4ieme volet de la franchise, ce nouvel opus de la saga Resident Evil se révèle bien différent de ces prédécesseurs et délaisse la peur des zombies pour une intrigue faite de plus d'actions. Alors avouons le tout de suite, ce n'est pas un film intellectuel et il faut bien le voir comme un nanar mais un nanar de qualité avec quelques scènes spectaculaires voir très belles (le combat dans la salle de douche) et avec une 3D rarement aussi bien utilisée et surtout une ambiance jeu vidéo pas déplaisante pour rendre hommage au jeu éponyme. Cet Afterlife nous livre donc du grand spectacle, une intrigue banale et ouvre la porte pour un nouvel épisode pour une saga qui n'en finit plus !
Un film de science fiction qui navigue aussi dans le genre fantastique avec des monstres zombies qui veulent attaquer l'humanité. Le scénario est bien simpliste et la réalisaton basique. Le film vaut surtout par la présence de Mila Jovovich , toujours charmante.Sinon tout cela est bien ennuyeux.
Par moment je me suis demandé si je regardais pas une suite de Matrix avec les fusillades, les sauts, les galipettes et autres utilisation du bullet time à outrance ! On sent qu'il y a de plus en plus de moyens sur les effets spéciaux mais bon l'histoire ne reste pas forcément très passionnante, tout comme le casting, plus que moyen ! C'est pas un film désagréable à regarder malgré ce too much de cascades et fusillades mais bon on est loin du chef d’œuvre quand même. 3/5
EVIL DEAD. Si on était encore le 1 avril j'aurais pu dire que c'était le film du siècle. Mince, à 24 heures prés je suis obligé de dire la vérité. A l'attaque... Je suis le cobaye de l'apocalypse. La brume remplie mon cerveau, mes cellules se bousculent, je n'attendais plus que toi me dit la voix. Je suis le cobaye, ma culture mon seul remède. Je plonge avant de gagner l'autre bord. Le gouffre. Le précipice.
On a tous nos petits plaisirs coupables. Oui, c'est du grand n'importe quoi ce film. Oui, les tentatives de rapprocher cet épisode aux autres films de la série et de coller à la franchise des jeux vidéo frisent le ridicule. Mais les scènes d'action et les effets spéciaux improbables m'ont amusé.
La même recette encore et toujours! Une déferlante d'action sans queue ni tête , des personnages vides, fades et stéréotypés, des dialogues écrits par un enfant de 6 ans, un scénario simpliste. Pourtant si l'on déconnecte son cerveau et que l'on ferme les yeux sur les innombrables invraisemblances scénaristiques, on peut, à la rigueur, passer un bon moment à contempler les quelques rares beaux plans de Paul WS Anderson et les plastiques avantageuses des personnages.
Résumons. Paul W.S Anderson, grand amateur du jeu vidéo horrifique Resident Evil, réalise le premier épisode en 2002 qui ne m'avait pas laissé de souvenirs impérissables à cause de son manque de violence entre autres. Le deux et le trois signés par des réalisateurs différents (le clipper Alexander Witt pour Apocalypse et ce vieux briscard de Russell Mulcahy pour Extinction) et ayant au moins un certain sens visuel réparaient en partie ce problème. Sauf qu'Anderson reprend la main pour Afterlife. Ce n'est pas l'idée du siècle. C'est vrai que c'est une de mes têtes de turc avec Mark Atkins de chez Asylum. Mais Atkins a des budgets de pingre là où Anderson continue tranquillement à enquiller les films à cent millions de dollars. Comprenez, dès lors, que je m'acharne un peu. Bon, au moins si Resident Evil Afterlife n'a pas de problème de budget, il n'en a pas non plus de rythme. Anderson livre une série B parfaitement crétine (à un moment, y a un type qui arrête un avion à mains nues pour l'empêcher de tomber, bref) ou Milla Jovovich, même en ayant perdu ses pouvoirs, continue de tataner du zombie dans des figures acrobatiques toutes plus ridicules les unes que les autres. Ce ridicule est accentué par les nombreux ralentis à la Matrix que son virtuose de mari se plaît à insérer durant les scènes d'action. Ce qui permet hélas de s'attarder et d'admirer les effets spéciaux grossiers dont le film est truffé. Si pour le prochain il pouvait faire l'inverse et les accélérer, voire même accélérer tout le film, ce serait pas mal ! En voilà une idée qu'elle est bonne.
