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septembergirl
607 abonnés
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3,0
Publiée le 18 décembre 2013
Une comédie simple et rafraîchissante, qui dégage une belle nostalgie en nous relatant, le temps des vacances, une réunion familiale en Bretagne. Un film réaliste et drôle, avec parfois de savoureux dialogues, dans lequel Julie Delpy n'omet pas les petits détails qui font la différence. Malheureusement, le scénario est trop linéaire et le film n’a alors pas de réel enjeu. Un agréable portrait de famille donc, qui s’avère cependant moins réussi que "La Comtesse" ou que la duologie des "2 Days…" pour la réalisatrice !
"Le Skylab" donne exactement l'impression de visionner une vidéo de vacances d'un voisin ou d'un ami (qui lui s'amuse !!) en s'ennuyant très fermement ! Les dialogues ne font pas mouche, la situation n'évolue pas, le rythme est très linéaire... On attend, on attend, et puis rien ! Et toute la salle s'ennuie ! Il ne suffit pas de réunir une sympathique famille nombreuse autour d'une table en Bretagne pour faire un film... Certes, Julie Delpy aura pris plaisir à remettre en scène ses souvenirs personnels et en donnera aussi à ceux qui s'y retrouveront mais les autres ? Ceux qui ne s'identifieront pas à ce repas de famille... Il aurait fallu y penser... D'ailleurs, on se surprend soudain à s'intéresser quand même à cette histoire lorsque bien tardivement, la politique s'en mêle. Alors tout à coup, les répliques fusent, les personnages deviennent vivants et le spectateur a de quoi se mettre sous la dent, enfin ! De même, avec la scène très drôle où Aure Atika est surprise par son beau-frère la nuit ! En multipliant ce genre de moments cocasses, on imagine vite quel film aurait pu devenir "Le Skylab" ! Peut-être un véritable OVNI qui aurait bien porté son nom... Qui sait ? Au lieu de ce film bien trop gentillet auquel les bons moments, la bonne ambiance sont des éléments un peu maigres qui nous laissent vite sur notre faim !
Sympathique Comédie écrite et réalisée par Julie Delpy. Le ton est agréable, les dialogues croustillants et sans concessions ; la mise en scène dynamique donne un bon rythme à l’histoire. Le scénario original de la réalisatrice nous replonge avec bonheur dans la Bretagne des années 70 : La plage, la maison de campagne avec méchoui et discussions familiales relevées, hits musicaux de l'époque, la boum, la plage ... Beaucoup de situations cocasses, des séquences émouvantes et d'autres moins indispensables. La présence de nombreux enfants se révèle très rafraîchissante. Outre la prestation émouvante de la jeune Lou Alvarez et du très prometteur Vincent Lacoste, l'excellent casting nous offre un joli duo de premiers rôles avec le couple formé par Julie Delpy et l'excellent Éric Elmosnino. Cerises sur le gâteau avec la belle présence de Bernadette Lafont et la superbe prestation d'Albert Delpy.
film chorale situant l'action dans le début des années 80 un vrai plaisir pour les nostalgiques tout a été prévu le décor les voitures les coiffures les vêtements les musiques l'ambiance est au rendez vous l'histoire le temps des vacances en bretagne d'une famille les règlements de comptes les premiers émois amoureux les disputes on s'y retrouve tous un peu les acteurs sont bons Eric elmosnino a une énorme puissance comique !!! Les enfants sont très bons on parlera certainement de certains vincent lascote que j'avais déjà vu dans les beaux gosses est très prometteur
Karine Viard fait une toute petite apparition dommage un bon divertissement
Si il suffisait d'avoir une 2cv et des robes a fleurs pour plonger dans les années 80,ça serais bien trop simple.Pourtant c'est ce que fait Julie Delpy dans son skylab.Elle ne soigne aucun détail,si et les accessoires sont ceux que l'on pouvais trouver.Les mentalités de l'époque,elles ne sont que de gros clichés,les gauchistes,les féministes,les facho.Julie Delpy prends bien soit de ne rien oublier des faits manquants de 80.Ne donnant jamais l'esprit de l'époque,mais la vison quelle doit garder de ses merveilleux souvenirs de vacances familial.Le sujet de la famille manque cruellement de consistance,c'est du pas grand chose.Des scènes qui feront peut plaisir a sa famille mais sorti de la pas grand chose.Et pas grand chose sur 1h45 c'est long.
Si d'aventure vous vous demandiez comment naissent les bobos, remerciez donc Julie Delpy pour son Skylab qui, à défaut d'être un bon film, à au moins le mérite de répondre à cette question!
