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NATHANDANET09
5 critiques
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3,5
Publiée le 19 août 2024
Love and Other Drug est une très bonne comédie romantique je rajouterais même dramatique . On ressent facilement la pureté de l'amour que Jamie voue à Maggie, un amour d'une rare authenticité et d'une beauté éclatante. C'est incontestablement l'une des plus meilleures performances de Jake Gyllenhaal, qui incarne son personnage avec une intensité exceptionnelles. Chaque scène est imprégnée d'émotion, et le film parvient à capturer l'essence même de l'amour véritable. Un excellent film dans son genre 👍
Ce film est l'un de mes favoris dans son genre, parce qu'il est romantique sans être irréaliste.
Anna Hathaway est superbe dedans ; elle est magnifique, une vraie héroïne. Elle est aussi grave, touchante, vulnérable. Son personnages a une philosphie en or, à la fois humble et blessée. J'aime beaucoup le message qu'elle véhicule, cette malade qui ne s'autorise pas Autrui parce qu'elle sait ce qu'il en coûtera. C'est dur et ça nous fait comprendre les enjeux des incurables.
J'aime la franchise a ce sujet ; être compagnon d'un malade, c'est dur. Ça n'a rien d'héroïque ou de romantique, justement. C'est juste dur. Des fois écœurants pathétiques et désespérants. Comme si on n'avait plus le droit à l'innocence ou à la simplicité. C'est injuste, il faut le rappeler.
C'est important.
Enfin, j'adore les plans, les photos, l'évolution de la relation, on passe du violent et de l'impersonnel aux questions, aux confessions, aux larmes.
Si je dois enlever des points, c'est pour le temps que met le film à s'enclencher et parce que des fois, il y a un genre de vulgarité que je ne comprends pas.
Faux humour.
Mais ce film est l'un des plus beaux ; je l'ai adoré et je vous encourage à le voir.
C’est léger et c’est une belle histoire d’amour ! C’est drôle mais réaliste, et avec Anne Hathaway et Jake Gyllenhaal, un beau moment pour les yeux ! Pas de raison de s’en passer !
Un prescripteur pharmaceutique tombe amoureux d'une jeune femme atteint de parkinson. Malgré le résumé, il s'agit d'une comedie romantique sensible. Anne hattaway est formidable.
J'ai un petit problème avec ce film. J'ai l'impression que il y a pas d'histoire mais juste des scènes qui se suivent. Par contre l'humour marche assez bien. La fin est plus que prévisible. Film sans grand intérêt mais l'humour sauve un peu le tout.
Ce film est excellent, touchant et drôle à la fois, les dialogues sont tellement bien écrit . Merci pour xe grand moment de cinéma, foncez regarder franchement il mérite le détour 🙏
Comédie dramatique très émouvante! Bien que le scénario soit prévisible, nul doute que l'on ne regarde pas ce genre de drame pour être surpris. La maladie de Parkinson, sujet bien souvent tabou est manipulée avec beaucoup de délicatesse et de transparence. Je trouve que l’on pouvait même aller encore plus loin pour sensibiliser davantage. Toutefois, ce film est rempli d'espoir ! Le jeu d'Anne Hathaway est très réussi. Le personnage de Maggie passe d’un état de bonheur et d’euphorie à un état de grande détresse. Maggie apparait alors comme une femme tiraillée qui doit vivre avec le poids de sa maladie, ce qui la rend très attachante. Jamie est tout aussi adoré mais son rôle de « sauveur» apparaît un peu trop comme « parfait », ce qui décrédibilise très légèrement le scénario.
C'est dimanche. L'on se dit qu'on aimerait voir une comédie qui ne soit pas trop bête. Défi relevé pour ce film qui présente beaucoup de qualités.
Anne Hathaway est irrésistible. Jake Gyllenhaal très juste. Le second rôle Josh Gad est excellent dans le costume du beau frère riche, gros et sexuellement névrosé : on rit de bon cœur.
Une comédie qui nous donne à penser nos propres valeurs : une carrière, de l'argent, des belles femmes valent-ils plus que le grand amour ?
Je suis vraiment étonnée de découvrir les critiques très moyennes qu'à reçu ce film. Je l'ai regardé un peu au hasard/par depit en pensant tomber sur une énième comédie romantique sans profondeur... Au final, j'ai trouvé un film d'exception! Si vous cherchez une comédie romantique légère et sans prise de tête, effectivement, ce film n'est pas de cette catégorie. Dès les premières minutes, des sujets bien différents sont annoncés : la maladie chronique et dégénérative et le lobby pharmaceutique. J'ai trouvé cette histoire particulièrement juste et intéressante dans la façon d'appréhender la vie et son avenir avec une maladie dont on sait qu'elle va évoluer et qu'on ne peut pas contrôler. L'interprétation d'Anna Hathaway est superbe avec des moments de légèreté purs mais aussi de profondes réflexions. Ce film m'a vraiment touchée et je les émotions et réflexions du duo face à la maladie est très juste et réaliste. La frustration, le désarroi et les changements d'émotions et de vision de son avenir avec la maladie font partie du quotidien des personnes malades. Cela peut sembler niais ni vous n'êtes pas sensibilisé à ce sujet mais il est ici très bien traité et cette histoire d'amour est selon moi beaucoup plus réaliste et intéressante que la plupart de celles qu'on trouve dans les comédies romantiques américaines qui sont toutes écrites avec la même trame. Je ne connais pas beaucoup de film traitant d'amour et de maladie ou handicap de façon si juste. Ce film aide a mettre des mots sur ce que l'on vit quand on est malade et la complexité de l'avenir.
