction « divine » les rattrapant."

    "Toutes les thématiques de fond sont ainsi explorées avec spontanéité, restituant une partie du malaise et la solitude des personnages à l’écran. L’humanité, même si elle est vouée à pourrir dans le péché, continuera à lutter pour sa survie. THX 1138 montre qu’une autre façon de regarder le monde est possible, de même qu’un nouvel espoir."

    Retrouvez ma critique complète sur Le Mag du Ciné.
    Tguirado04
    Tguirado04

    1 abonné 27 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 mai 2024
    On peut dire ce que l'on veut mais quand tu regardes ce film, au niveau des courses poursuites de certains plan images photographie lumière ect tu te rends compte que il était en avance de 15-20 ans sur son temps, que beaucoup ce sont inspiré de ce film et qu'il a eu une grosse influence, il restera dans l'histoire du cinéma, c'est un film à étudier en école d'audiovisuel surtout pour la technique
    Fabien Sorrant
    Fabien Sorrant

    43 abonnés 1 347 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 décembre 2023
    Un chef d'œuvre de science-fiction . Le premier long-métrage du légendaire réalisateur George Lucas.
    tyrionFL
    tyrionFL

    22 abonnés 384 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 juin 2023
    Le premier film de Georges Lucas nous plonge dans un monde très sombre mais paradoxalement nappé de blanc à perte de vue.
    Pour un premier film dôté d'un budget restreint, THX 1138 brille par son univers et sa direction artistique impressionnante.
    Si la forme excelle, le fond alterne entre une critique d'anticipation bien mise en scène d'un système totalitaire proche de de l'univers Orwellien et de tout ce qui en découle au passage pur et dur d'action afin de trouver une sortie à cet enfer blanchatre.

    Pour être honnête, si le film est toujours pertinent et intéressant, il est aussi décousu et parfois lancinant malgré une durée finalement assez courte.
    C'est ce qui pêche dans le film, surement dû à l'inexpérience de Lucas, mais le rythme du film ralentit le tout et distille ses éléments de manière trop diffuse.
    Saintenoy Samuel
    Saintenoy Samuel

    4 abonnés 207 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 novembre 2023
    Première réalisation pour Georges Lucas dont on sent ici les prémices de ce qui deviendra quelques années après le carton "Star Wars". On est plus pour l'instant dans un film d'anticipation, au rythme assez lent mais avec plusieurs idées visuelles intéressantes nottament d'un point de vue du design et de l'approche futuriste abordé. La course finale annonce celle de "La menace fantôme". Pas façile à aborder au premier abord, un coup d'essai non denué intérêt pour tout fan de SF et de l'oeuvre de Georges Lucas.
    Hi2816J.
    Hi2816J.

    8 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 novembre 2021
    Pour le premier long métrage de Georges Lucas (créateur de Star Wars), le film ne m'a aucunement passionné. D'une couleur blanche particulière que je n'apprécie guère, le film m'a ennuyé malgré l'ambition de sa réalisation qui, je trouve est trop inégal. Même le scénario est assez vide pour laisser Lucas s'évader dans son univers. Personnellement, je ne m'évade pas.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 728 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 mars 2021
    Si vous aimez regarder un groupe de personnes se promener dans un état semi-comateux portant des combinaisons blanches dans des couloirs blancs avec toutes sortes de choses scientifiques ce film est fait pour vous. Personnellement je m'ennuyais à être rigide en regardant cette histoire. De plus THX 1138 était prévisible. Je savais 40 bonnes minutes avant la fin comment les cinq dernières minutes du film allaient évoluer. Il y a peut-être que quelques angles de caméra intelligents et de bons visuels pour un budget limité qui méritent d'être applaudis mais cela ne veut pas dire que c'est un bon film...
    maxime ...
    maxime ...

    250 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 janvier 2021
    THX 1138 à agit sur ma personne comme un long cauchemar ! Un défilé d'images en forme d'épreuve à vivre, forcement cela interpelle, pousse aux résonnements, trop peut être pour une première ?

    Le film de George Lucas rappel dans un premier temps avant de s'en éloigner 2001 de Kubrick dans son intention de collage, d'endurance et d'exigence dans son rendu. Pour autant si on se fit à son récit c'est bien plutôt vers l'asile de dingue qu'il faut se tourner ... La fuite n'est d'ailleurs que la seule parade à la démence institutionnelle ici. Difficile d'en dire plus pour moi tant je me suis manger un mur sur ce point.

    Sur le rendu visuel par contre le tout jeune réalisateur fait déjà des merveilles. L'immersion va de soi avec le décor et la caméra dans sa mouvance bien caractérisé. La scène final et la course poursuite en particulier ont retenu mon attention.

