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Twister : Le film où une vache vole mieux qu’un Boeing
Si t’as jamais vu une vache s’envoler en plein milieu d’un champ comme un super-héros qui a loupé sa carrière, Twister est là pour combler ce vide. Jan de Bont, le gars qui nous avait déjà donné une bonne dose d’adrénaline avec Speed, remet ça en nous balançant des tornades aussi dévastatrices que les impôts. Les années 90 ont pondu leur lot de films catastrophes, mais celui-là, il te prend par les tripes et te les secoue comme une machine à laver en fin de cycle. La tempête arrive, t’es collé à ton siège, et t’as déjà oublié les dialogues tellement ça souffle fort.
Ils s’engueulent, ils s’aiment, ils se lancent à la poursuite de tornades comme si c’était des soldes chez Leclerc. Helen Hunt et Bill Paxton te livrent une prestation qui tient la route même quand cette route se fait emporter par le vent. Leur alchimie, c’est pas juste du cinéma, c’est du béton. Et quand ils sont pas en train de se sauver mutuellement les fesses, ils te rappellent que même dans le chaos, y’a toujours moyen de se chamailler sur qui va faire la vaisselle.
Franchement, pour un film qui approche les 30 ans, les effets visuels tiennent encore sacrément bien la route. Les tornades sont tellement réalistes que t’as envie de chercher refuge sous la table. Quand la vache fait son tour d’honneur dans le ciel, on est pas loin de l’art contemporain. Et que dire des scènes où tout vole en éclats : fermes, voitures, camions-citernes, tout y passe. C’est du spectacle comme on en fait plus, avec des effets pratiques qui bottent le cul aux CGI bas de gamme qu’on se tape trop souvent aujourd’hui.
Faut être clair, le casting de Twister, c’est une bande de tarés en quête de sensations fortes. Entre le couple Hunt-Paxton, l'excentrique Philip Seymour Hoffman, et le détestable Cary Elwes, on a droit à une galerie de personnages qui rivalisent de folie. Ces mecs et nanas, ils poursuivent les tornades comme si c’était le Graal. Les tornades, c’est leur drogue, et chaque fois qu’une tempête se profile, ils deviennent des gosses le matin de Noël. C’est beau, c’est débile, mais c’est pour ça qu’on les aime.
Quand tu sais que le gars derrière Jurassic Park a pondu le scénario de Twister, tu te dis que le mec a un truc avec les forces de la nature. Ici, y’a pas de dinosaures, mais les tornades ont leur propre caractère, et ça se voit à chaque scène. Le film monte en puissance, et même si on sait que le scénario tient sur une carte postale, l’adrénaline est là. T’es là pour les tornades, pas pour les monologues philosophiques, et ça tombe bien, Twister ne se prend pas pour un film d’auteur.
En résumé, Twister c’est le genre de film qui te fout le vertige sans avoir besoin d’ascenseur émotionnel. Ça pète, ça hurle, ça s’envole, et toi, tu restes bouche bée. Les effets spéciaux tiennent encore la route, le casting est au top, et la mise en scène fait de ce film un véritable classique du cinéma catastrophe. Si t’as pas encore vu ce chef-d’œuvre de la destruction naturelle, c’est que t’as raté un des rares films où le vent a plus de charisme que la moitié des acteurs d’aujourd’hui.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Si t’as jamais vu une vache s’envoler en plein milieu d’un champ comme un super-héros qui a loupé sa carrière, Twister est là pour combler ce vide. Jan de Bont, le gars qui nous avait déjà donné une bonne dose d’adrénaline avec Speed, remet ça en nous balançant des tornades aussi dévastatrices que les impôts. Les années 90 ont pondu leur lot de films catastrophes, mais celui-là, il te prend par les tripes et te les secoue comme une machine à laver en fin de cycle. La tempête arrive, t’es collé à ton siège, et t’as déjà oublié les dialogues tellement ça souffle fort.
Ils s’engueulent, ils s’aiment, ils se lancent à la poursuite de tornades comme si c’était des soldes chez Leclerc. Helen Hunt et Bill Paxton te livrent une prestation qui tient la route même quand cette route se fait emporter par le vent. Leur alchimie, c’est pas juste du cinéma, c’est du béton. Et quand ils sont pas en train de se sauver mutuellement les fesses, ils te rappellent que même dans le chaos, y’a toujours moyen de se chamailler sur qui va faire la vaisselle.
