AlloCiné
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Votre avis sur We Want Sex Equality ?
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Comme déjà dit par d'autres critiques, le film se complait un peu trop dans une ambiance pop au vu du sujet, on-ne-peut-plus sérieux. Mais si on fait abstraction de cette esthétique acidulée, à des années-lumière de l'ambiance froide oppressante des usines et banlieues ouvrières, le film reste une belle démonstration de la nécessité de toujours combattre pour obtenir ce qui devrait aller de soi. Et en prime on passe un agréable moment.
Une comédie sociale britannique instructive et plutôt réjouissante portée par un très bon casting. Dommage que le film soit si prévisible et les sous intrigues assez superflues. Agréable à regarder tout de même malgré tout.
Une comédie sociale et féministe sympathique et pleine de charme des sixties, emmenée par l'excellente Sally Hawkins.
Un super bon film riche en action et en histoire. Il est émouvant est très bien construit. Je conseil énormément !
très bon film documentaire. période de grande révolution des années 60, toutes les filles ne tardes pas a se rebeller contre les hommes bien trop sexiste et trop coincé dans les lois et des règles d'un autre temps, rapidement les tention montes et elles réclames l'égalité. ont connait bien évidemment le changement massif que cela a provoqué, le port du pantalon devenu presque courant et les loi du travail revues etc etc.... point encore en questionement de nos jour: les violence faites aux filles et l'égalité des salaires. un combat encore présent de nos jours 2022 en essépérant qu'un jour la paix puissent enfin etre pour tous dans un pays cencé etre un pays libre. la transidentité peu etre l'exemple parfait d'un combat loin d'etre gagné.
Un grand film sur le combat de femmes britanniques pour l' égalité salariale dans les années 60.Rosamund Pike est une épouse de patron méprisée et maltraitée par son mari.Une touche d' humour
Fêtons le cinéma
La réussite de Made in Dagenham tient, comme dans Calendar Girls (2003), au groupe de femmes qui trouve son unité dans le partage d’une même condition précaire et la lutte contre celle-ci. Elles sont d’ailleurs incarnées par des actrices talentueuses. Pourtant, Nigel Cole ne parvient pas à porter sur un sujet historique le même regard incisif que sur l’histoire vraie ayant conduit des amies à composer un calendrier érotique pour gagner de l’argent et financer une association contre la leucémie – postulat dudit Calendar Girls, par le même réalisateur. Trop sage, il suit les étapes vers l’égalité de salaires en les retranscrivant de manière scolaire, pédagogique si seulement le côté feel good ne l’emportait sur la véracité des faits. Pour le formuler autrement, le long métrage est écartelé entre une soif de fiction et un besoin de respecter l’historique, ce dernier s’édulcorant à mesure que le récit se schématise. En résulte un balisage qui empêche toute approche personnelle et évacue la violence du contexte abordé, réduite à une querelle conjugale à l’extérieur du domicile, par ailleurs réussie. Une grosse machinerie féministe dont chaque rouage est connu d’avance, mais qui a le mérite de porter à l’écran une cause essentielle.
We Want Sex Equality a brillamment brisé le moule. Il combine la politique claire explicite et nuancée du meilleur de Ken Loach avec les attraits de n'importe quel film populaire que vous voulez nommer. La scène brillante où le représentant syndical modeste Sally Hawkin explique pourquoi le travail qu'elle fait est qualifié est une métaphore pour l'ensemble du film. La politique n'est pas difficile à comprendre c'est notre vie. Je ne peux pas penser à un précédent film britannique à l'esthétique dominante qui a eu le courage auparavant de mettre le point de vue des travailleurs ordinaires si résolument au centre. Mais ce n'est pas un récit idéalisé simpliste. Faire la grève comme le constatent les femmes vous rend très impopulaire notamment auprès des autres personnes mêmes celle dont vous pensiez qu'elles vous soutiendraient les dirigeants de l'Union vos collègues (hommes). Rien n'est facile, rien n'est trop facile à gagner et Sally Hawkins dépeint avec brio la situation épineuse de la figure de proue de la lutte qui commence à douter de sa propre détermination et de ce que cela coûte non seulement à sa famille mais aussi à toute la communauté des travailleurs de la ville (et peut-être du Royaume-Uni). Le film montre une histoire vraie d'une manière sincère et très engageante. Il n'y a pas une seule note négative dans aucune des représentations du fonctionnaire syndical sordide et compromis à la femme chic et étonnamment émouvante Rosamund Pike en passant par le modèle Jamie Winstone tout le monde a une crédibilité engagée sans jamais être digne ou clownesque et Sally Hawkins joue un rôle central d'aveugle richement stratifié. Un grand chapeau à l'écrivain Billy Ivory qui a écrit un scénario brillant, drôle totalement dépourvu de condescendance. Et un grand merci aux producteurs Stephen Woolley et Elizabeth Karlsen pour avoir eu le courage d'aller droit au but dans cette grande histoire qui a commencé dans un petit endroit...
