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Un visiteur
5,0
Publiée le 9 juillet 2013
Mon préféré de la série.... Le film a certes une esthétique et un scénario éloigné des jeux d'origines, il reste dans la droite lignée d'extinction : c'est-à-dire un univers parallèle porté par Alice. spoiler: Le scénario détruit plusieurs éléments des films précédant comme Arcadia ou les pouvoirs d'Alice, mais ceci contribue à rendre le personnage plus humain et à effacer les erreurs de Apocalypse.
Le retour de Paul WS Anderson est clairement visible et ici son style s'exprime parfaitement, correctement dosé met en valeur l'action du film. Les personnages ici développés sont attachants et réussis, spécialement Albert Wesker dont la scène de combat finale, directement tirée de Resident Evil 5, est sûrement la meilleure du film. La 3D est ici bonne, bien qu'elle ne se remarque pas toujours, et les effets spéciaux toujours aussi bien maîtrisés spoiler: avec l'apparitions de nouveaux montres comme les Majinis (hommes et chiens) ou le Bourreau.
Un film parallèle qui prit simplement comme film, par abstraction des jeux, est un régal.
Plaisir coupable ? Pour ma part, oui, enfin c’est le plaisir coupable moyen sans plus. Les effets-visuels sont moches, ça se voit trop que c’est fait par ordinateur, ça fait irréaliste sur le coup, on n’a pas l’impression d’y être vraiment. Le réalisateur a mis des meufs ultra maquillées pour qu’elles fassent super mignonnes et que, grâce à ça, le spectateur en oublie le réel intérêt du film et qu’il soit juste content de voir de la meuf canon pour faire passer la pilule du film bien mauvais. Et puis genre, on a affaire à un film apocalyptique et les gens sont super bien maquillés, niquel, pas une trace de sang, un peu si, oh quoique non, limite, etc… Mais oui, on va y croire, non ironie, bien sûr. Les ralentis après, bien que chiant à voir, ça va c’est dosé, au minimum, bien entendu. Des ralentis donc très pénibles à voir, l’autre méchant ensuite qui balance ses lunettes de soleil avec un ralenti pourri, bref, non pas « un », mais, « deux critères pourris », le lancement ridicule de lunettes de soleil inutile, suivi du ralenti grotesque dans la foulée. L’acteur s’est cru à la hauteur de Tom Cruise pour faire cela comme dans le film « Mission: Impossible II » ou quoi ? Bon après c’est au niveau de l’histoire, ça va, cela passe encore, je n’ai pas détesté, sympatoche, du sans plus, ouais si, j’ai regardé une seule fois ce film en étant affligé dans les mêmes temps. Et puis pour la B.O, ouais, elle est bonne.
Déjà quand on voit des personnages au milieu de zombis les bras et les jambes à l'air, le ventre à l'air, les cuisses à l'air, alors que ces personnages disent aux autres pendant 1h30 de faire attention à ne pas se faire mordre, désolé mais je peux pas croire en ce genre de films...
Le seul potable de la série avec une intrigué c'était le premier, les autres c'est du fric, du fric et encore du fric c'est tout.
- Rien à voir avec le jeu vidéo - Pas du tout réaliste - Tout est prévisible du début à la fin - C'est + la promotion de certains acteurs (forcément tops modèles) que d'une histoire ou d'un vrai scénario...
Placez quelques individus biens foutus au milieu de zombis et c'est parti, ils vont tuer des zombis pendant 1h30 sans aucun réalisme, sans transpirer, sans se faire mal.
Le 3 était bon le 4 ben , celà commence à venir un peu lourd , et le film commence à souffrir de grosses incohérences , je pense que comme beaucoup à force de vouloir faire à n'importe quel prix des suites , on fait du n'importe quoi
Plus on avance dans la saga, plus il y a d'incohérences mais le scénario suit le fil conducteur à la lettre, ce qui en fait un film qui se suit avec plaisir...
Sans être une oeuvre exceptionnelle ce 4eme opus à au moins le mérite de revenir aux fondamentaux de la saga. C'est à dire avec une intrigue qui révélera les réponses qu'on attend sur "Arcadia". Un divertissement honorable.