    A revoir.
    Prométhée
    Prométhée

    4 abonnés 98 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 janvier 2021
    Ce "classique" du cinéma à très mal vieilli. Peut-être à l'époque de sa sortie avait-il une forme et un discours innovant. Désormais avec la pléthore de films SF sortis depuis, il semble long (malgré ses 1h30) et creux. Avec des protaganistes peu travaillés, des dialogues extrêmement absconds composés de charabia numériques à chaque phrase, THX ne fait aucun effort pour embarquer le spectateur dans son univers. Reste malgré tout un graphisme épuré des décors interessant, et la curiosité assouvie d'avoir découvert les débuts cinématographiques d'un réalisateur qui ne tardera pas à se faire mondialement connaitre.
    01/21
    Shawn777
    Shawn777

    599 abonnés 3 492 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 septembre 2020
    Ce premier long-métrage de George Lucas, sorti en 1971, est assez moyen. Je sais que je vais sûrement m'attirer les foudres des fans mais qu'est-ce que j'ai été déçu ! C'est certes visionnaire et intéressant, c'est indéniable, mais alors qu'est-ce que c'est long ! C'est l'histoire d'une société futuriste souterraine de laquelle THX 1138 et LUH 3417 veulent s'échapper. Bon voilà, nous ne sommes pas loin de l’univers de "Star Wars" mais nous n'en sommes pas proche non plus ! Nous sommes effectivement dans un film qui dénonce beaucoup de choses avec de très bonnes idées et une inventivité folle mais je trouve malgré tout que le film est beaucoup trop lent, alors qu'il ne dure pourtant qu'une heure vingt ! Ce qui est dommage, c'est que tout repose sur les infractions, l'arrestation et l'évasion de THX 1138 pour avoir fait l'amour avec LUH 3417. L'idée des rapports sexuels interdits est par ailleurs bonne mais malheureusement, le film reste trop évasif sur le pourquoi du comment, c'est à nous spectateur de tout deviner. Alors pourquoi pas, je ne suis pas contre cette pratique, un peu à la "Cube" par exemple qui permet de faire travailler notre imagination et pas uniquement de rester passif devant notre écran, mais malgré tout, dans un film où l'on s'ennuie beaucoup, cela aurait pu être justement intéressant d'apporter plus d'éléments. Intéressant de préciser beaucoup plus de choses, la fin étant d'ailleurs, sans spoiler, beaucoup trop frustrante. De plus, le film n'est esthétiquement pas divertissant non plus. Étant donner que tout est blanc, autant dans les décors que dans les costumes, le film ne nous divertit même pas avec de "belles images". Je place de belles images entre guillemets car la couleur n'est bien-sûr pas indispensable à une bonne mise en scène, nous avons par ailleurs ici de très beaux plans et puis il faut avouer que cela contribue extrêmement bien à l'ambiance, nous avons même certaines scènes oppressantes, notamment celle de la prison. Ce que je veux dire par là, c'est que, malgré les qualités de mise en scène, cela confère également au film une certaine platitude qui n'aide certainement pas le rythme à aller mieux. Du côté des acteurs, nous avons principalement Robert Duvall et Donald Pleasence qui jouent bien. "THX 1138" a donc de bonnes idées et de bonnes intentions mais je n'ai malheureusement pas accroché au style.
    Julien M
    Julien M

    4 abonnés 215 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 mai 2020
    Premier long métrage d'un certain George Lucas (à l'époque tout jeune réalisateur presque fauché et loin d'être le papa milliardaire et adulé par des millions de fans de la saga Star Wars puis de celle d'Indiana Jones avec son ami Steven Spielberg) qui est très inégal.

    Pour le positif, nous avons des thèmes abordés toujours d'actualité, un esthétisme glacial maitrisé, une photographie soignée et un Robert Duvall qui fait le job.

    Pour les mauvais points, nous pouvons nous surprendre à regarder plusieurs fois notre montre avec des longueurs ça et là dans un film dépassant à peine les 1h25, génériques de début et de fin inclus, c'est dommage.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    202 abonnés 2 521 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 mars 2020
    Bof, j'ai peu été emballé par ce film, très froid (même si j'imagine que c'est volontaire de la froideur du film) et assez ennuyeux, même si son propos est plutôt convaincant.
    Le contexte décrit est très intéressant et assez complet. Tous les travers classiques que ciblent les œuvres de SF sont présentes dans ce film (la religion avilissant l'individu, la société de consommation, la police de pensée incarnée par des robots dépourvus de sensibilité et d'humanité, …), pour son époque, je ne crois qu'il y avait autant de films SF aussi exhaustif que ça.
    Malheureusement le film se perd un peu et devient, une fois le contexte présenté assez lassant. Il y a pas mal de longueurs dans la seconde moitié du film et au final, on retient (et c'est dommage) un film plutôt ennuyeux.
    Le casting est loin d'être mauvais pour un petit film expérimental avec ni plus ni moins que Donald Pleasance et Robert Duvall en tête d'affiche.
    Bon, le film a le mérite de lancer sur le terrain de la science-fiction la carrière du réalisateur à l'origine de la plus grande saga du cinéma.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 085 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 septembre 2019
    Premier film de George Lucas, THX 1138 représente autant un ovni dans la carrière du réalisateur que pour le cinéma en général. Sorti des suites du succès artistique de 2001 : L'odyssée de l'espace, il incarne avec surprise le renouveau de la science-fiction du Nouvel Hollywood, tant au niveau de son esthétique que des thématiques abordées, se plaçant à des années lumières du cinéma commercial qu'il nous livrera bien des années plus tard.