Ces femmes anglaises made in Dagenham sont excellentes, menant des combats gracieuses pour l’égalité dés sexes qui leurs collent à la peau par la société des hommes, au niveau salarial, c’est la forme des plus injustes socialement.
De la discrimination visible au ratio, laborieuses poussées par des ailes conjonctivites économiques printemps anglais 68, ça s’agite outre-Manche continentale eurotunnel, au mois de mai minijupe coupe yéyé dans les universités, c’est le combat personnel féminisant enthousiaste, bravo mesdames.....!
Il y a le patronat et le syndicalisme, leurs idéaux inspirés depuis bien avant les suffragettes, voilà l’égalité salariale, aux deux visages, en faveur du social féminin, la femme égale de l’homme, et ça vient des hommes aussi, la mère est leur génitrice création.
Il y a fort longtemps oubliée, revient en force ce principe égalitaire philosophique, théoricien politicien du 19ème siècle prépare sa pratique oratoire pour ces femmes marchent en avant, laissez l’usine automobile, abandonnées ses matériaux, pièces détachées.
Employées comme des machines automatiques gestes quotidiennement pour une misère, il eu le droit de vote, maintenant le travail plutôt que la tradition maison cuisine vaisselle ménage enfants, faites grèves votés, ainsi son rang et sexe qui va avec.
Des inégalités au sein de la société anglaise des années 60, une contemplation environnementale, les quartiers bâtiments habitations logements sociaux modérés, les patrons chefs entreprises usines sociétés américaines implantées multinationales.
La Ford est avertie au téléphone 📞depuis outre-mer atlantique, de cette gronde féminine sous-exploitée main-d’oeuvre pas chère, les droits civiques 1970 arrivent, de bonnes femmes anglaises dans cette semi-fiction.
Mêmes celles qui ont un bon statut social élevé, une bonne éducation diplômée bourgeoise, les soutiennent parce que c’est la société de Monsieur in United Kingdom 🇬🇧........ le combat des femmes n’est pas terminé et continue universellement.
Une mise au point archivée vidéo footage en temps réel musical britannique post credit Manchester Liverpool, mentions spéciales aux superbes actrices, Sally Hawkins et les autres, inoubliables.
De la discrimination visible au ratio, laborieuses poussées par des ailes conjonctivites économiques printemps anglais 68, ça s’agite outre-Manche continentale eurotunnel, au mois de mai minijupe coupe yéyé dans les universités, c’est le combat personnel féminisant enthousiaste, bravo mesdames.....!
Il y a le patronat et le syndicalisme, leurs idéaux inspirés depuis bien avant les suffragettes, voilà l’égalité salariale, aux deux visages, en faveur du social féminin, la femme égale de l’homme, et ça vient des hommes aussi, la mère est leur génitrice création.
Il y a fort longtemps oubliée, revient en force ce principe égalitaire philosophique, théoricien politicien du 19ème siècle prépare sa pratique oratoire pour ces femmes marchent en avant, laissez l’usine automobile, abandonnées ses matériaux, pièces détachées.
Employées comme des machines automatiques gestes quotidiennement pour une misère, il eu le droit de vote, maintenant le travail plutôt que la tradition maison cuisine vaisselle ménage enfants, faites grèves votés, ainsi son rang et sexe qui va avec.
Des inégalités au sein de la société anglaise des années 60, une contemplation environnementale, les quartiers bâtiments habitations logements sociaux modérés, les patrons chefs entreprises usines sociétés américaines implantées multinationales.
La Ford est avertie au téléphone 📞depuis outre-mer atlantique, de cette gronde féminine sous-exploitée main-d’oeuvre pas chère, les droits civiques 1970 arrivent, de bonnes femmes anglaises dans cette semi-fiction.
Mêmes celles qui ont un bon statut social élevé, une bonne éducation diplômée bourgeoise, les soutiennent parce que c’est la société de Monsieur in United Kingdom 🇬🇧........ le combat des femmes n’est pas terminé et continue universellement.
Une mise au point archivée vidéo footage en temps réel musical britannique post credit Manchester Liverpool, mentions spéciales aux superbes actrices, Sally Hawkins et les autres, inoubliables.