Paul W.S Anderson réalise avec Resident Evil : Afterlife l'exploit de faire passé les autres épisodes de la saga pour des bible cinématographique (si vous voyez ce que je veux dire) Continuant la saga de Anderson, Resident Evil : Afterlife n'apporte absolument rien de nouveau. C'est toujours la même chose : un monde apocalyptique peuplé de zombie (mais ou Mila Jovovich est arrivé a ce trouver un coiffeur) et la tueuse de zombie avec des allures de Carrie Ann Moss ce battant sans relâche contre Umberlla et parcourant le monde pour retrouver des survivant. Anderson a décidé de parlé tout seul dans ce film mais tout de même aidé par sa super caméra enregistrant pas moins de 1000 images par seconde. Ce qui donne visuellement un résultat plutôt pas mal mais immédiatement détruit par un scénario d'une débilité absolus et des acteurs pathétique. Au final, Resident Evil : Afterlife est une incarnation absolue du mauvais goûts, sans aucun sérieux et incompréhensible. A éviter !
Dans les "Resident Evil" il y'a toujours une chose que j'aime... La B.O... Elle est très bonne à l'écoute (même si elle n'a rien à voir avec le concept du film...^^). Bon ensuite il faut parler du film en lui-même. Après la sinistre daube qu'était le volume cinq "Retribution" (oui je lès ai maté dans le désordre 5, 1, 4, 2 et 3, ouais bon bref, j'vais pas non plus m'attarder sur le sujet hein.) J'croyais m'attendre à un film ultra mauvais, mais non, ce quatrième volet est pas mal... Scénario pas si mal que ça, images de synthèse pas trop pourries (j'ai bien dit "pas trop" hein!), personnages pas mal recherchés, etc... Quoi. Franchement de la part de Mister Anderson j'm'attendais à pire que ça malgré que le réalisateur soit toujours aussi chiant avec ses putain de monologues nian-nian et ses ralentis super chiants à voir. C'est un volet honnête. Pas mal, sans plus. Et puis ouais aussi, pour un film où tout est défoncé... J'trouve quand même qui il y'a beaucoup de gonzesses très bien maquillées... Pas très crédible hein.
Le scénario commence un peu à partir dans tous les sens même si cela reste encore assez bien ficelé ( par rapport à Rétribution), les zombies commencent à être différents dans leur comportement, je sais que c'est bien d'évolué mais la c'est pas trop dans le bon sens . spoiler: le bourreau a juste un charisme particulier mais n'est pas assez exploité selon moi dommage . Milla Jovovich porte à elle seule le film ou presque . A voir si on a pas grand chose a se mettre sous la dent
Il était un fois Paul William Scott Anderson, un très mauvais réalisateur. En 2002, Paul W. S. Anderson réalisa Resident Evil qui malgré ses imperfections fut l'un de ses meilleurs film. Après Resident Evil, Paul W. S. Anderson réalisa plusieurs nanars (des Trois Mousquetaires 3D en passant par Alien vs Predator). Anderson n'oublie tout de même pas la saga Resident Evil, il devient scénariste et producteur du second et troisième opus. En 2010, Monsieur Anderson réalise Afterlife 3D, quatrième opus de la saga... Resident Evil : Afterlife est visuellement parfait ! Je ne l'ai pas vu en 3D mais les effets spéciaux sont énormes et la photographie est très minutieuse (enfin) !!!!! La bande originale est excellente : la musique est explosive lors des scènes d'action ;d'ailleurs ces scènes sont incroyable autant sur le plan sonore que visuel. Mais le scénario est IMPARFAIT ! Les deux actrices principales sont superbes mais leurs personnages ne sont pas développés. Je ne préfère pas parler de la fin du long-métrage. En conclusion : Paul W. S. Anderson a peut être modernisé la saga avec d'excellents effets visuels MAIS il a fait n'importe quoi niveau de la réalisation globale (déjà que ça ne volait pas haut) !
Paul Wes Anderson découvre la 3D et les ralentis et fait joujou avec pendant toute la durée du film, sans doute persuadé que cela va lui donner du style et faire passer la pilule amère d’un scénario tout pourri. Franchement, avec un budget de 56 millions de dollars, ils auraient pu garder 100 balles pour se payer un scénariste qui ait plus de 10 ans d’âge mental.