Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Komestai
44 abonnés
448 critiques
Suivre son activité
2,5
Publiée le 20 novembre 2012
Quand tu lis comme titre "Drive", tu pense que ça va parler bagnole, donc vitesse, donc adrénaline... Quand tu vois "Drive" comme film tu penses à lenteur, ennui, déception. Moi je veux bien qu'on te prenne à contre-pied, qu'on tente le pari de la poésie dans un monde de brutes, je suis open mais hey ! Faut le faire correctement en prenant un acteur qui en impose direct ! Parce que Ryan Gosling, ça a beau être le "nouveau beau gosse d'Hollywood" comme j'ai entendu toutes les nanas à la télé dire quand elles parlaient du film (d'ailleurs c'est fou cette tendance qui fait que les femmes ont le pouvoir de donner une importance médiatique à un film juste parce que l'acteur est beau... à étudier comme phénomène) mais le gars en question, il a une palette très réduite d'émotion à faire passer, et pour ce film qui se base sur l'émotion, autant dire de suite qu'on est loin d'être transporté où que ce soit par un jeu d'acteur aussi plat. Et pis la réalisation lente avec des ralentis inutiles exaspère parfois, le côté gore de certaines scènes tranche trop avec le reste... Bon ! Le scénario est simple mais y a pas à trop s'en plaindre, la BO déchire par contre et je sais pas si c'était volontaire mais j'ai bien aimé les références GTA (la typo du générique). Je m'attendais à de l'énorme, il n'en a rien était. Je suis peut-être passé à côté du truc... pas grave !
En voyant drive impossible de ne pas penser a the driver tant les coïncidences(enfin a ce niveau c'est plus de coïncidence) avec ce film sont nombreuses,notamment avec cette scène de poursuite du début de film ressemblant carrément a une scène de the driver.Et surtout les 2 personnages ont la même façon de procéder,la même philosophie sur les armes,le même professionnalisme,et la cause de leurs ennuis est liée au même objet,l'argent.Celui ci amènera les 2 conducteurs a aller vers cette violence qu'ils reprouvent,celle de drive étant carrément plus dur que celle de the driver,mais la finalité reste identique dans les 2 versions.Le personnage féminin est aussi comme celui incarné par Adjani dans dans the driver mis en danger,et entrainé malgré elles par les actions du protagoniste de l'histoire .Le drive de Nicolas Winding Refn m'a laissé un peu perplexe,surtout quand on voit le nombre de critiques élogieuses que celui ci a reçu.Si certaines scènes sont efficaces la plupart d’entre elles ne possèdent pas l'intensité souhaité pour leurs donner le niveau de crédibilité nécessaire,ce qui rend le tout parfois grand-guignolesque.Le coté trop esthétique de la chose étant aussi un souci a la narration du film,car trop dans l'esthétisme,celui-ci n'est pas forcement au service de la narration.Comme ces ralentis n'apportant pas grand chose si ce n'est d’alourdir certaines scènes.La bande son quand a elle est très bien utilisée.Tout le coté mélancolique des scènes semble plus être ajouté a celles-ci afin de les étirer.Le fait que le personnage parle très peu ne lui donne pas plus de coté mystérieux,ni d’épaisseur supplémentaire.Drive n'est certainement pas mauvais mais n'est pas on plus le film génial annoncé.Et ressemble plus a une version revisité du the driver de Walter Hill,qu'a un œuvre original.
Drive : 1h 30 de sieste. Gosling est un robot. En fait, son rôle lui impose de jouer comme un robot. Car son personnage est d'un sang froid inouïe. Ou alors c'est que je ne comprend pas le potentiel du jeune Gosling. Jamais vu ça. J'ai été très déçu. Ce film est lent. Une tortue en cul de jatte. Quelques scène d'action pas si mauvaise, mais bon ça ne sauve le soi disant chef d'œuvre de Refn.
Le scénario est basique, il y a peu de cascades et on ne saura rien du personnage joué par Ryan Gosling mais comme d'autres réalisateurs Nicolas Winding a bien compris que sa tête passe très bien. Il en use et en abuse pour faire oublier que son film n'a aucune finalité.
