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Votre avis sur Fatal ?
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Évidemment, si vous n'êtes pas fan de l'univers "Fatal Bazooka", passez votre chemin. Si oui, faites un détour par ce film car il est vraiment dans la même veine . Il y a pas mal de référence à ses clips. Malgré quelques creux, c'est l'humour bien gras mais drôle qu'on reconnaît à Youn et sa clique. Le film ne se prend jamais au sérieux. C'est potache et bon enfant, dressant un portrait volontairement caricatural du showbiz. Il se moque royalement du monde de la musique, de la télé, du vedettariat, du rap, des bimbos, et j'en passe. C'est bien bon ! C'est souvent en dessous de la ceinture, ce qui agacera les uns et réjouira les autres. Stéphane Rousseau joue très bien et son personnage androgyne et écolo est pour beaucoup dans la réussite du délire. En le visionnant quinze ans après sa sortie, on constate à quel point on ne pourrait plus faire ce genre d'humour parfois très limite de nos jours ("me too" est passé par là). Les époques changent... mais le rire reste plus que nécessaire dans ce monde de dingue !
En France, force est de croire que nombre de personnes ne savent plus comprendre et interpréter ce qu'ils ont en fasse d'eux, et notamment savoir où est le chef d'oeuvre, et ou il ne l'est pas, parceque Fatal est un chef d'oeuvre, d'humour, comme il n'y en avait peut être jamais eu en France, qu'est ce qui a pu nous faire rire autant ? Les visiteurs peut être, Astérix mission Cléopâtre, mais au delà du rire c'est aussi tout la rasade de critique a la fois de la jet set, du show business, mais aussi du genre écolo -bobo-bio qui en prends pour son grade, mais ça ne s'arrête pas là, la critique englobe aussi des modes de vie, la mal bouffe, le porno, la drogue, la superficialité...
Dans un sens pas étonnant que le film soit mal accepté, il peut être facile de se sentir visé par la dérision, a pré tout même la paysannerie est pris dans le jeu de l'humour.
Dans ce film, rien n'est sérieux et tant mieux, l'œuvre est Total et l'abandon qu'on y attache y est proportionnelle ou pas, couronnement le film finit par nous servir une bonne dose de morale mais aussi de lâcher prise si humain et si sain, bien loin de la moralisation conscriptive si chère à ces gens qui ne savent s'écouter et qui rythment leur vie selon des dictées aterante ou aliénante...
Dans un sens pas étonnant que le film soit mal accepté, il peut être facile de se sentir visé par la dérision, a pré tout même la paysannerie est pris dans le jeu de l'humour.
Dans ce film, rien n'est sérieux et tant mieux, l'œuvre est Total et l'abandon qu'on y attache y est proportionnelle ou pas, couronnement le film finit par nous servir une bonne dose de morale mais aussi de lâcher prise si humain et si sain, bien loin de la moralisation conscriptive si chère à ces gens qui ne savent s'écouter et qui rythment leur vie selon des dictées aterante ou aliénante...
ce film est vraiment sous côté je trouve l'humour incroyable même si trop beauf pour certains, mais c'est tout l'intérêt du film
Yon signe ici son meilleur film, utilisant son personnage le plus réussi pour faire une critique amusante du monde musical et des média/peoples.
Film tiré par les cheveux bien sûr, mais lorsque toutes les situations sont poussées à l'extrême, cela donne un film très drôle .
Un classique indémodable.
Très grossier et plein de blagues de mauvais goût surtout de l’époque de ça sortie mais n’oublions pas que c’est un film et fatal un personnage.
Une écriture même avec des scènes grossière très pointue pour les rendre drôle tout en collant au personnage.
Le duo Rousseau / Youn et leurs personnages respectifs simplement parfait de clashs et de musiques toutes plus loufoques les unes que les autres.
Une caricature qui même aujourd’hui perdure.
Très grossier et plein de blagues de mauvais goût surtout de l’époque de ça sortie mais n’oublions pas que c’est un film et fatal un personnage.