Franchement, pour un film qui approche les 30 ans, les effets visuels tiennent encore sacrément bien la route. Les tornades sont tellement réalistes que t’as envie de chercher refuge sous la table. Quand la vache fait son tour d’honneur dans le ciel, on est pas loin de l’art contemporain. Et que dire des scènes où tout vole en éclats : fermes, voitures, camions-citernes, tout y passe. C’est du spectacle comme on en fait plus, avec des effets pratiques qui bottent le cul aux CGI bas de gamme qu’on se tape trop souvent aujourd’hui.
Faut être clair, le casting de Twister, c’est une bande de tarés en quête de sensations fortes. Entre le couple Hunt-Paxton, l'excentrique Philip Seymour Hoffman, et le détestable Cary Elwes, on a droit à une galerie de personnages qui rivalisent de folie. Ces mecs et nanas, ils poursuivent les tornades comme si c’était le Graal. Les tornades, c’est leur drogue, et chaque fois qu’une tempête se profile, ils deviennent des gosses le matin de Noël. C’est beau, c’est débile, mais c’est pour ça qu’on les aime.
Quand tu sais que le gars derrière Jurassic Park a pondu le scénario de Twister, tu te dis que le mec a un truc avec les forces de la nature. Ici, y’a pas de dinosaures, mais les tornades ont leur propre caractère, et ça se voit à chaque scène. Le film monte en puissance, et même si on sait que le scénario tient sur une carte postale, l’adrénaline est là. T’es là pour les tornades, pas pour les monologues philosophiques, et ça tombe bien, Twister ne se prend pas pour un film d’auteur.
En résumé, Twister c’est le genre de film qui te fout le vertige sans avoir besoin d’ascenseur émotionnel. Ça pète, ça hurle, ça s’envole, et toi, tu restes bouche bée. Les effets spéciaux tiennent encore la route, le casting est au top, et la mise en scène fait de ce film un véritable classique du cinéma catastrophe. Si t’as pas encore vu ce chef-d’œuvre de la destruction naturelle, c’est que t’as raté un des rares films où le vent a plus de charisme que la moitié des acteurs d’aujourd’hui.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Audrey L
Notre film de catastrophe naturelle préféré, d'une générosité folle. Concrètement, le film fait 1h55, les personnages sont dans la mouise 1h40, et c'est exactement ce qu'on demande. Avec des effets "matériels" (de studios) complètement fous et démesurés (des vaches et des tracteurs volent, des maisons s'effondrent, des explosions à gogo...), dont le producteur exécutif est... Steven Spielberg ("Ah c'est pour ça que c'est bien fait !") et le réalisateur est Jan de Bont, le papa de Speed ("Ah c'est pour ça que c'est tendu 99% du film, génial !"). Oui, les effets numériques ont mal vieilli, mais à l'époque (et encore aujourd'hui) on y voit ce qu'on en attend : du grand spectacle, qui met le moindre centime à l'écran, avec un casting de malade. Helen Hunt (la cheffe du groupe, en marcel quelle que soit la température, intelligente et avec du caractère : notre modèle dans la vie, instantanément), Bill Paxton qui se prend des seaux de grêlons comme personne, le regretté Philip Seymour Hoffman qui joue trop bien le chien foufou de la bande (le gars très attachant qui vit dans un autre monde), Alan Ruck ("le mec de Ferris Bueller" ou "le mec de Succession", selon votre âge, mais dans tous les cas "le mec qui devrait apprendre à tenir une carte routière"), Cary Elwes "le docteur de Saw"... Ils sont tous là, entassés dans des camionnettes lancées à toute allure entre les tornades, avec des punchlines super-cools ("Une vache. Je crois que c'est la même."), des catastrophes super-généreuses qui s'enchainent (les tornades, les trombes d'eau, la maison qui s'effondre sur elle-même, la maison qu'on traverse en bagnole pièce par pièce avec le nounours qui fait "pouic" sur le capot à la fin : Encore !) et même des scènes d'action qui s'émancipent de la catastrophe naturelle pour continuer d'être rythmées sans orage (le "mec des cartes routières" qui envoie directement nos héros sur une nationale très fréquentée... On a bondi, alors qu'il n'y a pas de tornade. Et le méchant qui pousse les gentils dans le fossé avec son vilain 4x4... Autant de scènes d'actions qui n'ont pas besoin de l'anémomètre pour exister). Ajoutez une introduction très tendue, où l'on a peur pour le gentil petit chien, et c'est
spoiler:
finalement le père qui s'envole
(on en reste bouche bée, même si l'on connaît la scène), une héroïne qui a des failles (son trauma la pousse à des imprudences) qui la rendent humaine et identifiable (contrairement aux gros bras parfaits irréalistes d'autres films), des scènes de trucages "studios" où tout casse, s'écroule, s'arrache, avec une générosité hallucinante, avec une BO rock déchaînée (même quand il n'y a pas besoin de zic, on nous balance la guitare électrique : merci, juste merci), avec un tempo parfait (il y a toujours une cata dans Twister, impossible de s'ennuyer !). Bref, Twister restera notre doudou d'enfance du film qui ne se contente pas d'allumer le ventilo pour contenter le spectateur : il met le moindre centime dans la tempête du siècle, et c'est un plaisir régressif qu'on adore redécouvrir à chaque fois. Si seulement tous les films cata pouvaient avoir le même casting en furie (Helen Hunt en marcel : aucune tornade ne lui résiste), et la même envie d'en mettre plein les yeux aux gamins (qu'on a été) et aux adultes (qu'on est maintenant) avec la même sincérité, le monde du cinéma respirerait une bonne brise d'air frais revigorante.
