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dai72
149 abonnés
2 131 critiques
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2,0
Publiée le 7 octobre 2011
Un film que j'ai des difficultés à qualifier de comédie. Parce que j'ai ri seulement à la fin, quand l'histoire s'intensifie et que la vérité est tombée. La phrase que je trouve la plus belle (et pourtant je suis athée) est : La religion, ce n'est pas que chiant, ça pardonne aussi. Mais à part ça, la première heure est très longue, lente, parfois ennuyeuse. Dommage!!
je trouve ce film intéressant et reflète bien la réalité. Émouvant avec beaucoup de sentiments et aussi avec pas mal d'humour bien tourné. de ma part, j'ai bien aimé paceque malheureusement aujourd'hui y a beaucoup de discrimination et racisme et ça film montre clairement la réticence des occidentaux vis-à-vis de la communauté musulmane.
Avec « L’Italien », Olivier Baroux réalise une comédie aux accents dramatiques en racontant l’histoire de Mourad qui, pour faciliter son intégration professionnelle, s’est construit une fausse identité. Pour sa fiancée comme pour ses collègues de travail, il est Dino Fabrizzi, italien de 42 ans à qui est promise une place de directeur dans la concession automobile qui l’emploie. Il ment également à sa famille à qui il laisse croire depuis de nombreuses années qu’il travaille en Italie. A travers cette vie bâtie sur un mensonge, le réalisateur aborde des thèmes comme le racisme, le rapport à la religion ou l’importance des liens familiaux. Même si le scénario manque de consistance et parait quelque peu consensuel, la démarche d’Olivier Baroux est empreinte d’une sincérité indéniable. Kad Merad, toujours très bon lorsqu’il joue des personnages sérieux, est ici très attachant en individu qui se redécouvre en étant contraint de faire le ramadan suite à une promesse faite à son père malade. Cette comédie, pas très drôle au final, capte notre intérêt grâce à son aspect social, même si celui-ci aurait peut être mérité d’être un peu plus approfondi.
Enfin un Kad Merad au top! Le rôle de cet "italien" lui va à merveille. Sur fond de comédie le film dénonce le racisme latent de certains français et nous présente un islam sous le meilleur jour (ça change!). A voir!
Film sur l’identité ? m’ouais, je ne suis pas si convaincu que ça. La morale de ce film pourrait être : tout le monde ment. C’est vrai. Seulement, je pousse le bouchon un peu plus loin. Cette comédie qui oscille entre comédie à gags et comédie sociale est assez incohérente au point de me fausser le plaisir du film. Oui, dans cette dernière phrase, il y a un indice. Je continue. Soit on fait une comédie qui pousse en avant le délire, soit une comédie déjantée, soit une comédie tout court et dans la comédie tout court, il faut un minimum de cohérence. Démonstration : c’est normal de grossir le trait : se faire passer italien pour assurer un emploi pour éviter le fameux délit de faciès, passe encore et pourquoi pas ? Mais de là à mentir à sa famille, c’est exagéré mais pourquoi pas, c’est une comédie... Peu importe, nous avons Mourad qui se fabrique une identité dans son milieu ; qu’il change de prénom, de nom, entendu, qu’il se donne un genre, une illusion, un rôle, pourquoi pas, mais dans le monde de l’entreprise ? Et ç’est là où pour moi ça ne fonctionne plus. Son salaire, sa déclaration d’impôts nomme Dino Fabrizzi et non Mourad Ben Saoud. Non seulement il ment, mais il a de faux papiers pour justifier son salaire etc... Mourad est un faussaire ! Alors, je veux bien accepter tout le reste mais ce point me « fausse » le plaisir du film qui m’a fait sourire plusieurs fois. Kad Merad est plus touchant que dans « Je vais bien ne t’en fais pas ». Par contre la scène de sa colère dans le bar est navrante...
Loin de la comédie potache auquelle on s'attendait en voyant le retour du duo comique Kad & Olivier (Réalisateur), L'Italien est une fable sur le racisme, la tolérance et les clichés subit par certains peuples. Si O.Baroux arrive à y donner de l'intérêt, le sujet est traité avec trop de légèreté pour faire totalement mouche.