Vous savez, parfois, la première scène d'un film dit tout. Sur une musique techno horripilante, les lettres violettes du générique s'affichent. On voit alors le "driver" faire une mission "normale". A la James Bond, à la Transporteur... C'est donc supposé être un petit bijou d'action, une vitrine du film... Et bien, c'est mou, long, silencieux, et ennuyeux. Et tout le film sera long, mou, silencieux et ennuyeux. A commencer par Ryan Gosling, dont le personnage doit rentrer dans le panthéon des héros au charisme le plus proche du néant, et encore, c'est de loin le plus intéressant. Les autres, c'est plus des figurants à rôle que de véritables "personnages". La bande son techno, horrible donc. Les quelques scènes de violence, sont...violentes. La romance, elle dure mais dix fois trop longtemps, le tout pour masquer un scénario terriblement limité. Désormais, vous ne direz plus "je m'ennuie", mais "je me drive", tellement ce film vous plongera sous narcotiques. Cependant, la jolie atmosphère, le caractère cocasse de certaines situations ainsi que la narration et la mise en scène, très soignées sauvent quelque peu les meubles. A éviter.
Ma connaissance de l’œuvre de Nicolas Winding Refn est des plus limitées étant donné que je n’ai vu que deux de ses films. Cependant, je sais être lucide. Je le reconnais sans sourciller une seconde. L’univers du cinéaste danois est l’un des plus singuliers, voire même le plus singulier de ces dernières années. Cependant, ses films ont bien du mal à me captiver. Car si j’adhère sans problèmes à l’atmosphère pesante et électrique qu’il met à chaque fois en place, je trouve que ses films sont vides, lents et relativement ennuyeux. A l’image par exemple de « Only God Forgives », qui bien qu’exceptionnel sur le fond, était des plus rebutants sur la forme. En ce qui concerne cette production « Refnienne », je suis satisfait d’une chose. Je viens de combler à un manque dans ma culture cinématographique (encore limitée j’en conviens). En effet, malgré trois ans d’âge, « Drive » possède une aura que peu d’autres films récents peuvent se vanter d’avoir. Concernant ce thriller noir new age, je me suis laissé happer par cette ambiance glauque, délétère. Par ces séquences violentes soudaines. Par le mutisme du personnage joué par Ryan Gosling. Mais encore une fois, en fin de film, le constat est le même. Je n’ai pas été convaincu. J’ai trouvé ça assez vide. Sans réel intérêt et lent. Mais je tiens tout de même à préciser que j’ai eu pleinement conscience que c’est un OVNI que j’avais devant les yeux. En temps normal, je suis friand des films qui sortent de l’ordinaire. Mais je n’arrive pas à faire abstraction de l’inconsistance des films de NWR. C’est ainsi. Une note très subjective.
Un cascadeur professionnel utilise ses talents de conducteur en travaillant pour la mafia. Mais un jour un casse va mal se passer, et il va devoir régler ses comptes. "Drive" est un film aux images soignées, avec un bon jeux d'acteur ainsi qu'une bande-son très plaisante. Mais aux dialogues archi-dépouillés, et le tout globalement ennuyant.
Deux films identiques dans des époques différentes et ça marche. Un acteur sans saveur monotone du début la fin.comme tous le films quoi. Un calvaire bien trop long. J'ai réussi à aller jusqu'à son terme mais oufff heureux heureux ... Que se soit fini.
Louons ce prix de la mise en scène justifié à Cannes grâce à de judicieuses idées de prises de vues (la ville en nocturne) ainsi qu'à diverses séquences marquantes (l'ouverture, l'ascenseur, l'ultime affrontement) par leur caractérisation tant des personnages que de l'hybridation générique dont l'ambition constitue le problème nodal du récit. De fait, outre une campagne publicitaire mensongère à la sortie du film (je vous parle d'un temps...) l'atmosphère nerveuse entre film de casse et thriller de la première scène dévie rapidement vers une histoire sentimentale peu intéressante (il faudrait un souffle poétique à cette lenteur!) à la morale guimauve (où le cow-boy des temps modernes découvre l'amour grâce à une mère - assez terne - et à son enfant...) à la psychologie discutable (sacrément malsain le trouple une fois le mari revenu!) et à la portée tragique absurde. Heureusement la seconde partie revient à une intrigue de bandits malhonnêtes, très classique, mais efficace tant par le rythme (retrouvé) que par la direction d'acteurs pertinemment minimaliste. Au final, le cadre technique (jusqu'à l'envoûtante bande-son) l'emporte sur les dimensions émotionnelles et scénaristiques pourtant essentielles. Inégal.
Mouais, quelques scènes très reussies, voire captivantes, puis l'ennui revient ça et là. Le film est mal rythmé, et malgré des personnages intéressants et de très bons acteurs, la mayonnaise ne prend pas....