(on en reste bouche bée, même si l'on connaît la scène), une héroïne qui a des failles (son trauma la pousse à des imprudences) qui la rendent humaine et identifiable (contrairement aux gros bras parfaits irréalistes d'autres films), des scènes de trucages "studios" où tout casse, s'écroule, s'arrache, avec une générosité hallucinante, avec une BO rock déchaînée (même quand il n'y a pas besoin de zic, on nous balance la guitare électrique : merci, juste merci), avec un tempo parfait (il y a toujours une cata dans Twister, impossible de s'ennuyer !). Bref, Twister restera notre doudou d'enfance du film qui ne se contente pas d'allumer le ventilo pour contenter le spectateur : il met le moindre centime dans la tempête du siècle, et c'est un plaisir régressif qu'on adore redécouvrir à chaque fois. Si seulement tous les films cata pouvaient avoir le même casting en furie (Helen Hunt en marcel : aucune tornade ne lui résiste), et la même envie d'en mettre plein les yeux aux gamins (qu'on a été) et aux adultes (qu'on est maintenant) avec la même sincérité, le monde du cinéma respirerait une bonne brise d'air frais revigorante.
Alors que "Twister" a récemment eu le droit à une suite, je me suis décidé à me lancer dans le visionnage de ce projet, ce dernier étant considéré comme une œuvre culte des années 90. Avec un tel statut, l'attente était donc présente, et même si je n'ai pas trouvé que ce long-métrage était si sensationnel que cela, je comprends parfaitement que l'on puisse l'apprécier à ce point. Dans l'ensemble, il est la parfaite représentation des films d'action hollywoodiens de cette époque. Avec Jan de Bont en tant que réalisateur, le film se montre extrêmement généreux dans ses séquences d'action. Pour donner plus d'effets à l'ambiance, le casting a dû se plier à un tournage très dur, mais cela donne un aspect bien plus réaliste à leur prestation. Ils n'ont pas besoin de jouer la comédie quand le tournage s'effectue avec aussi peu d'effets spéciaux. Le sentiment est donc particulièrement bien maîtrisé, et cela renforce l'attachement que l'on peut avoir envers nos personnages. Et dans ce sens, j'ai beaucoup aimé les échanges entre Helen Hunt et Bill Paxton. On les sent très investis dans leurs rôles et le développement de leur relation sera l'un des éléments les mieux gérés du récit. Certes, les autres personnages font un peu figure de figurants à côté d'eux, mais ce n'est pas vraiment dérangeant pour autant. Le grand spectacle reste très présent et il est particulièrement efficace, car on se sent proche des personnages et on est donc parfaitement dans l'ambiance. Dotant plus que le travail effectué par les équipes des effets spéciaux s'avère assez intéressant, surtout au niveau des tornades. Elles sont plutôt bien rendues, et pour un film de cette époque, c'est plutôt impressionnant. Certes, tous les effets ne sont pas de ce niveau, et d'autres ont un peu plus subi le poids de l'âge. Mais globalement, cela n'empêche jamais aux séquences fortes de fonctionner. Dans l'ensemble, le projet est donc une belle réussite et je comprends parfaitement pourquoi il a son statut. C'est un bon film de sensation forte, totalement décomplexé, et parfaitement dans le jus de son époque. Pour conclure, un moment assez retournant.
