AlloCiné
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Mélodrame émouvant et remarquablement interprété. Ce film est très loin d'être un chef d'oeuvre et loin d'être transcendant, mais reste accessible et agréable à suivre. Film choral au sein d'une famille, d'une fratrie, où chacun se remet en question et veut soigner ses maux.
Un film complet, on en ressort remplie d'émotion très disparate. Le parcours de chacun des personnages est travaillé et profond. Le film donne envie d'appeler et de passer des moments avec sa famille.
un film extrémement touchant sur l'histoire d'une famille .On suit le cheminement de chacun de ses membres jusqu'au jour où un evenement va tout bouleverser
Dès que l'on comprends ce que sera l'issue , l'émotion est palpable .
Émotion sans larmes , car elle ressemble aux émotions de tous les jours !
Le jeu des acteurs est juste et naturel !
Jpaul Rouve est exceptionnel
Émotion sans larmes , car elle ressemble aux émotions de tous les jours !
Le jeu des acteurs est juste et naturel !
Jpaul Rouve est exceptionnel
Un film choral, c’est avec un directeur de chorale, et là ça manque cruellement de structure, de scénario et de montage. Malgré la sensibilité de Jean-Paul Rouve et de Benjamin Lavernhe, le film devient vite ennuyeux et cumule les clichés. Elsa Zylberstein a l’air d’être sous antidépresseurs et on ne parvient pas à entrer dans cette famille. Tu as des pièces détachées mais elles ne s’emboîtent pas du tout et les plans rapprochés ou de trois quarts arrières pour donner de la consistance aux personnages ne suffisent pas.
Tranches de vies dans une même famille où tout ce petit monde traverse crises et déceptions. Bien tristounet dépressif, de quoi avaler sa langue plutôt que le pop corn. Pour les plus de 17 ans et ceux qui veulent pleurer. L'histoire est passable bien que correctement jouée.
2,5/5
2,5/5
De beaux moments d'émotions qui sauront vous tirer la l'arme à l'œil et rappeler les joies et les peines d'une famille nombreuse.
Cela se regarde facilement.
Cela se regarde facilement.
Il y a des films qui vous touchent plus que d'autres. Des films qui semblent refléter certaines parties de votre histoire personnelle. Ce film fait partie de ceux là. J'ai été en osmose complète avec tout ce que ce film dégage. L'histoire si empreinte d humanité, l'interprétation des acteurs fabuleuse, la musique plus ou moins présente en fonction des instants du film et qui semble toujours parfaitement à sa place. J'ai vraiment adoré ce film. Il m'a fait pleurer... ce qui est de plus en plus rare. Peut-être est-ce lié à la fragilité de chacun de ses personnages... Merci.
Laissé surprendre par ce film et la prestation aboutit de JP Rouvre. Dans un rôle d'un homme sur la retenu puis déstabilisé, il est particulièrement touchant.
Bonjour a tous. Film chorale avec des longueurs et un scénario plutôt très moyen. Les comédiens ne sont pas en cause. Mention spéciale pour la soeur de j.p. Rouve qui a visiblement 30 ans d écart. Un peu de crédibilité ne serai pas de trop. Bref on s ennuie un peu. Ce genre de film n est pas nouveau, à voir a la télé....
Un film fort, puissant, touchant qui prend aux tripes, qui impacte le coeur, qui ne laisse pas indifférent avec un casting de haute qualité.
Ce qui s'annonçait comme une belle comédie chorale familiale s'avère être un mélo sans queue ni tête, démoralisant au possible. Comme souvent, seul l'exceptionnel Benjamin Lavernhe tire son épingle du jeu.
la vie banale de gens ordinaires de la classe moyenne, sans problème d'argent ou d'emploi, car sinon, il n'y a plus de film. C'est dire si l'on va s'ennuyer devant ces situations prévisibles, ses discussions terre à terre, cette trame cousue grossièrement. Un film sur des gens qui se regardent le nombril et en font dithyrambe.