    Film étrange et passé inaperçu à l'époque, son principe est aussi simple que génial : plaçant le spectateur dans une nouvelle esthétique dystopique, il décide de l'épurer totalement avec un brio rare, balançant ses acteurs (dont l'énigmatique et charismatique Robert Duvall) dans un monde impitoyable bien qu'en apparence des plus paisibles.

    Effrayant en cela qu'il est d'une banalité horrible, d'une simplicité impressionnante : servi sur des touches de blanc profondes et envahissantes, l'univers cauchemardesque du jeune Lucas est aussi fascinant que redoutable, réussi grâce à sa fantastique première demi-heure d'exposition, aboutie de bout en bout; que ce soit esthétiquement, philosophiquement (le rapport à l'amour entravé par les dogmes d'une société hyper religieuse et droguée, plus proche du fanatisme dissimulé que du repos feint) ou scénaristiquement, elle se pose comme un cours de cinéma à destination des jeunes réalisateurs/scénaristes en herbe.

    Passé cette première demi heure passionnante, THX 1138 déchante et cabotine : entre une séquence beaucoup trop longue et grotesque d'emprisonnement (pourtant très bien mise en scène) et sa course-poursuite finale au rythme défaillant, on regrette finalement la réflexion fine et bien amenée de la première partie, disparue derrière des tonnes d'éclairages et d'effets spéciaux 3D jurant horriblement avec les moyens de l'époque.

    Ne critiquons pas Lucas pour ses remaster; c'est son oeuvre, il en fait ce qu'il veut. Questionnons-nous plutôt sur l'utilité de filmer, à l'époque, une scène de course-poursuite si l'on est incapable de la rendre énergique, intéressante, passionnante. On se rend alors compte que le point culminant de l'intrigue ne tiendra aucunement dans cette séquence d'action mal fichue, mais bel et bien dans ce plan final absolument magnifique emporté par l'envolée sublime de la musique de Lalo Schifrin, qui n'avait déjà plus rien à prouver.

    C'est à ce moment qu'on comprend qu'on est passé à côté de l'un des plus grands films de science-fiction de sa génération : thématiquement très riche (cette société perdue dans sa propre modernité rappelle forcément les problématiques de notre temps), il se perd au bout d'une demi-heure et patine une heure entière, à expérimenter un visuel qui n'a plus d'autre histoire à raconter que celle de quelques hommes perdus dans une époque qu'ils ne comprennent plus, avec un Donald Pleasence en surjeu total, rendu insupportable par le comportement caricatural de son personnage.

    S'il sert à poser l'ambiance étrange de ce passage aux plans expérimentaux très intéressants, il met en exergue les éléments dérangeants de ce premier long-métrage : jamais trop sûr de comment poser son rythme, Lucas opte pour une mise en scène presque uniquement composée de plans fixes bien composés mais handicapant par nature pour qui veut poser autre chose à l'écran qu'une personnalité contemplative et oppressante (particulièrement lors des scènes de course, tant à pied qu'en voiture).

    Il n'y a que grâce aux policiers (des T1000 avant l'heure) et au comportement de cette société sans saveur qu'il parviendra à mettre mal à l'aise; le reste, trop démonstratif pour intéresser dans la durée, donne l'impression de voir un projet de fin d'étude principalement fait pour prouver les capacités formelles de son réalisateur/co-scénariste, de toute évidence plus compétent en ce qui concerne la composition de ses plans que pour le développement de son intrigue et de ses thématiques.

    Culte dans le sens où il aura posé une nouvelle esthétique dans un genre nécessitant à l'époque besoin un grand renouveau (le très bon Soleil Vert terminera d'achever un public déjà bouleversé par l'apéritif La Planète des Singes), THX 1138 mérite son statut d'oeuvre culte pour ce qu'il aura apporté au cinéma, des thématiques nouvelles flanquées d'un paradoxe comptant parmi les plus importants du nouvel Hollywood : comment un réalisateur à ce point expérimental et inventif aura pu devenir en si peu de temps l'artiste à l'origine d'une saga aussi formatée et lisse que Star Wars (que j'adore cependant), et le business man milliardaire qu'on connaît à présent?

    A l'image de son premier film, George Lucas demeure, aujourd'hui encore, une figure emblématique du Nouvel Hollywood qui fait autant débat que ce qu'il reste mystérieux, unique, fascinant. N'est-ce pas après tout la marque des grands artistes que de déchaîner autant les foules? Elle est la même que celle des grands films : entre l'intouchable et le critiqué, on les retiendra surtout comme des pièces motrices du cinéma qu'ont connaît aujourd'hui.

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