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Pamela B
21 abonnés
342 critiques
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3,0
Publiée le 6 mai 2012
belle aventure. dommage que colin Farell est un si petit rôle. difficultés à reconnaître les personnages à part certains donc on a du mal à se les imprégner.
Ne vous attendez pas à un film d'action, tout ici tourne autour de leur périple de la quête de liberté. Un film assez captivant bien qu'un peu longuet. Les images des paysages sont d'une beauté saisissante.
épopée extraordinaire, personnages charismatiques et "attachants" avec leur propre histoire et leurs propres secrets mais tous unis pour survivre a cette enfer qu'est la Sibérie . dommage que quelques longueurs viennent des fois "casser" le rythme du film ... sans ce petit bémol je lui aurais mis un 5 étoiles sans hésiter
Très bon film, qui nous embarque dans un périple assez extraordinaire. Les images sont par ailleurs très belles, et le jeu des acteurs plutôt bon. J'ai aimé
Plutôt haletant, mais un brin répétitif, le film se laisse suivre avec un certain plaisir et une angoisse distillée assez finement. Jim Sturgess est excellent. Malheureusement, la fin est ratée...
Long et pénible comme la très longue marche des héros. On souffre avec eux. L'histoire est superbe, les personnages et acteurs charismatiques mais le film manque de profondeur, banalise le propos et finit par décevoir.
L'histoire incroyable de ce petit groupe de personnes qui s'échappent d'un camp en Sibérie pour trouver la liberté en Inde est magnifique sur le papier. Le casting est très bon et Peter Weir a déjà prouvé qu'il était lui aussi talentueux (Réal. Truman Show). Marlgré tout ce film ne marque pas autant que prévu... dommage!
C'est assez rare quand je donne une note comme cela à un film.On se rapproche du chef d'oeuvre grace à ce long metrage de plus de 2h tiré de faits reels (7 prisonnier voués à la mort s'echappent d'un camp de travail du regime Stalinien et parcourent 6500kms pour retrouver leur liberté) Ces hommes traversent plusieurs pays à pied sur plusieurs mois , on marchent et souffrent avec eux. La réalisation est parfaite.Les paysages magnifique.Les acteurs jouent merveilleusement bien et on est pris dans cette incroyable et folle histoire.Merci pour ce voyage.
La Nature, théâtre majestueux où se joue ce drame humain, est le plus souvent mystique et animée d’une force propre, elle pousse les personnages dans leurs retranchements, aux confins de la bestialité ( la séquence où le groupe chasse les loups avant de devenir loups eux-mêmes) ou de la folie (les hallucinations et autres mirages favorisés par la fatigue et la peur). Impitoyable, cette logique aura raison des plus fragiles - car la mort frappe plus d’une fois au cours du voyage, y compris contre les êtres les plus attachants. Les personnages évitent l'archétype grâce à leur épaisseur humaine et au réalisme des situations, ainsi Ed. Harris est-il impérial en américain inflexible et très touchant, la belle Saoirse Ronan (révélée par Lovely Bones, de Peter Jackson) dans le seul rôle féminin du film. Quant à Colin Farrell, il en fait trop à mon goût dans un rôle de loubard qui lui va pourtant comme un gant, il sursignifie chaque situation et chaque dialogue, et c'est dommage ; alors que Jim Sturgess n'en fait pas assez et n'a certes pas la flamme que l'on s'attendrait à trouver de la part d'un idéaliste et du leader désigné. Ceci mis à part, voilà du bel ouvrage, un film qui se déploie comme une symphonie épique, dans des décors à couper le souffle, où le "chacun-pour-soi" devient, au fil des kilomètres parcourus, le " rien sans l'autre", donnant sens et existence à la solidarité et au partage. Et nous rappelle, à bon escient, ce que furent les camps de la mort du monde communiste.
un film qui prend aux tripes. Le goulag, cette saloperie qu'est le communisme et qui pitié existe encore en france en 2012. Qu'on envoie ces malades quelques semaines dans la Kolyma, en sibérie orientale, afin de voir ce qu'on enduré des millions d'innoncents, dont le seul crime était de penser autrement et de rêver de liberté. Honteux que le communisme existe encore en france, il est même bien présent pour l'élection présidentielle, on croit rêver. Autant de mort que le fascisme le goulag, si pas plus.
On aime la première partie, mélée d'ingénieusité, de survie, de dureté et de gentillesse mais la fin s'essoufle et s'éteint comme la dernière braise de l'âtre. Ils arrivent à leur fin mais on reste sur notre faim.