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miyanono
3 critiques
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1,0
Publiée le 13 décembre 2024
Dans Matrix, le côté irréel des scènes d’action avait un sens et collé parfaitement au scénario. Derrière il y avait une superbe musique et une magnifique chorégraphie. Ici, on a quelque chose complètement fantaisiste, irréel, mal fait qui ne sert strictement à rien à l’histoire. Enfin, si vraiment vous arrivez à en trouver une… Le mieux du film c’est qu’il ne se passe rien, au moins là il ne se passe pas n’importe quoi
Visuellement impressionnant grâce à la 3D et aux effets stylisés, mais le scénario reste mince et les scènes d’action flirtent avec l’exagération. Un plaisir coupable plus qu’un bon film.
Très bon film à l'instar de l'ensemble de la saga ! Je recommande vivement cette dernière qui somme toute et contrairement à la critique nous offre de bons moments
Mon Dieu, je ne comprends pas les mauvaises critiques des spectateurs ! Certes, le film vaut moins sur petit écran, mais il est très impressionnant au cinéma et surtout en 3D ! Pour tout vous dire, j'ai vu une centaine de films au cinéma, depuis mon enfance, en tout, et c'est le SEUL film qui m'a fait croire que j'allais MOURIR !! spoiler: Eh oui, quand l'axeman lance sa hache au ralenti, en 3D, la hache nous arrive jusqu'aux yeux ! Tout juste le temps de les fermer. Et juste après, lorsque la tête de l'axeman explose, une goutte de sang apparaît sur l'écran, et en 3D, on a envie de s'essuyer la lunette !!spoiler:
Aucun film ne m'avait fait ça, en 3D, pas même Avatar 1 ! Pour moi, Resident Evil : Afterlife reste le meilleur film en 3D. De plus, j'étais scotché tout le long, jusqu'au générique, par l'ambiance et la musique. C'est le chef-d'œuvre de Paul WS Anderson, après son Alien vs Predator. Je l'ai vu six fois au cinéma !
Certainement le pire film de la franchise "Resident Débile". Alors que le film précédent s'était affranchi des références à Matrix celui-ci en remet une couche en plagiant littéralement des effets spéciaux de celui y compris le bullet-time mais puissance 10 dans la laideur. Mila, en post-production, a doublé sa voix sur le même temps monocorde "j'en ai rien a foutre de ce que je fais", c'est insupportable! Si vous avez le DVD utilisez le pour effrayer les pigeons sur votre balcon, il sera utile au moins.
Cette nouvelle suite de la saga Resident Evil n'arrive pas à rehausser le niveau de la franchise qui reste au mieux moyenne et regardable, au pire mauvaise. Dans ce film, il y a à prendre et à laisser. Le choix de retirer les pouvoirs d'Alice montre que la saga ne sait pas où aller pour se renouveler. En revanche, les personnages nouvellement introduit dans cet opus sont plutôt cools (c'est d'ailleurs dommage qu'ils n'apparaissent pas dans les films suivants). L'action est regardable et ça passe, mais sans plus. Ce n'est pas ouf, mais ça se regarde.
Le 4eme film d'une série qui tourne en rond en terme de structure. C'est toujours pareil et la ça se ressent beaucoup plus. Surtout cette introduction qui est CATASTROPHIQUE. (Spoiler : toute l'idée introduite à la fin du 3 est plombée, et la fin de cette intro est vraiment naze, voyez par vous même)
Bref après une première partie de film à vouloir se couper les veines, arrive l'élément majeur du film, la rencontre avec des survivant (encore), mais ça va ça ce regarde. Par contre dès qu'on a passe à la dernière partie du film, c'est le retour des incohérences et de la nullité, en nous disant encore qu'il y aura une suite....
Je trouve que c'est pas le pire RE, sauf en terme d'into et de faux raccord à a la fin. Mais on commence sérieusement à sentir la repetitivité dans la structure et du film et le fait que l'histoire n'avance pas.
l'échec est d'entrée de film puisqu'ils annonce dès la première scène d'action que l'histoire seras de la science fiction pur et dur, avec le grand retour des pouvoir de super sayan de l'héroine (du deuxième film de 2004), des pouvoir censé ne pas exister, ni meme son clonage d'ailleur digne d'une parodie haineuse....bref du coup les scénariste change d'avis et font en sorte que le méchant retire ses pouvoirs a l'héroine, la tentative d'action encore et encore histoire de bien cacher les incohérences scénaristiques, ont tente de lui rendre son statut de survivante parce que...scénario, ce n'est meme pas pour respecter resident evil qu'ils l'on fait MAIS juste pour préparer encore plus d'incohérences. ont a le méchant frère survivant enfermé dans une cage parce "qu'ils ont peur de lui" c'est complètement con punnaise.....ils sont bloqué dans le seul imeuble restant sur des millier des killomètres a la ronde ??? et ont encore l'eau courrante ???, le zombie sortant d'un coup du sol ?? parce que scénario ?? et apparemment un complexe millitaire se trouve dans l'immeuble parce que WTF ??, le grand type a la hache qui détruit la barrière ???? cela n'as aucun sens....BREF ont touche le fond avec ce film......
