Je recommence ma critique de l'Italien puisque j'ai été modérée, et comme je ne suis pas complètement idiote, je crois que j'en devine la raison. La dernière phrase de ma critique a dû mal passer, d'une façon ou d'une autre. Bref, je disais donc, pour autant que je me souvienne, que la première raison que Mourad invoque concernant sa supercherie est sa recherche infructueuse d'appartement, en raison du fait qu'il est arabe. Ce qui n'est pas mal vu, car j'avais des amis qui avaient le même problème, même s'ils étaient noirs. Mais bon, le truc avec Mourad, c'est qu'il s'obstine dans son imposture, jusqu'à se retrouver dans des situations délicates, voire presque inextricables, ce qui en fait le sel. Je disais également que mon père s'était lui aussi fait passer pour un Italien pour séduire ma mère, ce dans les années soixante, pendant lesquelles les Arabes étaient particulièrement mal vus. Je constatais également que ce film, loin d'être un chef d'oeuvre, est tout de même le meilleur de son réalisateur, Olivier Baroux, qui a également réalisé entre autres les Tuche, série de films insupportables de niaiserie et de beaufitude. Et je constatais également que c'est la première fois que je vois Kad Merad interpréter un Arabe dans un film, puisqu'il incarne d'habitude des Français de souche. J'espère ne pas être modérée encore, ma critique ne spoilant rien, et étant conforme et aux règles d'écriture, et à celles de l'orthographe.