Une écriture même avec des scènes grossière très pointue pour les rendre drôle tout en collant au personnage.
Le duo Rousseau / Youn et leurs personnages respectifs simplement parfait de clashs et de musiques toutes plus loufoques les unes que les autres.
Une caricature qui même aujourd’hui perdure.
Impeccable portage de son personnage au grand écran, Michaël Youn signe une comédie potache parfaite à voir en version longue pour un plus grand plaisir.
J’ai presque un peu honte de l’avouer mais j’ai trouvé ce film fendard. Les situations, les clins d’œil, les répliques, s’enchaînent rapidement. C’est certes très culcul mais si on se laisse prendre au jeu, on rigole toute les 30 secondes (même si le rythme faibli quand même en deuxième partie). Allez, 3,5 étoiles Easy.
j'adore les films français d'aujourd'hui , oui d'accord il y a mieux mais bon .... c'est un petit Flim bien drôle ( JE RIGOLE 🤣🤣🤣)
"Fatal", réalisé par Michaël Youn, promettait de mêler satire mordante et comédie déjantée. Pourtant, le film se perd dans un océan de clichés et de gags faciles qui peinent à susciter l'intérêt sur la durée.
Scénario et Personnages
Le scénario suit la chute puis la rédemption de Fatal Bazooka, un rappeur fictif confronté à la concurrence d'un chanteur d’électro-bio, Chris Prolls. L'idée de départ, parodiant le monde de la musique et des médias, avait un potentiel certain. Malheureusement, l'exécution est souvent maladroite. Les personnages, bien que caricaturaux à dessein, manquent de profondeur et de nuances. Fatal Bazooka, joué par Michaël Youn, tombe rapidement dans une routine de stéréotypes lassants.
Humour et Références
L'humour, élément central du film, oscille entre le comique de situation et les blagues potaches. Les références culturelles abondent, parfois avec une certaine subtilité, mais souvent elles sont surutilisées au point de devenir prévisibles et ennuyeuses. Des clins d’œil à des films comme "Citizen Kane" ou "Zoolander" sont appréciables, mais ne suffisent pas à sauver un scénario qui manque cruellement d'originalité et de finesse.
Réalisation et Production
La réalisation de Michaël Youn est énergique, mais souvent désordonnée. Les séquences s'enchaînent à un rythme frénétique, laissant peu de place à l'émotion ou à la réflexion. Les choix artistiques, bien que colorés et vivants, finissent par donner une impression de surcharge visuelle. La bande-son, bien que cohérente avec l'univers du film, ne parvient pas à relever le niveau général.
Performance des Acteurs
Les performances des acteurs sont mitigées. Michaël Youn, dans le rôle principal, apporte son énergie habituelle, mais cela ne suffit pas à rendre son personnage attachant. Stéphane Rousseau, en Chris Prolls, joue correctement son rôle de rival excentrique, mais reste prisonnier d'un script qui ne lui donne pas assez de matière pour briller. Les seconds rôles, tels que ceux interprétés par Isabelle Funaro et Fabrice Eboué, sont corrects sans être mémorables.
Conclusion
"Fatal" est un film qui avait le potentiel d'être une satire intelligente et mordante du monde de la musique. Cependant, il tombe dans le piège des gags faciles et des stéréotypes, manquant de la profondeur nécessaire pour véritablement marquer les esprits. Si certains moments parviennent à faire sourire, l'ensemble reste décevant et ne parvient pas à justifier une note plus élevée. Les amateurs d'humour potache y trouveront peut-être leur compte, mais ceux en quête d'une comédie réellement incisive et bien ficelée resteront sur leur faim.