Pas très captivant, bon le scénario des chasseurs de tornades déjà c'est une idée très médiocre et inintéressante
Film à grand spectacle explorant la réalité prégnante des tornades américaines la narration vise à montrer autant de tempêtes à force destructrice que possible, dans une surenchère d'effets spéciaux et de danger. Cependant, les personnages ne sont dotés d'aucune densité émotionnelle ou psychologique, notamment ces scientifiques qui se comportent tels des adolescents attardés ou cet antagoniste caricatural alors que la lucidité du seul personnage raisonnable n'est reconnue qu'au vol après avoir été bêtement ridiculisée. Prévisible mais distrayant, ce divertissement tout public ne se prétend pas autre, ce qui est déjà appréciable!
une belle réussite des effets spéciaux très réussit un film spectaculaire divertissant sans êtres grotesque l'histoire et sur l'aspect scientifique tiens la route
Dans mes souvenirs, c'était un bon film. Le revoir n'a pas été une bonne idée. Les acteurs sont médiocres, tout comme la bande son. Autant l'intrigue de "Dorothy" est intéressante autant le reste quel ennui. Plusieurs scènes font très série B. Les effets spéciaux restent acceptables. Pas terrible.
Super film avec un casting sympa et une ambiance prenante.
C'est vraiment un classique des films catastrophe.
Ont est vraiment pris dans l'ambiance
Le visuel est vraiment réussi surtout pour sa date de sortie.
Je le préfère bien plus par son casting, son histoire et ses rôles secondaires que ce remake raté qui vient de sortir.
A voir où a revoir
Pour moi c'est un des meilleurs films de ce genre et sur les tornades c'est le seul qui soit vraiment réussi
C'est vraiment un classique des films catastrophe.
Ont est vraiment pris dans l'ambiance
Le visuel est vraiment réussi surtout pour sa date de sortie.
Je le préfère bien plus par son casting, son histoire et ses rôles secondaires que ce remake raté qui vient de sortir.
A voir où a revoir
Pour moi c'est un des meilleurs films de ce genre et sur les tornades c'est le seul qui soit vraiment réussi
Twister Réalisateur Jan De Bont, acteurs Helen Hunt, Bill Paxton. Des scientifique à la poursuite des torsades la plus destructive qu'ai connu L'Amérique. je l'avait vu au Gaumont j'avais bien aimé le film puisque je l'ai en DVD. Isa
Un film un peu moyen.
Des personnages un peu cliché, une histoire franchement pas très travaillé et des dialogues peu aboutit.
Même les moments où la tornade frappe sont un peu ratés ! Cela aurait pu avoir davantage de conséquences sur l'histoire !
Les tornades sont quand même bien faites et les moments DANS la tornade sont assez immersifs.
À... voir?
Des personnages un peu cliché, une histoire franchement pas très travaillé et des dialogues peu aboutit.
Même les moments où la tornade frappe sont un peu ratés ! Cela aurait pu avoir davantage de conséquences sur l'histoire !
Les tornades sont quand même bien faites et les moments DANS la tornade sont assez immersifs.
À... voir?
C'est classique mais ça marche plutôt bien, les personnages sont sympa à suivre, la fin est prévisible et les effets ont assez mal vielli (surtout la vache mdr). C'est sur c'est mieux que tout les téléfilms mais c'est pas non plus incroyable.
Cinememories
"Facile de reconnaître un monstre de cinéma quand on en voir un. La tornade fait partie de ces phénomènes météorologiques qui engendrent autant de dégâts que de succès sur la scène hollywoodienne. Pourtant, aucune autre bourrasque ne semble faire le poids avec le second long-métrage de Jan De Bont. Parfois dévastatrice, souvent kitsch, rarement mémorable, certains y ont même placé des requins dans le tourbillon, la tornade est une star à part entière dans Twister, un récit d’action et de réconciliation."
"Si les avancées technologiques ne lui sont pas favorables, il faut reconnaître à Jan de Bont un sens aigu de la narration par la tension. L’ancien directeur de la photographie de Paul Verhoeven et de John McTiernan a donc dédié toute son attention sur le crescendo, ce qui lui permet également de compenser avec des faiblesses d’écriture. En prenant en otage Keanu Reeves et Sandra Bullock dans un bus que l’on prive de pédales de frein, le cinéaste néerlandais garde une structure similaire pour son nouveau couple, qui connaît également ses zones de turbulences. Speed puisait ainsi dans les codes du film catastrophe pour rectifier la trajectoire de ses personnages en cours de route. Et cette fois-ci la menace n’a pas de visage, si ce n’est une sombre silhouette enveloppée dont la force de frappe défie toutes les créations humaines qu’elle croise. Un programme aussi récréatif qu’un rollercoaster avec le plus d’effets pratiques possible. C’est pourquoi le film ne réclame rien de plus qu’un divertissement vrombissant, ce à quoi George Miller parviendra à compléter d’une signature d’auteur avec Mad Max : Fury Road, mais c’est encore une autre histoire…"
"Propulsé par Amblin, distribué par la Warner, Twister reste aujourd’hui un indémodable film catastrophe et d’action qui emporte tout sur son passage. En maximisant les effets pratiques, quitte à mettre la santé des comédiens en danger, le film témoigne d’un savoir-faire qui s’est perdu parmi les séries B. Le spectateur est constamment mis sous tension, avec la belle assurance qu’elle ne redescende pas de sitôt, même à la fin du générique. Si tout n’a pas été parfait en coulisses, il faut reconnaître les qualités d’un artisan tel que Jan de Bont, un magicien du numérique et un conteur d’une incroyable efficacité."