La filmographie d'Olivier Baroux en tant que réalisateur est assez désastreuse.Mais dans le lot,émerge tout de même "L'Italien",gentille comédie sociale qui a le mérite d'aborder des sujets sérieux sous un angle assez léger et inhabituel.Dino,vendeur réputé chez Maserati,se présente comme un italien sympathique et compétent.Sauf qu'en réalité,il est un musulman pure souche!Quand son père lui demande de faire le ramadan à sa place,les ennuis commençent pour celui qui s'appele en réalité Mourad...Pour une fois,Kad Merad la met un peu en veilleuse,et prend avec dignité et une certaine gravité un sujet qui le touche de près,lui l'immigré algérien.Baroux réussit donc à traiter d'intégration,de tolérance,du délit de faciès et du fait que ces questionnements sont plus que jamais d'actualité,en dépit des discours politiquement corrects.Du coup,on maudit presque toute la partie vaudevillesque censée faire rire,mais plutôt consternante.Les efforts désespérés de Mourad pour cacher sa véritable identité ne sont que des prétextes qui n'apportent rien au film,et qui n'évitent pas les ramassis de clichés.On préferera donc retenir tout le reste.
Quand même plus réussi que "Safari", "L'italien" est un film ou l'on ne sait pas sur quel pied danser. Comédie pendant une heure, drame dans la demi heure restante. Mais surtout prévisible, sans ambition cinématographique, cliché, exagéré, enième film traitant de l'immigration, l'intégration, la diversité, le racisme et toutes ses choses. à croire que c'est le seul sujet auquel le cinéma français peut parler et mal en plus.
Dino est un vendeur de voiture cool et doué. Son vrai nom est Mourad, et se fait passer pour un italien aux yeux du monde, de peur que sa nationalité algérienne ne lui fasse défaut pour ses affaires et sa vie privée. Quand son père lui demande de faire le ramadan à sa place, il est obligé de renouer avec ses origines... Si je m'attendais à pire, "L'italien" ne propose guère de nouveauté dans la cinéma français. Il y a bien la question de l'identité, tournée en comédie pendant les trois quarts du temps du film avant de retrouver un aspect plus dramatique, dont le dernier quart d'heure est sans doute le plus réussi. C'est certes fort louable, mais le film finit par crouler sous les bons sentiments et les maladresses scénaristiques. L'ensemble a pourtant un côté assez sympa et la mise en scène évite certaines lourdeurs que l'on attendait au tournant. Mais ça ne suffit pas à sauver un sujet intéressant d'un scénario trop peu inspiré et au potentiel mal exploité. Reste cependant Kad Merad, excellent et une juste galerie d'acteurs.
Impossible de regarder ce film jusqu'au bout, tout simplement parce qu'il n'y a aucun élément comique et pour un film vendu comme une comédie c'est plutôt fâcheux. On assiste juste à un empilage de clichés et c'est lourd...très lourd.
Après le très regardable « Ce soir, je dors chez toi » et le désastreux « Safari », il était difficile de deviner ce qu'allait donner le troisième film d'Olivier Baroux. Eh bien pas un grand film évidemment, pas toujours léger léger dans son discours (c'est le moins qu'on puisse dire) et pas vraiment réussi dans son aspect dramatique, mais une oeuvre honnête, et finalement plutôt agréable à regarder malgré ses défauts. D'ailleurs on sourit souvent et les différents personnages sont loin de nous laisser de marbre, la belle interprétation de Kad Merad (sans doute dans l'un de ses meilleurs rôles) apportant à ce « Dino-Mourad » une humanité plutôt touchante. Rien de vraiment marquant bien sûr, mais après tout, une « comédie » française parfois drôle et qui (en plus!!) a des choses à dire, perso je prends.
Après un début sympa et un Kad Merad en forme, le film plonge rapidement dans l'ennui avec une "reflexion" sur l'integration maladroite, mal exploitée et parfois douteuse... Une déception en somme
bon divertissement dans l'ensemble des passages vraiment drôles mais trop rares à mon goût et puis franchement je n'ai rien contre Dino ou mourad mais trop de Kad tue le Merad
Un film qui se laisse regarder malgré ses clichés et son final bisounours. K.Mérad s'amuse à prendre l'identité d'un rital pour que sa vie s'améliore : l'idée est très conne mais on supporte le métrage grâce à ses acteurs.