Scénario et Personnages
Le scénario suit la chute puis la rédemption de Fatal Bazooka, un rappeur fictif confronté à la concurrence d'un chanteur d’électro-bio, Chris Prolls. L'idée de départ, parodiant le monde de la musique et des médias, avait un potentiel certain. Malheureusement, l'exécution est souvent maladroite. Les personnages, bien que caricaturaux à dessein, manquent de profondeur et de nuances. Fatal Bazooka, joué par Michaël Youn, tombe rapidement dans une routine de stéréotypes lassants.
Humour et Références
L'humour, élément central du film, oscille entre le comique de situation et les blagues potaches. Les références culturelles abondent, parfois avec une certaine subtilité, mais souvent elles sont surutilisées au point de devenir prévisibles et ennuyeuses. Des clins d’œil à des films comme "Citizen Kane" ou "Zoolander" sont appréciables, mais ne suffisent pas à sauver un scénario qui manque cruellement d'originalité et de finesse.
Réalisation et Production
La réalisation de Michaël Youn est énergique, mais souvent désordonnée. Les séquences s'enchaînent à un rythme frénétique, laissant peu de place à l'émotion ou à la réflexion. Les choix artistiques, bien que colorés et vivants, finissent par donner une impression de surcharge visuelle. La bande-son, bien que cohérente avec l'univers du film, ne parvient pas à relever le niveau général.
Performance des Acteurs
Les performances des acteurs sont mitigées. Michaël Youn, dans le rôle principal, apporte son énergie habituelle, mais cela ne suffit pas à rendre son personnage attachant. Stéphane Rousseau, en Chris Prolls, joue correctement son rôle de rival excentrique, mais reste prisonnier d'un script qui ne lui donne pas assez de matière pour briller. Les seconds rôles, tels que ceux interprétés par Isabelle Funaro et Fabrice Eboué, sont corrects sans être mémorables.
Conclusion
"Fatal" est un film qui avait le potentiel d'être une satire intelligente et mordante du monde de la musique. Cependant, il tombe dans le piège des gags faciles et des stéréotypes, manquant de la profondeur nécessaire pour véritablement marquer les esprits. Si certains moments parviennent à faire sourire, l'ensemble reste décevant et ne parvient pas à justifier une note plus élevée. Les amateurs d'humour potache y trouveront peut-être leur compte, mais ceux en quête d'une comédie réellement incisive et bien ficelée resteront sur leur faim.
Tout simplement un chef d'oeuvre narratif, rien à dire sur l'excellence de ce film.
Attention spoilers
j’interprèterai le film Fatal comme une adaptation indirecte de Roméo et Juliette. La rivalité entre Chris et Fatal me fait penser à Roméo et Tybalt, deux acteurs d’un conflit qu’ils ne contrôlent pas organiser par une force plus grande : leurs familles respectives, donc dans le film la société de consommation, les producteurs, agents, présentateurs… Le public aime et reçoit bêtement le conflit entre les deux, comme le font les spectateurs du SuperClash, mais aussi les spectateurs d’une pièce comme Roméo et Juliette, ce qui crée dans le film fatal une mise en abîme (théâtre dans le théâtre), car nous, le spectateur, recevront également le contenu. On peut aussi le voir dans le choix des costumes : fatal porte pendant une grande partie du film des vêtements rouge, le plus souvent associé à la famille Capulet dans les adaptations modernes de l’œuvre, tandis que Chris porte des vêtements bleues. Le contraste montre leur opposition, et la scène où ils décident de faire la paix peux faire penser à l’amour entre Roméo et Juliette, qui vise à enterré la hache de guerre et bâtir un futur meilleur pour les deux familles : dans ce cas là, les deux camps du conflit. Le film Fatal se termine sur un mariage, qui est un thème omniprésent dans l’œuvre de Shakespeare, et on peut comprendre ce choix car il montre bien la résolution du conflit sans trop s’attarder : la présence de Chris au mariage de Fatal montre une alliance claire entre les deux « camps », comme dans le mariage de Roméo avec Juliette dans la pièce. On peut donc conclure que le film Fatal est une version idéalisée de la pièce Roméo et Juliette, c’est à dire qu’il reprend tout ces côtés positifs en maintenant une tension au travers du film, sans pour autant faire de mort comme dans l’œuvre original.
