Histoire très bien ficelée, on ne sait pas du tout à quoi s'attendre, un peu déçu de la fin quand même mais ça reste très bien je vous conseil de le voir !
Surement le meilleur thriller de l’histoire du cinéma, malgré le fait que je n’aime pas choisir un film parmis les autres, celui-ci est vraiment je pense le meilleur par son scénario, son suspense et son intrigue
Chef d’œuvre absolu, l’un des meilleurs polars de l’histoire du cinéma, Pitt, Freeman et Spacey au sommet, photo, montage, éclairage et bande son de fou, absolument incroyable!!!
Il faut tout de même être bon public pour gober spoiler: un scénario aussi fragile. Par exemple le fait de se découper la pulpe des doigts pour éviter les empreintes, avec les saignements et la douleur insupportable que cela doit impliquer, sans compter le handicap au niveau manuel et les infections bactériennes. Impossible qu'il puisse utiliser ses doigts dans des procédures demandant autant de manipulations, d'agilité, et de force. Et je ne vois pas l'intérêt de la chose pour la narration du film.
Mais c'est un excellent film par ailleurs évidemment.
nan c'est trop grandiose, revu au cinéma récemment, l'image est tellement belle c'est dingue. Morgan Freeman et Brad Pitt excellents en détectives (même si Pitt est insupportable)
Ah SEVEN ... vraiment un film qui vous retourne et vous prend aux tripes ; je crois que tout est parfait, une masterclass incontournable ! Ce film restera à jamais une référence pour moi. Depuis je suis dans l'attente de quelque chose d'aussi fort ...
Un grand film de David Fincher, devenu aujourd'hui un incontournable du Cinéma, "Seven" nous plonge dans l'enquête des 7 péchés capitaux, qui seront énoncé tout au long du film. Le duo Brad Pitt / Morgan Freeman est génial, et les personnages sont très bien construits. Il n'y a aucun temps mort dans le film, ce qui nous permet de nous immerger complètement dedans, et l'histoire est construite de façon à ce que l'on puisse nous aussi mener l'enquête avec les personnages ! Malgré le succès du twist de fin, je l'ai trouvé finalement assez prévisible, et je n'ai donc pas pu être surpris comme j'aurais voulu l'être : un peu dommage, mais ce n'est pas très grave en soi. "Seven" est un très bon film, et je ne suis pas près de l'oublier !
Seven est un film de David Fincher sorti en 1995. Ce thriller est un chef d'œuvre ! Porté par un duo d'acteurs iconiques (Brad Pitt et Morgan Freeman), le réalisateur nous dépeint, avec une réalisation simple mais exigeante, l'histoire de ces deux flics, l'un résigné par des années de service et l'autre mort de faim sur chaque affaire, qui, par la force des choses, se retrouvent à collaborer et à être dans une forme de transmission. spoiler: La référence aux 7 péchés capitaux est bien amenée , et donne à cette histoire une profondeur qui fait parfois défaut dans ce type de thriller. La courte performance de Gwyneth Paltrow est convaincante, et Kevin Spacey est absolument parfait en antagoniste principal, le climax en extérieur étant haletant à souhait. Le tout est souligné par une composition inquiétante et fort à propos de Howard Shore. Fincher réalise un coup de maître avec Seven ! Un thriller d'une puissance folle, captivant de bout en bout avec un rythme et un intérêt allant crescendo, un grand film.
Réussite esthétique pour Fincher, qui porte un soin particulier à la photographie, et s'affranchit des éclairages hollywoodiens habituels. Les enquêteurs naviguent à vue dans une ville des péchés – littéralement –, où il pleut tout le temps. Cette pluie souligne la noirceur des crimes qui sont commis, et renforce le sentiment d'opacité du tueur en série : les indices sont donnés au compte-gouttes, de manière nébuleuse.
Tout le scénario ne tient qu'à la perfidie du meurtrier. Derrière le motif religieux de ses assassinats, on le voit jouer au chat et à la souris avec les policiers. Mais ce jeu de piste sadique ne parvient pas à nous mettre aussi mal à l'aise qu'on aurait dû l'être devant la morbidité de ses mises en scène criminelles.
Fincher n'a pas la volonté de concentrer son film uniquement sur son enquête nihiliste. Il l'alourdit d'un développement dispensable de la vie de couple de Mills, contrairement à Somerset dont on ne sait pas grand-chose. La raison de cette boursouflure scénaristique n'est autre que de rapiécer le dénouement bancal. En bon méchant de série B qu'il est, le tueur prend le temps d'expliquer tout son plan machiavélique aux protagonistes. Le climax, prévisible, prend alors une tournure grotesque.