"Love & Other Drugs" est pour le moins difficile à catégoriser. Quelque part entre la comédie romantique, le mélodrame, et la comédie potache, se déroule l'histoire de Jamie. Beau parleur et séducteur ayant raté ses études de médecine, il devient représentant de produits pharmaceutiques. Et fera la rencontre de Maggie, superbe jeune femme atteinte du premier stade de Parkinson. Le hic du film est qu'il ne sait jamais vraiment sur quel pied danser. On pressent au départ un portrait au vitriol du système de santé, corrompu et noyauté par des entreprises pharmaceutiques aux dents longues. Avec notamment de vrais noms de laboratoires ou de médicaments, amplement cités à l'écran. Mais non, la critique est finalement assez timorée. On s'attend alors à un mélodrame difficile sur un Don Juan qui s'éprend d'une femme vulnérable. Mais non, le sujet de la maladie est finalement traité de manière superficielle, si ce n'est dans la dernière demi-heure. Le scénario préfère se centrer sur les parties de jambes en l'air de nos protagonistes. A ce niveau, le film étonne, montrant beaucoup plus que les habituelles comédies US très formatées et familiales. Entre deux vannes potaches amusantes, ceux qui ont toujours rêvé de contempler la poitrine de Anne Hathaway ou le popotin de Jake Gyllenhaal en auront pour leur argent. Un ensemble qui manque donc de profondeur, malgré les prestations énergiques et la complicité des deux acteurs principaux. On y apprend tout de même, pour ceux qui l'ignoraient, que le Viagra est un invention somme toute récente, et qu'il est fabriqué par Pfizer (!).
Pour un film que je n'avais pas envie de voir je l'ai vraiment apprécié, par compte j'ai trouvé quelques répliques vulgaires c'est ça qui m'empêche de mettre 5 étoiles mais sinon j'ai vraiment aimé je le conseille.
Sur le papier, tout était réuni pour que Love, et autres drogues soit un film plaisant : réalisé par Edward Zwick avec Jake Gyllenhaal et Anne Hathaway en tête d’affiche, et la curiosité du sujet. Je ne parle que de mon opinion personnelle, mais je n’ai pas vraiment apprécié ce film. Alors qu’il y a du panache et un rythme effréné, tout en traitant des substances et de ses addictions dans le très maîtrisé Le Loup de Wall Street, le film de Edward Zwick, dans une moindre mesure, est à l’opposé malgré quelques similitudes.
Les personnages de Love, et autres drogues sont antipathiques (eux aussi), tentant parfois, vainement, d’essayer d’attendrir leur sort auprès du spectateur. Tous sont avares de réussite, d’argent et de business à grande échelle. Mais tout cela transpire l’insupportable sur l’écran. Alors que Le Loup de Wall Street n'essaie même pas d’attendrir et d’amadouer le spectateur, on a la sensation que Love… essaie de tout justifier et d’engager un arc narratif pour le personnage de Jake Gyllenhaal auquel on ne croit pas.
Critique acerbe du milieu pharmaceutique, plutôt bien représenté dans le film, Love, et autres drogues enchaîne les situations sans appétit (à part pour ses personnages et le sexe) ni réel attrait pour son sujet. On passe un peu (beaucoup) à côté du film et, dans l’indifférence générale, on en ressort plus avec un sentiment de déception à défaut d’avoir retenu un semblant de réussite dans le film.
Le trépident Jake Gyllenhaal a toujours ce troublant mélange, dans ses incarnations, de gentillesse et de douce folie, qui rend ses rôles pertinents et non linéaires. Il faut passer l'obstacle des dix premières minutes qui semblent nous diriger vers une sitcom mielleuse, pour découvrir un duo d'acteurs qui a décidé de faire de cette romance un match de tennis loquace et troublant. Plus que le contexte de la maladie dans le couple, un tantinet larmoyant, c'est surtout par le jeu des deux protagonistes qu'on se laisse avoir. Le sourire irradiant d'Anne Hathaway n'y est pas pour rien non plus. Une comédie romantique qui passe en force et tombe dans tous les écueils du genre. Mais son premier degrés et sa façon moderne de parler de désir qui s'épuise, rend le tout vivant et non sans-intérêt.