(On peut d’ailleurs dire que les acolytes de Fatal représentent bien Benvolio et Mercutio, les meilleurs amis de Roméo dans la pièce)
j’interprèterai le film Fatal comme une adaptation indirecte de Roméo et Juliette. La rivalité entre Chris et Fatal me fait penser à Roméo et Tybalt, deux acteurs d’un conflit qu’ils ne contrôlent pas organiser par une force plus grande : leurs familles respectives, donc dans le film la société de consommation, les producteurs, agents, présentateurs… Le public aime et reçoit bêtement le conflit entre les deux, comme le font les spectateurs du SuperClash, mais aussi les spectateurs d’une pièce comme Roméo et Juliette, ce qui crée dans le film fatal une mise en abîme (théâtre dans le théâtre), car nous, le spectateur, recevront également le contenu. On peut aussi le voir dans le choix des costumes : fatal porte pendant une grande partie du film des vêtements rouge, le plus souvent associé à la famille Capulet dans les adaptations modernes de l’œuvre, tandis que Chris porte des vêtements bleues. Le contraste montre leur opposition, et la scène où ils décident de faire la paix peux faire penser à l’amour entre Roméo et Juliette, qui vise à enterré la hache de guerre et bâtir un futur meilleur pour les deux familles : dans ce cas là, les deux camps du conflit. Le film Fatal se termine sur un mariage, qui est un thème omniprésent dans l’œuvre de Shakespeare, et on peut comprendre ce choix car il montre bien la résolution du conflit sans trop s’attarder : la présence de Chris au mariage de Fatal montre une alliance claire entre les deux « camps », comme dans le mariage de Roméo avec Juliette dans la pièce. On peut donc conclure que le film Fatal est une version idéalisée de la pièce Roméo et Juliette, c’est à dire qu’il reprend tout ces côtés positifs en maintenant une tension au travers du film, sans pour autant faire de mort comme dans l’œuvre original.
(On peut d’ailleurs dire que les acolytes de Fatal représentent bien Benvolio et Mercutio, les meilleurs amis de Roméo dans la pièce)
Super film. Un grand nom du cinéma. A voir absolument pour les jeunes générations. Un film intergénérationnel.
13 ans déjà.
J'avais du mal à l'époque, mais j'ai eu plein de signaux m'invitant, via les réseaux, à le revoir.
Par certains aspects, quelques scènes devenues cultes et aussi , clones , de l'époque influenceurs et pseudos chanteurs moux du bulbe, décérébrés et incultes...que l'on connait ces dernières années.
À ne pas forcément voir avec le 2nd degrés.
J'avais du mal à l'époque, mais j'ai eu plein de signaux m'invitant, via les réseaux, à le revoir.
Par certains aspects, quelques scènes devenues cultes et aussi , clones , de l'époque influenceurs et pseudos chanteurs moux du bulbe, décérébrés et incultes...que l'on connait ces dernières années.
À ne pas forcément voir avec le 2nd degrés.
En regardant Fatal, j'ai été frappé par la façon dont l’humour incisif se mêle à une exécution parfaite. Chaque scène m'a semblé éclater de manière presque inattendue, comme une série de petites détonations comiques qui ne cessent de me surprendre. Les performances du casting m’ont vraiment marqué ; chaque acteur semble habiter son personnage avec une telle énergie qu’ils deviennent inoubliables. La narration, fluide et habilement construite, m’a embarqué sans effort dans cette comédie débridée.
Fatal m'a laissé un souvenir vivace, un de ces films qui réussi à me divertir tout en me marquant par sa légèreté et sa capacité à faire surgir le rire de n’importe quel moment.
Fatal m'a laissé un souvenir vivace, un de ces films qui réussi à me divertir tout en me marquant par sa légèreté et sa capacité à faire surgir le rire de n’importe quel moment.
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