Estampillé "film de l’année" lors de sa présentation cannoise par une critique dithyrambique, "Drive" aurait dû être l’un des chocs de 2011, surtout avec un réalisateur aussi brutal que Nicolas Winding Refn aux commandes (voir la trilogie "Pusher" et "Bronson"). Au final, le film est pourtant d’une facture on ne peut plus classique et tente de compenser son intrigue convenue par une mise en scène travaillée. Car il faut admettre qu’entre le héros mutique qui mâchonne son cure-dent, le coup de foudre avec la voisine si attendrissante avec son regard mouillé et son gamin tout mignon, le coup du plan sans risque qui foire quand même ou encore l’éternelle rengaine du mec seul contre toute la mafia locale et qui s’en sort quand même, on ne peut pas dire qu’on voyage en terre inconnues. Il est d’ailleurs étonnant que la critique se soit affolée à ce point pour un scénario aussi prévisible et balisé. Est-ce la mise en scène atypique de Nicolas Winding Refn qui a su les séduire, en tranchant avec les autres films présentés à Cannes ? C’est possible car le réalisateur s’est visiblement davantage investi sur la mise en image de son histoire que sur l’histoire elle-même. Et "Drive" est clairement l’un des films les plus contemplatifs de l’année, que ce soit lors de plans de Los Angeles by night (très réussis et plutôt originaux) ou lors de la description de son héros, filmés au plus près, bénéficiant de ralentis très travaillées et de travelling en pagailles (qui ne sont pas sans rappelés un certain Kubrick). Un rythme posé qui permet de magnifier ce mystérieux Driver mais qui n’épargne pas au film quelques longueurs que le manque de suspense ne manque pas d’enfoncer. Le ton du film vire également, par moment, à la romance à l’eau-de-rose, avec des scènes, là encore, déjà vues (le héros qui passe du temps avec sa voisine et son fils, les regards complices malgré la présence du mari, la déclaration d’amour final…) et une BO atypique qui semble tout droit sorti des années 80. Heureusement, l’interprétation ne souffre pas de la moindre fausse note de Ryan Gosling, pourtant peu évident en machine à tuer potentiel et qui s’avère tout à fait convaincant, à la mimi Carey Mulligan en passant par l’excellent Bryan Cranston en complice, l’inattendu Albert Brooks en mafieux ou encore Oscar Isaac en mari taulard. Enfin, les scènes de confrontations viriles ne sont pas ridiculement voyeuristes (pas d’effusion de sang inutile et autres effets gores) et privilégient l’efficacité (la scène de l’ascenseur en est un parfait exemple). "Drive" est donc tout sauf un mauvais film mais son histoire attendue et sa réalisation stylée mais un brin prétentieuse m’empêchent clairement de participer au tressage de lauriers réservés par les critiques.
un film noir, lent et lourd, sur fond de musique branchouille, ça frise l'affectation mais c'est pas mal dans le paysage cinématographique américain actuel
Pour les quelques personnes qui suivent mes critiques et connaissent mes goûts, je pense que je vais en surprendre plus d'un car je n'ai pas apprécié ce fameux "Drive". Etant très admirateur de Refn dans ces précédents films, j'attendais celui-ci avec beaucoup d'impatience. Eh ben...Déçu! Je ne critiquerai pas la forme qui est toujours absolument superbe avec encore une fois, une excellente compo de Cliff Martinez, ce qui m'a fait tiquer, c'est le scénario...Désolé mais après s'être montré particulièrement original, osé et provoquant dans ses oeuvres, sa 1ère aventure hollywoodienne est d'un commun des plus basiques. Malgré un bon casting, cette histoire de vengeance sur fond de romance et de mafia est d'une trop grande simplicité, d'ailleurs les dialogues s'en font ressentir ce qui casse cruellement le jeu des acteurs. Reste l'aspect psychotique de Ryan Gosling qui, je trouve a été mal traité car il n'y a aucune justification à ses accès de violence rendant ces scènes plutôt gratuites et laisse perplexe sur ce personnage de cascadeur. Ce n'était pas une mauvaise idée mais je préfère de loin Kurt Russel dans "Boulevard de la mort". J'éspère que Refn ne renouvellera pas cette expérience outre atlantique bien que se présage une nouvelle collaboration avec Gosling, il a bien mieux dirigé la jolie frimousse de Carey Mulligan...
Le meilleur film criminel depuis des années , ben dis donc la personne qui a écrit celà sur la jaquette du DVD a du oublié depuis des années d'aller au cinéma , vraiment pas terrible , un début prometteur , mais vraiment le début , bon tant mieux si des gens l'ont aimé , moi je dis c'est le genre de film a avoir pas envie d'acheter des DVD et plutôt faire du téléchargement illégal , car un DVD ca a un cout et l'argent je l'a gagne pas en claquant des doigts , continuez à nous faire ce genre de film ... et aprés il faudra pas vous plaindre Messieurs les réalisateurs