Quatrième volet de la franchise, Resident Evil Afterlife est assurément le plus mauvais alors que les autres n'étaient déjà pas fameux, c'est dire le niveau atteint ici par cet opus qui prend une tournure encore plus éloignée de la licence dont il est adapté. L'histoire nous plonge quatre années plus tard et nous fait toujours suivre un groupe de survivants devant lutter pour leur survie. Enfin semble t-il, car à force on ne sait même plus quel est leur objectif. Pendant une heure et demie on se retrouvent devant un énorme n'importe quoi à peine croyable, avec une scène d'introduction annonçant la couleur. Plus les épisodes passent et plus on s'éloigne de l'esprit de la licence originale qui n'est à ce stade plus qu'un fantasme. Le manque de cohérence commence à se voir dans cette nouvelle aventure qui nous fait voyager un peu partout dans des environnements beaucoup plus variés qu'auparavant, ce qui n'est pas signe de qualité tant l'ensemble manque de liant. Pas grave puisque le long-métrage se contente d'être un parcours de tir aux zombies, qui ont quand même le mérite d'avoir évolués un peu. Peut-être même plus que les protagonistes principaux. On retrouve une Alice increvable et plus athlétique que jamais toujours interprétée par une Milla Jovovich bien fade au niveau de ses émotions. Le personnage de Claire devient pour sa part assez secondaire ce qui est vraiment dommage surtout que sont frère est enfin intronisé. Cependant Wentworth Miller campe un Chris invisible dont la relation avec sa sœur est totalement ratée. Du côté des antagonistes, Wesker se dévoile enfin pour le meilleur et pour le pire. Tous les autres rôles n'ont pas d’intérêt vu que de toute façon on a le droit au minimum d’interactions sociales entre eux. En atteste le peu de dialogues dont ils ne s’embarrassent même plus et tant mieux tant ils sont navrants. Mais hélas tout cela n'est rien face au retour de Paul W.S. Anderson à la réalisation qui s'en donne à cœur joie. L'argument marketing majeur du film étant sa 3D, toute la mise en scène est pensée pour cet artifice, donc si on regarde le film sans, tout perd sens. On est dans l'exagération et la surenchère à outrance lors des scènes d'actions ou il en fait des caisses pour ressembler à Matrix avec plus d'une décennie de retard. Ça n'a aucune identité propre et se contente de copier à droite à gauche. De plus il abuse des ralentis et autres effets de modes du moment jusqu'à l'overdose. Tout est calibré pour en mettre pleins les yeux mais esthétiquement nous sommes face à une bouillie numérique. Les effets-spéciaux sont nombreux et malheureusement peu reluisants, à l'image de l'ennemi iconique armé de sa hache particulièrement mal incrusté. Le couperet est donc fatal puisque tout ceci assemblé donne un visuel offrant des séquences la plupart du temps proche du ridicule. La b.o. accompagnant ces affrontements est pour sa part percutante et prend beaucoup de place. Cette dernière est plutôt diversifiée ce qui amène du bon comme du mauvais au niveau de ses sonorités. Reste un final nous gratifiants d'une dernière confrontation pitoyable avant de se clore sur l'énième même note laissant entrevoir une suite à ce naufrage. Prions pour que cela n'arrive pas puisque Resident Evil Afterlife n'a plus rien à raconter et ressemble d'avantage à une parodie qu'à un hommage à la série de jeux vidéos dont il est censé être adapté.