Après la vie,la paradis? Pour ce film ce serait plutôt la mort. Anderson est de retour et mise sur la 3d relief, pas bon. Les effets spéciaux genre le chien qui s'ouvre en deux ou le truc qui sort de la bouche des zombies, visuellement et esthétiquement c'est moche et ça fait mal aux yeux. Les acteurs font leur job et tentent de nous attirer dans ce bourbier. Point positif, le monstre géant avec sa géante hache, impressionnant. De l'action, et c'est tout. 3,3/10
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1,0
Publiée le 19 juin 2015
Aïe! Paul W.S. Andersonreprend du service à la mise en scène! Du coup, "Resident Evil : Afterlife" s'en ressent fortement dans une surenchère d'action qui devient lassante! En ce qui concerne l'intrigue, c'est la suite du dernier film, "Resident Evil : Extinction". C'est la suite de l'histoire, avec les mêmes personnages, mais Anderson a essayè de faire un film qui, si on n'a pas vu les autres opus, soit regardable et comprèhensible! En fait, il a essayè de faire faire un bon en avant dans la franchise, de l'anoblir...et de faire malheureusement un film plus grand grand, plus fort! Donc, investir plus d'argent afin d'avoir de plus grosses scènes d'action! On tourne à travers le monde : Tokyo, en Alaska (sur ces splendides glaciers), à Hollywood (sur Hollywood Boulevard), à Long Beach, au Canada...De plus, les producteurs ont investi beaucoup de temps et de pognon dans une 3D qui fait plus mal au crâne qu'autre chose! Rèsultat : bienvenue dans un plagiat de Matrix où le spectateur plonge totalement dans l'irrèaliste! Hormis Milla Jovovich, les seconds rôles font peine à voir, notamment le mauvais jeu de Wentworth Miller et la super star locale (Boris Kodjoe) qui rattrape l'aile d'un avion du toit d'un building! La messe est dite! A part ça, Anderson a essayè de faire un quatrième volet comprèhensible...
Si cette suite ne vaut pas les 3 premiers, elle n'en est pas moins réussie, et nous invite à attendre avec impatience le 5ème film de cette saga apocalyptique.
Ça part plutôt bien, mais à partir de l'arrivé sur le cargo, cela devient un peu n'importe quoi. En particulier les combats qui sont extrêmement mal fait ( Le fait de voir un ralenti qui redémarre au dernier moment mais avec aucun bruitage pour signifier que le coup à bien été porter donne l'impression qu'il n'y a aucune force, entre autre problème). Très moyen au final.
Une surenchère d'action inutile au départ. On ajoute une grosse partie d'images de synthèse pour en mettre plein la vue, des répliques plus pourries les unes que les autres et beaucoup d'ennuis. Quant à la fin, du grand n'importe quoi. Une daube.
Bien mieux écrit et mis en scène que les précédent. Ce film est beaucoup plus prenant. Quelques facilités comme les nombreux ralentis. Mais ce film est trés bon !
La nouvelle trilogie démarre avec cette bouillie numérique qui cumule les tares : des plagiats honteux (spoiler: Matrix, Blade, The Island ), une mauvaise blague avec Prison Break, toujours plus de ralentis et le désormais récurrent combat final contre un monstre. C'est laid, bourrin, ringard, ridicule. Du Uwe Boll avec un meilleur budget. On touche le fond. Par contre spoiler: est ce qu'il faut voir ce plan de Hollywood dévasté et le personnage du producteur véreux comme un message du réalisateur ? (Très mauvais)