Alors tout d'abord, il y a la scène d'ouverture du film, morceau de bravoure anthologique d'une maestria technique époustouflante et qui nous plonge au cœur de l'une des représentations les plus houleuses de l'histoire de Paris. Difficile de garder le même rythme par la suite par contre. Donc la suite, et bien c'est une histoire de triangle amoureux classique (la femme, le mari, la maîtresse), les scènes déjà vues 100 dans le genre etc... Sauf qu'il y a quelques réflexions sur la création, des passerelles entre la vie artistique et la vie amoureuse et un très grand M. Mikkelsen. En face, A. Mouglalis s'en sort bien même si son ton monocorde peut désarçonner. Après, le personnage de Coco Chanel est assez antipathique, l'ennui pointe malgré des plans magnifiques. Bref, c'est un bel objet parfois un peu creux. Mais il confirme l'excellence technique de J. Kounen. D'autres critiques sur