Paul W. S. Anderson revient aux commandes de la saga qu'il avait entamé, avec un quatrième opus, sorti en 2010, qui n'est, ma foi, pas trop mal. Enfin, je dois avant tout préciser que j'ai arrêté depuis longtemps de prendre cette saga au sérieux et que je n'ai jamais joué aux jeux-vidéo homonymes. Je n'ai ainsi pas ce regard de fan mécontent ou déçu (ce que je peux tout à fait comprendre d'ailleurs) mais je prends les films à part entière. Ce qui facilite grandement le visionnage de ces films je pense car on part ici une nouvelle fois dans du grand n'importe quoi ! Ce film est la suite directe des précédents et on retrouve ainsi Alice qui tente de rejoindre Arcadia en Alaska. Jusque là, tout va bien, mais à la suite de plusieurs péripéties, elle échoue finalement dans une prison abandonnée parmi un petit groupe de survivants. On est alors encore ici dans un ambiance différente des trois premiers (qui ont chacun leur ambiance propre d'ailleurs), le film lorgnant vers le huis-clos. Le scénario est néanmoins toujours aussi bordélique que les précédents films et, tout en apportant son lot de réponses que l'on attendait des précédents épisodes, il apporte également son lot de questions et d'incohérences. Cependant, on ne s'ennuie pas car le rythme est très bon et les scènes d'action sont très bonnes ! Alors bien-sûr, encore une fois, ce sont des scènes qui ne sont pas à prendre au sérieux ! Le réalisateur s'en donne d'ailleurs à cœur joie en accumulant les plans icônisant Alice et les nombreux ralentis et bullet time. J'avoue que quelques fois, le film tombe dans le nanar, notamment à la fin mais cet aspect alimente justement le côté complètement déjanté de l'ensemble ! Concernant les acteurs, nous retrouvons bien-sûr Milla Jovovich mais également Ali Larter et puis nous avons cette fois Wentworth Miller, Shawn Roberts et Boris Kodjoe qui jouent bien. "Resident Evil : Afterlife" est donc loin d'être un chef-d’œuvre mais reste malgré tout bien fun et décomplexé et il nous fait passer un bon moment !
On continue à suivre ALice dans sont combat contre l'Umbrella corporation. On sent l'influence de Matrix. Il reste un bon film d'action-Zombie avec quelques bonnes trouvailles. Je ne me suit pas ennuyé... je ne boude pas mon plaisir même si ce film n'apporte plus grand chose à l'histoire.
Après une trilogie, les morts deviennent officiellement une saga, une saga prenant officiellement une toute nouvelle tournure visuelle, sonore et musicale. Dès son générique le ton est donner et la suite bas son plein. Pour le scénario, si le départ de la saga fut original et prometteur, nous avons ici un quasi relâchement, une belle facilité ou le virus échapper ne prend plus du tous d'espace mais laisse au contraire une plus grande aux actions et fusillades à gogo. La scène d'ouverture rappel pour la première fois l'univers virtuel des jeux avec sa mise en scène, sa fluidité de mouvements, le jeu d'acteur ainsi que la musique, encore plus rock qu'avant. Milla réussi encore une fois à captiver par son charisme, son jeu dynamique et sa beauté naturelle soyons franc. Puis le casting secondaire rempli comme toujours le malheureux contrat des clichés avec le bourgeois pas si gentilhomme (le producteur de ciné), le grand black baraque, la belle latine au corps de déesse, le lèche-botte de Mr, le mécano et l'on aurait aussi put mettre l'intello afin de parfaitement pouvoir compléter ce bien jolie tableau apocalyptique. Une mise en scène je jeu, une bande-son rock et une pointe électro, il y à aussi cette qualité visuelle détonante qui aura clairement prit un élan spectaculaire. Adieux les vieux effets numériques "dégueulasse" mais de superbes effets mécaniques, ici le numérique prend énormément de place quitte à le voir dans des scènes tout à fait banales mais il reste extrêmement efficace. De nouvelles créatures horrifiques surprenantes qui n'ont aucunes explications sur leurs venues mais assurant le show, on ne peut donc qu'imaginer l'évolution du virus. Quand au grand manitou, le grand méchant loup, il assure le show et renforce toujours plus l'esprit des jeux mais surtout, de la part de P.W. Anderson, des scénaristes et producteurs, une véritable mise en scène de combat et de référence à la saga "Matrix". Un final annonçant du lourd, cette 4ème aventure au visuel et son détonnant laisse la S.F. et l'action prend le dessus mais n'enlève pas totalement l'horreur, encore heureux. Parer pour la rétribution.
Ce quatrième opus n'est pas objectivement un bon film , mais il est tout de même regardable. C'est évidemment peu subtil , une fois de plus on peut résumer l'histoire en une phrase : Alice contre les zombies. Les personnages ne sont pas très intéressants et on se doute que beaucoup vont mourir en route vu le peu de développement accordé. Wesker n'est pas très charismatique et le choix de Miller pour incarner Chris n'est pas très judicieux. L'abus de ralenti nuit à la lisibilité de RE Afterlife , on sent que Anderson a profité de la 3D pour se faire plaisir mais à force ça devient lassant. Bref beaucoup de défauts , mais pas que : du côté positif , on peut mettre en avant l'esthétique du film qui est agréable. L'idée du huis clos dans la prison est sympa , malheureusement elle ne dure pas assez longtemps. En tant que joueur, j'ai apprécié les apparitions du bourreau et des majinis , même si je reconnais qu'ils sortent un peu de nulle part. Bref c'est moyen , Afterlife est le genre de film qu'on regarde comme un plaisir coupable , et que l'on peut apprécier tout en reconnaissant sa médiocrité.