Car c'est bien là que se trouve toute la particularité de cette espèce sociale si rare mais tellement envahissante dans notre quotidien à tous, leur capacité à pervertir tout ce qui pourrait un tant soit peu émouvoir si seulement ces derniers ne confondaient pas sensibilité et sensiblerie.
Ainsi donc Delpy passe en revue (avec une rigueur quasi militaire, gros paradoxe, de peur sans doute d'être prise en défaut d'authenticité!) une multitude de souvenirs largement revisités à l'aune de sa prétention morale "gôchisante", sur fond de féminisme made in Cosmopolitain oscillant entre le grotesque et le franchement pathétique tout en s'évertuant bien évidemment à banaliser les vices inhérents à sa condition de privilégier sous peine d'être relégué au statut de beauf rampant à quatre pattes la bite à l'air (statut peu enviable même dans l'univers de Julie Delpy où les petites filles de 11 ans lorgnant sur l'attribut d'un ado sur une plage nudiste aux cotés de sa mère à la touffe Amazonienne semble tout à fait normal!
Du coup la prochaine fois que vous assisterez à l'incivilité d'une pouffiasse embourgeoisée persuadée qu'exiger "gentiment" que les gens se plient à sa volonté est normal, repensez donc à ce Skylab et mettez lui une grande baffe dans la gueule, vous savez désormais qu'elle le mérite!
Las je n'ai regardé que la 1er moitié, une réplique sur deux est à connotation sexuelle, reste ensuite les jeux des mômes (avec parfois pour eux aussi du sexuel)! Bref pas grand chose à attendre du scénario à part spoiler: "qui va sauter en 1er sur sa belle soeur?" Sinon la réalisation n'est pas mal et les acteurs ne sont pas mauvais, ça m'a rappelé un peu les films des 70' autour de cercles privés (François, Vincent, Paul..., un éléphant ça trompe...). Mais même si l'idée est bonne, pour Julie Delpy c'était un pari trop audacieux de faire ce type de film, et en l'état ce n'est rien d'autre qu'une coquille vide!
j'avais 16 ans en 1979 et moi ce que j'aime voir ce sont les voitures type renault 16, le train qui n'était pas un TGV, les coupes de cheveux ahurissantes de l'époque,les habits plein de couleurs. les retrouvailles en famille sont importantes et tout le monde raconte ses petits secrets. j'ai la nostalgie de cette époque et le film m'a fait beaucoup de bien.
Le Skylab est une comédie sympathique réalisé par une Julie Delpy qui ose toujours autant. Je reste quand même sur ma fin, il y a beaucoup de personnages et ils mériteraient tous d'être plus développés. Ça aurait presque pu faire une série en grattant un peu plus! La mentalité de la fin des années 1970 début 1980 est très bien retranscrite, ainsi que les préoccupations de l'époque. J'ai trouvé les costumes très réussis aussi, correspondant à l'époque et surtout à chaque personnage. Julie Delpy a beaucoup de talent, elle sait utilisé ses acteurs comme il faut et elle nous fait rire en ayant aucun tabou. A voir
"Le Skylab" est une comédie nostalgique qui se veut sans chichi et elle brille par son naturel et celui de ses comédiens. Un moment simple comme un week-end en famille.
Le genre "film de vacances" ne brille jamais par leur construction scénaristique, et ce n'est pas Julie Delpy et son "Skylab" qui vont me faire dire le contraire. De plus, elle veut jouer peu subtilement sur la fibre nostalgique en faisant inutilement du film un long flashback. Si quelques instants comme l'histoire de la dorade et de la sirène, ou le plaisir de voir Emmanuelle Riva et surtout la très regrettée Bernadette Lafont peuvent retenir l'attention, le reste est franchement sans intérêt se contentant de jouer sur la caricature (gauchistes vs "c'est toujours la faute des immigrés" !!!) pour les personnages, des situations qui souffrent du même problème jamais exploitées jusqu'au bout pour ne pas dire jamais exploitées tout court, donc pas de drôlerie, pas d'émotion, pas d'intérêt quoi... Bref aussi captivant qu'un long et interminable repas en famille...
je suis clairement resté sur ma faim, j'ai attendu, attendu, attendu puis le génériques est arrivé, que s'est-il passé? ben un film. PLV : l'ambiance de la fin des années 70 est pleinement reconstituée
Vous avez de bien jolis souvenirs madame Delpy. Il aurait été dommage de ne pas en faire profiter les populations esbaubies. J'ajoute une demie étoile pour la maquilleuse qui a taillé la fausse barbe de la dame.