Retrouvez ma critique complète sur Le Mag du Ciné.
"Si les avancées technologiques ne lui sont pas favorables, il faut reconnaître à Jan de Bont un sens aigu de la narration par la tension. L’ancien directeur de la photographie de Paul Verhoeven et de John McTiernan a donc dédié toute son attention sur le crescendo, ce qui lui permet également de compenser avec des faiblesses d’écriture. En prenant en otage Keanu Reeves et Sandra Bullock dans un bus que l’on prive de pédales de frein, le cinéaste néerlandais garde une structure similaire pour son nouveau couple, qui connaît également ses zones de turbulences. Speed puisait ainsi dans les codes du film catastrophe pour rectifier la trajectoire de ses personnages en cours de route. Et cette fois-ci la menace n’a pas de visage, si ce n’est une sombre silhouette enveloppée dont la force de frappe défie toutes les créations humaines qu’elle croise. Un programme aussi récréatif qu’un rollercoaster avec le plus d’effets pratiques possible. C’est pourquoi le film ne réclame rien de plus qu’un divertissement vrombissant, ce à quoi George Miller parviendra à compléter d’une signature d’auteur avec Mad Max : Fury Road, mais c’est encore une autre histoire…"
"Propulsé par Amblin, distribué par la Warner, Twister reste aujourd’hui un indémodable film catastrophe et d’action qui emporte tout sur son passage. En maximisant les effets pratiques, quitte à mettre la santé des comédiens en danger, le film témoigne d’un savoir-faire qui s’est perdu parmi les séries B. Le spectateur est constamment mis sous tension, avec la belle assurance qu’elle ne redescende pas de sitôt, même à la fin du générique. Si tout n’a pas été parfait en coulisses, il faut reconnaître les qualités d’un artisan tel que Jan de Bont, un magicien du numérique et un conteur d’une incroyable efficacité."
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Yetcha
Un classique du cinéma catastrophe et une icône des années 90. Une brochette d'acteurs incroyables pour des moments mythiques qu'on oubliera jamais. Des effets sépciaux qui 30 ans plus tard sont encore complètement crédibles et qui nous font comprendre à quel point à sa sortie le film a autant focntionné au box-office. Pour les fans du genre évidemment, mais un grand film catastrophe.
Envoûtant film, on suit et on a l'impression de vivre avec cette petite équipe de fou des tornades les séquences vécus, les acteurs son attachants et sont très biens, l'histoire est belle, la séquence dès le début du film est génial, elle nous fait rentrer directement dans le film, le coup avec la bande Rivals est vrm bien trouvé aussi, ça apporte cette touche de hargne et de , les décors et effets spéciaux pour 1996 sont qualificatifs, la bande son est top, tt comme l'ambiance général de celui-ci, top film à voir !
Un plaisir coupable tout droit sorti des 90's comme je le aime.
Ok, niveau scénar et écriture des persos, c'est pas très original (mais y a bien pire, croyez-moi).
Mais cette plongée dans le quotidien de chasseurs de tornades reste tout de même fort divertissante et efficace.
Dans le genre des films catastrophe, on reste quand même dans le haut du panier.
Et puis les tornades, fascinantes et terrifiantes à la fois, m'ont toujours captivé. Ça joue forcément un peu dans le ressenti du (re)visionnage.
P.S.: et c'est aussi ce film qui a attiré mon regard en direction de "Shining" pour la première fois, ce qui n'est pas rien :)
Ok, niveau scénar et écriture des persos, c'est pas très original (mais y a bien pire, croyez-moi).
Mais cette plongée dans le quotidien de chasseurs de tornades reste tout de même fort divertissante et efficace.
Dans le genre des films catastrophe, on reste quand même dans le haut du panier.
Et puis les tornades, fascinantes et terrifiantes à la fois, m'ont toujours captivé. Ça joue forcément un peu dans le ressenti du (re)visionnage.
P.S.: et c'est aussi ce film qui a attiré mon regard en direction de "Shining" pour la première fois, ce qui n'est pas rien :)
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