Shawn777
Ce film réalisé par Nigel Cole et sorti en 2011 n'est pas mal du tout ! Ce film relate l'histoire vraie de la grève qui a eu lieu dans les usines Ford à Dagenham. Enfin ce n'est pas n'importe quelle grève puisqu'il s'agit de celle menée par les femmes à la fin des années 60 dans le but d'avoir des salaires égaux entre hommes et femmes. Je ne connaissais pas du tout cette histoire, enfin pas cette lutte précise dans ces usines-là, c'est donc très intéressant de découvrir tout cela. Cependant, je ne sais pas si le film est réellement fidèle à la réalité ou non, je pense surtout que c'est plus un condensé de cette lutte. Le film est quelque peu prévisible, non pas par son histoire mais surtout par ses personnages qui sont un peu écrits facilement et qui ne sont pas très originaux. Le film est dans l'ensemble bien écrit, on s'attache aux personnages etc. mais je trouve qu'il comporte malgré tout quelques longueurs qui viennent casser le rythme du film, ce qui est assez dommage. De plus, la réalisation n'est pas non plus extraordinaire mais elle reste dans l'ensemble assez bonne. On retrouve également bien ce côté film social anglais qui est très bon. En ce qui concerne les acteurs, nous avons principalement Sally Hawkins, Daniel Mays, Rosamund Pikes etc. qui jouent très bien. "We Want Sex Equality" est donc un film qui reste plutôt bon dans son ensemble et assez intéressant sur le plan historique.
Film historique sur les ouvrières britanniques qui ont lutté dans les années 60 pour l'égalité des salaires hommes/femmes. L'intérêt du film vient de son sujet féministe qui n'a pas été souvent traité au cinéma (voire jamais d'ailleurs !), et dont une réalisation impersonnelle et un scénario consensuel ne parviennent pas malgré tous à gâcher totalement le potentiel.
j' ai adoré et j' invite tous le monde à le visionner au moins une fois. un beau combat, des valeurs....Bravo �
Nyns
Voilà, c'est pas compliqué non? Et ben si... L'affaire des grévistes de l'usine Ford aura bien fait avancer la cause des femmes salariées au Royaume-Unis et même ailleurs. C'est d'autant plus assez intéressant de se replonger dans ce genre d'histoire, avec des constats affligeants, d'autres plus déprimants car ils ont une fâcheuse tendance à perdurer... Qu'importe, le petit groupe menée par une Sally Hawkins en pleine forme fait vraiment plaisir à voir, il est difficile de ne pas être dans l'empathie. Tout sonne vrai et réaliste pour l'époque, avec seulement deux figures masculines qui tendent vers le féminisme (le premier par conviction dès le début, le second finit par entendre raison grâce à sa merveilleuse épouse). C'est le genre de film qui fait du bien, qui rappelle que certaines choses toutes simples étaient loin d'être acquises il y a pas si longtemps. Et la réalisation dans tout ça? Elle est souvent le principal handicap de ce genre d’héroïsme historique, ici elle sert plutôt bien l'histoire. Tout s'enchaine avec beaucoup de facilité, le cinéma social anglais reste assez démonstratif. Récit historique indispensable et rafraichissant.
Décidément spécialiste des films avec des femmes, Nigel Cole revient après Saving Grace et Calendar Girls à une œuvre historique et militante où il suit le combat des ouvrières anglaises de l’usine Ford afin d’obtenir une égalité salariale avec les hommes, ceci dans les années 70. Il s’agit d’un sujet assez classique pour le cinéma social anglais, quasiment un cliché aujourd’hui. Celui-ci n’est pas plus mauvais qu’un autre, mais ce n’est pas non plus le plus réussi. Peut-être commence-t-on à se lasser de ces intrigues convenues autour d’un mouvement de grève, brassant aussi bien la comédie, l’engagement politique que le drame. Il faut avouer que c’est encore efficace et que tout ceci est parfaitement joué, mais on peut regretter une réalisation transparente et une absence de prise de risques par rapport à un genre devenu une valeur sûre pour les Britanniques. Un peu de nouveauté dans cette formule rebattue ne ferait pas de mal.
Avec légèreté ce film anglais raconte comment un groupe de femmes s’est soulevé pour exprimer leur désapprobation de leurs conditions de travail, de leur salaire trop faible et du manque d’égalité entre la condition hommes femmes. Avec des personnages rafraichissants ce drame sociale utilise un ton relativement léger, ponctué de quelques vannes sexistes à l’égard de la gente masculine. Un film féministe pas excellence.
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