Et puis le vieil amour qui ressurgit dans l'urgence, comme si Elena, désormais célèbre, n'avait personne d'autre autour d'elle depuis ce temps.
Le personnage central qui n'en a rien à faire de sa femme se suicide sans aucune raison profonde à mon sens, et ne mettra pas le moindre questionnement en lumière parmi ces proches. sa fille n'a aucune réaction face à la mort de son père. De là à penser que ça n'a été évoqué dans le script... Alors pour se justifier la mère lui dira que son père était trop malheureux sans autre effet, Bravo pou l'approche psychologique. Les flics sur les lieux du suicide s'adressent évidemment spontanément à sa sœur qui se trouvait dans le même hôtel ... Comme le hasard fait bien les choses.
Autre aberration que la perte d'un foetus causant une séparation. Ce foetus est d'ailleurs très vite oublié pour passer à autre chose, un examen tiens, pour le bac dans une école où il n'y a que le prof examinateur et un élève timide. C'est pourtant la meilleure séquence du film lorsque le lycéen explique un poème de Rimbaud. Mais la bonne impression est sabordé un peu plus loin dans le film lorsque la prof qui veut devenir écrivain se fait déposer sur une chaise dans une rue de Paris par un éditeur potentiel. La scène en elle-même est ridicule, mais voilà que la seule personne parmi tous les passants qui s'enquière de son état est le fameux lycéen qui par hasard - bien évidemment - passait par là, et qui a perdu toute timidité au passage.
Ca se veut un drame familial, mais c'est d'un convenu, d'un académisme qui ne retire aucune émotion. Quelle misère dans la tête des auteurs! Le titre laissait espérer tout autre chose.
Et puis le vieil amour qui ressurgit dans l'urgence, comme si Elena, désormais célèbre, n'avait personne d'autre autour d'elle depuis ce temps.
Le personnage central qui n'en a rien à faire de sa femme se suicide sans aucune raison profonde à mon sens, et ne mettra pas le moindre questionnement en lumière parmi ces proches. sa fille n'a aucune réaction face à la mort de son père. De là à penser que ça n'a été évoqué dans le script... Alors pour se justifier la mère lui dira que son père était trop malheureux sans autre effet, Bravo pou l'approche psychologique. Les flics sur les lieux du suicide s'adressent évidemment spontanément à sa sœur qui se trouvait dans le même hôtel ... Comme le hasard fait bien les choses.
Autre aberration que la perte d'un foetus causant une séparation. Ce foetus est d'ailleurs très vite oublié pour passer à autre chose, un examen tiens, pour le bac dans une école où il n'y a que le prof examinateur et un élève timide. C'est pourtant la meilleure séquence du film lorsque le lycéen explique un poème de Rimbaud. Mais la bonne impression est sabordé un peu plus loin dans le film lorsque la prof qui veut devenir écrivain se fait déposer sur une chaise dans une rue de Paris par un éditeur potentiel. La scène en elle-même est ridicule, mais voilà que la seule personne parmi tous les passants qui s'enquière de son état est le fameux lycéen qui par hasard - bien évidemment - passait par là, et qui a perdu toute timidité au passage.
Ca se veut un drame familial, mais c'est d'un convenu, d'un académisme qui ne retire aucune émotion. Quelle misère dans la tête des auteurs! Le titre laissait espérer tout autre chose.
bsalvert
Typiquement le genre de film qu'on ne recommande à personne tant personne n'y trouvera son compte. Certes le film décrit des stéréotypes de situation qui pourrait nous aider à nous inclure mais non, le rythme n'est pas présent non plus et les scènes sont tellement convenues qu'on a juste l'impression de perdre son temps.
Ce film s’apparente à un vaste fourre-tout décousu, duquel aucun semblant d'intrigue ou d'enjeu n'émerge, et où chaque scène est un peu plus creuse que la précédente.
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